D'abord il n'y a qu'une voile à l'horizon. Rien d'anormal en mer même en dehors des voies de navigation traditionnelles. Après tout, sur Grand Line ou les conditions capricieuses amènent souvent les navires à se perdre à des lieux des couloirs les plus fréquentés.
Et puis une seconde voile apparait dans le sillage de la première. Et une autre un peu plus loin. Et encore une autre. Des voiles et des navires qu'un marin chevronné lorgnant l'Océan de sa longue vue pourrait trouver étrange de trouver en haute mer. Trop petits, trop frêles. Il reconnaitrait les silhouettes de navire de pèche, de cabotage. Il consulterait peut être ses notes de navigation ou les cartes achetés à prix d'or qui lui confirmerait que non. Ici il n'y a que la haute mer, pas de terre connue. Et pourtant...
Et pourtant il verrait aussi ces oiseaux que tout naufragé vétéran a appris a reconnaitre, ces mouettes annonciatrices de terre, d'eau et de nourriture...
Mais il n'y pourtant aucune terre ici.
Juste Armada, la plus grande des cités flottantes des spet mers, patrie itinérante des Libres Pirates.
L'ile est encore loin, tapie quelque part derrière l'horizon, mais les signes annonçant sa présence se font de plus en plus nombreux. Et au moment ou on la repère, elle aussi vous voit. Les navires de surveillance qui sont ses yeux et ses oreilles, sillonnant la mer comme autant petits requins avides avide autour de la carcasse d'une baleine, sont attentif à tout ce qui traine sur la mer, et il n'est pas un navire inconnu qui puisse s'approcher de l'ile sans croiser sur sa route un navire pirate, sabords ouverts, boutefeu armés, et prêt à envoyer par le fond l'intrus qui ne montrerait pas marque noire.
- Hé du Vaillant ! Qu'est ce qui vous amène dans nos eaux ?!
Et puis une seconde voile apparait dans le sillage de la première. Et une autre un peu plus loin. Et encore une autre. Des voiles et des navires qu'un marin chevronné lorgnant l'Océan de sa longue vue pourrait trouver étrange de trouver en haute mer. Trop petits, trop frêles. Il reconnaitrait les silhouettes de navire de pèche, de cabotage. Il consulterait peut être ses notes de navigation ou les cartes achetés à prix d'or qui lui confirmerait que non. Ici il n'y a que la haute mer, pas de terre connue. Et pourtant...
Et pourtant il verrait aussi ces oiseaux que tout naufragé vétéran a appris a reconnaitre, ces mouettes annonciatrices de terre, d'eau et de nourriture...
Mais il n'y pourtant aucune terre ici.
Juste Armada, la plus grande des cités flottantes des spet mers, patrie itinérante des Libres Pirates.
L'ile est encore loin, tapie quelque part derrière l'horizon, mais les signes annonçant sa présence se font de plus en plus nombreux. Et au moment ou on la repère, elle aussi vous voit. Les navires de surveillance qui sont ses yeux et ses oreilles, sillonnant la mer comme autant petits requins avides avide autour de la carcasse d'une baleine, sont attentif à tout ce qui traine sur la mer, et il n'est pas un navire inconnu qui puisse s'approcher de l'ile sans croiser sur sa route un navire pirate, sabords ouverts, boutefeu armés, et prêt à envoyer par le fond l'intrus qui ne montrerait pas marque noire.
- Hé du Vaillant ! Qu'est ce qui vous amène dans nos eaux ?!