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Soren Lawblood, ou l'art d'être dévoué à la tâche.

Bonjour à tous!!! (Je suis poli) Voici the fiche demandée Smile



>> Soren Lawblood






Soren Lawblood, ou l'art d'être dévoué à la tâche. Lawblo13

Pseudonyme : Le joyeux purificateur
Age: 34 ans
Sexe : Homme
Race : Humanoïde
Rang : Lieutenant-colonel (si possible je pense qu'il faut un grand nombre de dorikis)
Métier : Talents de médecins sans réels diplômes
Groupe : Marine
But : Sauver ses pauvres congénères malades

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : UtsuUtsu no mi, fruit de la télékinésie (Demande prochaine)

Équipements :
Spoiler:

Codes du règlement (2) :



1: Être gentil.
2: Être vraiment, mais alors vraiment gentil. (c'est important)



...ou pas ♪

Parrain :




>> Physique


Soren a beaucoup d’atouts pour plaire. En effet que dire de plus devant son charme naturel, ses sourires ravageurs, ses yeux dorés, son corps sculpté, son énorme b… bref, c’est un bellâtre aux premiers abords. Mais que nenni, sa désinvolture et sa modestie n’ont d’égales que son élégance. Si certains pâlissent devant sa capacité naturelle à produire de la mélanine, lui assure avec un grand sourire éclatant que chacun possède sa propre beauté.
“D’ailleurs, vu mon âge je ne vais pas tarder à flétrir et à entrer dans le cercle très sage des vieillards” déclare celui qui n’a pas changé d’un pouce depuis ses vingt-cinq ans.
“Certes mon père est resté le même jusqu’à ses cinquante-six ans, et son père aussi avant lui, néanmoins qui sait? La vie n’est pas toute tracée après tout n’est-ce pas mes amis?”
Ses frusques n’arrangent en rien son apparence à la “seigneur jean” espagnol. Adepte de l’ensemble pantalon noir-chemise blanche-mocassins cirés-arrête de faire ton beau, passant négligemment sa main dans ses cheveux naturellement coiffés, il est bien sûr tout sauf une caricature du mâle un tantinet dandy.
“ Quelle belle paire de cou…leurs!” reçoit-il même souvent de la gente féminine.
Petite fausse note de goût diront certains, il est marqué tel un bovin sur tout le long de son front anguleux. Des croix, stylisées certes mais assez néo-gothiques sur les bords, y sont en effet imprimées. Il arrive cependant souvent à sa chevelure sombre de les recouvrir partiellement si bien qu’on ne les remarque pas forcément aux premiers abords. Il a une bonne raison pour les porter cependant, mais nous sommes encore dans la description physique donc nous n’en parlons pas.
Tiens il est temps de changer de rubrique, nous allons donc pouvoir découvrir le premier des nombreux mystères qui entourent ce personnage caractériel.



>> Psychologie

Sa première qualité, encore une ressasseront les mêmes bavards, est d’être tout simplement d’une amabilité et d’une gentillesse sans borne. Ou alors au moins un millier de celles-ci. Toujours est-il que Soren aime aider son prochain et que ça se voit.
“Plus tu donnes et plus tu recevras.” Chapitre quatre, verset sept.
Peut être que ceci est dû à son intérêt certain pour les arts religieux. C’est un bon croyant et un fervent pratiquant. De quelle ethnie par contre, là est la question. Le livre de poche qu’il transporte n’est pas recensé et ne ressemble à aucun autre existant. Seules les croix étranges sur son front rappellent son appartenance. Il ne faut surtout pas confondre ceci avec une secte! Ce serait fâcheux.
“ Mon culte? Oh voyons vous le connaissez bien! “ est la seule réponse que les gens reçoivent après l’avoir dûment questionné.
Il a choisi un modèle de poche au lieu de prendre le grand volume attesté “Galliétang” à cause des désagréments que celui-ci pouvait causer. Effectivement le célèbre et défunt Bartholomew Kuma aurait souvent eu des élongations et de douloureuses déchirures musculaires en choisissant son modèle personnalisé Supersize du culte le plus commun. Cette taille a d’ailleurs été retirée du marché après que ses effets néfastes pour l’organisme ait été prouvés dans le roman éponyme “Bible Supersize me”.
Plus important (et qui aurait donc du être présenté en premier par l’auteur), Soren joue quelquefois un double jeu. Si son amour pour les hommes est sincère, il est contraint par son devoir de marine de côtoyer de pauvres brebis égarées. Ces hères ont choisi le mauvais chemin, qu’ils soient pirates, civils ou même militaires. Soren ne généralise jamais, au contraire il préconise l’étude des gens au cas par cas. Et ces cas là ont commis des crimes, des crimes volontaires que le petit cœur fragile du lieutenant colonel ne peut supporter.
Dans le passé il avait essayé de les raisonner. Par tous les moyens. En leur parlant, en leur fredonnant “Te Perdre toi même” du talentueux MenimE dans l’espoir qu’ils se rendraient compte. Rien n’avait fonctionné. Il n’avait pu trouver alors qu’une solution, une solution que même son Dieu ne préconisait pas, enfin pas dans les premières pages du bouquin en tout cas.
La libération.
Un individu lambda aurait peut être qualifié cela de purge ou de comportement dangereusement psychotique. Point du tout! C’était simplement la réponse à un appel. Un appel à l’aide qu’on prenait trop souvent pour de la barbarie. Et la réponse se devait d’être à la hauteur.
Depuis quelques années il rendait donc service à toutes ces âmes en peine.
Pour se faire il pouvait heureusement compter sur ses fidèles alliés. Cinq camarades qui ne rechignaient jamais à l’aider dans sa quête harassante et psychologiquement pesante. Cinq lames.
Le passage vers la rédemption ne s’obtenait cependant pas si aisément. Il fallait comme pour tout payer un prix. Un coût que les gens appelaient “souffrance”. Malheureusement elle devenait une nécessité afin de soulager la conscience et guider l’âme vers les contrées infinies où elle pourrait se reposer en paix.
Même si les fautifs s’y refusaient souvent, ils le désiraient au plus profond d’eux même. Soren entendait cette petite voix murmurer un remerciement. On lui montrait enfin de la reconnaissance. Car les honnêtes gens ne comprenaient étrangement pas non plus ses actes. Ils l’auraient arrêté s’ils avaient su. Il devait donc prendre garde à ne pas laisser les autres voir ce qu’il faisait. Obliger de se cacher tel un rat puant. Quelle tristesse! Le marine en pleurait de désespoir parfois. Les mouchoirs Botus l’aidaient alors à garder le cap et à vider ses poches nasales embrumées.
Soren avait beaucoup de mal à laisser un homme souffrir. Il lui était donc psychologiquement très difficile d’arrêter un gros criminel et de le laisser se faire amener dans une prison lugubre où il devrait attendre trop longtemps avant de trouver enfin le repos. Ses fonctions le mettaient d’ailleurs dans des positions délicates, car isoler un futur repenti avant ses confrères ne le trouvent, puis simuler un accident après l’avoir guidé vers le royaume divin devenait ardu. Néanmoins les encouragements de ses fidèles soldats le poussaient à redoubler d’efforts dans son travail.
Quelle allégresse de pouvoir entendre tous ces rires innocents! On lui rendait son amour et ceci valait bien tous les sacrifices du monde. Il sentait son tout petit cœur faire boum boum à l’intérieur.
D’ailleurs comme disaient les saintes écritures: “Un homme plein de bonté ne peut qu’aider ses compagnons à ressentir la paix intérieure.” Chapitre deux, verset deux.



>> Biographie

Soren est né sur une île paisible de North Blue. Le nom n’est pas très important et de toute façon cet endroit n’apporte pas grand chose à l’histoire globale. Ses parents étaient très aimants, sa mère boulangère et son père marine de renom.
Dès ses plus jeunes années notre protagoniste a donc toujours voulu embrassé la vie militaire. Si sa mère avait bien sûr comme d’habitude peur pour la vie de ses fils, elle ne put aller contre leur volonté. “Ses fils” oui car Soren avait un petit frère. De trois ans son cadet, Rodolphe, ou Rod comme on l’appelait dans la famille était encore plus déterminé que lui. Mais nous y reviendrons plus tard.
Leur enfance se passa dans une tranquillité tout à fait naturelle. Leur éducation était assurée à l’école du village et ils ne manquaient pas de nourriture, surtout de pâtisseries, à la maison.
Maman, je peux avoir une chocolatine avant l’entraînement?
- Chéri, je t’ai déjà dit qu’on dit pain au chocolat ici. La chocolatine c’est bon pour les gens du sud. D’accord?
- Oui maman. Alors je peux? Ensuite j’irais travailler dur pour être aussi fort que papa !
- Très bien Rod, une seule alors.”
Lorsque Soren eut douze ans révolus, un incident survint cependant. Son père, alors contre-amiral promit à un avenir radieux, fut rétrogradé subitement. La version officielle était une mutation vers une base plus proche de sa famille. Le jeune garçon et son frère n’apprirent la vérité que deux ans plus tard, quand un soir son père en pleurs leur confessa son “erreur”.
Ce gouvernement est corrompu. Je n’ai pas été muté les enfants, vous êtes en droit de connaître la vérité. En réalité, après trois ans de traque je venais de réussir à coincer le redoutable Jessie Jacques, quand le gouvernement m’a alors sommé de le relâcher. Vous vous rendez compte? Cet assassin, ce meurtrier avait la protection du gouvernement en échange de quelques informations sur d’autres pirates.
- Et alors papa tu l’as relâché?
- Non, Soren, je n’ai pas pu. Tant de travail, tant de compagnons perdus, pour ça? J’ai… j’ai refusé l’ordre de mon supérieur. On m’a alors fait traduire en justice secrètement puis on a décidé que ma carrière n’était pas si prometteuse que ça. J’ai tout perdu les enfants, je n’ai plus que vous. Je compte sur vous pour leur prouver à tous qu’on peut être un défenseur du bien qui n’accepte pas les magouilles et qui ne courbe pas l’échine. Les enfants je serais là pour vous à présent. Vous êtes le futur.
Regardez au delà de ce que vous voyez.”
À la suite de ces paroles mystiques, les deux terreurs avaient travaillé plus que de raison. Rodolphe, tout particulièrement, prit l’injustice de son père pour la sienne et en devint presque forcené.
Ils partirent tour à tour à dix-sept ans afin de devenir de valeureux marines. Rapidement les deux se firent une certaine réputation et les noms de Soren et d’A-Rod commencèrent à chatouiller les oreilles des hautes sphères.
Cependant Soren, contrairement à son frère, commença à douter. Ses objectifs étaient précis mais il avait l’impression de vivre la vie perdue de son père plutôt que la sienne. Son esprit s’embrumait, les pompes et les courses d’entraînement ne purent le combler plus longtemps. C’est alors qu’il fit la connaissance d’un homme. Un homme qui allait changer complètement sa manière de voir les choses.
Son nom était Lestat. Il ressemblait à un acteur hollywoodien, quoique assez petit et le teint un peu blanchâtre. Au cours d’une de ses missions, le jeune Lawblood (un nom assez étrange d’ailleurs), dix-neuf ans à peine, put déceler une sagesse éternelle chez son futur instructeur.
Tu es peut être l’homme que je recherche depuis si longtemps.”
Il guida quelques temps le jeune marine alors que celui-ci se perdait de plus en plus. Et lui fit découvrir une vision de la vie passionnante.
“Je crois qu’il est temps de t’initier à l’éducation suprême. Tu es prêt.”, lui déclara-t-il après deux mois.
Il sortit un livre de poche de sa besace et lui présenta. En même temps un dessin tomba du sac. Il représentait une pyramide coupée en deux surplombée d’un œil omniscient.
Qu’est-ce donc? J’ai déjà vu ce signe mais où ça?
- Non, non, ça n’a rien à voir, regarde plutôt ce livre, dit Lestat en rangeant rapidement ledit papier.
- Quel est ce livre alors?
- C’est le culte de (un crapaud-buffle croassa alors si fort que seules les deux personnes purent entendre le nom pourtant si important).
- Le culte de (décidément le crapaud était bien malade) ?
- Oui c’est un recueil très rare et très important. Seuls les plus dignes ont l’honneur de le lire et d’appliquer sa doctrine à travers le monde.
Grâce à lui tu ne seras jamais perdu.
- Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Vous me croyez assez naïf pour croire n’importe quoi?
- Lis-le un peu dans ce cas, c’est tout ce que je te demande. S’il ne te plaît pas tu me le rendras. “
Soren avait alors dévoré le recueil. Tous ces écrits étaient si censés. Il se sentait enfin paisible en récitant les chapitres un par un. Il se révéla, ses idées s’éclairèrent, son but lui parut limpide. Il allait devenir un grand marine oui. Il combattrait le crime bien entendu. Mais il était maintenant investi d’une mission sacrée, aider les autres.
Lestat fut heureux de pouvoir poursuivre l’apprentissage de son poulain. Il lui apprit à mettre en pratique toutes les doctrines du livre sacré. Son instructeur l’emmena même dans des endroits secrets, une caverne, une montagne, un temple, une vallée… Dans chacun de ces endroits se trouvait une petite salle dans laquelle un piédestal argenté reposait. Au centre de celui-ci trônait un œuf qui s’ouvrait au contact de Soren.
A l’intérieur, aussi curieux que cela puisse paraître, se trouvait une petite dague. Lestat lui expliqua alors que ces dagues étaient destinées à servir un maître spécifique et à l’aider, et que l’ouverture de leur prison désignait leur nouveau possesseur. Cinq nouveau-nés furent ainsi découverts. Cette histoire sentait mauvais le vieux scénario de film de série Z mais Soren ne s’en formalisa pas.
“Ces lames font partie de toi à présent, elles grandiront et se fortifieront au fur et à mesure de ta quête. À toi de découvrir et d’exploiter leurs pouvoirs.”
Après plus de deux ans, alors que sa progression avait été fulgurante, il eut une discussion controversée avec son maître. Celui-ci devait en effet lui parler d’une chose apparemment importante:
Soren, voilà déjà un bon moment que tu honores pleinement notre ordre. Tu as même déjà eu ta première croix sur le front, symbole de prestige et de travail acharné. Mais aujourd’hui tu dois savoir quelque chose. Tu l’as sans doute déjà remarqué, mais on ne peut changer le monde et les gens simplement avec des belles paroles. Moi aussi pendant longtemps j’ai cru à ça, mais il y a trop de travail, trop d’hommes souffrent d’un mal quasi-incurable.
- Que voulez-vous dire? Je ne me suis jamais senti aussi utile qu’en ce moment! J’ai même mon visage sur des tasses et on a créé un slogan de café à mon nom vous vous rendez compte?
“ Le café Soren, quand ça va pas c’est une aubaine!”
Je rends les gens heureux et il n’y a rien de plus important pour moi.
- Certes, je peux comprendre. Mais n’as-tu jamais croisé des âmes en peine, qui ne pouvaient trouver la paix? Allons un officier tel que toi a dû voir la réalité en face. Ce monde est plein de victimes qui ne cherchent que le repos. Dans leur rage et dans leur tristesse elles commettent des pêchés impardonnables. Tu ne peux laisser ces frères souffrir sans réagir.
- Non… non je ne peux pas faire ce à quoi vous pensez. Je suis heureux, ma famille est fière de moi, mon frère me prends pour modèle, je ne peux m’infliger ça.
- Si tu es un vrai membre de notre ordre, tu penseras aux autres avant de te soucier de toi-même. Es-tu si égoïste? T’es-tu servi de nos écritures pour ton seul bénéfice? Les deux derniers chapitres traitent de ce que je viens de te dire, tu l’as remarqué n’est-ce pas?
- Je…
- Suis nos enseignements ou abandonne tout et reviens à ta vie misérable d’antan. Je te laisse une semaine pour décider.”
“Vivre heureux est une utopie. Chaque moment de fête s’accompagne de sa contrepartie qui souvent nous brise et nous détruit. Une vie sans tracas est donc une vie de néant. Relever la tête et se battre est la seule solution, aussi douloureuse soit-elle.” Chapitre six, verset dix-sept.
Que devait-il faire? Ce fut la question qui le tarauda durant ces sept jours. S’il rentrait dans ce cercle, il ne pourrait plus jamais vivre paisiblement. Mais rester en dehors serait une preuve de faiblesse et d’un engagement illusoire. Après avoir longuement réfléchi, après plusieurs nuits blanches à se torturer psychologiquement il avait dû faire son choix. Le seul à être censé.
Son maître attendait la réponse. Avec impatience et avidité:
J’ai fait mon choix maître. J’ai cherché pendant longtemps, un dernier dilemme m’a même déchiré le cœur. Au final une décision s’imposait. Mais avant cela je veux que vous sachiez que ce n’est pas contre vous. Je ne fais qu’exprimer la volonté d’un dogme auquel je suis rattaché. Ne m’en voulez pas pour ça s’il vous plaît.
- Alors tu as choisis la fuite. J’avoue que cela me surprends un peu, mais très bien, je dois en référer au prophète et…
- J’avais rencontré il y a six mois un homme qui vous connaissait. Apparemment, vingt ans plus tôt vous écumiez les mers ensemble, en tant que pirate. Vous n’avez pas toujours été si respectable, maître.
- Tu… Grrr, de toute façon je ne suis plus le même, cette époque est révolue.
- Le raisonnement a changé mais vos anciens actes resteront à jamais gravés dans la roche de votre cœur.
“Le passé ne peut être oublié. Qui a pêché une fois recommencera.” Chapitre un verset quatre.
- Que… que signifie…?
- Je suis sincèrement désolé maître. Je n’avais pas pu entendre votre ancien appel à l’aide. Mais à présent tout sera pardonné ne vous inquiétez pas. Je veille sur vous.
- Attends! Que fais-tu? ATTENDS!!!
Grâce à Edmund son maître trouva enfin la paix. C’était sa première âme libérée. Le processus avait été maladroit mais l’essentiel demeurait, le cycle était lancé. Sa mission pouvait commencer, même si sa raison parfois pouvait vaciller.
Le temps passa, avec son lot de joies et de souffrances. Son sourire jamais ne s’estompa, hormis durant deux jours noirs. Le premier fut à ses vingt-quatre ans. Son frère, qu’il aimait tant, disparut de la circulation. Personne n’entendit plus jamais parler de lui. Cette disparition marqua profondément le marine, qui ne s’en remit jamais vraiment.
Le deuxième fut sept ans plus tard quand son père succomba à une maladie fulgurante. Il resta le seul à pouvoir porter sur ses épaules le rêve d’une famille entière. Mince réconfort dans la détresse, le père Lawblood eut le temps avant de succomber de susurrer la phrase sacrée: “Je suis fier de toi mon fiAAAAAARGGGH.”
Dévouant sa vie aux autres, Soren ne put jamais trouver l’amour. Du moins ne savait-il pas vraiment ce que c’était. Il avait crû le rencontrer un jour, mais miss Johansson, pourtant si intéressante, lui confessa avoir malheureusement un jour tué de sang-froid, en silence, telle une veuve noire. Le sien ne tarda alors pas à refroidir après ça.
A maintenant trente-quatre ans et demi, Soren Lawblood pouvait se targuer d’avoir un CV sans fausse note. Le bonheur des autres ne devait pas souffrir des remords d’un seul homme, un rire enjoué suffisait alors à attirer la sympathie. Et à cacher quelques petits problèmes personnels.

>> Test RP


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Informations IRL

[list]Prénom : Jet

Age : 19

Aime : Les scénarios vraiment bien ficelés

N'aime pas : Les scénarios pas vraiment bien ficelés (original)

Personnage préféré de One Piece : Kuzan dit Aokiji, Basil Hawkins

Caractère : (définissez vous en quelques mots) Joyeux, bondissant! Sinon un brin de gentillesse et une grande dose de "oh allez on prend la vie par le bon bout!" (rires)

Fais du RP depuis : Un an et demi

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Disons 2 ou 3 jours pour commencer, peut être encore plus plus tard

Comment avez vous connu le forum ? Ancien membre de One Piece Reign, forum sur le graaaand déclin. Un compagnon de cet ancien forum (d'ailleurs présent ici aussi)


Dernière édition par Soren Lawblood le Sam 17 Sep 2011 - 19:40, édité 3 fois
    Bonjour et bienvenue, tu peux upper si tu as des questions ou si tu veux ton test rp ^^
    Il te manque les deux codes du règlement ;)
      J'ai mis deux codes vraiment essentiels, pour le reste je suis prêt pour le test RP ;)

      Si j'ai d'autres questions par la suite je pourrais te mp directement?



      Merci pour tout déjà, et bon travail pour gérer le fofo. ;) (qui a dit lèche cul?)
        Bonsoir (ou bon matin, question de point de vue x)) et bienvenue !

        Bon, ça nous fait encore un Soren, mais comme ce pseudo est coul, c'pas grave \o/

        Déjà, pour les MP, il te faudra attendre d'avoir 5 post à ton actif pour pouvoir en envoyer, donc en attendant, tu peux poser tes questions ici, ça ne pose aucun souci =)

        Ensuite, pour les codes, je ne sais pas où tu as trouvé ça, mais ce n'est pas ça Oo Les deux parties du code sont cachées dans le réglement du forum (Charte & Charte RP) et il faudra que tu les mettes entre balises [hide][/*hide] (sans l'étoile).

        Et pour terminer, ton teste RP !

        Tu te trouves dans une ville de ton choix lorsque tu te fais accoster par une jeune femme charmante. A peu près ton âge, très jolie et ayant beaucoup d'esprit, tu te laisses aller au jeu de la séduction avec elle. Lorsqu'elle t'attire dans une ruelle déserte, tu ne flaires pas le piège, embrumé par son parfum entêtant (drogue ?), et te fait assaillir par un petit groupe de révolutionnaires en quête d'informations sur les plans du gouvernement. Comment réagis-tu ?

        Bonne chance !
          Yop, les deux codes y sont mais ordonnés bizarrement XD
          Bonne chance !
            Voici le test Rp TANT attendu (enfin tant, question de point de vue^^).






            ********





            *L’architecture de ces moulins est vraiment fascinante. Tant de gens ont dû s’épuiser pour construire ces merveilles, mais quelle fierté doit envahir leurs cœurs une fois un si beau travail accompli ! *
            Le voyage avait été long, mais la vue splendide de la mignonne bourgade de Selpèle suffisait à faire s’évanouir tout regret supposé. Depuis qu’il s’intéressait aux moulins à vent, Soren s’était mis en tête de traverser South Blue pour venir les observer ici. Un vent frais lui caressait les cheveux, le soleil en avait encore pour quelques heures avent de se coucher derrière la colline.
            D’un pas aérien et élégant, le marine se baladait tranquillement dans les rues de Selpèle, observant tous les petits détails de son entourage : un vieux monsieur ramassant une tomate tombée de son étal, un petit garçon innocent faisant la roue pour épater ses camarades.
            L’air sentait bon la joie de vivre et la bonté. Tant de villes sur Grand line ou sur les mers bleues n’abritaient que des criminels ou des hommes rongés par la folie. Ici on sentait bien que de telles personnes n’avaient pas leur place.
            Après plusieurs minutes de déambulations, il arriva devant le plus gros moulin de l’île, non loin de la mer. Cet édifice ambitieux devait bien mesurer une douzaine de mètres, et sa simplicité apparente contrastait avec sa complexité réelle. Pendant de longues minutes, il resta là, heureux, à s’imprégner de la puissance du lieu.
            « Ce moulin est hypnotisant n’est-ce pas ? »
            Une voix très mélodieuse et sensuelle venait de prononcer ces mots. Une voix de femme. En se retournant, le fils Lawblood découvrit une créature ravissante.
            Plus encore que son sourire charmeur, elle dégageait une aura de sérénité et de passion qui pouvait aisément faire perdre la tête à quiconque. Ses longs cheveux bruns ondulaient au fil de la brise qui les enveloppaient.
            « En effet, trop de personnes n’y voient qu’une structure sans vrai relief, sans histoire propre.
            - Mais vous et moi nous savons que ces gens ne connaissent rien à l’art.
            - Je n’oserais pas me targuer d’être un spécialiste cependant. Je ne suis qu’un amoureux amateur, un apprenti passionné. Mais je m’égare, permettez moi de me présenter, Soren Lawblood, pour vous servir.
            - Je vois que vous êtes un gentleman, ceci n’est pas déplaisant. Beaucoup de femmes doivent se pâmer devant vous.
            - Rares sont celles qui ont votre charme, mademoiselle, madame… ?
            - Léanne, je m’appelle Léanne. Voudriez-vous vous promener quelques instants en ma compagnie ?
            - Et bien ma foi miss Léanne, ceci est une proposition fort alléchante que seul un idiot refuserait. »
            Les deux compagnons se perdirent donc dans les méandres de la petite métropole, s’égarant au fur et à mesure, discutant élégamment de sujets voluptueux :
            « Vous savez Soren, je dois vous avouer quelque chose. Je vous avais déjà vu quelque part et c’est en grande partie grâce à cela que j’ai eu le courage de vous approcher.
            - Ah oui ? Où donc nos routes se sont-elles déjà croisées ?
            - J’ai eu la chance de vous observer longuement. Votre sourire était déjà si plaisant, même si vous aviez quelques années de moins. Lors d’un de mes voyages sur East Blue, j’ai en effet pu voir votre visage sur les murs, et goûter votre fameux café.
            « Le café Soren, quand ça va pas c’est une aubaine ! »
            - Oh, vous m’en voyez très touché, mais je n’étais que le modèle, pas le créateur de ces arômes suaves. »
            La promenade continua, toujours plus belle et romantique. Au détour d’une avenue, la gente dame proposa de prendre à gauche, vers une petite ruelle escarpée.
            L’endroit était désert et mal éclairé, ce qui contrastait avec la grande luminosité du reste des lieux. Après quelques pas, Léanne s’arrêta. Elle fit signe au marine de ne plus bouger et avança de quelques pas supplémentaires. Dès qu’elle fut un peu loin, un évènement inattendu se déroula.
            Quatre silhouettes encapuchonnées surgirent des ténèbres et entourèrent l’officier. Chacune revêtait une cape grise de laquelle on pouvait voir dépasser un fourreau. Les damoiseaux étaient armés et ne rigolaient pas. Un des quatre hommes, visiblement le chef, brisa le silence :
            « Bien joué Abby, j’en parlerai au patron il sera fier de toi. Ne bouge pas maintenant on s’occupe du reste.»
            La supposée Léanne, un sourire gêné sur le visage, acquiesça d’un air rassuré.
            « Que, que signifie ce traquenard ? Léanne, vous m’avez piégée ? Je ne peux pas croire que cette amabilité ait été mensongère. Je suis assez déçu, vous en conviendrez.
            - Tais toi ! C’est avec nous que tu traites maintenant. Nous savons qui tu es, Soren Lawblood, lieutenant de la marine. Et tu dois posséder des informations qui nous intéressent.
            - Vous êtes organisés, j’en conclus donc que vous n’êtes pas de simples bandits. A première vue, je dirais… révolutionnaires ?
            - Tu n’as pas à savoir de choses superflues. Nous sommes quatre, tu es seul. Et nous sommes entraînés. Tu vas gentiment nous suivre à présent, nous avons quelques questions à te poser. Si tu es sage tu pourras rentrer chez toi avec seulement quelques dents en moins.
            - Oui, révolutionnaires. Hum, que pourraient-ils vouloir savoir ? Oh il y a tellement de choses…
            - Tu m’écoutes ? Ne nous oblige pas à te passer sur le corps !
            - Un instant, un instant, laissez au moins un pauvre monsieur réfléchir une minute. Je suis à vous juste après.
            - Dernier avertissement, suis-nous sans discuter.
            - Bon, on va dire que c’est bon. Tant pis je n’ai pas trouvé, enfin j’ai des soupçons. Mais je me laisse encore prendre au jeu, j’en reviens à vous chers messieurs. Vous avez fait deux erreurs sur mon compte. Et le problème c’est qu’elles sont assez graves si j’ose dire.
            - Je me fiche de tes divagations, tu…
            - La première erreur vient de votre charmante acolyte. Léanne, ou apparemment Abby, vous avez mené un superbe jeu de séduction, mais vous devez savoir qu’il ne faut pas aller trop loin. Votre beauté disparaît aussitôt l’envoûtement brisé.
            - Que, qu’ai-je fait ?
            - Votre remarque sur le café éponyme était très pertinente. Cependant je suis navré de vous apprendre qu’elle n’a été largement répandue que sur North Blue, vous n’avez donc pas pu la voir sur les mers de l’est, mais sur le rapport qu’on vous a donné de moi, là oui par contre. Il m’était alors aisé de focaliser mon attention sur les mouvements que j’avais perçu depuis un petit moment.
            - Je…
            - Alors bien sûr j’aurais pu fuir. Mais ceci n’aurait pas été nécessaire. Et cela nous ramène à votre mégarde suivante. Cette deuxième fausse note vient de votre réseau d’informations messieurs. De combien de temps date votre rapport ?
            - Quelle importance ? Tu ne…
            - En vous observant vous mouvoir discrètement, j’ai eu le loisir de jauger votre niveau. Et même si vous êtes un tant soi peu doués, il faut que vous sachiez que je ne suis plus un simple lieutenant depuis un petit moment. Cette mission ne devait donc pas vous être confiée, je suis vraiment désolé pour vous.
            - Tu te fous de nous ! J’ai déjà affronté un bon nombre d’officiers, tu seras juste un nom de plus dans nos registres.
            - Heureusement, je suis si content ! Vous ne dégagez pas d’aura meurtrière, vous êtes sur une mauvaise voie mais vous pouvez encore vous en sortir. Je vais vous aider. Je ne me servirais donc pas de mes engins de mort, soyez rassurés.
            - Tu feras moins le malin avec un bras en moins ! »
            Sur ces mots les quatre assaillants fondirent sur leur proie, comme une meute de loups se jette sur un pauvre agneau esseulé.
            Mais l’agneau en question devait avoir bu une sacrée dose de Pouvoirade (la boisson des champions !) car il ne se laissa pas dévorer sans réagir. Esquivant une lame, il asséna pas moins de trois coups de coudes à la gorge à son premier assaillant. Celui-ci tomba à la renverse, cherchant désespérément de l’air.
            Le suivant eut droit à une esquive suivi d’une pichenette qui l’envoya à la rencontre d’un de ses acolytes. Les corps s’entrechoquèrent. Hébétés mais pas abattus, ils se relevèrent rapidement pour repartir au combat. Le chef restait un peu en retrait, testant l’efficacité de ses hommes. Les deux guerriers, une fois debout, regardèrent droit devant eux… pour n’y voir personne :
            « Je suis ici les amis ! » s’amusa Soren en leur chuchotant ces mots doux aux oreilles. Deux coups nets sur la nuque eurent raison de leur résistance.
            Seul le chef demeura debout, la mine quelque peu surprise.
            « Il ne reste que nous deux je crois.
            - Tu… tu ne payes rien pour attendre ! »
            Sur ces mots le roquet lança un couteau que le marine esquiva aisément. Cette manœuvre lui laissa cependant le temps de se reculer et de se placer près de sa complice révolutionnaire… pour aussitôt dégainer son arme et la plaquer sous le coup de celle-ci. Elle laissa échapper un petit cru de stupeur :
            « Alors on fait moins le malin hein ! Jette tes armes et rends toi. Vite ! Ou elle dira bientôt bonjour au peuple des damnés. Je ne plaisante pas, je n’aurai aucune pitié.
            - Je ne peux pas croire qu’on puisse se comporter d’une façon si dégradante, aussi malotru que l’on soit. Prendre une femme – si belle qui plus est- en otage est tout simplement scandaleux. Je me suis trompé, tu ne peux pas guérir de cette manière apparemment. Mais j’entends ton appel à l’aide, je l’entends et je ne le laisserai pas se perdre dans le néant.
            - Je t’ai dit de jeter ton arm… »
            La suite fut assez confuse. En un éclair Soren dirigea sa main vers sa ceinture. Avant que quiconque ait pu comprendre quoi que ce soit, une dague brune épaisse s’était logée dans la main droit de son opposant.
            Celui-ci cria de douleur et, pur réflexe, lâcha son arme. Il s’apprêtait à la ramasser quand un violent coup de poing l’atteignit en plein visage. Il s’effondra et demeura inerte sur le sol nu :
            « Cher demoiselle, je vous fait une faveur, vous pouvez partir. Vivez comme vous l’entendez, ne vous laissez seulement jamais tenter par la tentation de tuer, car c’est un pêché qui vous hantera pendant longtemps. Ces hommes sont à présent sous mon contrôle, vous pouvez rejoindre une autre de votre équipe ou changer complètement, le choix vous appartient. Ne dites rien et filez à présent. »
            Une fois la splendide traîtresse partie, Soren récupéra son arme :
            « Désolé de t’avoir réveillé si brusquement Edmund, mais tu comprends, je n’allais pas rester sans rien faire et laisser un drame arriver. Je vais prévenir le QG de la ville que trois forbans sont à venir chercher. Tu peux te reposer. »
            En rengainant sa lame (après l’avoir essuyée tout de même, question de propreté), le marine observa les corps évanouis. Sans compter le chef, ils n’étaient pas si vils. Ils pourraient s’en sortir après une bonne remise en question.
            L’officier sortit alors de sa cachette une autre de ses lames. Celle-ci était petite, et on pouvait presque la confondre avec un économe. Seul le bout de sa poignée rappelait plus un porte clé, avec un trou suffisamment grand pour laisser passer deux doigts :
            « Mél, je vais avoir besoin de toi ma chérie. Tu vas devoir transmettre nos coordonnées à la base. Ne t’en fais pas nous ne serons pas séparés longtemps, je dirais aux soldats de te ramener près de moi. »
            Après avoir attaché les forbans puis avoir accroché un message à ladite Mél et l’avoir envoyé en l’air avec une force assez impressionnante (pas trop non plus) en direction de la base, Soren se tourna vers le chef qui émergeait de son inconscience. Il s’agenouilla devant lui :
            « Ne t’en fais pas, je suis là, tout ira bien, je vais t’aider. Nous ne sommes plus que tous les deux, tu ne dois pas avoir peur. »
            Il le pris sur ses épaules et commença à marcher en direction d’un lieu encore plus sombre, où personne ne pourrait surprendre ce qu’il allait faire. Une personne de plus avait besoin d’aide aujourd’hui. Accomplir ces actes ne lui procurait que de la tristesse bien sûr, mais il ne pouvait se soustraire à son devoir. Cet homme serait bientôt délivré.
            En chuchotant des paroles réconfortantes, Soren s’enfonça dans les ténèbres.
            ****

            Voilà! Si vous avez besoin d'informations supplémentaires, j'y remédierais le plus vite possible Smile

            PS: Je voulais savoir à quel moment je pourrai poster pour faire une demande de FDD, je peux pas actuellement Smile
              Pour ton FDD, tu peux d'ores et déjà te renseigner, notamment si tu veux créer un fruit afin de savoir s'il sera accepté, ça ne pose pas de problème.

              Si tu veux simplement réserver un fruit existant, tu pourras le faire dès que tu seras validé.
                Et sinon le test rp est terminé ?
                  Oui juste au dessus, il est dans la boîte. Pour le FDD je l'ai déjà créé, je le proposerai quand je serai validé du coup.
                    Yahaa !

                    Je n'aurais qu'une chose à dire : chocolatine !! Toulousain Toulousain !

                    Pour cela ta fiche mérite 2500 Dorikis d'entrée, que je t'offre sans hésiter. Ahem. Retour au direct.

                    Fiche très très sympathique à lire, franchement, truffée d'humour et de références à repérer un peu partout dans ton texte. Le Bible Supersize Me, la Chocolatine, A-Rod et les autres m'ont beaucoup fait rire ( ouais, l'US Open c'était y'a pas longtemps s'pour ça ).

                    Tu arrives très bien à glisser tes petits délires dans ton texte, ça ne choque pas à la lecture, carton plein donc de ce côté.

                    Sinon, peu de fautes, quelques maladresses ( ex : d’une gentillesse sans borne. Ou alors au moins un millier de celles-ci ) mais ça reste bon dans l'ensemble. Un personnage bien ficelé donc. Petit hic côté description psy, tu passes sans crier gare du présent au passé.

                    Côté remarque également, sur ton test RP, tu aurais pu introduire des incises pendant le dialogue, pour décrire l'intonation de la voix ou la gestuelle des personnages par exemple. Ça fait un peu vide sur ce passage en particulier.

                    Mais dans l'ensemble, ça reste bien écrit, et très drôle de surcroît. 625 Dorikis pour moi.

                    Pour tes dagues, il faudra revoir ça en détail pour ta FT. Il y aura sans doute quelques petites précisions et / ou modifications à apporter aux descriptions que tu proposes.

                    Pour le grade, idem, tu ne seras pas forcément Lieutenant-Colonel, il te faudra faire une demande de grade une fois la validation en poche. Voilà ce sera tout, et merci pour ce moment de franche rigolade, ça promet pour les RPs.
                      Haha, merci Rik! Smile



                      Okay pour les futures modifications, j'apporterai ce qu'il faut. (J'ai dessiné les dagues déjà par exemple, mais étant donné mon inculture beauxartsriennes -oui oui ça se dit - je vais peut être les refaire.)



                      Merci pour la critique en tout cas, content que cela ait plu à mon cher toulousaaain Smile



                      Ps: Pour ladite phrase: "d’une gentillesse sans borne. Ou alors au moins un millier de celles-ci ", c'était une référence au célèbre jeu les 1000 bornes. Mais j'avoue que c'était pas très clair ^^.



                      J'ai un vote du coup, il en manque 4 si j'ai bien compris.
                        Bon, je me suis penché sur ta présentation, voilà le verdict d'entrée de jeu : 450 dorikis.

                        Les descriptions ne me satisfont pas. D'un coté, on a une description physique, si elle est drôle, assez incomplète. Même s'il y a le bon nombres de lignes, tu nous lâche que peu d'information sur son physique. Au final, on connait bien son attitude, mais pas grand chose sur son aspect en particulier. C'est insuffisant.
                        Passons à la description psychologique, qui encore une fois, ne me va pas. Plus que de connaître réellement sa ligne de conduite, sa manière de considérer le monde qui l'entoure et ses "caractéristiques" qui en ferait un personnage unique, tu nous balance une version commentée des événements. C'est déjà très redondant avec ton histoire, en plus de trainer en longueur et de nous faire complètement lâcher l'affaire. Les quelques informations qu'on arrive à en extraire sont également insuffisantes.
                        L'histoire. Alors, je suis conscient que tu as pris le partie de jouer sur une façon d'écrire. Le temps, le vocabulaire utilisé nous montre bien que tu nous joue une parodie. Et tu la joue tellement bien qu'on croirait avoir affaire à un personnage trop kitch, justement. Les dialogues sont parfois totalement plats. Ton enfance en elle même, avec le dialogue de ton père est hyper cliché ; Le coup de Lestat qui vient te trouver en te disant presque que tu es l'élu ; et même son meurtre de sa famille et j'en passe. Tout ces éléments scénaristiques, je ne peux pas les cautionner, même si c'était à but purement humoristique.
                        Encore une fois dans ton test rp, c'est l'incertitude. Déjà, la ville que tu peint est tellement tranquille que sa en devient pittoresque. Au final, tu use tellement de cette manière d'écrire que les effets de style que tu essaie de faire passer deviennent quaduc par excès. Pareil pour le piège que tu devine trop facilement, et la bastion que tu maitrise que trop bien.

                        Bon d'un autre coté, c'est bien écrit, et tu as fait le partie d'écrire d'une manière plutôt que d'une autre, mais c'est vraiment pas assez cohérent pour être un minimum crédible.


                          Bon, j'vais répondre à Céz car pas franchement en accord avec son point de vue.

                          Pour les descriptions, oui, elles pourraient être étoffées, mais ce qu'il en dit surtout côté psy, en relatant des évènements est déjà riches en informations sur le personnage. Un homme bon qui suit son dogme et considère avec tristesse les pêcheurs autour de lui, à tel point qu'il prend sur lui de les condamner pour leurs actes. C'est pas écrit tel quel noir sur blanc, mais toutes les informations recoupées nous le présente ainsi. C'est déjà plus que suffisant pour cerner un minimum le personnage. Donc, oui, y'a des vides, c'est pour ça que je ne lui ai pas donné plus, car sur la qualité d'écriture, il n'y a pas grand reproche à faire, mais en interprétant le texte proposé, on peut recueillir quand même un certain nombre d'informations.

                          Ceci dit, sur les descriptions, je reste à peu près d'accord. Là où je le suis beaucoup moins, c'est sur un point relevé, la cohérence. La fiche nage dans l'absurde complet, que ce soit par la teneur des dialogues ou par les évènements auxquels le personnage a été confronté. C'est affirmé, c'est revendiqué. Il n'en reste pas moins que si tout est tourné de cette manière, les actes en eux-même répondent à un enchaînement logique tans dans l'histoire que le test RP. Il y a un scénario qui suit son cours, et si on s'en tient au plan du texte à chaque fois, il n'y a rien qui puisse être considéré comme une erreur. Pas de bug niveau timing, ou autre.

                          Partant de là, on aime ou pas, mais le mec va forcément tout mettre à l'œuvre pour grossir ce trait particulier. Son histoire est une caricature de scénario de héros pour certains passages clefs, à mon sens savamment mélangés à des anecdotes comiques, mais où est le mal ? On est dans One Piece, on a des mecs qui sont coincés dans des coffres au trésor ( Gaimon ) d'autres qui sont victime d'un très très malheureux concours de circonstances qui fait de leur vie un enfer ( Duval ) ... Quand tu entends ces bonhommes raconter leur histoire dans le manga ou l'anime, tu ne peux que rire en disant " mais c'est trop bête ( pour rester poli ) ". C'est une grande marque de fabrique du manga que d'autoriser l'insolite. Donc, Lawblood n'en est qu'un de plus dans la même veine.

                          Partant de là, non, suis pas ok pour 450. Mais vive les compromis. 525-550, que ça donnerait.
                            Je vais reformuler plus clairement ; C'est bien écrit mais dans la teneur même du récit, je trouve des incohérences, incohérences qui ne s'expliquent pas que par la nature satyrique de son histoire. Derrière, c'est vrais, on est dans One Piece, certes. N'empêche que le loufoque à ses limites, les coups de chances, les clichés et les archétypes aussi. Attention donc à ne pas trop en faire.
                            Mais en regardant plus clairement le texte, en reprenant les arguments que tu me donne -et puis j'ai été un peu dur t'as raison, j'suis ok pour tabler sur une base de 550 dorikis. J'suis presque même partant pour 600 si certains juge qu'il le mérite.
                              Que de controverses! Smile



                              Bref Césare même si c'est vrai que la critique était assez dure sur le moment, merci, c'est toujours intéressant de voir des avis partagés, je vais tenter de m'améliorer pour la suite, en conservant mon style quand même (paaarce quee bon moi je l'aime quand même^^).



                              Mais c'est vrai que mon combat RP (par exemple) est un peu cheaté, je compliquerai les choses après t'inquiètes pas ;)
                                Yop, désolé pour le petit retard concernant les dons de voix pour ta fiches.
                                En ce qui me concerne, j'ai trouvé le style d'écriture plutôt sympathique et original et je rejoins plus l'avis de Rei que de Césare.
                                Cela saupoudré d'un peu d'humour donne une fiche tout à fait convenable et présage d'un sympathique avenir sur le forum Smile
                                Je suis aussi pour 600 dorikis.

                                Il a choisi un modèle de poche au lieu de prendre le grand volume attesté “Galliétang” à cause des désagréments que celui-ci pouvait causer. Effectivement le célèbre et défunt Bartholomew Kuma aurait souvent eu des élongations et de douloureuses déchirures musculaires en choisissant son modèle personnalisé Supersize du culte le plus commun. Cette taille a d’ailleurs été retirée du marché après que ses effets néfastes pour l’organisme ait été prouvés dans le roman éponyme “Bible Supersize me”.

                                Marrant ce passage Smile
                                Je te donne ma voix qui compte double, il ne t'en manque donc qu'une !
                                  Bon comme je te l'ai dit sur la Bobox, je déteste juger ^^' Mais lire des présentations et donner une base de dorikis c'est dans mes cordes !

                                  Ton style est agréable et j'espère que tu trouveras le fofo à ton goût !

                                  600 dorikis > Présentation validée ! °(n.n)°
                                    Félicitations pour ta validation !