Robina marchait dans les rues de la Nouvelle Ohara. Ils étaient en chemin vers Hinu Town pour prendre la Translinéenne pour se rendre sur la route de tous périls. Fang Shui, un samouraï de Wano Kuni, avait pris le rôle de navigateur. La cuisinière l’avait sauvé alors qu’il était blessé sur l’Archipel vert. Maintenant, ils se servaient l’un de l’autre pour arriver à leur fin. Lui : rentrer dans son pays, elle : se rendre sur Shishoku. Maintenant que tous les préparatifs étaient enfin finis, les Glaciers se dirigeaient lentement mais sûrement vers Grand Line.
La Sanderrienne avait voulu passer par cette île pour une bonne raison. Elle était curieuse de voir les livres de cuisine qui s’y trouvaient. Après tout, l’île était connue pour la bibliothèque gigantesque qu’elle abritait. Les cheveux attachés derrière en une longue queue de cheval, elle se baladait dans les rues pavées. Un petit marché était ouvert, vendant fruits, légumes, poissons et parfois quelques meubles. Curieuse, elle avait regardé en passant ce que les vendeurs proposaient. Mais rien ne sortait de l’ordinaire, des produits qu’elle pouvait avoir à peu près partout dans le monde. Elle avait haussé les épaules mentalement avant de continuer son chemin.
Se rapprochant du monument de l’île, son arbre, elle fut impressionnée. Dire qu’il n’existait pas il y a encore quatre-vingt-dix ans. Les Ohariens s’en étaient occupés avec minutie et avec leur effort ils avaient pu faire pousser cet arbre monde en un peu moins d’un siècle. Elle entra par la porte ouverte de l’arbre, les fibres du bois se détachant sur les murs creusés du bâtiment. Des centaines de livres se livraient aux yeux de la chasseresse de primes. Elle ne savait déjà plus où donner de la tête, il y avait tant à voir et à apprendre.
Une petite file de personnes attendait devant un comptoir. Des hommes et femmes aidaient les personnes qui cherchaient des ouvrages particuliers. La jeune femme aux longs cheveux bleus n’avait pas envie d’attendre, elle se débrouillerait très bien seule. Se détournant de la vingtaine de personnes qui attendaient devant elle, elle se dirigea vers un des premiers rayonnages. L’histoire et la géographie du monde et du Gouvernement mondial. Pas vraiment ce qu’elle cherchait.
Elle vagabonda dans les différents étages, cherchant les livres qu’elle essayait de trouver. Mais elle n’était pas spécialement pressée, l’équipage était encore en train de prendre ses marques. Ne pas enchaîner les voyages.et les trajets leur permettait de s’habituer à la vie en mer. En tant que capitaine, elle devait faire attention à ne pas trop les surmener. Quand les Glaciers seraient plus chevronnés, elle penserait à faire des voyages plus longs sans s’arrêter à chacune des îles qu’elle croisait. Ils avançaient lentement avec l’Iceberg et les anciens givrelames et cela allait très bien à Robina.
— Où peuvent bien se trouver ces livres de cuisine alors ? Elle tourna la tête, cherchant à trouver une pancarte pour lui indiquer les livres de cuisine. C’est tellement grand ici, j’aurais peut-être dû faire la queue comme tout le monde. Elle se pencha au-dessus de la rambarde de sécurité à côté d’elle.
En regardant en contrebas, elle put observer qu’il n’y avait plus personne devant l’accueil. Elle devait en profiter. N’écoutant que son instinct, elle se mit à marcher le plus vite possible, faisant claquer les talons de ses bottes cuissardes sur le plancher. Des regards se tournèrent vers elle, la fusillant au passage, mais elle n’y fit pas attention. Elle était bien trop concentrée sur le fait qu’elle pouvait avoir des informations rapidement. La cuisinière descendait les marches d’escalier presque en sautant, ses pieds touchant à peine le bois avant de continuer.
Quelques minutes plus tard, légèrement en sueur, la Sanderrienne se retrouva de nouveau à l’entrée de l’établissement. Des personnes avaient fait la même chose qu’elle, toutefois elle était bien placée dans la file. Deux personnes se trouvaient devant elle, pas de quoi fouetter un chat. Certains avaient des livres en main, d’autres, une liste, tous venaient pour un motif différent. Elle se tourna vers la personne à côté d’elle. Si elle devait attendre, autant le faire en discutant avec son voisin.
— Alors, vous aussi vous venez chercher un livre ? Elle se pencha légèrement sur la droite pour mieux se faire entendre. Moi je viens voir pour trouver des livres de recette de cuisine de Ohara, je ne suis pas certaine que ça existe, mais sait-on jamais ?
Elle se tourna vers l’homme à sa droite et lui présenta sa main gauche. Gauchère, elle avait toujours du mal à serrer la main des autres s’ils étaient droitiers, pour une fois qu’elle pouvait prendre l’initiative.
— Je m’appelle Robina Erwolf. Je viens d’arrivée sur la Nouvelle Ohara.
La Sanderrienne avait voulu passer par cette île pour une bonne raison. Elle était curieuse de voir les livres de cuisine qui s’y trouvaient. Après tout, l’île était connue pour la bibliothèque gigantesque qu’elle abritait. Les cheveux attachés derrière en une longue queue de cheval, elle se baladait dans les rues pavées. Un petit marché était ouvert, vendant fruits, légumes, poissons et parfois quelques meubles. Curieuse, elle avait regardé en passant ce que les vendeurs proposaient. Mais rien ne sortait de l’ordinaire, des produits qu’elle pouvait avoir à peu près partout dans le monde. Elle avait haussé les épaules mentalement avant de continuer son chemin.
Se rapprochant du monument de l’île, son arbre, elle fut impressionnée. Dire qu’il n’existait pas il y a encore quatre-vingt-dix ans. Les Ohariens s’en étaient occupés avec minutie et avec leur effort ils avaient pu faire pousser cet arbre monde en un peu moins d’un siècle. Elle entra par la porte ouverte de l’arbre, les fibres du bois se détachant sur les murs creusés du bâtiment. Des centaines de livres se livraient aux yeux de la chasseresse de primes. Elle ne savait déjà plus où donner de la tête, il y avait tant à voir et à apprendre.
Une petite file de personnes attendait devant un comptoir. Des hommes et femmes aidaient les personnes qui cherchaient des ouvrages particuliers. La jeune femme aux longs cheveux bleus n’avait pas envie d’attendre, elle se débrouillerait très bien seule. Se détournant de la vingtaine de personnes qui attendaient devant elle, elle se dirigea vers un des premiers rayonnages. L’histoire et la géographie du monde et du Gouvernement mondial. Pas vraiment ce qu’elle cherchait.
Elle vagabonda dans les différents étages, cherchant les livres qu’elle essayait de trouver. Mais elle n’était pas spécialement pressée, l’équipage était encore en train de prendre ses marques. Ne pas enchaîner les voyages.et les trajets leur permettait de s’habituer à la vie en mer. En tant que capitaine, elle devait faire attention à ne pas trop les surmener. Quand les Glaciers seraient plus chevronnés, elle penserait à faire des voyages plus longs sans s’arrêter à chacune des îles qu’elle croisait. Ils avançaient lentement avec l’Iceberg et les anciens givrelames et cela allait très bien à Robina.
— Où peuvent bien se trouver ces livres de cuisine alors ? Elle tourna la tête, cherchant à trouver une pancarte pour lui indiquer les livres de cuisine. C’est tellement grand ici, j’aurais peut-être dû faire la queue comme tout le monde. Elle se pencha au-dessus de la rambarde de sécurité à côté d’elle.
En regardant en contrebas, elle put observer qu’il n’y avait plus personne devant l’accueil. Elle devait en profiter. N’écoutant que son instinct, elle se mit à marcher le plus vite possible, faisant claquer les talons de ses bottes cuissardes sur le plancher. Des regards se tournèrent vers elle, la fusillant au passage, mais elle n’y fit pas attention. Elle était bien trop concentrée sur le fait qu’elle pouvait avoir des informations rapidement. La cuisinière descendait les marches d’escalier presque en sautant, ses pieds touchant à peine le bois avant de continuer.
Quelques minutes plus tard, légèrement en sueur, la Sanderrienne se retrouva de nouveau à l’entrée de l’établissement. Des personnes avaient fait la même chose qu’elle, toutefois elle était bien placée dans la file. Deux personnes se trouvaient devant elle, pas de quoi fouetter un chat. Certains avaient des livres en main, d’autres, une liste, tous venaient pour un motif différent. Elle se tourna vers la personne à côté d’elle. Si elle devait attendre, autant le faire en discutant avec son voisin.
— Alors, vous aussi vous venez chercher un livre ? Elle se pencha légèrement sur la droite pour mieux se faire entendre. Moi je viens voir pour trouver des livres de recette de cuisine de Ohara, je ne suis pas certaine que ça existe, mais sait-on jamais ?
Elle se tourna vers l’homme à sa droite et lui présenta sa main gauche. Gauchère, elle avait toujours du mal à serrer la main des autres s’ils étaient droitiers, pour une fois qu’elle pouvait prendre l’initiative.
— Je m’appelle Robina Erwolf. Je viens d’arrivée sur la Nouvelle Ohara.