Dernière édition par Mayaku Miso le Mar 6 Sep 2011 - 1:49, édité 1 fois
[FB - 1623] Il y a quatre mois... { Sya-chan }
« Pour Maitresse ! Pour Maitresse ! » Elle était si occupée maitresse. Moi je devais rester chez elle, chez moi… Enfin, chez nous quoi ! Et ce, constamment. J’avais du mal avec mon corps mais j’avais compris une chose, depuis une semaine que Maitresse rentrais pour le moins dépitée. Les gens n’appréciez pas sa présence, ou du moins, n’appréciaient pas ce qu’elle faisait. Notamment avec moi puisque très fier, elle avait déclaré quelques petites choses révolutionnaires pour la médecine mondiale. Quelle tristesse, de la voir rentrer fatiguée et attristée. Elle avait aussi peur, bien qu’elle ne le montrait pas. Dormant très peu, je l’entendais, rêver… ou plus exactement, cauchemarder. Parlant, criant… Je lui causais beaucoup de soucis. Elle s’inquiétait pour moi et pour elle. Dans cette histoire, j’étais complètement inutile. Alors, je pris cette décision : Je devais partir pour quelle s’inquiète moins et… Devenir forte pour la protéger à mon retour. Alors, chaque jour ou elle partait. Chaque soir ou elle dormait… Je sortais. Je devais trouver des sous et j’avais trouvé un emploi ; Ce soir même. Personne n’avais encore vus la création de Shizune-sama. Personne ne m’avait vue. Et moi j’avais souvenir de beaucoup de visages et je savais que le tavernier du centre-ville cherchai constamment du personnel : les pervers malotrus fréquentant son établissement étant de parfait tue-l’amour et démotivant rêver pour les jeunes femmes qu’il brassait en terme de recrutement.
Enfin bref, j’étais là, dans cette ambiance malsaine. C’était ma première soirée ici, ayant revêtue une tenue de soubrette un peu customisée pour éviter qu’on ne voit mon corps, encore métallique. La reconstitution cellulaire au niveau de la peau s’étant mystérieusement arrêtée au niveau de l’après cou. Ainsi mes collants étaient opaques et montaient jusque légèrement au-dessus de sous la jupe. Après les mini-manches je portais de longues mitaines et avaient habilement maquillé els zones de mon corps encore visible : le haut des bras, ainsi que les doigts. Bref, voilà, j’étais prête après cette difficile après midi à servir des gens en leur reversant leurs picoles dessus. C’était certains ; Les plats étaient déjà difficile à tenir des liquides à l’odeur peu ragoutante… Mes jambes vacillaient, un peu comme le bébé biche ce dressant sur ses pattes pour la première-fois. Un plateau en main ; Cette posture ne manquait pas de prêter les gens à sourire. Pourtant, je ne renversai aucune goutte. Posant le plateau, j’étais arrivée en retard et le patron avait déjà bien entamée la soirée… Les clients aussi. Complètement ivre, alors que je posai le plateau avec les chopes et verres en tous genres sur la table ; mon attention s’envola vers les portes grinçantes de l’entrée. Quelqu’un de trop ivre avais retiré le blocage permettant de les maintenir ouvertes.
Une main percuta mes fesses ; sans que je ne sente celle-ci, mon système nerveux non totalement rétablit. J’avais vu le mouvement du coin des yeux et j’hurlai maintenant de ma vois fine et presque… Stridente. Ma voix qui d’ailleurs, n’avait que peu évoluée depuis… Enfin, entre ma mort et ma résurrection. Ma maitresse avais eu le bon sens de reproduire un système vocal reproduisant et reprenant une partie de l’ancien… Ensuite… Je n’sais pas. Juste « Clap » suivis d’un « BOOM », ouai… je crois que je l’ai giflé. Et puis, l’alcool à du el faire tomber enfin… Je suppose, parce que, vus qu’il à cracher deux dents. Enfin, en le voyant dans cet état je me suis rapidement accroupie, en m’excusant mille et une fois et l’aidant à ce redressé. Le patron n’avait même pas fait attention à ma bourde : Quelque chose semblait le préoccuper. Je remis le pauvre alcoolique sur sa chaise qui d’un geste désespéré essaya d’atteindre mes seins : me protégeant avec le plateau en renversant toutes les boissons sur la table, je pus esquiver l’assaut et partir une larme au coin de chaque œil vers le bar. Rapidement j’attrapa une pinte de bière tout juste préparée par le propriétaire distrait. Je la posai aussi vite oubliant presque mes jambes et marchant presque normalement. L’homme ce redressa alors que je posai la pinte : Furieux il jura dans sa bougne grassouillette et répugnante avant d’ajouter plus clairement de sa vois grasse: « Connerie d’ordure de monstre ! Tu vas payer pour ce que tu as fait à mon chien ! » Il avait aussi sorti son coutelât de Bouchet. D’une main ferme sur son épaule j’attirais son attention : « Neeh, Master, Calmez-vous s’il vous plait ! Sinon le patron va me crier dessus ! »
La technique des yeux de chat potté, que je maitrisai naturellement et sans réellement vouloir l’exécuter, permis lorsque son regard d’homme au gras débordant du pantalon croisa le mien, de ce calmer presque instantanément. Enterrant un bout de lame dans la table à laquelle il était assis… table déjà barbouillée d’autres entailles causées certainement par ce même-homme. Ne connaissant pas trop l’histoire je partis vers l’unique femme ayant de réelles allures de femmes dans ce lieu de débauche et de dépendance. Reprenant mon plateau calé contre moi maintenu par mes deux bras croisé sur celui-ci, sans trop la regardai je fis une petite courbette : « -Je suis désolée madame, pour le comportement de certains clients. » je m’impressionnais presque. Parler aussi librement : l’ambiance hystérique et stressante du travail y aidait et… Il y avait peu de chance pour que je reproduise un tel savoir-faire en dehors. Aucune chance même. Courbette et paroles achevées, je fixa de mes yeux rougeoyant la jeune femme ; Un flash s’imposa à moi me forçant à lâcher mon plateau.
« G… G… Gomen… » Je me rabaissai pour la énième-fois, mes jambes tremblaient maintenant et je tombai dans ce mouvement pour m’abaisser. La honte me pris et je me remis vite à quatre pattes, rempoignant mon plateau : « Gomenasai, Mayaku-chan. » Neh ? Qu’est-ce que je venais de dire là ? Mes semblant de musclent ce contractèrent pour me redresser et je repris le fil de mes mots : « -Heu, Madame, je suis désolée madame, excusez-moi. » Et je repartis, vite vite… Quelle honte, quel stress. J’avais, comme pourraient dirent des gens dotés d’un cœur ; Celui-ci de serré. En plus de ma chute, j’avais confondue une cliente avec quelqu’un.
Enfin bref, j’étais là, dans cette ambiance malsaine. C’était ma première soirée ici, ayant revêtue une tenue de soubrette un peu customisée pour éviter qu’on ne voit mon corps, encore métallique. La reconstitution cellulaire au niveau de la peau s’étant mystérieusement arrêtée au niveau de l’après cou. Ainsi mes collants étaient opaques et montaient jusque légèrement au-dessus de sous la jupe. Après les mini-manches je portais de longues mitaines et avaient habilement maquillé els zones de mon corps encore visible : le haut des bras, ainsi que les doigts. Bref, voilà, j’étais prête après cette difficile après midi à servir des gens en leur reversant leurs picoles dessus. C’était certains ; Les plats étaient déjà difficile à tenir des liquides à l’odeur peu ragoutante… Mes jambes vacillaient, un peu comme le bébé biche ce dressant sur ses pattes pour la première-fois. Un plateau en main ; Cette posture ne manquait pas de prêter les gens à sourire. Pourtant, je ne renversai aucune goutte. Posant le plateau, j’étais arrivée en retard et le patron avait déjà bien entamée la soirée… Les clients aussi. Complètement ivre, alors que je posai le plateau avec les chopes et verres en tous genres sur la table ; mon attention s’envola vers les portes grinçantes de l’entrée. Quelqu’un de trop ivre avais retiré le blocage permettant de les maintenir ouvertes.
Une main percuta mes fesses ; sans que je ne sente celle-ci, mon système nerveux non totalement rétablit. J’avais vu le mouvement du coin des yeux et j’hurlai maintenant de ma vois fine et presque… Stridente. Ma voix qui d’ailleurs, n’avait que peu évoluée depuis… Enfin, entre ma mort et ma résurrection. Ma maitresse avais eu le bon sens de reproduire un système vocal reproduisant et reprenant une partie de l’ancien… Ensuite… Je n’sais pas. Juste « Clap » suivis d’un « BOOM », ouai… je crois que je l’ai giflé. Et puis, l’alcool à du el faire tomber enfin… Je suppose, parce que, vus qu’il à cracher deux dents. Enfin, en le voyant dans cet état je me suis rapidement accroupie, en m’excusant mille et une fois et l’aidant à ce redressé. Le patron n’avait même pas fait attention à ma bourde : Quelque chose semblait le préoccuper. Je remis le pauvre alcoolique sur sa chaise qui d’un geste désespéré essaya d’atteindre mes seins : me protégeant avec le plateau en renversant toutes les boissons sur la table, je pus esquiver l’assaut et partir une larme au coin de chaque œil vers le bar. Rapidement j’attrapa une pinte de bière tout juste préparée par le propriétaire distrait. Je la posai aussi vite oubliant presque mes jambes et marchant presque normalement. L’homme ce redressa alors que je posai la pinte : Furieux il jura dans sa bougne grassouillette et répugnante avant d’ajouter plus clairement de sa vois grasse: « Connerie d’ordure de monstre ! Tu vas payer pour ce que tu as fait à mon chien ! » Il avait aussi sorti son coutelât de Bouchet. D’une main ferme sur son épaule j’attirais son attention : « Neeh, Master, Calmez-vous s’il vous plait ! Sinon le patron va me crier dessus ! »
La technique des yeux de chat potté, que je maitrisai naturellement et sans réellement vouloir l’exécuter, permis lorsque son regard d’homme au gras débordant du pantalon croisa le mien, de ce calmer presque instantanément. Enterrant un bout de lame dans la table à laquelle il était assis… table déjà barbouillée d’autres entailles causées certainement par ce même-homme. Ne connaissant pas trop l’histoire je partis vers l’unique femme ayant de réelles allures de femmes dans ce lieu de débauche et de dépendance. Reprenant mon plateau calé contre moi maintenu par mes deux bras croisé sur celui-ci, sans trop la regardai je fis une petite courbette : « -Je suis désolée madame, pour le comportement de certains clients. » je m’impressionnais presque. Parler aussi librement : l’ambiance hystérique et stressante du travail y aidait et… Il y avait peu de chance pour que je reproduise un tel savoir-faire en dehors. Aucune chance même. Courbette et paroles achevées, je fixa de mes yeux rougeoyant la jeune femme ; Un flash s’imposa à moi me forçant à lâcher mon plateau.
« G… G… Gomen… » Je me rabaissai pour la énième-fois, mes jambes tremblaient maintenant et je tombai dans ce mouvement pour m’abaisser. La honte me pris et je me remis vite à quatre pattes, rempoignant mon plateau : « Gomenasai, Mayaku-chan. » Neh ? Qu’est-ce que je venais de dire là ? Mes semblant de musclent ce contractèrent pour me redresser et je repris le fil de mes mots : « -Heu, Madame, je suis désolée madame, excusez-moi. » Et je repartis, vite vite… Quelle honte, quel stress. J’avais, comme pourraient dirent des gens dotés d’un cœur ; Celui-ci de serré. En plus de ma chute, j’avais confondue une cliente avec quelqu’un.
Quelque-chose ? Non, non bien sûr, elle n’avait rien dit ! Et puis, beaucoup de clients s’adressaient à moi. Alors, sa faisait une bonne excuse pour faire semblant de ne pas l’avoir entendue. Fixant entre une masse de clients incalculable le comptoir… Oui, je devais retourner là-bas, rendre mon tablier et trouver un autre boulot, moins difficile. Moins rabaissant. Plus adapté… Et partir, vite, vite ! Je posais alors enfin mon plateau dans une extasions de bras entre les derniers corps m’empêchant d’atteindre ma cible.. Lorsque quelque-chose m’agrippa, soudainement, manquant de déchirer ma jolie-nouvelle tenue offerte pour le travail. Mais pire encore m’entrainant vers ‘lavant, si j’avais été plus proche je me serai ramassée contre les pipe à bière. Heureusement, bars tendu j’avais tous juste réussie a posé bancalement mon plateau. Surprise, mon appui tourna, je voulu me retournée pour connaitre la source de cette agression. Ce mouvement tordu me fit perdre encore plus prise et je m’écrasai dos au sol, cette fois-ci. Pour ne rien arrangée à ma confiance en moi. Ma nuque cogna violement le sol, m’étourdissant un peu, peut-être plus par le changement rapide d’angle de mon corps plus que par le choc lui-même…
Les yeux un peu dans le vide je restais un instant sans trop comprendre. Envahie par une farandole de sonorités étranges : De gens jacassant parfois fortement, de gens riant ou pleurant. Voir même certains en train de jouer, beaucoup buvant leur boisson end e longues gorgées. Et.. Sortant d’entre tous ; un rire. Des rires… Ou plus, de petits gloussements amusés. Une image s’imposa à nouveau devant mes yeux : ce regard, perçant, profond, vert avant tout… Emeraude en fait. Un regard aussi tendre qu’il n’était rigoureux. Certains l’apparentaient au village, à de la folie… Pas moi. Une autre image, plus large celle-ci, me permit d’entrevoir ce regard accompagné de jolies lèvres, non plus souriante qu’à l’habitude. Mon regard reprit vie, je voulue me redressai mais, quelque chose… non, quelqu’un ! Oui, voilà, quelqu’un étais sur moi. Mes pupilles descendirent pour apercevoir la cliente, blonde. Et ce regard… Non, non ce n’étais pas le même, à demi-réel. Il manquait bien un œil au visage de cette jeune femme et ce n’était que maintenant que je le remarquais. Appuyant el fait qu’elle n’était pas celle que mon inconscient avait bêtement crus reconnaitre mais… Que me voulait-elle ? Qu’avais-je fais de mal encore ? Les femmes étaient-elles aussi déplacées que les hommes une fois l’alcool dans le sang ?
Naya ? Là je me serai bien jetée sur mes jambes pour être en position d’encaisser le coup. Maitresse elle-même ne m’appelait plus ainsi et le retour vif du souvenir de toutes les personnes m’ayant appelée ainsi dans les situations les plus extrêmes de ma vie me firent comme un électrochoc que n’importe qui aurait pu remarquer. Les yeux écarquillés, l’intérêt porté sur la demoiselle : Serait-ce possible ?’ Fut l’unique question qui c’était posée dans mon esprit qui entamait sa valse dans un tourment plus grand que par le passé. C’était-elle… Mayaku-chan… la joie, bataillait avec la tristesse. Devais-je lui répondre bêtement ‘oui’ ? Non… Biensur que non, Naya étais morte. Elle n’était plus. Ce qui vivait aujourd’hui était tout autre ; C’était Sya. Voilà ce que j’étais et je devais le rester pour causer le moins de soucis possible à ma maitresse Shizune ! « Non » ce fut une réponse aussi froide et cinglante que celle du croquemort le plus récompensé dans son métier. Un non simple et sans la moindre expression. Je ne pouvais pas lui répondre autre chose, il en allait, d’abord, de la sécurité de ma maitresse.
Et ensuite, de ma propre sécurité. J’étais morte et il fallait que ceci reste dans l’esprit des gens, que l’autre éventualité ne soit réelle que dans les folies propagées par ma gentille maitresse. Un Legé sourire ce forma sur mes lèvres : « Je m’appelle Sya, c’est assez proche remarque !’ Mon cœur, si tentait que j’en avais effectivement un, ce tordit un peu plus à chacune de mes parole… Mentir, était une chose bien difficile. Surtout face à sa meilleure amie. Mon regard chercha à fuir celui de mon amie ; indiquant trop clairement le mensonge : « -Je… Heu… J’ai du travail, madame… Si je vous ai offensée… » … « Je m’en excuse encore. » Ses derniers mots avaient tout simplement étaient de trop. Bien que je souhaitai le bien de ma maitresse, je ne pouvais mentir plus et déjà, de nombreuses larmes bordaient chacun de mes yeux, s’écoulant même en de petits ruisseaux. « -…Mayaku-chan… » … « …Je n’suis, qu’un cadavre… » Soupirais-je, la fois très faible. A douté même que quiconque ai pu m’entendre prononcer ses derniers mots.
Les yeux un peu dans le vide je restais un instant sans trop comprendre. Envahie par une farandole de sonorités étranges : De gens jacassant parfois fortement, de gens riant ou pleurant. Voir même certains en train de jouer, beaucoup buvant leur boisson end e longues gorgées. Et.. Sortant d’entre tous ; un rire. Des rires… Ou plus, de petits gloussements amusés. Une image s’imposa à nouveau devant mes yeux : ce regard, perçant, profond, vert avant tout… Emeraude en fait. Un regard aussi tendre qu’il n’était rigoureux. Certains l’apparentaient au village, à de la folie… Pas moi. Une autre image, plus large celle-ci, me permit d’entrevoir ce regard accompagné de jolies lèvres, non plus souriante qu’à l’habitude. Mon regard reprit vie, je voulue me redressai mais, quelque chose… non, quelqu’un ! Oui, voilà, quelqu’un étais sur moi. Mes pupilles descendirent pour apercevoir la cliente, blonde. Et ce regard… Non, non ce n’étais pas le même, à demi-réel. Il manquait bien un œil au visage de cette jeune femme et ce n’était que maintenant que je le remarquais. Appuyant el fait qu’elle n’était pas celle que mon inconscient avait bêtement crus reconnaitre mais… Que me voulait-elle ? Qu’avais-je fais de mal encore ? Les femmes étaient-elles aussi déplacées que les hommes une fois l’alcool dans le sang ?
Naya ? Là je me serai bien jetée sur mes jambes pour être en position d’encaisser le coup. Maitresse elle-même ne m’appelait plus ainsi et le retour vif du souvenir de toutes les personnes m’ayant appelée ainsi dans les situations les plus extrêmes de ma vie me firent comme un électrochoc que n’importe qui aurait pu remarquer. Les yeux écarquillés, l’intérêt porté sur la demoiselle : Serait-ce possible ?’ Fut l’unique question qui c’était posée dans mon esprit qui entamait sa valse dans un tourment plus grand que par le passé. C’était-elle… Mayaku-chan… la joie, bataillait avec la tristesse. Devais-je lui répondre bêtement ‘oui’ ? Non… Biensur que non, Naya étais morte. Elle n’était plus. Ce qui vivait aujourd’hui était tout autre ; C’était Sya. Voilà ce que j’étais et je devais le rester pour causer le moins de soucis possible à ma maitresse Shizune ! « Non » ce fut une réponse aussi froide et cinglante que celle du croquemort le plus récompensé dans son métier. Un non simple et sans la moindre expression. Je ne pouvais pas lui répondre autre chose, il en allait, d’abord, de la sécurité de ma maitresse.
Et ensuite, de ma propre sécurité. J’étais morte et il fallait que ceci reste dans l’esprit des gens, que l’autre éventualité ne soit réelle que dans les folies propagées par ma gentille maitresse. Un Legé sourire ce forma sur mes lèvres : « Je m’appelle Sya, c’est assez proche remarque !’ Mon cœur, si tentait que j’en avais effectivement un, ce tordit un peu plus à chacune de mes parole… Mentir, était une chose bien difficile. Surtout face à sa meilleure amie. Mon regard chercha à fuir celui de mon amie ; indiquant trop clairement le mensonge : « -Je… Heu… J’ai du travail, madame… Si je vous ai offensée… » … « Je m’en excuse encore. » Ses derniers mots avaient tout simplement étaient de trop. Bien que je souhaitai le bien de ma maitresse, je ne pouvais mentir plus et déjà, de nombreuses larmes bordaient chacun de mes yeux, s’écoulant même en de petits ruisseaux. « -…Mayaku-chan… » … « …Je n’suis, qu’un cadavre… » Soupirais-je, la fois très faible. A douté même que quiconque ai pu m’entendre prononcer ses derniers mots.