Valdis, une ville calme et tranquille. C’est dans cet endroit que je me trouvais suivi de près par une armure ambulante et plutôt agaçante. Je devais bien avouer que je n’avais qu’une envie, éliminer son occupant. Des bleus recouvraient mon corps, marque de la petite matraque qu’il utilisait lorsque je lui désobéissais. On m’avait rendu mes armes et maintenant, je devais lui obéir. Mais obéir à quelqu’un qui ne parle pas n’est pas la chose la plus facile. Je devais maintenant retrouver Reyson, l’homme qui m’avait transformé. Non pour retrouver mon apparence, mais pour le capturer et l’interroger. Cela me répugner, mais on ne me laissait pas le choix. Il faisait gris, les gens s’écartaient sur notre passage effrayé. Ce qui m’avais le plus gênée était bien entendu le faite que l’homme qui me surveillait était complètement insensible à mon pouvoir. Une chose qui n’était jamais arrivée jusqu’à présent. Moi qui avais compté sur cela pour pouvoir m’échapper. J’avais complètement raté mon coup et les coups qui avaient suivi avaient laissé des marques sur ma peau.
C’est donc dans des rues bien entretenues que j’évoluais lentement. Ont nous avez informé qu’il y avait une possibilité que ma cible se trouve dans les parages. Le colonel me poussa et j’avançais plus rapidement. Regardant derrière moi je remarquais qu’il ne me suivait plus. Je me doutais bien qu’il ne relâcherait pas sa surveillance. Ce type ne relâchait jamais sa surveillance, toujours prêt à me rappeler que je devais obéir. Je m’étirais avant de me remettre à marcher. Certaine personne me montrer du doigt, en général les gens s’éloigner sur mon passage, comme si j’allais les découper en morceau. Ce n’était pas mon but. Oui j’en avais envie, je ne pouvais pas le cacher. Mais les répercussions qui suivraient me dissuader de le faire. Impel Down me tenter bien du faite que dans cet endroit la souffrance était toujours présente. Mais je déteste être enfermé et par conséquent je n’ai pas vraiment envie de rendre visite à cet endroit.
Je pénétrais à l’intérieur d’une place. Regardant autour de moi, je remarquais que des étales de Marchand étaient présentes tout le long des murs tentant désespérément de vendre leur produit dans une bonne ambiance. Chacun se faisant de la concurrence, baissant les prix, vantant la qualité des produits. Je trouvais sa désespérante. J’avançais lentement, je n’étais pas pressé. Je devais trouver Reyson néanmoins, si il s’échapper cela ne me posait pas de problème. Je soupirais en regardant le ciel, j’étais dans une passe merdique de la vie et je devais dire que cela m’emmerder vraiment.
C’est donc dans des rues bien entretenues que j’évoluais lentement. Ont nous avez informé qu’il y avait une possibilité que ma cible se trouve dans les parages. Le colonel me poussa et j’avançais plus rapidement. Regardant derrière moi je remarquais qu’il ne me suivait plus. Je me doutais bien qu’il ne relâcherait pas sa surveillance. Ce type ne relâchait jamais sa surveillance, toujours prêt à me rappeler que je devais obéir. Je m’étirais avant de me remettre à marcher. Certaine personne me montrer du doigt, en général les gens s’éloigner sur mon passage, comme si j’allais les découper en morceau. Ce n’était pas mon but. Oui j’en avais envie, je ne pouvais pas le cacher. Mais les répercussions qui suivraient me dissuader de le faire. Impel Down me tenter bien du faite que dans cet endroit la souffrance était toujours présente. Mais je déteste être enfermé et par conséquent je n’ai pas vraiment envie de rendre visite à cet endroit.
Je pénétrais à l’intérieur d’une place. Regardant autour de moi, je remarquais que des étales de Marchand étaient présentes tout le long des murs tentant désespérément de vendre leur produit dans une bonne ambiance. Chacun se faisant de la concurrence, baissant les prix, vantant la qualité des produits. Je trouvais sa désespérante. J’avançais lentement, je n’étais pas pressé. Je devais trouver Reyson néanmoins, si il s’échapper cela ne me posait pas de problème. Je soupirais en regardant le ciel, j’étais dans une passe merdique de la vie et je devais dire que cela m’emmerder vraiment.