L'histoire commence sur une île côtière du nom Green Island, elle est nommée ainsi à cause de son immense verdure qui recouvre toute l'île, c'est une île de fermier. Han et le jeune Tanpan, qui est sur l'île depuis une semaine pour la formation du jeune épéiste, aide les fermiers dans leurs travaux. Ils plantent des arbres fruitiers, récoltent les récoltent du jour, boivent un coup avec les fermiers en fin de journée. C'est un bon exercice de sociabilité pour se rapprocher des peuples qu'ils doivent protéger, et c'est aussi l'occasion de découvrir et de vivre la vie d'un fermier, d'un civil. Tanpan n'a pas l'habitude de ce genre de vie, alors il s'endort facilement la nuit tombée. Han, quand le petit dort profondément dans leur chambre d'hôtel, il s'entraîne. Il fait généralement plus de deux mille pompes, trois heures de cardio, il porte plus de cent kilos sur chacun de ses avant-bras. Il doit rester en pleine forme, sans oublier qu'il améliore ses mouvements martiaux.
Le train-train quotidien continu, ils aident les paysans : en portant les meules à bout de bras, ils creusent la terre à main nue pour développer leur force et leur endurance, ils détruisent des arbres, Han les déracine avec un coup direct, tandis que le jeune épéiste les tranche en dizaine de bûches. Les fermiers sont heureux de compter sur des hommes aussi généreux que travailleur. Le soir, dans leur chambre, Han discute avec Tanpan avant qu'il ne s'endorme. Allongé sur son lit, l'ancien tueur du gouvernement imagine son mouvement révolutionnaire.
- Comment je vais l'appeler ? Je vais devoir trouver des hommes dignes de confiance, mais je ne sais pas par où commencer. Il me faudra aussi un navire, une base… J'ai du pain sur la planche. T'en penses quoi, Tan ?
Le jeune garçon ronfle, Han sort pour s'entraîner. La formation du gamin est presque achevée, il a énormément progressé en l'espace d'une semaine, c'est extraordinaire.
Le train-train quotidien continu, ils aident les paysans : en portant les meules à bout de bras, ils creusent la terre à main nue pour développer leur force et leur endurance, ils détruisent des arbres, Han les déracine avec un coup direct, tandis que le jeune épéiste les tranche en dizaine de bûches. Les fermiers sont heureux de compter sur des hommes aussi généreux que travailleur. Le soir, dans leur chambre, Han discute avec Tanpan avant qu'il ne s'endorme. Allongé sur son lit, l'ancien tueur du gouvernement imagine son mouvement révolutionnaire.
- Comment je vais l'appeler ? Je vais devoir trouver des hommes dignes de confiance, mais je ne sais pas par où commencer. Il me faudra aussi un navire, une base… J'ai du pain sur la planche. T'en penses quoi, Tan ?
Le jeune garçon ronfle, Han sort pour s'entraîner. La formation du gamin est presque achevée, il a énormément progressé en l'espace d'une semaine, c'est extraordinaire.