C'était la fin de cette première nuit de mission. L'air avait été plutôt frais dans cette nuit, j'avais fini par laisser mon lit a la tarentule malgré ma "victoire". Elle avait fais sa mine triste, et même si je devais bien avouer qu'elle avait cette tendance a me rendre fou avec sa folie, j'avais quand même une certaine sympathie pour elle. La blonde était dans cette mission avec moi afin d'enquêté, une requête du Cipher Pol qui n'avait a mon sens aucun intérêt, ils voulaient être sur de ne pas avoir de brebis galeuse, comment leur en vouloir?
Afin de ne pas être remarquer, je rentrais par la fenêtre de ma chambre, après tout, un jeune couple n'était pas supposer dormir séparément. Mes parents, je le sais était plutôt de mes sois disant fiançailles et je pensais beaucoup au moment ou je devrais leur annoncer ma séparation avec la tarentule. C'était certainement la couverture la plus lourde a porter qu'on m'ai jamais confier, je ne savais pas ou j'allais avec cette information et j'essayais de ne pas trop y penser... Ma famille avait déjà bien assez morfler par le passé, autant leur laisser un peu de répits pour le moment.
Je me diriger vers la salle a manger. Je me faisais un bon café, j'avais dormis dans des conditions pire que sur le toit de la maison de mes parents, mais je devais bien avouer rien ne vaux le confort d'un bon lit pour bien récupérer.... Tant pis. Peu après m'être lever, je remarquer que la blonde m'avais suivit, certainement réveiller par mon passage malgré mon pas de velours.
Elle s'installer, sans vraiment m'adresser la parole... Un silence s'installer, au moins elle me semblait avoir bien dormis. Ce silence fut néanmoins rompu par l'arriver fracassante de maternel qui après avoir bailler reprenais:
"Vous avez fais un de ses vacarmes hier soir, on aurais cru que vous étiez en train de vous battre"
Cette remarque fut haussé les sourcils, puis pouffé Christy de rire, alors qu'elle reprenais:
" "Une bataille, une danse énergique, des étreintes brutales. Peu importe le nom, c'est comme ça que l'on s'aime. Hihi!"
Ma mère fut a son tours amusé, alors qu'elle répondais avec un rire:
" La fouge de la jeunesse, ca me rappelle nos jeunes années ! Veillez quand même a ne pas détruire le mobilier. "
Je préférais ne pas avoir l'image mentale de mes parents en train de s'aimer, je finissais mon café, et faisais signe afin d'indiquer mon intention de me doucher. Une bonne douche bien chaude qui me fit pas mal de bien, c'est fou ce qu'on peut se sentir sale lorsqu'on dors dehors. Malgré tout, je ne profitais pas très longtemps de ce repos. Ce fut ensuite au tours de Christy. De son côté elle prenait son temps, même beaucoup de temps, du temps que je rentabilisé en me dirigeais vers l'atelier de mon père, prenant quelques outils pour réparer l'étagère que ma dulcinée avait pratiquement détruit hier soir. Mon père me croisais sur la route, curieux. Je lui expliquais que cette vielle étagère était casser depuis bien des années, et malgré son étonnement, il ne remis pas vraiment ma parole en doute et se proposais même de m'aider.
Nous vidions ensemble l'étagère, et bien que nous mettions ensemble a la tache, il prenais la parole afin de me rappeler que dans quatre jour se déroule le bal annuel du village et me demande si j'avais l'intention d'y amener ma femme, lui se montrer nostalgique, en effet c'était lors de ce bal qu'il avait demander ma mère en épousailles, affirmant son intention de l'invité encore cette années. Je lui expliquais que je n'en avais encore aucune idée, je mettais le dernier coup de marteau, voila que cette vielle étagère se portais mieux, même si je supposais qu'elle ne supporterais pas encore une prochaine crise de ma belle blonde.
Elle sortais de la douche toute pomponné, et plutôt charmante ça, je ne pouvais pas lui enlever. Je l'invitais a me suivre, en effet j'avais l'intention de me rendre au bar afin de retrouver de vieux amis, surement porter par son professionnalisme, elle acceptais a la condition que je l'aide a fouiller dans la chambre de mon frère, surement a la recherche d'un indice. J'étais pratiquement sur que ça ne servirais a rien. A l'époque Edward était loin d'être ce pirate si rechercher et n'était encore qu'un petit escroc qui ne faisais que peu de mal autour de lui.
Comme je m'y attendais, nous ne trouvions pas grand chose d'intéressant... Hormis un seul objet qui attirais le regard de la tarentule qui saisi dans sa main une photo d'Edward et moi lorsque nous étions enfant. A l'époque je n'étais pas encore ce tatouer, magicien assez étrange pour certain... Ou plutôt j'étais déjà différent pour beaucoup de personne, malgré mon apparence bien plus basique, si on oublie le fais que nous avions les yeux couleur rubis dans la famille. La blonde prenais un air enjouer:
"Quel gachis! Vous étiez si beau."
Encore une attaque sur mon physique? Je souriais avant de reprendre:
"Peut-être... Mais ce gamin, n'était pas moi enfin... Pas celui que j'étais au fond de moi. "
Je ne pouvais pas l'expliquer.... Enfant, je n'étais juste pas a ma place, bien trop dans la lune, bien trop avide de lumière. Comme coincé dans un corps qui n'étais pas celui que je voulais être, pourtant c'est très vite que la tarentule commençais en reposant la photo:
"Pff. Cesse ta pleurniche d'adolescent. Tu es ce que tu as voulu devenir. Tu n'as pas plus de profondeur qu'un autre, ni une destinée manifeste. Regarde moi. Ai-je l'air de perdre mon temps à m'interroger sur mon moi profond? Pourtant, je n'amuse pas moins que toi. Que dis-je? Je m'amuse bien plus que n'importe qui. Hihihi !"
" Peut-être que tu t'amuse simplement car tu essaye de te convaincre que tu sais ou est ta place, alors qu'au final tu n'en a aucune idée. "
Je cessais un instant de sourire:
"Tu suppose beaucoup sur moi, sur ce que tu pense savoir, pourtant quand j'y pense, je ne peux pas m'empêcher de penser que je me connais bien plus que tu ne te connais toi-même. J'ai une apparence qui dégoute les gens comme toi, mais contrairement a toi je n'ai jamais eu peur d'assumé le fais que je voulais me ressembler et pas ressembler a quelqu'un d'autre. "
Je commençais a me dirigeais vers la sorti de la chambre:
" Je pense qu'on a assez fouiller cette chambre, sauf si tu a une raison de rester ici... Et pour ce que ca vaux... Tu a peut-être peur d'avoir des rêves, mais moi je sais que j'ai un destin. "
Je commençais a sortir de la maison... Qu'elle pense ce qu'elle veux. Je deviendrais le plus grand des magiciens, qu'on me dise que c'est impossible était loin d'être une première. Ne pas croire en son destin, je laisse ça pour les lâches qui ont peur d'être déçu et d'échouer. Qu'importe le temps que sa prendra, je surpasserais Caleb, c'était ma conviction la plus absolu. L'agente n'hésitais cela dis pas bien longtemps avant de me coller au basque n'ayant rien de plus intéressant a faire.
"Tu as une fâcheuse tendance à fuir après une réplique satisfaisante. Tu afflige plus ton interlocuteur qu'autre chose. Ce sont tes actes et ton comportement qui me permettent ses suppositions. Tout ce qui n'est pas toi-même semble te laisse indifférent. Qui suis je pour te jeter la pierre, cela dit. Qu'est ce qui te fait penser que je n'ai aucun rêve? Est ce parce que je juge ton narcissisme ridicule? Il faut voir ce que tu déblatères."
Prenant une voix théâtrale, elle caricature mon timbre de voix.
"Personne ne peut me comprendre. Les miasmes et les chaines de la société restreignent mon talent presque divin. Je suis au dessus de cette masse grouillante, l'exception parmi l'exception. Et je dois le montrer au monde. Ma destinée, c'est moi-même qui la dessine. Ni Dieu, ni Maître ! Mon seul équivalent est mon ombre... ou alors je suis mon ombre. Oh, non! Que suis-je au fond de mes entrailles? Hihihi!"
Elle voulait m'imiter? Et bien cela tombe bien, j'étais d'humeur joueuse moi aussi, alors que je commençais a faire de grand mouvement tout en prenant la direction du bar:
" Mais tu a fini d'être si narcissique? Sinon je vais me mettre a tout casser ou te faire subir d'horrible chose! hihihi "
"Casse tout, je m'en contre fiche. Je n'ai d'yeux que pour moi-même. Tout ce qui est terrestre me dépasse. Je suis le dieu de mon monde. Les gesticulations de l'araignée n'atteint pas la divine colombe!"
"Mais regarde moi, je suis tellement intéressante et mes yeux tellement bleu! Si tu ne me prête pas d'attention, c'est forcement que tu n'a aucune personnalité en plus de ton physique disgracieux! Hihihi! "
"Oui, et c'est pas le dernier de mes défauts. Je me montre tellement détaché et ténébreux, j'ai tellement la classe, je suis sur que tes ovaires doivent explosés. Dommage tu ne m'interesse pas le moins du monde. Porte un miroir sur ta face, et je daignerai peut etre jeter un oeil sur ta médiocre existence. Seulement, quelques secondes car aucun miroir ne peut me refléter aussi parfaitement que je me vois intérieurement."
"Excuse moi, mais ca n'est pas comme-ci un adolescent comme toi pouvais m'intéresser! je suis même prête a foutre en l'air une mission plutôt que te tenir la main! "
Nous nous approchions lentement mais surement du bar, et pour ceux qui était déjà épuisé par notre attitude gamine, c'était bien loin d'être terminer:
"Une mission? Ah oui, c'est vrai. Je me sers de ce prétexte seulement pour camoufler ma honte devant mes parents. De toute façon, cela ne sert à rien. Je sais tout à l'avance et, comme les voies du Seigneur, je suis impénétrable. Je préfère calculer la position exact de mon nombril auquel le monde tourne autour. Et tout le monde devrait le faire au lieu de perdre leur temps."
" Ta honte? Mais de quoi tu pourrais avoir bien honte devant tes parents? Du fais que je suis capable de faire n'importe quoi a n'importe quel moment ou du fais que j'essaye de savoir si tu aide secrètement ton frère qui a plus de deux-cent millions de berries sur sa tête! Hihihi! "
Nous entrions finalement dans le bar tenu par Bernardo un ami d'enfance que nous avions croiser hier. La tarentule s'installer avec nonchalance, les pieds sur la table:
"Honte de devoir fréquenter un ver de terre rampant, alors que je suis l'aigle qui survole même ses parents. Maintenant, si tu as d'autres questions demandent aux autres. Ils seront surement ravi de te dire à quel point je suis hors du commun."
Imitant la détente, elle ferme les yeux d'un air suffisant et place ses mains derrière la tête en se balançant.
" Ton arrogance n'a d'autre commun que ta puérilité, toi tu a de la chance d'attirer l'attention alors que personne ne me regarde, c'est pour ça que je dois être incontrôlable sans me soucier des conséquence! Hihihi! "
Bernardo, s'avancer dans notre direction, l'intention de prendre notre commande, mais nous étions loin de rendre les armes:
" Sert moi ce que tu veux, du moment que tu accepte mes caprices et que tu me regarde! "
"Hum. Sers moi donc ce qui te chante, je sais déjà à l'avance ce que tu vas me choisir. De toute façon, ce n'est qu'une excuse pour regarder mon reflet sur le verre. Puis, je regarderai dans le vide pour paraitre torturé et ténébreux."
Le barman commençais a nous regarder, nous demandant si nous allions bien, et que je reprenais:
"Bien sur que ca va, car si on reflechi avant d'agir on est forcement un adolescent en quête d'identité"
"Laisse-la. Elle est tellement folle de moi qu'elle en perd la tête. Ignore la et pense à quel point tu es incompris, elle devrait passer à autre chose. C'est ce que je fais et cela marche très bien. Elle est même aller attraper du Dastrinois et rencontrer le maire, hier. Pour dire à quel point me côtoyer te rend exceptionnel."
Je voyais le visage du désespoir au travers des yeux de notre nanar national, et qu'il finissais par choisir a notre place:
" ... Ok.... Ben vous me dirais je suppose que ca sera une bière pour chacun, ca vous calmera"
Je regardais mon ami d'enfance:
" Tu me donnera son verre, sinon je casse tout dans le bar, et il finira par céder a mes caprices et ira boire dehors, ca le confortera dans son égo! hihihihi! "
Christy soupire.
"Ne t'inquiète pas pour ton bar. Je ne la laisserai pas faire. Cela me donnera une autre occasion de montrer à quel point je suis impressionnant pour de simples mortels. Ce bar deviendra ma scène. Tu me remerciera plus tard de l'honneur que je te fais."
Bernardo nous regardais bizarrement, se dirigeant vers la tireuse a bière, dans le but de nous servir. il revenait vers nous avec les mousses:
"Bien sur vu que tu va ceder a tout mes caprices et que tu est un parfait gentleman c'est toi qui offre ta tournée! hihihi "
"Je vais payer pour elle. Cela me met encore une fois en valeur, c'est bon pour mon complexe d'infériorité."
Elle s'empare du verre et en boit une gorgée en regardant dans le vide. Le regard ténébreux et torturé transperce l'invisible tel son âme torturé est transpercé par le talent.
"Quel delicate attention, voila qui te rend encore plus pueril, mais je reconnais que je n'allais tout de meme pas payer moi! hihihi!
Je commençais a boire le verre, l'air malicieux avec un grand sourire... Et vous êtes déjà fatiguer? Et bien je vais donc vous faire la grâce de vous raconter la suite de cette joute verbale qui ne durée par que jusqu’à l'heure du repas, ou encore du diner, mais bien jusqu'a l'heure d'aller dormir... Une situation que je tournais a mon avantage pour déterminer qui allais dormir dehors:
" Bon, je suppose que tu va me laisser le lit pour faire l’intéressant? hihihihi!"
"Tu suppose mal. J'ai envi de te voir dépiter avant de laisser la place avec un air supérieur. Mon égo est très demandant, j'attend à ce que cela soit mieux qu'hier"
Elle s'affale sur le lit avec un tekkai. Je prenais alors une mine triste, voir même empli de désespoir:
"Tu ne va pas me forcer a tout casser n'est-ce pas mon Ricou-cherie? "
"Encore un peu plus. Mon égo n'est pas rassasié."
Elle levait un oeil vers moi, alors que je commençais a me pencher dans sa direction:
"Allez, laisse moi le lit s'il te plais mon Ricou"
"Hum. Non c'est trop facile. Fatigue toi, plus. Ou prépare toi un hamac, au lieu de t'épuiser. "
Je repensais a son attitude d'hier, et a mes yeux l'air de la revanche avait sonner... Je commençais donc a prendre attitude provocante et a déboutonner ma chemise:
" Ne me force pas a user des grand moyens! hihihihi "
A ce moment, je senti le malaise de la tarentule qui se sentais dépasser par la situation . Peut-être même qu'elle avait peur de jusqu'a ou cette caricature d'elle même pouvait aller. Elle allait enfin déposer les armes:
"Désolé, Christy chérie. Je ne peux trahir la relation fusionnelle que j'ai avec moi-même. Comme tu es prête à te déshonorer pour dormir dans un lit, j'estime que tu as assez toucher le fond pour satisfait mon égo."
Elle prend un coussin et la couverture pour filer sur le toit. L'agente avait fuit la chambre. Je m'installer un instant sur le lit avant d'exploser de rire. Je savais qu'elle ne résisterais pas... Bon, assez jouer. Je me rendais sur le toît:
" Allez va te coucher"
"Oh oh! Ton égo est, donc, satisfait, alors, va dormir dans ton lit maintenant. Je ne veux pas de ta pitié, Ricounet. Profite de ta victoire, cela ne sera pas tout le temps le cas."
"Ne fais pas l'enfant, va te coucher"
Je m'installer les mains derrière la tête, en commençant a fermer les yeux:
"Si tu aimes tant dormir à la belle étoile, pourquoi mets tu autant de zèle à nous faire perdre du temps? Oh, j'oubliais; Il lui faut beaucoup d'attention pour le Ricou, sinon il n'arrive pas à faire dodo. Hihihi!"
Elle se redresse pour quitter le toit et prend une grande bouffée d'air.
"Aah! Il n'y a rien de mieux qu'un bon rire. Dire que j'ai passer la journée sans."
Une fois seul, je répondais:
" Car sinon c'est pas amusant. "
Je finissais par m'endormir... Au final, c'était plutôt marrant, je commençais même a apprécier la blonde.
Afin de ne pas être remarquer, je rentrais par la fenêtre de ma chambre, après tout, un jeune couple n'était pas supposer dormir séparément. Mes parents, je le sais était plutôt de mes sois disant fiançailles et je pensais beaucoup au moment ou je devrais leur annoncer ma séparation avec la tarentule. C'était certainement la couverture la plus lourde a porter qu'on m'ai jamais confier, je ne savais pas ou j'allais avec cette information et j'essayais de ne pas trop y penser... Ma famille avait déjà bien assez morfler par le passé, autant leur laisser un peu de répits pour le moment.
Je me diriger vers la salle a manger. Je me faisais un bon café, j'avais dormis dans des conditions pire que sur le toit de la maison de mes parents, mais je devais bien avouer rien ne vaux le confort d'un bon lit pour bien récupérer.... Tant pis. Peu après m'être lever, je remarquer que la blonde m'avais suivit, certainement réveiller par mon passage malgré mon pas de velours.
Elle s'installer, sans vraiment m'adresser la parole... Un silence s'installer, au moins elle me semblait avoir bien dormis. Ce silence fut néanmoins rompu par l'arriver fracassante de maternel qui après avoir bailler reprenais:
"Vous avez fais un de ses vacarmes hier soir, on aurais cru que vous étiez en train de vous battre"
Cette remarque fut haussé les sourcils, puis pouffé Christy de rire, alors qu'elle reprenais:
" "Une bataille, une danse énergique, des étreintes brutales. Peu importe le nom, c'est comme ça que l'on s'aime. Hihi!"
Ma mère fut a son tours amusé, alors qu'elle répondais avec un rire:
" La fouge de la jeunesse, ca me rappelle nos jeunes années ! Veillez quand même a ne pas détruire le mobilier. "
Je préférais ne pas avoir l'image mentale de mes parents en train de s'aimer, je finissais mon café, et faisais signe afin d'indiquer mon intention de me doucher. Une bonne douche bien chaude qui me fit pas mal de bien, c'est fou ce qu'on peut se sentir sale lorsqu'on dors dehors. Malgré tout, je ne profitais pas très longtemps de ce repos. Ce fut ensuite au tours de Christy. De son côté elle prenait son temps, même beaucoup de temps, du temps que je rentabilisé en me dirigeais vers l'atelier de mon père, prenant quelques outils pour réparer l'étagère que ma dulcinée avait pratiquement détruit hier soir. Mon père me croisais sur la route, curieux. Je lui expliquais que cette vielle étagère était casser depuis bien des années, et malgré son étonnement, il ne remis pas vraiment ma parole en doute et se proposais même de m'aider.
Nous vidions ensemble l'étagère, et bien que nous mettions ensemble a la tache, il prenais la parole afin de me rappeler que dans quatre jour se déroule le bal annuel du village et me demande si j'avais l'intention d'y amener ma femme, lui se montrer nostalgique, en effet c'était lors de ce bal qu'il avait demander ma mère en épousailles, affirmant son intention de l'invité encore cette années. Je lui expliquais que je n'en avais encore aucune idée, je mettais le dernier coup de marteau, voila que cette vielle étagère se portais mieux, même si je supposais qu'elle ne supporterais pas encore une prochaine crise de ma belle blonde.
Elle sortais de la douche toute pomponné, et plutôt charmante ça, je ne pouvais pas lui enlever. Je l'invitais a me suivre, en effet j'avais l'intention de me rendre au bar afin de retrouver de vieux amis, surement porter par son professionnalisme, elle acceptais a la condition que je l'aide a fouiller dans la chambre de mon frère, surement a la recherche d'un indice. J'étais pratiquement sur que ça ne servirais a rien. A l'époque Edward était loin d'être ce pirate si rechercher et n'était encore qu'un petit escroc qui ne faisais que peu de mal autour de lui.
Comme je m'y attendais, nous ne trouvions pas grand chose d'intéressant... Hormis un seul objet qui attirais le regard de la tarentule qui saisi dans sa main une photo d'Edward et moi lorsque nous étions enfant. A l'époque je n'étais pas encore ce tatouer, magicien assez étrange pour certain... Ou plutôt j'étais déjà différent pour beaucoup de personne, malgré mon apparence bien plus basique, si on oublie le fais que nous avions les yeux couleur rubis dans la famille. La blonde prenais un air enjouer:
"Quel gachis! Vous étiez si beau."
Encore une attaque sur mon physique? Je souriais avant de reprendre:
"Peut-être... Mais ce gamin, n'était pas moi enfin... Pas celui que j'étais au fond de moi. "
Je ne pouvais pas l'expliquer.... Enfant, je n'étais juste pas a ma place, bien trop dans la lune, bien trop avide de lumière. Comme coincé dans un corps qui n'étais pas celui que je voulais être, pourtant c'est très vite que la tarentule commençais en reposant la photo:
"Pff. Cesse ta pleurniche d'adolescent. Tu es ce que tu as voulu devenir. Tu n'as pas plus de profondeur qu'un autre, ni une destinée manifeste. Regarde moi. Ai-je l'air de perdre mon temps à m'interroger sur mon moi profond? Pourtant, je n'amuse pas moins que toi. Que dis-je? Je m'amuse bien plus que n'importe qui. Hihihi !"
" Peut-être que tu t'amuse simplement car tu essaye de te convaincre que tu sais ou est ta place, alors qu'au final tu n'en a aucune idée. "
Je cessais un instant de sourire:
"Tu suppose beaucoup sur moi, sur ce que tu pense savoir, pourtant quand j'y pense, je ne peux pas m'empêcher de penser que je me connais bien plus que tu ne te connais toi-même. J'ai une apparence qui dégoute les gens comme toi, mais contrairement a toi je n'ai jamais eu peur d'assumé le fais que je voulais me ressembler et pas ressembler a quelqu'un d'autre. "
Je commençais a me dirigeais vers la sorti de la chambre:
" Je pense qu'on a assez fouiller cette chambre, sauf si tu a une raison de rester ici... Et pour ce que ca vaux... Tu a peut-être peur d'avoir des rêves, mais moi je sais que j'ai un destin. "
Je commençais a sortir de la maison... Qu'elle pense ce qu'elle veux. Je deviendrais le plus grand des magiciens, qu'on me dise que c'est impossible était loin d'être une première. Ne pas croire en son destin, je laisse ça pour les lâches qui ont peur d'être déçu et d'échouer. Qu'importe le temps que sa prendra, je surpasserais Caleb, c'était ma conviction la plus absolu. L'agente n'hésitais cela dis pas bien longtemps avant de me coller au basque n'ayant rien de plus intéressant a faire.
"Tu as une fâcheuse tendance à fuir après une réplique satisfaisante. Tu afflige plus ton interlocuteur qu'autre chose. Ce sont tes actes et ton comportement qui me permettent ses suppositions. Tout ce qui n'est pas toi-même semble te laisse indifférent. Qui suis je pour te jeter la pierre, cela dit. Qu'est ce qui te fait penser que je n'ai aucun rêve? Est ce parce que je juge ton narcissisme ridicule? Il faut voir ce que tu déblatères."
Prenant une voix théâtrale, elle caricature mon timbre de voix.
"Personne ne peut me comprendre. Les miasmes et les chaines de la société restreignent mon talent presque divin. Je suis au dessus de cette masse grouillante, l'exception parmi l'exception. Et je dois le montrer au monde. Ma destinée, c'est moi-même qui la dessine. Ni Dieu, ni Maître ! Mon seul équivalent est mon ombre... ou alors je suis mon ombre. Oh, non! Que suis-je au fond de mes entrailles? Hihihi!"
Elle voulait m'imiter? Et bien cela tombe bien, j'étais d'humeur joueuse moi aussi, alors que je commençais a faire de grand mouvement tout en prenant la direction du bar:
" Mais tu a fini d'être si narcissique? Sinon je vais me mettre a tout casser ou te faire subir d'horrible chose! hihihi "
"Casse tout, je m'en contre fiche. Je n'ai d'yeux que pour moi-même. Tout ce qui est terrestre me dépasse. Je suis le dieu de mon monde. Les gesticulations de l'araignée n'atteint pas la divine colombe!"
"Mais regarde moi, je suis tellement intéressante et mes yeux tellement bleu! Si tu ne me prête pas d'attention, c'est forcement que tu n'a aucune personnalité en plus de ton physique disgracieux! Hihihi! "
"Oui, et c'est pas le dernier de mes défauts. Je me montre tellement détaché et ténébreux, j'ai tellement la classe, je suis sur que tes ovaires doivent explosés. Dommage tu ne m'interesse pas le moins du monde. Porte un miroir sur ta face, et je daignerai peut etre jeter un oeil sur ta médiocre existence. Seulement, quelques secondes car aucun miroir ne peut me refléter aussi parfaitement que je me vois intérieurement."
"Excuse moi, mais ca n'est pas comme-ci un adolescent comme toi pouvais m'intéresser! je suis même prête a foutre en l'air une mission plutôt que te tenir la main! "
Nous nous approchions lentement mais surement du bar, et pour ceux qui était déjà épuisé par notre attitude gamine, c'était bien loin d'être terminer:
"Une mission? Ah oui, c'est vrai. Je me sers de ce prétexte seulement pour camoufler ma honte devant mes parents. De toute façon, cela ne sert à rien. Je sais tout à l'avance et, comme les voies du Seigneur, je suis impénétrable. Je préfère calculer la position exact de mon nombril auquel le monde tourne autour. Et tout le monde devrait le faire au lieu de perdre leur temps."
" Ta honte? Mais de quoi tu pourrais avoir bien honte devant tes parents? Du fais que je suis capable de faire n'importe quoi a n'importe quel moment ou du fais que j'essaye de savoir si tu aide secrètement ton frère qui a plus de deux-cent millions de berries sur sa tête! Hihihi! "
Nous entrions finalement dans le bar tenu par Bernardo un ami d'enfance que nous avions croiser hier. La tarentule s'installer avec nonchalance, les pieds sur la table:
"Honte de devoir fréquenter un ver de terre rampant, alors que je suis l'aigle qui survole même ses parents. Maintenant, si tu as d'autres questions demandent aux autres. Ils seront surement ravi de te dire à quel point je suis hors du commun."
Imitant la détente, elle ferme les yeux d'un air suffisant et place ses mains derrière la tête en se balançant.
" Ton arrogance n'a d'autre commun que ta puérilité, toi tu a de la chance d'attirer l'attention alors que personne ne me regarde, c'est pour ça que je dois être incontrôlable sans me soucier des conséquence! Hihihi! "
Bernardo, s'avancer dans notre direction, l'intention de prendre notre commande, mais nous étions loin de rendre les armes:
" Sert moi ce que tu veux, du moment que tu accepte mes caprices et que tu me regarde! "
"Hum. Sers moi donc ce qui te chante, je sais déjà à l'avance ce que tu vas me choisir. De toute façon, ce n'est qu'une excuse pour regarder mon reflet sur le verre. Puis, je regarderai dans le vide pour paraitre torturé et ténébreux."
Le barman commençais a nous regarder, nous demandant si nous allions bien, et que je reprenais:
"Bien sur que ca va, car si on reflechi avant d'agir on est forcement un adolescent en quête d'identité"
"Laisse-la. Elle est tellement folle de moi qu'elle en perd la tête. Ignore la et pense à quel point tu es incompris, elle devrait passer à autre chose. C'est ce que je fais et cela marche très bien. Elle est même aller attraper du Dastrinois et rencontrer le maire, hier. Pour dire à quel point me côtoyer te rend exceptionnel."
Je voyais le visage du désespoir au travers des yeux de notre nanar national, et qu'il finissais par choisir a notre place:
" ... Ok.... Ben vous me dirais je suppose que ca sera une bière pour chacun, ca vous calmera"
Je regardais mon ami d'enfance:
" Tu me donnera son verre, sinon je casse tout dans le bar, et il finira par céder a mes caprices et ira boire dehors, ca le confortera dans son égo! hihihihi! "
Christy soupire.
"Ne t'inquiète pas pour ton bar. Je ne la laisserai pas faire. Cela me donnera une autre occasion de montrer à quel point je suis impressionnant pour de simples mortels. Ce bar deviendra ma scène. Tu me remerciera plus tard de l'honneur que je te fais."
Bernardo nous regardais bizarrement, se dirigeant vers la tireuse a bière, dans le but de nous servir. il revenait vers nous avec les mousses:
"Bien sur vu que tu va ceder a tout mes caprices et que tu est un parfait gentleman c'est toi qui offre ta tournée! hihihi "
"Je vais payer pour elle. Cela me met encore une fois en valeur, c'est bon pour mon complexe d'infériorité."
Elle s'empare du verre et en boit une gorgée en regardant dans le vide. Le regard ténébreux et torturé transperce l'invisible tel son âme torturé est transpercé par le talent.
"Quel delicate attention, voila qui te rend encore plus pueril, mais je reconnais que je n'allais tout de meme pas payer moi! hihihi!
Je commençais a boire le verre, l'air malicieux avec un grand sourire... Et vous êtes déjà fatiguer? Et bien je vais donc vous faire la grâce de vous raconter la suite de cette joute verbale qui ne durée par que jusqu’à l'heure du repas, ou encore du diner, mais bien jusqu'a l'heure d'aller dormir... Une situation que je tournais a mon avantage pour déterminer qui allais dormir dehors:
" Bon, je suppose que tu va me laisser le lit pour faire l’intéressant? hihihihi!"
"Tu suppose mal. J'ai envi de te voir dépiter avant de laisser la place avec un air supérieur. Mon égo est très demandant, j'attend à ce que cela soit mieux qu'hier"
Elle s'affale sur le lit avec un tekkai. Je prenais alors une mine triste, voir même empli de désespoir:
"Tu ne va pas me forcer a tout casser n'est-ce pas mon Ricou-cherie? "
"Encore un peu plus. Mon égo n'est pas rassasié."
Elle levait un oeil vers moi, alors que je commençais a me pencher dans sa direction:
"Allez, laisse moi le lit s'il te plais mon Ricou"
"Hum. Non c'est trop facile. Fatigue toi, plus. Ou prépare toi un hamac, au lieu de t'épuiser. "
Je repensais a son attitude d'hier, et a mes yeux l'air de la revanche avait sonner... Je commençais donc a prendre attitude provocante et a déboutonner ma chemise:
" Ne me force pas a user des grand moyens! hihihihi "
A ce moment, je senti le malaise de la tarentule qui se sentais dépasser par la situation . Peut-être même qu'elle avait peur de jusqu'a ou cette caricature d'elle même pouvait aller. Elle allait enfin déposer les armes:
"Désolé, Christy chérie. Je ne peux trahir la relation fusionnelle que j'ai avec moi-même. Comme tu es prête à te déshonorer pour dormir dans un lit, j'estime que tu as assez toucher le fond pour satisfait mon égo."
Elle prend un coussin et la couverture pour filer sur le toit. L'agente avait fuit la chambre. Je m'installer un instant sur le lit avant d'exploser de rire. Je savais qu'elle ne résisterais pas... Bon, assez jouer. Je me rendais sur le toît:
" Allez va te coucher"
"Oh oh! Ton égo est, donc, satisfait, alors, va dormir dans ton lit maintenant. Je ne veux pas de ta pitié, Ricounet. Profite de ta victoire, cela ne sera pas tout le temps le cas."
"Ne fais pas l'enfant, va te coucher"
Je m'installer les mains derrière la tête, en commençant a fermer les yeux:
"Si tu aimes tant dormir à la belle étoile, pourquoi mets tu autant de zèle à nous faire perdre du temps? Oh, j'oubliais; Il lui faut beaucoup d'attention pour le Ricou, sinon il n'arrive pas à faire dodo. Hihihi!"
Elle se redresse pour quitter le toit et prend une grande bouffée d'air.
"Aah! Il n'y a rien de mieux qu'un bon rire. Dire que j'ai passer la journée sans."
Une fois seul, je répondais:
" Car sinon c'est pas amusant. "
Je finissais par m'endormir... Au final, c'était plutôt marrant, je commençais même a apprécier la blonde.