Résumé : Grimmjack et moi on s’est fait bouffer par un poisson-chat à Fushia. C’est comme ça ; ce sont des choses qui arrivent.
Dans le bide à la poiscaille, on a trouvé une carte au trésor qui mène là où on va. Ça tombe bien, non ?
Ouais, la quête est de niveau « Moyen ». Clairement. On cherche même pas à faire semblant.
Et puis, c’est une chasse au trésor ; on va pas se mentir non plus. On chasse, y’a un trésor… c’est une chasse au trésor, quoi ; y’a vraiment aucun doute sur la question. Partez du principe qu’on a trouvé une carte au trésor la dernière fois et que là, on suit où elle mène pour déterrer le trésor. Je peux pas faire plus clair !
Aussi, j’aurais voulu mettre la musique de The Shield quand ils résument les épisodes précédents. La petite musique qui fait « Weh Waaaah Waaaah Waaaah », mais je l’ai pas retrouvée. Donc faudra lire le résumé en ayant « Weh… Waaaah Waaaah Waaaah » en tête, sinon tu comprendras pas.
Et là tu te demandes, « Mais c’est le joueur ou le personnage qui narre le résumé, je comprends plus », et la réponse à cette question est la suivante…… « Weh…. Waaaah Waaaah Waaaah ».
Âcre-Aire qu’ils l’appelaient et ça, quand ils prenaient la peine de seulement la désigner. Car dans le vivier d’îles qui pataugeaient au milieu d’East Blue, il en était, de ces zones inhabitées, où personne n’y aurait risqué une escale. Un marais tropical où l’eau n’y était même pas potable pour villégiature, rares se seraient laissés tenter. Quelques hardis s’y étaient en effet cassés les dents, à Âcre-Aire, pour y semer la civilisation. Dans l’eau vaseuse et putride, il n’y germa jamais rien d’autre que la l’échec et l’amertume. Et cela, sans compter la pestilence fétide qui avalait tout inconscient venus se perdre dans la mangrove et la chaleur étouffante. À Âcre-Aire, on n’y trouvait pas la Terre Promise, mais les sables de l’Exode. Marial Zaubère y était en tout cas parti en exil, noyé maintenant au beau milieu d’une flore aussi luxuriante qu’envenimée. Il avait fallu au moins mettre ça de distance avec la Marine après que le divorce fut si bien consommé d’avec ses supérieurs. Car il avait été Marine, cet homme-là, officier, même. Lui ne supporta cependant pas la répugnance qui finit par lui inspirer sa charge. Trop idéaliste pour fusiller aussi gracieusement que ce que l’on attendit de lui, il avait craqué. Lui soutînt qu’il eut accès à une révélation ; à un soudain sursaut de conscience. La conscience, à trop vous tirailler l’esprit, elle vous guidait vers des sentiers pour le moins incongrus. Zaubère s’était d’abord senti révolutionnaire, puis, trop exalté par la verve qui seyait tant aux nouveaux convertis, vira factieux parmi les séditieux. Avec un noyau de fidèles – de zélés – il avait entrepris d’aborder quelques frégates estampillées Gouvernement Mondial. La fièvre du révolté lui était montée à la tête et il s’était trouvé autour de lui des disciples trop influençables et fanatiques pour le tempérer dans ses croisades.
Une prime qui tomba un jour sur sa mouille lui indiqua le juste chemin à suivre pour perpétuer son insurrection indignée : loin de tout ce qui porta l’écusson de la Marine. Il était descendu de ses grands principes après qu’il manqua de peu le couperet en échappant à des chasseurs de primes contre lesquels il n’avait pas pesé lourd. Sa fronde, il alla la mener dans les marais ; ses féaux et lui étaient alors partis en guérilla loin de leurs ennemis ; on les disait disparus depuis vingt ans.
Un réchappé de la sarabande du père Zaubère, en 1619, avait soutenu, couteau sous la gorge – car le gouvernement avait autant de mémoire en tête que de rancune entre les dents – que la mutinerie révolutionnaire, là-bas, avait viré au culte. La chaleur tropicale aidant, sans trop d’air ou d’eau pour se rafraîchir les idées, Marial Zaubère s’était laissé consacrer dieu vivant par son cortège d’affidés. La révolution, quand on la menait à terme, conduisait en effet à de pareils événements.
Dans la tourbe et la misère, à cuver de l’eau tiède et autres liqueurs improvisées, le cheptel y avait macéré loin du monde. Assez pour que le Gouvernement Mondial renonça à y gâcher ses effectifs pour aller cueillir un fruit pourri au milieu d’un verger douteux.
Et, ce que la Marine ne consentait pas même à écluser, quelques charognards moins scrupuleux se faisaient un malin plaisir à aller s’en pourlécher.
- T’auras beau dire, Grimmjack, mais pour moi qui suis de South Blue, ça ressemble tout de même drôlement à Amerzone ton affaire.
Grimmjack aurait eu « beau dire » que, de toute manière, son binôme n’en aurait pas écouté un traître mot, distrait qu’était ce dernier alors qu’on ne sait quelle force cataclysmique venait lui mettre la cervelle en pagaille à chaque seconde qui venait.
Du reste, c’était un jugement critique bien preste qu’émettait alors Alegsis. Âcre-Aire n’avait en effet aucun rapport avec Amerzone. Excepté en tout cas son climat, son biotope et sa faune. C’eut été se compromettre en une série de raccourcis douteux que d’y voir une quelconque parenté entre les deux îles.
….
Oui, je m’adresse à toi, gourgandin de lecteur ; toi qui brûles déjà d’évoquer des proximités honteuses ou même des plagiats indus quant à ce qui constitue la présente île. Sache que, quoi que tu en penses, tu te fourvoies. Ça n’a… rien à voir. Du tout.
Grimmjack et Alegsis, redoutables chasseurs de primes dont on attendait encore d’eux qu’ils fassent un semblant de fortune, voguaient alors sur leur pédalo de fortune, longeant ainsi les rives d’Amerz… d’Âcre-Aire. Quoi que l’on put en penser, ce n’était pas par hasard qu’ils étaient venus y faire escale, car ils s’y étaient effectivement rendus le plus délibérément du monde. On n’arrivait jamais en Enfer par mégarde, mais parce qu’on s’en était désigné le chemin ; que ce fut sciemment ou non.
Ces deux chasseurs de primes, coursiers du crime et de la misère, ce n’était pas tant pour Zaubère et sa prime datée qu’ils avaient fait le chemin. À trop fouiner où il ne fallait pas, ils avaient, une semaine auparavant, fait plus ample connaissance avec le système digestif d’un Roi des Mers. L’inconséquence d’Alegsis Jubtion menait en effet à des destinations pour le moins exotiques. Dans les viscères de ce poisson qui les avait gobés, Grimmjack y avait découvert l’ultime testament d’un rescapé du cheptel d’Âcre-Aire. Du marais, il s’en était extirpé après avoir découvert où Marial Zaubère avait dissimulé son magot. Car la révolution, même en périphérie de ses canaux les plus classiques, n'assumait jamais son ouvrage les caisses vides. Dans les frégates où ils y avaient fait une escales musclées, la joyeuse troupe y avait en effet pillé les fonds qui y transitaient.
Une solde, qu’elle fut jetée en prime sur une tête d’affiche ou enterrée comme butin par de mauvaises gens, pour qui faisait profession de les chasser, le berry y fleurait aussi bon.
- Avec ta part du trésor, se projetait déjà Alegsis quand tout deux en étaient à tirer leur pédalo sur le sable afin qu’en l’absence de quais, il ne se trouva aucun courant pour le leur ravir, tu feras quoi ? Moi, ajoutait-il alors qu’il n’avait pas même prêté attention à la réponse, je paierai des scientifiques pour qu’ils puissent te rendre beau.
Il plaça alors une main compatissant sur l’épaule de son compère qui, lui seul, travaillait à traîner le pédalo.
- Comme ça, t’auras plus à te cacher derrière des bandage parce que t’es moche.
Alegsis Jubtion savait être un bon camarade. L’inconvénient étant que personne ou presque ne souhaitait être son ami. Pour de bonnes raisons généralement.
C’était par ailleurs céder à un culot parmi les plus outranciers de sa part que de se permettre un commentaire sur le physique d’autrui et ce, quel qu’il fut. Avec une gueule aussi plate, ses yeux ronds constamment ahuris et sa bouche sans lèvres d’où y dépassaient deux gros chicots à chaque extrémité, le commentaire sur les canons tenant aux choses de l’esthétique était, de sa part, particulièrement malvenu. L’hôpital, alors, ne se foutait pas de la charité ; il assassinait en plus les bénévoles à la seringue rouillée.
Mais ces mots qui étaient les siens, ceux dont on ne pouvait qu’espérer qu’ils furent maladroits tant ils étaient malavisés à chaque réplique qui venait, provenaient le plus souvent de bonne intentions. Car il avait bonne conscience, Alegsis. Du moins dans le principe. Car l’intellect supposait la conscience et, dans de pareilles dispositions que les siennes, de conscience, il n’en avait alors pas une bribe à sa disposition.
- Bon, trêve de sensibleries avec les moches, cadençait-il déjà énergiquement bien que la traversée fut épuisante, il est temps de trésorer. Puis, prenant le contrepied d’un acolyte qui ne lui avait encore adressé aucune remarque, reprit aussitôt. Si, Grimmjack, si ! Ça se dit « trésorer » ! Sinon je le dirais pas.
Devant eux, la végétation, pour ce qu’elle avait de tordue et puante, constituait une invitation bien sommaire à l’excursion qui se profilait. En ces lieux, on y trouvait la maladie et la fournaise, aussi Alegsis, avec une logique qui lui était propre, enfila un épais anorak.
Devant le regard pour le moins circonspect d’un camarade dont les bandelettes s’imbibaient déjà de sueur, son abruti de compère se sentit quelque peu désigné par un reproche qui s’articulait sans bruit.
- Bah quoi ? C’est un cadeau de Kant. C’est sacré.
Kant, cet illustre ami qu’était le sien ; son meilleur ami même, comme il se plaisait à le crier si fort à chaque occasion donnée, Grimmjack et lui l’avaient croisé une semaine auparavant. À Fushia très exactement, ou plutôt au large ; au détour du système digestif de ce même poisson-chat qui les avait gobés tous les trois. Au terme de ces retrouvailles, ils avaient festoyé avant de se séparer à contrecœur dans les larmes et le rhum. En guise de souvenir, Kant, en plus d’une bouteille de champagne, une pierre taillée en forme de cœur ainsi qu’une lettre qu’Alegsis ne put lire du fait qu’il fut passablement illettré, lui avait aussi offert un anorak.
Kant picolait énormément.
Le fait est qu’Alegsis tenait ce présent pour précieux, dès lors se refusa-t-il à ne pas l’enfiler alors qu’au milieu des mangroves, la chaleur y outrepassait les 40°C. Cette chasse au trésor qu’était la leur, ils l’entamaient avec un handicap. Un de ceux qui, dans la présente biosphère, pourrait mener à quelques incidents malencontreux. Son seul handicap, à Grimmjack, il avait pour nom Alegsis Jubtion. Un boulet qu’il se traînerait au pied jusqu’à ce que celui-ci l’entraîne au fond du marais ; là où la mort y sera mieux garantie qu’un trésor.
Une prime qui tomba un jour sur sa mouille lui indiqua le juste chemin à suivre pour perpétuer son insurrection indignée : loin de tout ce qui porta l’écusson de la Marine. Il était descendu de ses grands principes après qu’il manqua de peu le couperet en échappant à des chasseurs de primes contre lesquels il n’avait pas pesé lourd. Sa fronde, il alla la mener dans les marais ; ses féaux et lui étaient alors partis en guérilla loin de leurs ennemis ; on les disait disparus depuis vingt ans.
Un réchappé de la sarabande du père Zaubère, en 1619, avait soutenu, couteau sous la gorge – car le gouvernement avait autant de mémoire en tête que de rancune entre les dents – que la mutinerie révolutionnaire, là-bas, avait viré au culte. La chaleur tropicale aidant, sans trop d’air ou d’eau pour se rafraîchir les idées, Marial Zaubère s’était laissé consacrer dieu vivant par son cortège d’affidés. La révolution, quand on la menait à terme, conduisait en effet à de pareils événements.
Dans la tourbe et la misère, à cuver de l’eau tiède et autres liqueurs improvisées, le cheptel y avait macéré loin du monde. Assez pour que le Gouvernement Mondial renonça à y gâcher ses effectifs pour aller cueillir un fruit pourri au milieu d’un verger douteux.
Et, ce que la Marine ne consentait pas même à écluser, quelques charognards moins scrupuleux se faisaient un malin plaisir à aller s’en pourlécher.
- T’auras beau dire, Grimmjack, mais pour moi qui suis de South Blue, ça ressemble tout de même drôlement à Amerzone ton affaire.
Grimmjack aurait eu « beau dire » que, de toute manière, son binôme n’en aurait pas écouté un traître mot, distrait qu’était ce dernier alors qu’on ne sait quelle force cataclysmique venait lui mettre la cervelle en pagaille à chaque seconde qui venait.
Du reste, c’était un jugement critique bien preste qu’émettait alors Alegsis. Âcre-Aire n’avait en effet aucun rapport avec Amerzone. Excepté en tout cas son climat, son biotope et sa faune. C’eut été se compromettre en une série de raccourcis douteux que d’y voir une quelconque parenté entre les deux îles.
….
Oui, je m’adresse à toi, gourgandin de lecteur ; toi qui brûles déjà d’évoquer des proximités honteuses ou même des plagiats indus quant à ce qui constitue la présente île. Sache que, quoi que tu en penses, tu te fourvoies. Ça n’a… rien à voir. Du tout.
Grimmjack et Alegsis, redoutables chasseurs de primes dont on attendait encore d’eux qu’ils fassent un semblant de fortune, voguaient alors sur leur pédalo de fortune, longeant ainsi les rives d’Amerz… d’Âcre-Aire. Quoi que l’on put en penser, ce n’était pas par hasard qu’ils étaient venus y faire escale, car ils s’y étaient effectivement rendus le plus délibérément du monde. On n’arrivait jamais en Enfer par mégarde, mais parce qu’on s’en était désigné le chemin ; que ce fut sciemment ou non.
Ces deux chasseurs de primes, coursiers du crime et de la misère, ce n’était pas tant pour Zaubère et sa prime datée qu’ils avaient fait le chemin. À trop fouiner où il ne fallait pas, ils avaient, une semaine auparavant, fait plus ample connaissance avec le système digestif d’un Roi des Mers. L’inconséquence d’Alegsis Jubtion menait en effet à des destinations pour le moins exotiques. Dans les viscères de ce poisson qui les avait gobés, Grimmjack y avait découvert l’ultime testament d’un rescapé du cheptel d’Âcre-Aire. Du marais, il s’en était extirpé après avoir découvert où Marial Zaubère avait dissimulé son magot. Car la révolution, même en périphérie de ses canaux les plus classiques, n'assumait jamais son ouvrage les caisses vides. Dans les frégates où ils y avaient fait une escales musclées, la joyeuse troupe y avait en effet pillé les fonds qui y transitaient.
Une solde, qu’elle fut jetée en prime sur une tête d’affiche ou enterrée comme butin par de mauvaises gens, pour qui faisait profession de les chasser, le berry y fleurait aussi bon.
- Avec ta part du trésor, se projetait déjà Alegsis quand tout deux en étaient à tirer leur pédalo sur le sable afin qu’en l’absence de quais, il ne se trouva aucun courant pour le leur ravir, tu feras quoi ? Moi, ajoutait-il alors qu’il n’avait pas même prêté attention à la réponse, je paierai des scientifiques pour qu’ils puissent te rendre beau.
Il plaça alors une main compatissant sur l’épaule de son compère qui, lui seul, travaillait à traîner le pédalo.
- Comme ça, t’auras plus à te cacher derrière des bandage parce que t’es moche.
Alegsis Jubtion savait être un bon camarade. L’inconvénient étant que personne ou presque ne souhaitait être son ami. Pour de bonnes raisons généralement.
C’était par ailleurs céder à un culot parmi les plus outranciers de sa part que de se permettre un commentaire sur le physique d’autrui et ce, quel qu’il fut. Avec une gueule aussi plate, ses yeux ronds constamment ahuris et sa bouche sans lèvres d’où y dépassaient deux gros chicots à chaque extrémité, le commentaire sur les canons tenant aux choses de l’esthétique était, de sa part, particulièrement malvenu. L’hôpital, alors, ne se foutait pas de la charité ; il assassinait en plus les bénévoles à la seringue rouillée.
Mais ces mots qui étaient les siens, ceux dont on ne pouvait qu’espérer qu’ils furent maladroits tant ils étaient malavisés à chaque réplique qui venait, provenaient le plus souvent de bonne intentions. Car il avait bonne conscience, Alegsis. Du moins dans le principe. Car l’intellect supposait la conscience et, dans de pareilles dispositions que les siennes, de conscience, il n’en avait alors pas une bribe à sa disposition.
- Bon, trêve de sensibleries avec les moches, cadençait-il déjà énergiquement bien que la traversée fut épuisante, il est temps de trésorer. Puis, prenant le contrepied d’un acolyte qui ne lui avait encore adressé aucune remarque, reprit aussitôt. Si, Grimmjack, si ! Ça se dit « trésorer » ! Sinon je le dirais pas.
Devant eux, la végétation, pour ce qu’elle avait de tordue et puante, constituait une invitation bien sommaire à l’excursion qui se profilait. En ces lieux, on y trouvait la maladie et la fournaise, aussi Alegsis, avec une logique qui lui était propre, enfila un épais anorak.
Devant le regard pour le moins circonspect d’un camarade dont les bandelettes s’imbibaient déjà de sueur, son abruti de compère se sentit quelque peu désigné par un reproche qui s’articulait sans bruit.
- Bah quoi ? C’est un cadeau de Kant. C’est sacré.
Kant, cet illustre ami qu’était le sien ; son meilleur ami même, comme il se plaisait à le crier si fort à chaque occasion donnée, Grimmjack et lui l’avaient croisé une semaine auparavant. À Fushia très exactement, ou plutôt au large ; au détour du système digestif de ce même poisson-chat qui les avait gobés tous les trois. Au terme de ces retrouvailles, ils avaient festoyé avant de se séparer à contrecœur dans les larmes et le rhum. En guise de souvenir, Kant, en plus d’une bouteille de champagne, une pierre taillée en forme de cœur ainsi qu’une lettre qu’Alegsis ne put lire du fait qu’il fut passablement illettré, lui avait aussi offert un anorak.
Kant picolait énormément.
Le fait est qu’Alegsis tenait ce présent pour précieux, dès lors se refusa-t-il à ne pas l’enfiler alors qu’au milieu des mangroves, la chaleur y outrepassait les 40°C. Cette chasse au trésor qu’était la leur, ils l’entamaient avec un handicap. Un de ceux qui, dans la présente biosphère, pourrait mener à quelques incidents malencontreux. Son seul handicap, à Grimmjack, il avait pour nom Alegsis Jubtion. Un boulet qu’il se traînerait au pied jusqu’à ce que celui-ci l’entraîne au fond du marais ; là où la mort y sera mieux garantie qu’un trésor.