- Si tu as faim mange du poisson !
- Mais je n'aime pas le poisson !
- Mais le chat lui, il doit aimer ! Et puis ça te nourrira !
- Non... Moi je veux des gâteaux, ou de la viande !
- Mais on en a plus ! J'ai essayé dans pêcher mais y'a que du poisson !
- Mais j'en veux paas !
- Tu avais qu'à rester sur ton île ! C'était suffisamment dure comme ça de devoir te quitter mais devoir finalement te retrouver et tout recommencer...!
- Encore une fois c'était pas mon île ! C'était un bateau avec un petit homme ! Et je suis sûre qu'il m'aurait tuée en même temps qu'ils auraient tué le chat !
- Peut être mais...
- Et tu aurais pas eu ton argent ! Tu veux toujours ton argent non ? Tu as dis 200 millions c'est ça ?
- Tu as intérêt de me les donner !
- Mes parents le feront, dès que je serais libre ! Mais pour ça il faut trouver Gluttony ! Et tu dois me nourrir parce que si je meurs, tu auras pas ton argent ! Et en plus tu auras tué un pauvre chaton !
- C'est bon là ! Je fais ce que je peux !
Les larmes aux yeux sous tant de potentiel culpabilité, le débile au chapeau et au pinceau s'apparentant plus à un plumeau continuait de pédaler sans véritablement savoir où nous allions... Car oui, cela faisait maintenant plusieurs jours que nous étions en mers lui et moi, après notre rencontre plus que mouvementée sur Poiscaille où cet idiot d'Alegsis Jubtion s'était mis en tête que si j'étais capable de parler, c'était évidemment parce que le chat que je suis avait mangé une princesse Tontatta.
De là s'était alors déroulée une course poursuite de tous les diables où il a fini par m'attraper malgré tous mes stratagèmes pour le fuir... Mais une fois que ce fut fait, le pauvre cœur fragile du chasseur de prime fut incapable de malmener un pauvre petit chaton aussi mignon que moi...
C'est alors qu'il s'est mis en tête de me ramener lui même sur mon île natale de Tontatta. Je dis "mon" parce que j'ai finalement réussi à le convaincre que la soit disant princesse tontatta dévorée avait pris le contrôle du chat. Seul soucis, c'est que sa stupidité n'a d'égale que... sa stupidité en fait, et qu'il a tenté de m'abandonner aux mains d'hommes dès plus étranges dont j'ai bien crus qu'ils aillaient eux aussi me découper.
J'ai donc du faire un choix rapide : continuer de manipuler cet être stupide incapable de me faire du mal ou tenter ma chance ailleurs ?
Mais ce qui m'a finalement motivé dans mon choix est simple : c'est un chasseur de prime et il m'a déjà emmener dans une caserne de la marine. Et les casernes de la marine doivent pouvoir me mettre en contact avec mon ami d'enfance Toru qui est devenu le nouveau Gluttony et qui semble être responsable de mon état de chat...
Et comme ce chasseur semble trop sensible pour me faire du mal...
- Tu sais où on est ?
- Bien évidemment ! Au milieu de West Blue.
- Et on va où ?
- Tout droit. Cette tontatta est vraiment pas futfut quand même...
Des remarques comme ça, j'en ai le droit à longueur de journée mais vu la personne qui les prononce, ça ne me fait plus ni chaud ni froid. Alors roulant simplement des yeux vers le ciel, mes deux pattes avant sur le bord du pédalo en regardant l'horizon, j'hume l'air marin profondément pour essayer d'oublier les vilains gargouillis de mon estomac.
Un geste qui, bien qu'anodin me fait soudainement éternuer, comme s'il y avait un truc dans l'air qui venait de me chatouiller les narines.
- Si t'es malade, je te préviens, je t'accroche à une corde et tu me suis dans l'eau ! Hors de question que je sois malade à cause d'un chat...
- Je suis pas malade ! C'est juste un truc qui m'a chatouillé le nez !
- Un truc qui te chatouille le nez au milieu de la mer... Allez c'est bon, tu passes par dessus bord !
- Non ! Fait pas ça !
Et voilà que ça recommence. Armé de son plumeau, ou plutôt pinceau, Alegsis tente de m'attraper en gigotant sur son pédalo qui se met à tanguer dangereusement. Moi, vive comme l'éclair j'esquive ses assauts, passant entre ses jambes tandis qu'il se retourne et surpris, prends une grande inspiration qui le fait lui même éternué !
- AH ! Tu vois ! C'est quelque chose dans l'air !
- Tu m'as contaminé !
- Raaah mais non ! C'est pas moi ! C'est l'air !
- Menteuse !
Et alors qu'il profère cette abjecte insulte, j'aperçois alors une île se dessiner devant nous, comme apparu de nulle part.
- Oh ! Regarde, regarde ! On est sauvé ! On va pouvoir manger autre chose que du poisson !
Car oui, l'île qui apparait sous nos yeux n'est qu'à quelques dizaines de mètres de distance et semble tout à fait florissante...
- Mais je n'aime pas le poisson !
- Mais le chat lui, il doit aimer ! Et puis ça te nourrira !
- Non... Moi je veux des gâteaux, ou de la viande !
- Mais on en a plus ! J'ai essayé dans pêcher mais y'a que du poisson !
- Mais j'en veux paas !
- Tu avais qu'à rester sur ton île ! C'était suffisamment dure comme ça de devoir te quitter mais devoir finalement te retrouver et tout recommencer...!
- Encore une fois c'était pas mon île ! C'était un bateau avec un petit homme ! Et je suis sûre qu'il m'aurait tuée en même temps qu'ils auraient tué le chat !
- Peut être mais...
- Et tu aurais pas eu ton argent ! Tu veux toujours ton argent non ? Tu as dis 200 millions c'est ça ?
- Tu as intérêt de me les donner !
- Mes parents le feront, dès que je serais libre ! Mais pour ça il faut trouver Gluttony ! Et tu dois me nourrir parce que si je meurs, tu auras pas ton argent ! Et en plus tu auras tué un pauvre chaton !
- C'est bon là ! Je fais ce que je peux !
Les larmes aux yeux sous tant de potentiel culpabilité, le débile au chapeau et au pinceau s'apparentant plus à un plumeau continuait de pédaler sans véritablement savoir où nous allions... Car oui, cela faisait maintenant plusieurs jours que nous étions en mers lui et moi, après notre rencontre plus que mouvementée sur Poiscaille où cet idiot d'Alegsis Jubtion s'était mis en tête que si j'étais capable de parler, c'était évidemment parce que le chat que je suis avait mangé une princesse Tontatta.
De là s'était alors déroulée une course poursuite de tous les diables où il a fini par m'attraper malgré tous mes stratagèmes pour le fuir... Mais une fois que ce fut fait, le pauvre cœur fragile du chasseur de prime fut incapable de malmener un pauvre petit chaton aussi mignon que moi...
C'est alors qu'il s'est mis en tête de me ramener lui même sur mon île natale de Tontatta. Je dis "mon" parce que j'ai finalement réussi à le convaincre que la soit disant princesse tontatta dévorée avait pris le contrôle du chat. Seul soucis, c'est que sa stupidité n'a d'égale que... sa stupidité en fait, et qu'il a tenté de m'abandonner aux mains d'hommes dès plus étranges dont j'ai bien crus qu'ils aillaient eux aussi me découper.
J'ai donc du faire un choix rapide : continuer de manipuler cet être stupide incapable de me faire du mal ou tenter ma chance ailleurs ?
Mais ce qui m'a finalement motivé dans mon choix est simple : c'est un chasseur de prime et il m'a déjà emmener dans une caserne de la marine. Et les casernes de la marine doivent pouvoir me mettre en contact avec mon ami d'enfance Toru qui est devenu le nouveau Gluttony et qui semble être responsable de mon état de chat...
Et comme ce chasseur semble trop sensible pour me faire du mal...
- Tu sais où on est ?
- Bien évidemment ! Au milieu de West Blue.
- Et on va où ?
- Tout droit. Cette tontatta est vraiment pas futfut quand même...
Des remarques comme ça, j'en ai le droit à longueur de journée mais vu la personne qui les prononce, ça ne me fait plus ni chaud ni froid. Alors roulant simplement des yeux vers le ciel, mes deux pattes avant sur le bord du pédalo en regardant l'horizon, j'hume l'air marin profondément pour essayer d'oublier les vilains gargouillis de mon estomac.
Un geste qui, bien qu'anodin me fait soudainement éternuer, comme s'il y avait un truc dans l'air qui venait de me chatouiller les narines.
- Si t'es malade, je te préviens, je t'accroche à une corde et tu me suis dans l'eau ! Hors de question que je sois malade à cause d'un chat...
- Je suis pas malade ! C'est juste un truc qui m'a chatouillé le nez !
- Un truc qui te chatouille le nez au milieu de la mer... Allez c'est bon, tu passes par dessus bord !
- Non ! Fait pas ça !
Et voilà que ça recommence. Armé de son plumeau, ou plutôt pinceau, Alegsis tente de m'attraper en gigotant sur son pédalo qui se met à tanguer dangereusement. Moi, vive comme l'éclair j'esquive ses assauts, passant entre ses jambes tandis qu'il se retourne et surpris, prends une grande inspiration qui le fait lui même éternué !
- AH ! Tu vois ! C'est quelque chose dans l'air !
- Tu m'as contaminé !
- Raaah mais non ! C'est pas moi ! C'est l'air !
- Menteuse !
Et alors qu'il profère cette abjecte insulte, j'aperçois alors une île se dessiner devant nous, comme apparu de nulle part.
- Oh ! Regarde, regarde ! On est sauvé ! On va pouvoir manger autre chose que du poisson !
Car oui, l'île qui apparait sous nos yeux n'est qu'à quelques dizaines de mètres de distance et semble tout à fait florissante...