Bonjour à tous!!! (Je suis poli) Voici the fiche demandée
Pseudonyme : Le joyeux purificateur
Age: 34 ans
Sexe : Homme
Race : Humanoïde
Rang : Lieutenant-colonel (si possible je pense qu'il faut un grand nombre de dorikis)
Métier : Talents de médecins sans réels diplômes
Groupe : Marine
But : Sauver ses pauvres congénères malades
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : UtsuUtsu no mi, fruit de la télékinésie (Demande prochaine)
Équipements :
Codes du règlement (2) :
1: Être gentil.
2: Être vraiment, mais alors vraiment gentil. (c'est important)
...ou pas ♪
Parrain :
>> Psychologie
>> Biographie
>> Soren Lawblood
Pseudonyme : Le joyeux purificateur
Age: 34 ans
Sexe : Homme
Race : Humanoïde
Rang : Lieutenant-colonel (si possible je pense qu'il faut un grand nombre de dorikis)
Métier : Talents de médecins sans réels diplômes
Groupe : Marine
But : Sauver ses pauvres congénères malades
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : UtsuUtsu no mi, fruit de la télékinésie (Demande prochaine)
Équipements :
- Spoiler:
· Quintet effilé.
Notre bon Soren possède cinq dagues qu’il garde en permanence à sa ceinture. Il les cache en public pour ne pas effrayer les gosses mais s’en sert pour se défendre. Chacune possède selon lui une personnalité propre.
- Edmund
La lame la plus utilisée. Elle est longue, tranchante et surtout très résistante. Il s’en sert au corps à corps pour les combats où la force est de rigueur (donc quasiment tout le temps). Ses tranchants déchirent la chair par saccades, ce qui doit sans doute être très douloureux.
“ Tu es trop brutal Edmund, je te l’ai dit cent fois au moins! Bon je te pardonne. Un bisou?”
- Rita
Sa favorite. Il a souvent l’habitude de lui raconter ses histoires autour d’un feu la nuit. “Il faut la rassurer elle est si sensible”. Sa lame rougeoyante et courbe est imprégnée d’un poison mortel qui attaque le système nerveux très rapidement.
“ Ne pleure pas ma belle bien sûr que c’est toi que je préfère! Mais c’est contraire aux ordres de se marier je n’y peux rien.”
- Carlyle
Une lame semblable à une vague. Sa couleur verte vive est provoquée par… euh nul ne l’a jamais su. La seule chose certaine, c’est qu’elle possède un pouvoir illusoire. On peut parfois avoir l’impression d’en voir plusieurs ou d’un coup d’un seul avoir des visions… étranges. Elle est imprévisible et même Soren se fait avoir quelquefois par son pouvoir. Celui-ci l’appelle tendrement Lyly.
“Bon Lyly on y va. Ben, pourquoi est-ce que je porte un parapluie dans la main moi? “
- Mel
Un couteau très petit. On pourrait même la confondre avec un gros porte-clés à cause de son petit hameçon. C’est d’ailleurs comme ça que Soren s’en sert le plus souvent. C’est la plus rapide et la plus précise des cinq. La traînée jaune qu’elle laisse derrière elle est souvent une des seules choses qu’on ait le temps de voir. Sa fine lame est prévue pour couper les tendons et les nerfs. De ce fait elle ne peut quasiment jamais tuer en un coup, mais agit sur la durée en paralysant petit à petit sa proie.
“C’est à toi de jouer Mel tu peux y aller. Attends tu, mais… MES CLÉS! Comment je rentre dans ma cabine maintenant?”
- Argos
Elle n’est quasiment jamais utilisée, même si elle le demande souvent. C’est la plus puissante des cinq dagues. Sa lame noire est diablement aiguisée et des inscriptions inconnues l’ornent. Elle peut tuer aussi rapidement et silencieusement qu’une ombre. Malheureusement elle consume l’énergie vitale dès qu’on la manie. Un effet qui fait beaucoup penser à une antique et obscure malédiction. On peut donc mourir asséché très vite si on ne fait pas attention!
“Je… je crois que je vais avoir besoin de Pouvoirade là.”
Codes du règlement (2) :
1: Être gentil.
2: Être vraiment, mais alors vraiment gentil. (c'est important)
...ou pas ♪
Parrain :
>> Physique
Soren a beaucoup d’atouts pour plaire. En effet que dire de plus devant son charme naturel, ses sourires ravageurs, ses yeux dorés, son corps sculpté, son énorme b… bref, c’est un bellâtre aux premiers abords. Mais que nenni, sa désinvolture et sa modestie n’ont d’égales que son élégance. Si certains pâlissent devant sa capacité naturelle à produire de la mélanine, lui assure avec un grand sourire éclatant que chacun possède sa propre beauté.
“D’ailleurs, vu mon âge je ne vais pas tarder à flétrir et à entrer dans le cercle très sage des vieillards” déclare celui qui n’a pas changé d’un pouce depuis ses vingt-cinq ans.
“Certes mon père est resté le même jusqu’à ses cinquante-six ans, et son père aussi avant lui, néanmoins qui sait? La vie n’est pas toute tracée après tout n’est-ce pas mes amis?”
Ses frusques n’arrangent en rien son apparence à la “seigneur jean” espagnol. Adepte de l’ensemble pantalon noir-chemise blanche-mocassins cirés-arrête de faire ton beau, passant négligemment sa main dans ses cheveux naturellement coiffés, il est bien sûr tout sauf une caricature du mâle un tantinet dandy.
“ Quelle belle paire de cou…leurs!” reçoit-il même souvent de la gente féminine.
Petite fausse note de goût diront certains, il est marqué tel un bovin sur tout le long de son front anguleux. Des croix, stylisées certes mais assez néo-gothiques sur les bords, y sont en effet imprimées. Il arrive cependant souvent à sa chevelure sombre de les recouvrir partiellement si bien qu’on ne les remarque pas forcément aux premiers abords. Il a une bonne raison pour les porter cependant, mais nous sommes encore dans la description physique donc nous n’en parlons pas.
Tiens il est temps de changer de rubrique, nous allons donc pouvoir découvrir le premier des nombreux mystères qui entourent ce personnage caractériel.
>> Psychologie
Sa première qualité, encore une ressasseront les mêmes bavards, est d’être tout simplement d’une amabilité et d’une gentillesse sans borne. Ou alors au moins un millier de celles-ci. Toujours est-il que Soren aime aider son prochain et que ça se voit.
“Plus tu donnes et plus tu recevras.” Chapitre quatre, verset sept.
Peut être que ceci est dû à son intérêt certain pour les arts religieux. C’est un bon croyant et un fervent pratiquant. De quelle ethnie par contre, là est la question. Le livre de poche qu’il transporte n’est pas recensé et ne ressemble à aucun autre existant. Seules les croix étranges sur son front rappellent son appartenance. Il ne faut surtout pas confondre ceci avec une secte! Ce serait fâcheux.
“ Mon culte? Oh voyons vous le connaissez bien! “ est la seule réponse que les gens reçoivent après l’avoir dûment questionné.
Il a choisi un modèle de poche au lieu de prendre le grand volume attesté “Galliétang” à cause des désagréments que celui-ci pouvait causer. Effectivement le célèbre et défunt Bartholomew Kuma aurait souvent eu des élongations et de douloureuses déchirures musculaires en choisissant son modèle personnalisé Supersize du culte le plus commun. Cette taille a d’ailleurs été retirée du marché après que ses effets néfastes pour l’organisme ait été prouvés dans le roman éponyme “Bible Supersize me”.
Plus important (et qui aurait donc du être présenté en premier par l’auteur), Soren joue quelquefois un double jeu. Si son amour pour les hommes est sincère, il est contraint par son devoir de marine de côtoyer de pauvres brebis égarées. Ces hères ont choisi le mauvais chemin, qu’ils soient pirates, civils ou même militaires. Soren ne généralise jamais, au contraire il préconise l’étude des gens au cas par cas. Et ces cas là ont commis des crimes, des crimes volontaires que le petit cœur fragile du lieutenant colonel ne peut supporter.
Dans le passé il avait essayé de les raisonner. Par tous les moyens. En leur parlant, en leur fredonnant “Te Perdre toi même” du talentueux MenimE dans l’espoir qu’ils se rendraient compte. Rien n’avait fonctionné. Il n’avait pu trouver alors qu’une solution, une solution que même son Dieu ne préconisait pas, enfin pas dans les premières pages du bouquin en tout cas.
La libération.
Un individu lambda aurait peut être qualifié cela de purge ou de comportement dangereusement psychotique. Point du tout! C’était simplement la réponse à un appel. Un appel à l’aide qu’on prenait trop souvent pour de la barbarie. Et la réponse se devait d’être à la hauteur.
Depuis quelques années il rendait donc service à toutes ces âmes en peine.
Pour se faire il pouvait heureusement compter sur ses fidèles alliés. Cinq camarades qui ne rechignaient jamais à l’aider dans sa quête harassante et psychologiquement pesante. Cinq lames.
Le passage vers la rédemption ne s’obtenait cependant pas si aisément. Il fallait comme pour tout payer un prix. Un coût que les gens appelaient “souffrance”. Malheureusement elle devenait une nécessité afin de soulager la conscience et guider l’âme vers les contrées infinies où elle pourrait se reposer en paix.
Même si les fautifs s’y refusaient souvent, ils le désiraient au plus profond d’eux même. Soren entendait cette petite voix murmurer un remerciement. On lui montrait enfin de la reconnaissance. Car les honnêtes gens ne comprenaient étrangement pas non plus ses actes. Ils l’auraient arrêté s’ils avaient su. Il devait donc prendre garde à ne pas laisser les autres voir ce qu’il faisait. Obliger de se cacher tel un rat puant. Quelle tristesse! Le marine en pleurait de désespoir parfois. Les mouchoirs Botus l’aidaient alors à garder le cap et à vider ses poches nasales embrumées.
Soren avait beaucoup de mal à laisser un homme souffrir. Il lui était donc psychologiquement très difficile d’arrêter un gros criminel et de le laisser se faire amener dans une prison lugubre où il devrait attendre trop longtemps avant de trouver enfin le repos. Ses fonctions le mettaient d’ailleurs dans des positions délicates, car isoler un futur repenti avant ses confrères ne le trouvent, puis simuler un accident après l’avoir guidé vers le royaume divin devenait ardu. Néanmoins les encouragements de ses fidèles soldats le poussaient à redoubler d’efforts dans son travail.
Quelle allégresse de pouvoir entendre tous ces rires innocents! On lui rendait son amour et ceci valait bien tous les sacrifices du monde. Il sentait son tout petit cœur faire boum boum à l’intérieur.
D’ailleurs comme disaient les saintes écritures: “Un homme plein de bonté ne peut qu’aider ses compagnons à ressentir la paix intérieure.” Chapitre deux, verset deux.
>> Biographie
Soren est né sur une île paisible de North Blue. Le nom n’est pas très important et de toute façon cet endroit n’apporte pas grand chose à l’histoire globale. Ses parents étaient très aimants, sa mère boulangère et son père marine de renom.
Dès ses plus jeunes années notre protagoniste a donc toujours voulu embrassé la vie militaire. Si sa mère avait bien sûr comme d’habitude peur pour la vie de ses fils, elle ne put aller contre leur volonté. “Ses fils” oui car Soren avait un petit frère. De trois ans son cadet, Rodolphe, ou Rod comme on l’appelait dans la famille était encore plus déterminé que lui. Mais nous y reviendrons plus tard.
Leur enfance se passa dans une tranquillité tout à fait naturelle. Leur éducation était assurée à l’école du village et ils ne manquaient pas de nourriture, surtout de pâtisseries, à la maison.
“ Maman, je peux avoir une chocolatine avant l’entraînement?
- Chéri, je t’ai déjà dit qu’on dit pain au chocolat ici. La chocolatine c’est bon pour les gens du sud. D’accord?
- Oui maman. Alors je peux? Ensuite j’irais travailler dur pour être aussi fort que papa !
- Très bien Rod, une seule alors.”
Lorsque Soren eut douze ans révolus, un incident survint cependant. Son père, alors contre-amiral promit à un avenir radieux, fut rétrogradé subitement. La version officielle était une mutation vers une base plus proche de sa famille. Le jeune garçon et son frère n’apprirent la vérité que deux ans plus tard, quand un soir son père en pleurs leur confessa son “erreur”.
“Ce gouvernement est corrompu. Je n’ai pas été muté les enfants, vous êtes en droit de connaître la vérité. En réalité, après trois ans de traque je venais de réussir à coincer le redoutable Jessie Jacques, quand le gouvernement m’a alors sommé de le relâcher. Vous vous rendez compte? Cet assassin, ce meurtrier avait la protection du gouvernement en échange de quelques informations sur d’autres pirates.
- Et alors papa tu l’as relâché?
- Non, Soren, je n’ai pas pu. Tant de travail, tant de compagnons perdus, pour ça? J’ai… j’ai refusé l’ordre de mon supérieur. On m’a alors fait traduire en justice secrètement puis on a décidé que ma carrière n’était pas si prometteuse que ça. J’ai tout perdu les enfants, je n’ai plus que vous. Je compte sur vous pour leur prouver à tous qu’on peut être un défenseur du bien qui n’accepte pas les magouilles et qui ne courbe pas l’échine. Les enfants je serais là pour vous à présent. Vous êtes le futur.
Regardez au delà de ce que vous voyez.”
À la suite de ces paroles mystiques, les deux terreurs avaient travaillé plus que de raison. Rodolphe, tout particulièrement, prit l’injustice de son père pour la sienne et en devint presque forcené.
Ils partirent tour à tour à dix-sept ans afin de devenir de valeureux marines. Rapidement les deux se firent une certaine réputation et les noms de Soren et d’A-Rod commencèrent à chatouiller les oreilles des hautes sphères.
Cependant Soren, contrairement à son frère, commença à douter. Ses objectifs étaient précis mais il avait l’impression de vivre la vie perdue de son père plutôt que la sienne. Son esprit s’embrumait, les pompes et les courses d’entraînement ne purent le combler plus longtemps. C’est alors qu’il fit la connaissance d’un homme. Un homme qui allait changer complètement sa manière de voir les choses.
Son nom était Lestat. Il ressemblait à un acteur hollywoodien, quoique assez petit et le teint un peu blanchâtre. Au cours d’une de ses missions, le jeune Lawblood (un nom assez étrange d’ailleurs), dix-neuf ans à peine, put déceler une sagesse éternelle chez son futur instructeur.
“Tu es peut être l’homme que je recherche depuis si longtemps.”
Il guida quelques temps le jeune marine alors que celui-ci se perdait de plus en plus. Et lui fit découvrir une vision de la vie passionnante.
“Je crois qu’il est temps de t’initier à l’éducation suprême. Tu es prêt.”, lui déclara-t-il après deux mois.
Il sortit un livre de poche de sa besace et lui présenta. En même temps un dessin tomba du sac. Il représentait une pyramide coupée en deux surplombée d’un œil omniscient.
“Qu’est-ce donc? J’ai déjà vu ce signe mais où ça?
- Non, non, ça n’a rien à voir, regarde plutôt ce livre, dit Lestat en rangeant rapidement ledit papier.
- Quel est ce livre alors?
- C’est le culte de (un crapaud-buffle croassa alors si fort que seules les deux personnes purent entendre le nom pourtant si important).
- Le culte de (décidément le crapaud était bien malade) ?
- Oui c’est un recueil très rare et très important. Seuls les plus dignes ont l’honneur de le lire et d’appliquer sa doctrine à travers le monde.
Grâce à lui tu ne seras jamais perdu.
- Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Vous me croyez assez naïf pour croire n’importe quoi?
- Lis-le un peu dans ce cas, c’est tout ce que je te demande. S’il ne te plaît pas tu me le rendras. “
Soren avait alors dévoré le recueil. Tous ces écrits étaient si censés. Il se sentait enfin paisible en récitant les chapitres un par un. Il se révéla, ses idées s’éclairèrent, son but lui parut limpide. Il allait devenir un grand marine oui. Il combattrait le crime bien entendu. Mais il était maintenant investi d’une mission sacrée, aider les autres.
Lestat fut heureux de pouvoir poursuivre l’apprentissage de son poulain. Il lui apprit à mettre en pratique toutes les doctrines du livre sacré. Son instructeur l’emmena même dans des endroits secrets, une caverne, une montagne, un temple, une vallée… Dans chacun de ces endroits se trouvait une petite salle dans laquelle un piédestal argenté reposait. Au centre de celui-ci trônait un œuf qui s’ouvrait au contact de Soren.
A l’intérieur, aussi curieux que cela puisse paraître, se trouvait une petite dague. Lestat lui expliqua alors que ces dagues étaient destinées à servir un maître spécifique et à l’aider, et que l’ouverture de leur prison désignait leur nouveau possesseur. Cinq nouveau-nés furent ainsi découverts. Cette histoire sentait mauvais le vieux scénario de film de série Z mais Soren ne s’en formalisa pas.
“Ces lames font partie de toi à présent, elles grandiront et se fortifieront au fur et à mesure de ta quête. À toi de découvrir et d’exploiter leurs pouvoirs.”
Après plus de deux ans, alors que sa progression avait été fulgurante, il eut une discussion controversée avec son maître. Celui-ci devait en effet lui parler d’une chose apparemment importante:
“Soren, voilà déjà un bon moment que tu honores pleinement notre ordre. Tu as même déjà eu ta première croix sur le front, symbole de prestige et de travail acharné. Mais aujourd’hui tu dois savoir quelque chose. Tu l’as sans doute déjà remarqué, mais on ne peut changer le monde et les gens simplement avec des belles paroles. Moi aussi pendant longtemps j’ai cru à ça, mais il y a trop de travail, trop d’hommes souffrent d’un mal quasi-incurable.
- Que voulez-vous dire? Je ne me suis jamais senti aussi utile qu’en ce moment! J’ai même mon visage sur des tasses et on a créé un slogan de café à mon nom vous vous rendez compte?
“ Le café Soren, quand ça va pas c’est une aubaine!”
Je rends les gens heureux et il n’y a rien de plus important pour moi.
- Certes, je peux comprendre. Mais n’as-tu jamais croisé des âmes en peine, qui ne pouvaient trouver la paix? Allons un officier tel que toi a dû voir la réalité en face. Ce monde est plein de victimes qui ne cherchent que le repos. Dans leur rage et dans leur tristesse elles commettent des pêchés impardonnables. Tu ne peux laisser ces frères souffrir sans réagir.
- Non… non je ne peux pas faire ce à quoi vous pensez. Je suis heureux, ma famille est fière de moi, mon frère me prends pour modèle, je ne peux m’infliger ça.
- Si tu es un vrai membre de notre ordre, tu penseras aux autres avant de te soucier de toi-même. Es-tu si égoïste? T’es-tu servi de nos écritures pour ton seul bénéfice? Les deux derniers chapitres traitent de ce que je viens de te dire, tu l’as remarqué n’est-ce pas?
- Je…
- Suis nos enseignements ou abandonne tout et reviens à ta vie misérable d’antan. Je te laisse une semaine pour décider.”
“Vivre heureux est une utopie. Chaque moment de fête s’accompagne de sa contrepartie qui souvent nous brise et nous détruit. Une vie sans tracas est donc une vie de néant. Relever la tête et se battre est la seule solution, aussi douloureuse soit-elle.” Chapitre six, verset dix-sept.
Que devait-il faire? Ce fut la question qui le tarauda durant ces sept jours. S’il rentrait dans ce cercle, il ne pourrait plus jamais vivre paisiblement. Mais rester en dehors serait une preuve de faiblesse et d’un engagement illusoire. Après avoir longuement réfléchi, après plusieurs nuits blanches à se torturer psychologiquement il avait dû faire son choix. Le seul à être censé.
Son maître attendait la réponse. Avec impatience et avidité:
“J’ai fait mon choix maître. J’ai cherché pendant longtemps, un dernier dilemme m’a même déchiré le cœur. Au final une décision s’imposait. Mais avant cela je veux que vous sachiez que ce n’est pas contre vous. Je ne fais qu’exprimer la volonté d’un dogme auquel je suis rattaché. Ne m’en voulez pas pour ça s’il vous plaît.
- Alors tu as choisis la fuite. J’avoue que cela me surprends un peu, mais très bien, je dois en référer au prophète et…
- J’avais rencontré il y a six mois un homme qui vous connaissait. Apparemment, vingt ans plus tôt vous écumiez les mers ensemble, en tant que pirate. Vous n’avez pas toujours été si respectable, maître.
- Tu… Grrr, de toute façon je ne suis plus le même, cette époque est révolue.
- Le raisonnement a changé mais vos anciens actes resteront à jamais gravés dans la roche de votre cœur.
“Le passé ne peut être oublié. Qui a pêché une fois recommencera.” Chapitre un verset quatre.
- Que… que signifie…?
- Je suis sincèrement désolé maître. Je n’avais pas pu entendre votre ancien appel à l’aide. Mais à présent tout sera pardonné ne vous inquiétez pas. Je veille sur vous.
- Attends! Que fais-tu? ATTENDS!!!”
Grâce à Edmund son maître trouva enfin la paix. C’était sa première âme libérée. Le processus avait été maladroit mais l’essentiel demeurait, le cycle était lancé. Sa mission pouvait commencer, même si sa raison parfois pouvait vaciller.
Le temps passa, avec son lot de joies et de souffrances. Son sourire jamais ne s’estompa, hormis durant deux jours noirs. Le premier fut à ses vingt-quatre ans. Son frère, qu’il aimait tant, disparut de la circulation. Personne n’entendit plus jamais parler de lui. Cette disparition marqua profondément le marine, qui ne s’en remit jamais vraiment.
Le deuxième fut sept ans plus tard quand son père succomba à une maladie fulgurante. Il resta le seul à pouvoir porter sur ses épaules le rêve d’une famille entière. Mince réconfort dans la détresse, le père Lawblood eut le temps avant de succomber de susurrer la phrase sacrée: “Je suis fier de toi mon fiAAAAAARGGGH.”
Dévouant sa vie aux autres, Soren ne put jamais trouver l’amour. Du moins ne savait-il pas vraiment ce que c’était. Il avait crû le rencontrer un jour, mais miss Johansson, pourtant si intéressante, lui confessa avoir malheureusement un jour tué de sang-froid, en silence, telle une veuve noire. Le sien ne tarda alors pas à refroidir après ça.
A maintenant trente-quatre ans et demi, Soren Lawblood pouvait se targuer d’avoir un CV sans fausse note. Le bonheur des autres ne devait pas souffrir des remords d’un seul homme, un rire enjoué suffisait alors à attirer la sympathie. Et à cacher quelques petits problèmes personnels.
>> Test RP
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _________
Informations IRL
[list]Prénom : Jet
Age : 19
Aime : Les scénarios vraiment bien ficelés
N'aime pas : Les scénarios pas vraiment bien ficelés (original)
Personnage préféré de One Piece : Kuzan dit Aokiji, Basil Hawkins
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Joyeux, bondissant! Sinon un brin de gentillesse et une grande dose de "oh allez on prend la vie par le bon bout!" (rires)
Fais du RP depuis : Un an et demi
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Disons 2 ou 3 jours pour commencer, peut être encore plus plus tard
Comment avez vous connu le forum ? Ancien membre de One Piece Reign, forum sur le graaaand déclin. Un compagnon de cet ancien forum (d'ailleurs présent ici aussi)
>> Test RP
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Informations IRL
[list]Prénom : Jet
Age : 19
Aime : Les scénarios vraiment bien ficelés
N'aime pas : Les scénarios pas vraiment bien ficelés (original)
Personnage préféré de One Piece : Kuzan dit Aokiji, Basil Hawkins
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Joyeux, bondissant! Sinon un brin de gentillesse et une grande dose de "oh allez on prend la vie par le bon bout!" (rires)
Fais du RP depuis : Un an et demi
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) Disons 2 ou 3 jours pour commencer, peut être encore plus plus tard
Comment avez vous connu le forum ? Ancien membre de One Piece Reign, forum sur le graaaand déclin. Un compagnon de cet ancien forum (d'ailleurs présent ici aussi)
Dernière édition par Soren Lawblood le Sam 17 Sep 2011 - 19:40, édité 3 fois