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Soren Ishidara - The Loveur ( Présentation Terminée)

>> Ishidara Soren

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Soren Ishidara - The Loveur ( Présentation Terminée)  100910065217836304

Pseudonyme : C R Y B A B Y ou Loveur.
Age: 17 ans
Sexe : Homme
Race : homme.
Rang : ...

Métier : Bah, fainéant ..
Groupe : Pirate
Déjà un équipage : Nah'. Razz
But : Vivre une journée avec des sirènes ! <3 Et, l'amour de l'aventure entre autre...

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : J'aimerais utiliser le style de Sanji, si c'est possible. Very Happy Et peut-être le Gomu Gomu No ?
Équipements : Un paquet de clope' et un briquet.

Codes du règlement (2) :

Parrain : J'en ai pas. Sad

>> Physique

Vous voulez savoir comment je suis à l'extérieur? Rien de compliqué très chers! Héhéhé, nous commencerons même par... *roulement de tambour*... Ma 'tite tête. Alors, j'ai les cheveux blanc. Et c'est là que tout le monde dit "Des... cheveux... BLANC ?! Hihihi, et ouiiiii. Mais bien entendu c'est une coloration, non je ne suis pas un Neptunien, d'origine j'ai les cheveux noirs mais comme vous le verrez dans mon histoire, j'ai décidé du jour au lendemain de les avoir blanc. Bref bref bref. Un peu plus de détail sur ma coiffure. Ils sont coupés assez courts, une petite frange devant et deux mèches qui encadrent mon visage, un peu plus longues qu'à l'arrière. Ils sont pas mal désépaissis mais ça aussi c'est un choix. J'aime pas avoir mes cheveux qui vont dans mon visage, ça me donne envie d'éternuer et des fois je me lève d'un coup et tire ma tignasse en arrière ! Pis quoi encore, j'vais pas me laisser faire par une bande de cheveux moi ! Passons à mon visage chérie d'amour. Donc, le milieu de mon visage est orné par deux petits joyaux : mes yeux ! Bien entendu j'exagère, mais je les trouve jolis comme tout mes p'tit n'oeils. Ce petit cadeau de ma mère est d'un magnifique marron clair. Mes traits de mon visage... Fins? Masculins aussi? J'ai un petit nez et deux lèvres fines et pas trop voyantes. Ma peau, elle est de couleur blanchâtre et pourtant je ne fais rien pour me protéger du soleil.

Passons au reste de mon corps et ma prestance. Ma taille pour commencer ? Un mètre soixante-treize, ça vous va ? Je dirais donc que je ne suis ni trop grand ni trop petit et c'est pareil pour mon poids. D'ailleurs, en parlant de mes kilos, je ne vous donnerais pas un poids exacte puisque j'en gagne et j'en perd à longueur de temps. Mais sachez tout de même cher fan -bah ouais, si vous lisez mon autobiographie c'est que vous en êtes un- que je reste toujours entre quarante et cinquante kilogrammes. Attention, nous passons à la partie plus personnelle. Je... suis un garçon donc j'ai certaines formes que les filles normalement - n'ont pas . Vous aurez très bien compris que je parle de mon sexe. Mais que dire... Il me convient parfaitement. (Rire) Après j'ai de belles anches et pas de bourrelets. Je fais attention à mon alimentation moi. Alors fast-food et plats gras n'ont rien à faire dans mon assiette ! Mes jambes... fines mais musclées. Je ne suis pas le genre de garçon super fragile qui pourrait s'envoler eu premier coup de vent. Une tempête ne suffirait pas à me faire vaciller ! Héhé. Bon, j'exagère, en plus j'en ai jamais rencontrés de tempêtes... Passons à ma tenue. Je ne suis presque jamais entièrement droit. Je sais pas pourquoi mais je reste souvent un peu courbé vers l'avant et j'aime mettre mes mains dans mes poches. Je ne suis pas fainéant du tout, mais au contraire super actif Pire qu'une pile ! Jamais fatigué, je cours partout, crie au lieu de parler, escalade un peu n'importe quoi... Que dire d'autre ?! Je n'ai pas une très grande présence à cause de mon comportement mais uniquement à cause de mon physique.



>> Psychologie

Je suis FOUUUUUUUU ! Je suis fou !!! Je suis... On a compris ? Que dire sur mon mode de pensés?! Je dois être retombé dans l'enfance depuis que j'ai décidé de vivre à nouveau dans la joie et la bonne humeur. Je suis super-actif, une vrai bombe atomique prête à exploser. Jamais fatigué, j'en ai jamais marre de courir à droite et à gauche, de sourire au monde et à la vie et de paraître plus que joyeux. Rien ne m'arrête !
Je suis également trèèès têtu. Même pas la peine d'essayer de me faire changer d'avis, vous n'y parviendrais pas. Héhéhé. Une fois, à l'école, la maîtresse voulait que je lâche un pot de peinture. Moi bien sur, je refusais catégoriquement. Je voulais garder pour moi MON pot de peinture verte, le derniers de la classe. J'ai réussi ! Au bout de deux heures, Sensei a soupiré et est allée voir ailleurs. Le soir je l'ai même ramené chez moi... le seul problème, c'est que je l'ai fait tomber en route et que la peinture s'est renversée au sol. Du coup, "bye bye pot de peinture verte". Hey, vous savez quoi ? Maintenant, il y a une tâche verte sur le trottoir pas très loin de chez moi.
J'invente souvent des mots, parle comme un gamin et fait de larges gestes pour exagérer le tout. Je peux aussi faire des monologues pour expliquer quelque chose. Ce que je veux dire par là ? Et bien... par exemple, lorsque vous racontez une histoire à quelqu'un. Des fois il y a deux personnes qui interviennent. Et bien moi je répète à moi seul les répliques des deux en y mettant le son, les gestes et tout et tout. Beaucoup de personnes rient lorsqu'ils me voient agir de la sorte. Mais en fait je ne m'en rends même pas compte, ça vient tout seul.
J'ai aussi un petit secret qui ne l'est pas vraiment mais bon. Je vis dans mon propre univers, m'invente des histoires et ne cesse de rêvasser. Donc si je réagis bizarrement, c'est normal, je suis en pleine fiction ! Je peux crier quand c'est comme ça, courir, rire, sourire, pleurer et même parler tout seul... Je dois vraiment en inquiéter plus d'un dans les rues... Mais qu'est-ce que j'y peux ? Mon caractère a évolué de la sorte et je ne peux plus m'en passer. Ma grande imagination doit provenir de tous les livres que je lis... a vous est jamais imaginé d'imaginer que, tout à coup, une soucoupe volante descend du ciel pour vous emmener dans l'espace et ses habitants vous annonceraient alors que vous êtes leur véritable fils ?! Euh... bah... oukiii, je fais peur là. Il m'arrive aussi d'écrire des histoires à l'écrit ou d'essayer de dessiner des minis-personnages. Mais bien entendu, je suis loin d'avoir le niveau et j'ai toujours du mal à rester assis trop longtemps, concentré comme pas possible sur une feuille et un crayon pour essayer de faire quelque chose. Le seul bout de papier qui arrive à me coller à une chaise ou à n'importe quoi me permettant de m'asseoir c'est un livre.



>> Biographie

J'ai un jour demandé à ma mère qu'elle me raconte mon enfance. Elle n'a pas voulu. J'ai retourné la question à mes grands parents après son décès , deux mois plus tard. Eux, m'ont tout raconté. Et maintenant, c'est à moi de vous parler un peu plus de moi.

I. Lorsque le truc blanc arriva sur terre.

Mon père, un homme. Je n'en sais plus sur lui à part que ma mère n'a jamais voulut en parler. Il semblerait qu'ils se soient séparés quelques jours avant ma naissance. Mais bon, je m'en fiche, j'ai jamais eu besoin d'affection paternelle. Peut-être pas le temps. Ma mère ? Une jeune femme de 21 ans, encore étudiante et travaillant dans la boutique familiale tenue par ses parents, et fondée par ses grands-parents. Une boutique de friandises et autres trucs sucrés amenant pleins de caries. Beurk ! Le 28 octobre, ma mère, prise de grandes douleurs appelle sa mère de sa chambre pour lui annoncer que "le bébé arrive". Ahahah, c'était moi, le petit garçon non désiré par ma mère. Oui, elle aurait pu avorter mais Grand-mère l'en a empêchée. Pour elle, tout embryon mérite de venir au monde, quelque soit son handicap. Même si j'en avais aucun -à moins que la folie soit un handicap...-. Bref, autant dire que ma mère refusera de trop s'accrocher à moi. Je disais donc que le 28, elle sent que son premier et dernier enfant va naître. Elle est emmenée à l'hôpital en urgence, mais n'accouchera que le 31, souffrant comme pas possible pendant trois looongues journées. En plus, j'étais ce qu'on appelle un enfant prématuré. Je devais normalement arriver début décembre. Mais bon, c'est pas de ma faute, j'avais tellement envie de découvrir cet univers. Rencontrer des gens surtout. Ma mère ne me prit pas dans ses bras à ce qu'il paraît, elle se contenta de s'endormir après que le travail soit fait et laissa Grand-mère me donner un prénom et de m'offrir mes premières marques d'affection. Maman sortit de l'hôpital le lendemain, moi le surlendemain et dans les bras de sa mère. Il avait déjà été décidé que je vivrais chez mes grands parents. Tout ce que j'ai connu de ma mère, donc, durant ma première année, c'est son lait.
Ensuite, il y eu mes premiers pas. Non pas devant ma mère mais devant Grand-mère, encore une fois. J'aurais vraiment pu croire qu'elle était plutôt ma mère mais je ne l'ai jamais appelée de la sorte. Les bébés doivent sentir qui est la personne qui les a porté pendant sept mois et demi. Quelques années passèrent. A quatre ans, je devais avoir vu ma mère pour mes anniversaires, les grandes fêtes familiales ou quand elle venait rendre visite à ses parents. Elle parla une fois d'une rencontre avec un jeune homme mais leur relation ne dura que quelques semaines. Ca se voyait qu'elle ne m'aimait pas. Elle ne me regardait pas, ne m'adressait pas directement la parole et jamais elle ne m'a pris dans ses bras, serré contre elle... J'entrais en primaire maintenant. J'ai eu beaucoup de mal à me faire des amis et je devenais facilement jaloux. Une fois même, j'ai faillit craquer. C'était l'après midi, quelques semaines avant les vacances d'hivers. Mes petits camarades étaient tous excités d'aller fêter Noël et Nouvel An avec leurs parents. Moi, je préférais rester seul, regardant par la fenêtre et espérant qu'ils se taisent un jour pour que je puissent enfin aller leur parler à nouveau. L'un deux s'approcha de moi.

"Hey, Soren-chan, qu'est-ce que tu vas faire toi ? A ce qu'il paraît ta mère s'occupe pas de toi."

Je le regardait calmement, préférant ne pas répondre.

"T'as jamais été désiré ah ouais ? Tu crois pas que ç'aurait été mieux que tu naisses pas ?"

Il repartit vers les autres, riant tous ensemble de moi. Ils savaient très bien comment s'organisait ma vie familiale. Ils avaient tous entendu parler des sentiments de ma mère à mon égard. Par leurs parents, je crois, pour certains et après, le bouche à oreille ? Sur ce, incapable de rester assis et d'ignorer. Les larmes me montèrent à la tête et mes mains commencèrent à trembler dangereusement. Non, je ne lui donnais pas un coup quelconque. Mes pieds m'emmenèrent dans un parc situé entre l'école et la boutique de Grand-mère. J'y étais venue, l'année précédente, avec Grand-mère et Maman. Elles avaient discuté de ce que ma mère donnerait comme argent pour mes études, mes vêtements et tout ce qui allait avec. Après ça, j'y faisais un arrêt de temps en temps pour me reposer en rentrant. Cet endroit m'apaisait, j'avais l'impression d'y être tranquille, d'y oublier automatiquement tout ce qui me dérangeait. Je m'installais tranquillement dans un des jeux, me recroquevillant sur moi même. Les heures passèrent ainsi sans que me décide à rentrer à la maison ou à l'école. C'était la première fois que je sécher les cours. Je dois aussi avouer que ça ne serait pas la dernière. Quand l'envie m'en prend, je préfère aller voir ailleurs ! Enfin, reprenons. La nuit tomba, et un chien vint me saluer en aboyant. En y repensant, c'est surement là que ma phobie pour l'espèce canine commença. Mon ventre gargouilla à plusieurs reprises. J'avais froid, peur, soif et n'avait pas le courage de bouger à cause du chien. C'est seulement le matin que Grand-mère découvrit ma cachette. Le comité du quartier me cherchait depuis que l'école avait prévenu Grand-mère de ma fuite. On me ramena à la maison et on s'occupa de moi. Maman n'est pas venue. Elle a pourtant été prévenue. Si elle avait été là, elle aurait très certainement dit quelque chose du genre "De toute façon, c'est une sale gamine." ou encore "Elle ne cause que des ennuis.". Est-ce que j'étais obligé de ne pas être aimé par elle ? Tant pis, elle ne voulait pas de moi ? Je ne voudrais plus d'elle. Voici ma première résolution et comment j'ai pu retourner en cours sans me soucier des autres. J'eu le droit à nouveau à entendre ce genre de moqueries mais j'en riais maintenant. C'est aussi à cette période que je découvris le plaisir de la lecture. Grand-mère m'acheta une petite série de cinq tomes pour mes neuf ans. Je tombais directement sous le charme des dessins, de l'histoire et m'en acheta d'autres Elle aimait ça aussi apparemment. Ainsi passèrent plusieurs années. Découvrant petit à petit mes passions en compagnie de la mère de ma mère et espérant au plus profond de moi, une minuscule reconnaissance de la part de ma génitrice.

II. Le monde tourne autour de moi.

C'était pendant les vacances. Là je m'en souviens parfaitement. Grand-mère stressait parce que le magasin n'était pas du tout prêt pour l'ouverture qui devait avoir lieu dans les minutes qui suivaient. Moi, comme j'étais assez grand, je l'aidais à nettoyer et ranger ce qui traînait. Tout à coup, le téléphone retentit et Grand-mère insulta le vent avant d'aller répondre.

"Oui ? Allo ? Oui, c'est bien moi." une petite pause, je rangeais alors un bocal à bonbons sur une étagère "Pardon ? A l'hôpital dites-vous ? Mais... que s'est-il passé ?"

Ça devenait intéressant en quelque sorte alors je passait ma tête pour regarder Grand-mère.
Elle était de profil mais je vis sa tête se baisser, sa main monter à son visage et des larmes couler. Grand-père arrivé, lui prit la téléphone en l'aidant à s'asseoir un peu plus loin.

"Oui, entendu, je raccroche, nous arrivons."

l retourna vers Grand-mère et saisit ses poignets les joignant entre eux deux. Bizarre, j'avais une drôle de sensation. Comme si quelque chose de bien ou de mauvais venait d'avoir lieu. On m'appela, j'approchais et Grand-père me demanda de m'habiller et de mettre mes chaussures. Là, j'avais vraiment beaucoup de mal à comprendre ce qu'il se passait. En plus, Grand-mère pleurait, c'est qu'il y avait quelque chose de grave. Une bonne heure plus tard, j'étais à l'hôpital avec mes grands-parents. On arriva devant une chambre et Grand-père me demanda d'attendre ici un instant. J'obéissais. Au bout d'un moment, la porte se rouvrit et il m'attira à l'intérieur. Là, sur le lit, en train de mourir. Ma mère. Je regardais son visage endormis. Première fois que je la voyais ainsi. Je n'avais pas envie de pleurer mais plus... envie de sourire ? De rire ? De lui dire ce que je pensais. Mais... Grand-mère pleurait. Maman avait eu beaucoup de chance d'avoir une mère comme elle. Même si c'était aussi la mienne en quelque sorte.
Maman venait de mourir d'une maladie chronique décelée trop tard pour être soignée. Elle n'avait prévenu personne de sa maladie. Cette crise avait mis fin à ses jours trois heures après notre visite. Le jour de l'enterrement, j'étais d'une humeur particulièrement joyeuse malgré son décès. Je me retenais bien sur de sourire et restait à côté de Grand-mère pour lui remonter le moral. Les jours qui suivirent, elle reprit peu à peu le sourire et un soir elle me convoqua dans le salon pendant que Grand-père était occupé à boire un verre avec de vieilles connaissances à l'extérieur.

"Soren, désolé pour ce qu'il s'est passé avec ta maman. Je sais que tu aurais peut-être préféré qu'elle prenne soin de toi comme je l'ai fais."

Je la regardais droit dans la yeux. Elle savait très bien ce que je ressentais et n'avait même pas besoin de me le demander.

"Désormais, il faut que tu vives comme tu le souhaites, je veux te voir sourire, okay ?" poursuivit-elle.

Parfait, désormais, je ne cacherais plus mon sourire et mes rires. Je me levais et lui sautait presque au coup, provoquant chez elle un léger fou rire. Je montais dans ma chambre et ressortait ds vieux cartons mes vieilles peluches pour les exposer à nouveau. Elle m'avait laissé feu vert ? Et bien maintenant, Soren Ishidare futur pirate allait renaître. Ah... Je vous ai pas dit mais je veux devenir Pirate. Quand j'en parle mes grands-parents rigolent. Je vois ce qu'il y a de si drôle. Enfin bref, la devenue trop sérieuse devint encore plus colorée et enfantine que pendant mon enfance, ma garde-robe fut entièrement refaite au fil du temps et Grand-mère me permis même de colorer mes cheveux. Certes, les amis ne se firent pas plus nombreux mais maintenant, je respirais la joie de vivre et le bonheur. J'avais en quelque sorte été libéré par ma mère. C'est pourquoi, maintenant, je vais sur sa tombe régulièrement, lui apporter ses fleures favorites et prononcer une petite prière. Toujours le même, espérer que je sois définitivement heureux. Il aura suffit qu'elle meure pour que je me rapproche ainsi d'elle. Mais je ne lui en veux pas. Je n'en veux pas à mon père que je n'ai jamais vu. Je les aime tels quels. J'aime Grand-mère par dessus tout parce qu'elle m'aura permis de vivre. Les années continuèrent à passer et... mais c'est quoi cette histoire qui me donne envie de déprimer ?! Aller quoi ? Je suis Soren Ishidara, un garçon complètement taré, qui se moque de son passé et qui s'imagine des histoires loufoques tous les jours. Je suis en deuxième années(qui est la dernière) dans une école dirigeait par la marine sur une île complètement paumé au beau milieu d'East Blue. Je viens d'entrer dans ma deuxième année mais je ne suis pas pensionnaire. La boutique de Grand-mère n'étant pas trop loin, à quelques arrêts de bus seulement, j'y rentre tous les soirs et parfois le midi. Mon rêve : Être pirate & allez voir les sirènes... Au moins j'aurais une petite-amie et je serais pas considéré comme un monstre.

Et maintenant? Je suis sur le point de quitter cette île.

Alors, préparez-vous bande de Mammouths, le CRYBABY est là pour faire du bruit et vous casser les petons ! Hoy hoy hoy !






>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


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Informations IRL

    Prénom : Tu le sauras jamais.

    Age : J'ai l'âge d'or.

    Aime : Regarde en bas.

    N'aime pas : T'es de la police?

    Personnage préféré de One Piece : Sanji.

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) J'ai pas envie. :/

    Fais du RP depuis : Un bon bout de temps...

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) 7/7

    Comment avez vous connu le forum ? John Dilinger un truc comme ça... >.>


Dernière édition par Soren Ishidara le Dim 11 Sep - 19:01, édité 3 fois
    Désolé du double-poste, mais c'est pour dire que j'ai fini ma prez'.

    J'attends le test rp avec impatience. Je voudrais ajouter une chose, je suis traducteur donc vous ne me verrez pas souvent sur la CB. Cependant j'essayerais d'être actif. Very Happy

    Bonne Lecture.


    Soren Ishidara -
      Bonsoir, et bienvenue.
      Je tiens à te signaler que pour le moment, ta fiche n'est pas acceptable. En effet, nous te serions gré de retourner signer correctement la charte.

      Merci ;
      Cordialement,
      Césare.
        Voili Voilou Voilà. J'ai édité Smile

        J'en suis navré que mon excentricité est atteint la limite, j'espère ne pas vous avoir donné une mauvaise impression.


        Soren Ishidara -
          Pas de problème, c'est juste histoire de faire les choses comme il faut, mais on ne t'en tiendra pas rigueur.
            Bonjour et bienvenue sur one piece requiem !
            Je te donne donc ton test rp :
            Raconte le moment où l'on t'as parlé la première fois des sirènes / la première où tu l'as lu / la première fois où tu en as entendu parler.

            Je trouve que c'est assez difficile comme test donc bonne chance ! (et les "/" montrent que je te laisse le choix de la situation ;))
              J'ai fait comme j'ai pu. J'espère que cela suffira à vous satisfaire...


              - TEST RP -


              Un endroit tranquille. Calme. Apaisant. Et surtout à l’abri de la foule de regard indiscret oppressant de cette ville. La bibliothèque. Lieu où seules les têtes venaient s’y perdre et s’y soûler de lecture assommante. Les seuls livres que j’appréciais étaient ceux que j’écrivais de ma plume. Non. Je n’en aimais aucun. Mes seuls écrits n’étaient que des ramassis pittoresque de mot et d’allégorie invraisemblable. En claire, on dirait que l’écrivain venait de s’enfiler plusieurs bouteilles d’un alcool fort avant de prendre sa plume. C’est dans l’ivresse que l’on montre ses talents. J’avais déambulais longuement dans les dédales d’étagères couvertes de bouquins plus poussiéreux les uns que les autres avant de trouver mon Eden. Un coin, entre les livres sur la physique quantique, le zéro absolu, les races dans l'univers et l’éloge mathématiques à l’inventeur du logarithme népérien. Profitant de ce no man land culturelle, je m’étais assis contre le mur, avait sortie dans un geste quasi religieux la dernière cigarette de mon paquet et l’avait allumé avec le respect qu’on offre au buché d’un condamné.
              Ma paisible délectation de mon paradis improvisé dura de longue minute. Ma cigarette se finissait péniblement, essoufflé par ce combat contre moi dont l’issue était irrémédiable. Je laissais mes doigts parcourir les reliures usées. Mon attention s’arrêta sur un vieux livres de cuir, mes doigts se glissèrent entre ses voisins et le tira de son antre comme on tire un vieillard de sa maison de retraite. Le même sort les attend, la mort. J’ouvris une page au hasard, tombant sur une longue démonstration de ce qu'était une relation entre Homme et Sirène qui donnait une équation différentielle de je ne sais laquelle réaction. Attrapant la cigarette qui fumait légèrement, j’en écrasais la pointe inscrivant dans le papier ma venue fugace dans cette bibliothèque. Je refermais le livre d’un geste agacé, laissant le cadavre de l’assassin de mes poumons au creux de ces pages infeste. Des bruits de pas me firent tourner la tête, un intello de première me regardait avec surprise. Est-ce si étonnant de me voir dans une bibliothèque. Ou de voir une personne dans ce rayon. Quelque soit la source de cet étonnement je quittais le rayon, passant près d'une gamine aux lunettes avec un sourire narcissique. Sa me donnait des envies de profiter d’être dans ce lieux de recul pour les élèves sérieux pour mettre mon grain de sel dans leurs vies monotones.
              Je m’installais à une table, en face de moi une jeune fille était assise sur un pouf et lisait avec tranquillité un livre que j'avais tenu il y a peu. Autours de moi, d’autres petits rats étudiaient dans un silence de monastère. Je m’entrepris à accentuer la pièce de toute sorte de bruit des plus désagréables. Tapotement irrégulier d’un stylo contre le bois. Bruissement de semelle contre le sol ciré de la bibliothèque. Balancement d’une chaise percutant les dossiers de celles se trouvant derrière. Et dont les pieds se posaient sur le sol dans un claquement sonore. Crissement d’une pointe de critérium contre l’armature de fer des meubles. La fourniture scolaire fournie foule d’élément de désordre aux élèves ingénieux. Je souris, si au début seul quelque tête agacés à se lever, à présent j’entendais les chuchotements énervé de plusieurs ce qui, avec un sourire malicieux, me faisait augmenter le volume de mon vacarme artistique.

              - Peux-tu arrêter ? Je lis un ouvrage sur les sirènes.


              Mon concert improvisé continuait son œuvre, retentissant dans la salle. Je fermais les yeux, laissant mes mains dirigeais mes baguettes improvisé dans un concerto moderne. Je m’assourdissais des claquements du plastique contre le bois vieilli des tables. Je m’enivrais des raclements de gorge énervé des têtes si calme. Je me droguais à la haine qui grandissait dans leurs cœurs bouffé par les études. J’étais bien. Je flottais. Enivrante ivresse de ceux qui brisent l’ennui et la routine. Je souris, ouvrant les yeux, donnant un coup final sur la plaque métallique recouvrant l’arrête de la chaise voisine. Une main se posa sur mon épaule, des cris me vinrent aux oreilles. Frustration extrême. Irritabilité. Et une dose de jalousie.

              - Je ne t'entend pas !

              Tant d’émotion intense retentissant dans la voix en pleine mue d’une adolescente solitaire. Elle ne supportait plus mon art. Mon sourire se figea dans mes lèvres, se gravant dans l’histoire sans sursaut de cette bibliothèque. Teinté d’insolence ma main lâcha un des stylos et, dans un geste cérémonieux, mon index se dressa fièrement dans l’air. Les yeux du rat de bibliothèque glissèrent sur ma main, épousant la forme de mon doigt, pour suivre la ligne imaginaire qu’il créait dans l’espace. Une affiche, accrochée par un minable morceau de ruban adhésif sur l’une des étagères « Prière de ne pas haussez la voix. Le murmure est les amis des travailleurs acharnés. » Bien sûr d’autre affiche de ce genre intimant à la censure sonore étaient disséminées dans les recoins de la pièce, mais seul cet ordre était à porté de vue. Je le respectais. Elle non. Je respectais les murmures et le silence de ma voix. Elle hurlait sans vergogne. J’intimais un peu d’art musical dans cet antre aux règles idiotes. Elle explosait dans la haine humaine. Je me délassais de sa présence, elle était peut être encore là, je m’en fou.

              - Arrête ! Rhaaa tu me soules !! Je peux pas lire cet ouvrage ! Je t'enverrais bien sur l'île des hommes-poissons !


              Mes yeux se posèrent de nouveau sur la jeune fille présente devant moi. Je la détaillais longuement avant de glissais mes yeux dans les siens. Un regard fixe d’une étrangère est, pour la plupart des gens, particulièrement dérangeant. Surtout quand l’étrangère en question ne semble pas être une personne fréquentable. Etrangère. Personne peu fréquentable. Moi. Mon menton se posa sur ma paume, maintenant cette cavité crânienne tout d’un coup si lourde. Je fixais inlassablement la jeune personne avec un sourire plus que sadique. Je m’amusais. J’exultais.

              - Je viens de lire et je sais que tu ne peux pas m'y amener comme ça. Malgré que tu sois mignonne comme tout. Si tu veux... Tu peux sortir avec moi ?!

              - Jamais ! Si c'est comme ça, je m'en vais !


              J’avais trouvé un terrain de jeu, dommage qu'il n'y avait pas eu une relation entre cette demoiselle et moi.
                Hop, un premier commentaire pour ta fiche. On a mis le temps mais on y arrive héhé. Une fois n'est pas coutume je lance le verdict d'entrée, pour moi, 500 Dorikis pour le lover.

                Oh, et j'insiste sur l'orthographe du mot, le "u" gâche un peu l'effet de style dans le titre héhé.

                Ceci étant dit, revenons à nos moutons, ici, ta fiche. Bah c'est plutôt pas mal, personnage assez excentrique, on le ressent dans ta manière d'écrire, de passer sans transition du coq à l'âne, d'utiliser les majuscules ou de déformer un mot pour lui donner une intonation particulière. Pour tout ça donc, bien joué.

                Avec l'histoire, tu expliques plutôt bien ce qui a fait que Soren soit celui qu'il est devenu. Ça doit être dur d'être le souffre douleur, le dindon de la farce à côté de ses petits camarades. Et puis, la mère est une vraie peau de vache. Black day, ouais.

                En revanche, toujours côté biographie, la fin en queue de poisson gâche un peu le reste. Introduire l'idée de vouloir être pirate, aborder le changement total de philosophie, et peut-être aussi son gain de maturité d'un même coup en un paragraphe, c'est assez mastoc. Bref, prends pas la mouche mais le final est un peu trop abrupt.

                Côté test RP, tu conjugues les pluriels de manière assez catastrophique tout le long, ce qui m'amène à penser que tu écris français comme une vache espagnole. Mais il y a quelques métaphores bien sympathiques qui m'ont plié de dire, nom d'un chien, donc je révise mon jugement. En plus de ça, les consignes de GM étaient assez évasives, mais tu as bien pris le taureau par les cornes et proposé une situation assez inattendue pour traiter le sujet.

                Conclusion, dans l'ensemble, c'est pas mal. Jm'attarde pas plus sur ta présentation, j'ai d'autres chats à fouetter, dure est la vie de modo, j'espère que tu m'en voudras pas.

                500 Dorikis again, donc.
                  Bah mercii, je sais pas si ça tire du compliment ou bien... xD Merci d'avoir pris du temps ! Smile (Je suppose que je ne pourrais pas réserver le gomu gomu no... C'est pas grave. Very Happy )

                  Edit' : Le "u" c'est fait exprès. ^^'
                    Pour le Gomu Gomu, tu pourras très bien faire la demande, il n'est en possession d'aucun personnage actuellement.

                    Donc sitôt validé, tu peux postuler pour ce fruit.
                      En espérant l'être vite. Very Happy
                        Attention à ne pas accumuler les capacités de bourrins aussi hein ! Smile
                        • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
                        • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
                        Satoshi Noriyaki a écrit:Attention à ne pas accumuler les capacités de bourrins aussi hein ! Smile

                        Tu entends quoi par là ?
                          Mais qui voilà ? Bibiiiii !
                          Une fois n'est pas coutume je donne mes voix avant qu'on en ai un besoin vital, juste comme ça pour accélérer les choses.

                          Du coup je me range du côté de mon prédécesseur : 500.
                          La psycho est courte mais bien éloquente, reste le physique où il manquait un peu d'aura ou de sentiment que l'on pourrait éprouvé en voyant ton perso.
                          De plus j'ai été un poil surpris, l'avatar (joli d'ailleurs) correspond très bien au physique, mais ne montre pas ton côté hyper actif, du coup ça a été la surprise ^^.

                          un joli petit 500 donc (qui compte double parce que je roxxe vraiment trop d'ma race). Ce qui te fais 3 voix. Encore deux et c'est bon. ;)
                          • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
                          • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
                          Youpis, me reste encore deux validations avant de pouvoir rp ! Smile Bah, Toji il faut toujours se méfier de l'eau qui dort.
                            J'entends "Utilisation des jambes super bourrins donc super course + Gomu Gomu No Mi" XP
                            • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
                            • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
                            T'inquiète, je gère. Very Happy
                              Et bien 500 dorikis ça me semble tout à fait correct !
                              Fiche validée !