Shoma et son groupe venait d'en finir avec le Boucher et se dirigeait en direction de la baie où devait se trouver son navire. Il avait confectionné un plan depuis plusieurs jours afin de faire de ce roi des mers, un membre à part entière de son nouvel équipage.
Pour cela, il avait eu l'idée loufoque de former un groupe armé dans le but de l'épauler dans cette tâche aussi difficile que périlleuse. Un exercice complexe, mais qui en valait la peine. Son groupe avait de bonne base et très vite, il s'était entouré de plusieurs personnes qui semblaient valeureuses et digne de respect, mais à cause de l'apparition d'un autre groupe de pirate, celui-ci très hostile, l'équipe du pirate se disloqua aussi vite que sa création.
Ce n'était pas bien grave, car il avait trouvé deux nouveaux membres pour son équipe. Yasmeen, son éternel vice-capitaine et un boulet qui appartenait à la race animal et qui portait le nom de Gupidon. Une équipe qui partait avec un handicap, car avec seulement deux personnes, Shoma ne pouvait pas prétendre attaquer la créature marine de face. C'était purement et simplement du suicide.
Une seule solution s'offrait maintenant à lui. Il devait laisser la marine capturer la tortue à sa place et plus tard, tenter de la reprendre.
Le petit groupe se dirigea en direction de la baie. Un important dispositif de protection de la mer était en place. Depuis sa place, le pirate pouvait voir au loin une bonne dizaine de navires de la marine qui tentaient de capturer la tortue. D'un coup, Shoma se sentait tout petit. Malgré son plan qu'il croyait en béton, face à un tel dispositif, il n'aurait pas fait long feu.
Six navires de la marine, tous contenant assez d'hommes pour faire tomber une forteresse en quelques minutes. La marine était très sérieuse. Sur chaque navire, tous les hommes respectaient à la lettre le plan élaboré par l'officier supérieur. Tous les canons étaient prêts à faire feu au signal du commandant.
Dans un silence glacial, les troupes de la marine n'attendaient qu'une chose, que la tortue pointe le bout de son nez. L'objectif était claire, il fallait la forcer à se montrer, puis à l'affaiblir au maximum.
Sur la plage, il devait y avoir deux régiments de vingt soldats qui s'occupaient d'écarter la population d'approcher des berges. L'ordre avait été donné de capturer le monstre sans qu'il y ait des répercutions sur le village. Un très bon choix, car les habitants de l'île ne voyaient pas d'un bon oeil les agissements de la marine.
La créature était un peu comme un membre à part entière de l'île et elle représentait d'une certaine manière un rempart naturel de l'île contre les pirates. Si la tortue venait à partir, alors leur île qui se trouvait à seulement quelques lieux de l'entrer de Grandline pourrait devenir une base pour les pirates qui voudraient se lancer sur la route de tous les périls.
D'un coup, surgissant sous l'un des navire, la tortue quitta son lit et entra dans une colère noire. Le navire qui se trouvait sur sa coque, se retrouvait élever et ne touchait plus l'eau.
Prenant ses responsabilités en main, l'officier baissa les bras et ordonna à sa flotte de navire de faire feu sur la créature. Une bataille navale débuta. Les navires poster de manière à ne pas être atteint par les tirs alliés s'en donnaient à cœur joie.
Sur la plage on entendait très facilement le niveau de violence de l'attaque. Malheureusement pour le navire qui se trouvait sur la coque de la tortue, plusieurs débris entrèrent en collision avec et il ne restait plus qu'un épave en feu. L'officier en chef, n'avait pas de regret. La mission passait avant tout, mais le roi des mers, lui n'était pas prêt à être réduit à l'esclavage.
La bête s'engouffra sous la surface de l'eau et se dirigea directement sur un autre navire. La bête fonça directement sur lui sans même prendre le temps de sortir la tête de l'eau.
Devant la rage de la créature des océans, le navire ciblé quitta la formation et tenta une manoeuvre afin de réduire au minimum les dégâts due à la collision. Le soldat qui tenait la barre était visiblement compétent et si la tortue n'avait pas eu cette épave de feu sur sa coquille, alors le navire aurait pu être sauvé.
Le navire entra en collision avec le second déjà bien abimé. Le résultat de cette fusion était explosif. Les deux navires n'étaient plus bon et ils n'allaient pas tarder à sombrer tous deux au fond de la mer.
L'officier en chef enragea. Cette erreur était impardonnable. Si le sous-officier qui dirigeait ce navire avait suivi à la lettre son plan, la créature n'aurait eu aucune chance de victoire. Tous les capitaines des navires étaient au courant, cette mission était primordiale et le risque de mort était très élevé. Pourtant, tous avaient accepté de participer à la capture. Le choix personnel d'une personne venait de mettre en danger tous les autres navires.
La créature venait de disparaitre et deux navires étaient maintenant détruits. Assis sur son siège, le chef des opérations réfléchissaient à un nouveau plan d'action. Il n'avait pas droit à l'échec surtout maintenant que deux navires sombraient. Incapable de trouver un nouveau plan, l'officier s'apprêtait à jouer sa carte maîtresse, quand la créature fit de nouveau son apparition.
Visiblement, elle n'aimait pas être prise pour cible et comptait faire payer cette tentative de capture aux forces de la marine. Le plan de base inutile et devant le danger imminent, chaque capitaine de navire décidèrent de la marche à suivre quant à la survie de leur navire et de leur équipage.
Fuir n'était pas une option, ils seraient directement jugé en cour martiale.
De nouveau les navires firent parler la poudre, mais ils n'étaient plus en formation de combat. Comme prévu dans ce genre de combat, une seule erreur et tout le groupe était en danger. Certains tirs touchèrent directement la tortue au point de la blesser, mais d'autre explosèrent la coque, le mat où même la cale de navire allié.
La puissance de la tortue diminuait grandement, mais les forces de la marine aussi. Il ne restait plus que trois navires encore capables de naviguer correctement. Les autres, eux ne pouvaient plus bouger, où plus tirer. Dans chacun de ces deux cas, ils ne pouvaient plus compter que sur leur chance pour quitter le navire et sauver le plus grand nombre de leurs camarades.
Le navire du commandant fessait partie du groupe de navire qui se trouvait dans un état critique. Le feu rongeait le navire de l'intérieur et plusieurs boulets de canon mal orienté venait de lui priver de tous moyens de défense.
Contrairement aux autres navires, celui du commandant possédait une chose que n'avait pas les autres. Avant de partir en mission, l'officier en chef avait reçu un objet très rare. Un artéfact qui lui permettrait de maintenir la bête sous son contrôle, s'il arrivait à l'affaiblir suffisamment. L'artefact en question était un rubis de la taille d'un bonbon. Il en existait une très infime quantité dans le monde. Cette pierre très rare était la dernière carte de l'officier.
La tortue avait perdu beaucoup de force et dans un dernier élan de rage, elle se dirigea directement sur le navire de l'officier. Prête à l'engloutir sous les flots, la tortue prenait de la vitesse et ouvrit bien grand la bouche. Fessant face à son adversaire, l'officier se leva de son siège et pointa la pierre dans la direction du monstre. Il jouait sa dernière carte. Si cela ne marchait pas, alors il accepterait son sort avec joie. Tel était sa décision.
La pierre ne semblait pas réagir. Le monstre était encore trop puissant, mais quand trois boulets de canon explosèrent au niveau de la tête du monstre, celui-ci perdit de sa rage et une lueur au niveau de la pierre stoppa le monstre.
Le monstre de l'île n'était plus ce qu'il était. En un instant, il venait de perdre toute sa fougue. Son regard habituellement monstrueux et féroce venait de disparaitre et laissait place à un blanc vide. Comme si le monstre était complètement hypnotisé, incapable d'agir de son propre chef.
Jour de chance où véritable coup de maître, en tout cas la mission était un succès.
Sur la plage, les habitants pleuraient la fin d'une ère, la fin de leur grand protecteur. Les soldats, eux sautaient de joie. Sur les flots, le commandant en chef ordonna aux navire encore capable de naviguer de remorquer la bête. Ils allaient la conduire au Royaume de Bliss sans plus tarder afin de la conditionner comme nouveau navire-arme de la marine.
Maintenant que la marine venait de faire l'acquisition de ce nouveau bateau, Shoma et son groupe allait devoir trouver le lieu où le monstre serait amarré afin de le voler. Ce n'était pas tout, Shoma ignorait tout de la manière de faire de ce navire le sien. Il allait s'en doute devoir s'en prendre à l'officier en chef pour le deviner.
Pour cela, il avait eu l'idée loufoque de former un groupe armé dans le but de l'épauler dans cette tâche aussi difficile que périlleuse. Un exercice complexe, mais qui en valait la peine. Son groupe avait de bonne base et très vite, il s'était entouré de plusieurs personnes qui semblaient valeureuses et digne de respect, mais à cause de l'apparition d'un autre groupe de pirate, celui-ci très hostile, l'équipe du pirate se disloqua aussi vite que sa création.
Ce n'était pas bien grave, car il avait trouvé deux nouveaux membres pour son équipe. Yasmeen, son éternel vice-capitaine et un boulet qui appartenait à la race animal et qui portait le nom de Gupidon. Une équipe qui partait avec un handicap, car avec seulement deux personnes, Shoma ne pouvait pas prétendre attaquer la créature marine de face. C'était purement et simplement du suicide.
Une seule solution s'offrait maintenant à lui. Il devait laisser la marine capturer la tortue à sa place et plus tard, tenter de la reprendre.
Le petit groupe se dirigea en direction de la baie. Un important dispositif de protection de la mer était en place. Depuis sa place, le pirate pouvait voir au loin une bonne dizaine de navires de la marine qui tentaient de capturer la tortue. D'un coup, Shoma se sentait tout petit. Malgré son plan qu'il croyait en béton, face à un tel dispositif, il n'aurait pas fait long feu.
Six navires de la marine, tous contenant assez d'hommes pour faire tomber une forteresse en quelques minutes. La marine était très sérieuse. Sur chaque navire, tous les hommes respectaient à la lettre le plan élaboré par l'officier supérieur. Tous les canons étaient prêts à faire feu au signal du commandant.
Dans un silence glacial, les troupes de la marine n'attendaient qu'une chose, que la tortue pointe le bout de son nez. L'objectif était claire, il fallait la forcer à se montrer, puis à l'affaiblir au maximum.
Sur la plage, il devait y avoir deux régiments de vingt soldats qui s'occupaient d'écarter la population d'approcher des berges. L'ordre avait été donné de capturer le monstre sans qu'il y ait des répercutions sur le village. Un très bon choix, car les habitants de l'île ne voyaient pas d'un bon oeil les agissements de la marine.
La créature était un peu comme un membre à part entière de l'île et elle représentait d'une certaine manière un rempart naturel de l'île contre les pirates. Si la tortue venait à partir, alors leur île qui se trouvait à seulement quelques lieux de l'entrer de Grandline pourrait devenir une base pour les pirates qui voudraient se lancer sur la route de tous les périls.
D'un coup, surgissant sous l'un des navire, la tortue quitta son lit et entra dans une colère noire. Le navire qui se trouvait sur sa coque, se retrouvait élever et ne touchait plus l'eau.
Prenant ses responsabilités en main, l'officier baissa les bras et ordonna à sa flotte de navire de faire feu sur la créature. Une bataille navale débuta. Les navires poster de manière à ne pas être atteint par les tirs alliés s'en donnaient à cœur joie.
Sur la plage on entendait très facilement le niveau de violence de l'attaque. Malheureusement pour le navire qui se trouvait sur la coque de la tortue, plusieurs débris entrèrent en collision avec et il ne restait plus qu'un épave en feu. L'officier en chef, n'avait pas de regret. La mission passait avant tout, mais le roi des mers, lui n'était pas prêt à être réduit à l'esclavage.
La bête s'engouffra sous la surface de l'eau et se dirigea directement sur un autre navire. La bête fonça directement sur lui sans même prendre le temps de sortir la tête de l'eau.
Devant la rage de la créature des océans, le navire ciblé quitta la formation et tenta une manoeuvre afin de réduire au minimum les dégâts due à la collision. Le soldat qui tenait la barre était visiblement compétent et si la tortue n'avait pas eu cette épave de feu sur sa coquille, alors le navire aurait pu être sauvé.
Le navire entra en collision avec le second déjà bien abimé. Le résultat de cette fusion était explosif. Les deux navires n'étaient plus bon et ils n'allaient pas tarder à sombrer tous deux au fond de la mer.
L'officier en chef enragea. Cette erreur était impardonnable. Si le sous-officier qui dirigeait ce navire avait suivi à la lettre son plan, la créature n'aurait eu aucune chance de victoire. Tous les capitaines des navires étaient au courant, cette mission était primordiale et le risque de mort était très élevé. Pourtant, tous avaient accepté de participer à la capture. Le choix personnel d'une personne venait de mettre en danger tous les autres navires.
La créature venait de disparaitre et deux navires étaient maintenant détruits. Assis sur son siège, le chef des opérations réfléchissaient à un nouveau plan d'action. Il n'avait pas droit à l'échec surtout maintenant que deux navires sombraient. Incapable de trouver un nouveau plan, l'officier s'apprêtait à jouer sa carte maîtresse, quand la créature fit de nouveau son apparition.
Visiblement, elle n'aimait pas être prise pour cible et comptait faire payer cette tentative de capture aux forces de la marine. Le plan de base inutile et devant le danger imminent, chaque capitaine de navire décidèrent de la marche à suivre quant à la survie de leur navire et de leur équipage.
Fuir n'était pas une option, ils seraient directement jugé en cour martiale.
De nouveau les navires firent parler la poudre, mais ils n'étaient plus en formation de combat. Comme prévu dans ce genre de combat, une seule erreur et tout le groupe était en danger. Certains tirs touchèrent directement la tortue au point de la blesser, mais d'autre explosèrent la coque, le mat où même la cale de navire allié.
La puissance de la tortue diminuait grandement, mais les forces de la marine aussi. Il ne restait plus que trois navires encore capables de naviguer correctement. Les autres, eux ne pouvaient plus bouger, où plus tirer. Dans chacun de ces deux cas, ils ne pouvaient plus compter que sur leur chance pour quitter le navire et sauver le plus grand nombre de leurs camarades.
Le navire du commandant fessait partie du groupe de navire qui se trouvait dans un état critique. Le feu rongeait le navire de l'intérieur et plusieurs boulets de canon mal orienté venait de lui priver de tous moyens de défense.
Contrairement aux autres navires, celui du commandant possédait une chose que n'avait pas les autres. Avant de partir en mission, l'officier en chef avait reçu un objet très rare. Un artéfact qui lui permettrait de maintenir la bête sous son contrôle, s'il arrivait à l'affaiblir suffisamment. L'artefact en question était un rubis de la taille d'un bonbon. Il en existait une très infime quantité dans le monde. Cette pierre très rare était la dernière carte de l'officier.
La tortue avait perdu beaucoup de force et dans un dernier élan de rage, elle se dirigea directement sur le navire de l'officier. Prête à l'engloutir sous les flots, la tortue prenait de la vitesse et ouvrit bien grand la bouche. Fessant face à son adversaire, l'officier se leva de son siège et pointa la pierre dans la direction du monstre. Il jouait sa dernière carte. Si cela ne marchait pas, alors il accepterait son sort avec joie. Tel était sa décision.
La pierre ne semblait pas réagir. Le monstre était encore trop puissant, mais quand trois boulets de canon explosèrent au niveau de la tête du monstre, celui-ci perdit de sa rage et une lueur au niveau de la pierre stoppa le monstre.
Le monstre de l'île n'était plus ce qu'il était. En un instant, il venait de perdre toute sa fougue. Son regard habituellement monstrueux et féroce venait de disparaitre et laissait place à un blanc vide. Comme si le monstre était complètement hypnotisé, incapable d'agir de son propre chef.
Jour de chance où véritable coup de maître, en tout cas la mission était un succès.
Sur la plage, les habitants pleuraient la fin d'une ère, la fin de leur grand protecteur. Les soldats, eux sautaient de joie. Sur les flots, le commandant en chef ordonna aux navire encore capable de naviguer de remorquer la bête. Ils allaient la conduire au Royaume de Bliss sans plus tarder afin de la conditionner comme nouveau navire-arme de la marine.
Maintenant que la marine venait de faire l'acquisition de ce nouveau bateau, Shoma et son groupe allait devoir trouver le lieu où le monstre serait amarré afin de le voler. Ce n'était pas tout, Shoma ignorait tout de la manière de faire de ce navire le sien. Il allait s'en doute devoir s'en prendre à l'officier en chef pour le deviner.