La sueur coule le long de mon front, et s'écrase sur les planches en bois de mon petit navire, tandis que mes bras s'activent pour soulever la fonte. A mon âge, je me dois de rester en forme, et ses quelques exercices auxquels je m’astreins me le permettront peut être. J'dépose les deux altères à mes pieds, et fait quelques passement de bras, quelques exercices pour combattre la raideur des jambes, et un peu de shadow boxing, prenant pour adversaire ceux qui font peur aux enfants, ceux qui font rêver certaines ménagères, ou qui mettent en sueur la plupart des combattants. J'ai eu plus peur de passer Reverse Montain que de ses gens là. La nature est terrifiante, les gens le sont moins pour moi. La toute puissance de notre mère la terre, nourricière et parfois garce de première, est absolue, elle.
Vous vous demandez pourquoi je suis entrain de m’y confronter si j’en ai peur ? Et bien mes chers petits, sachez le, la curiosité malsaine de mon vilain petit cerveau est pire que tout, pire que l’idée de mourir, l’idée de ne pas savoir ce qui se passe autours de moi, ou ce qui s’est passé dans notre monde, me fait l’effet d’une balle de canon dans l’estomac, noue mes entrailles et me fait déglutir comme si on avait coulé une chape de plomb en fusion dans ma gorge. Alors je me force, je trépigne et j’attends le moment ou les choses se révéleront à moi.
Et puis mon réseau d’informateurs, qui commencent à grandir de plus en plus, m’a parlé de choses intéressantes sur Albasta. De choses que je « ne devrais pas manquer … » sous aucun prétexte. Et même si ma confiance en l’être humain a toujours été ébréchée, je sais que mon réseau ne se trompe que rarement sur les choses qui m’intéressent.
Aujourd’hui, je pars à la chasse au Poneglyphe, sachant que cet acte est passible d’une mort certaine, je ne peux quand même pas m’en passer. Ce serait bête de mourir sans savoir. Et la mort nous attends tous au tournant, qui traverse sans regarder à droite et à gauche, qui sera envoyé dans le fond par une tempête, qui aura contrarié un sergent d’élite en sifflant d’une manière trop guillerette.
Notre monde est dangereux. Alors autant s’adapter et le connaitre à fond. Ce que mon informateur sait pour sûr, c’est qu’il se cache quelque chose de pas net dans les profondeurs d’Albasta. Qu’on y cache des choses. Qu’on nous cache des choses. Et que je peux les découvrir.
Alors mon instinct de détective me dicte la conduite suivante : Trouver et exhumer les secrets qu’on nous cache et qu’on détourne des bonnes gens.
Même si c’est pas sûr qu’il y’ait encore des gens bons dans notre ère. Dans tous le cas, j’ai au minimum 20 jours d’attente pour en repartir, donc pour faire mon job.
Ce pourquoi j’ai abandonné ma carrière de boxeur émérite.
- Alabasta, me voila ! que je fais en levant le poing vers le ciel, quand au loin se dessine les pourtours d’une île gigantesque, qui ne peut être qu’elle … La belle désertique, la fleur du désert, la capitale d’un royaume quasi indépendant du gouvernement, ça me fascine, moi, quand on arrive à mettre la nique aux cinq étoiles.
Vivi doit être une sacrée bonne femme, quand même. Je me prépare à accoster avec ma coque de noix, et le port et son activité débordante se révèle à mon regard au détour d’une crique. De gigantesques navires me frôlent dans un ballet rondement mené, mille et une fois répété, millimétré et presque usité dans ce coin du monde.
Je touche enfin du doigt ma destination finale. Un des administrateur de l’endroit me demande une somme rondelette, et la raison de ma venue.
- Je suis là pour affaire, et tenez, voilà vos 100 000 Berrys m’sieur … Que je fais en lui souriant de manière désarmante.
Pourquoi se méfier, après tout ? Je suis seul, dans un tout petit bateau. Que pourrais-je faire de mal ici ?
Je remonte les allées du port sous un soleil de plomb, alors qu’il n’est pas encore 11h du matin. Mon sac en toile de sportif sur l’épaule, contient quelques affaires de change, de la corde, et une lettre de mon informateur pour un trafiquant de bijoux anciens et d’autres cartes pour des trésors enfouie. Je dois le rencontrer dans la soirée.
D’ici là, j’ai le temps de m’adonner à un peu de tourisme. Ou trouver une bonne auberge pour boire quelques godet bien mérités.
Vous vous demandez pourquoi je suis entrain de m’y confronter si j’en ai peur ? Et bien mes chers petits, sachez le, la curiosité malsaine de mon vilain petit cerveau est pire que tout, pire que l’idée de mourir, l’idée de ne pas savoir ce qui se passe autours de moi, ou ce qui s’est passé dans notre monde, me fait l’effet d’une balle de canon dans l’estomac, noue mes entrailles et me fait déglutir comme si on avait coulé une chape de plomb en fusion dans ma gorge. Alors je me force, je trépigne et j’attends le moment ou les choses se révéleront à moi.
Et puis mon réseau d’informateurs, qui commencent à grandir de plus en plus, m’a parlé de choses intéressantes sur Albasta. De choses que je « ne devrais pas manquer … » sous aucun prétexte. Et même si ma confiance en l’être humain a toujours été ébréchée, je sais que mon réseau ne se trompe que rarement sur les choses qui m’intéressent.
Aujourd’hui, je pars à la chasse au Poneglyphe, sachant que cet acte est passible d’une mort certaine, je ne peux quand même pas m’en passer. Ce serait bête de mourir sans savoir. Et la mort nous attends tous au tournant, qui traverse sans regarder à droite et à gauche, qui sera envoyé dans le fond par une tempête, qui aura contrarié un sergent d’élite en sifflant d’une manière trop guillerette.
Notre monde est dangereux. Alors autant s’adapter et le connaitre à fond. Ce que mon informateur sait pour sûr, c’est qu’il se cache quelque chose de pas net dans les profondeurs d’Albasta. Qu’on y cache des choses. Qu’on nous cache des choses. Et que je peux les découvrir.
Alors mon instinct de détective me dicte la conduite suivante : Trouver et exhumer les secrets qu’on nous cache et qu’on détourne des bonnes gens.
Même si c’est pas sûr qu’il y’ait encore des gens bons dans notre ère. Dans tous le cas, j’ai au minimum 20 jours d’attente pour en repartir, donc pour faire mon job.
Ce pourquoi j’ai abandonné ma carrière de boxeur émérite.
- Alabasta, me voila ! que je fais en levant le poing vers le ciel, quand au loin se dessine les pourtours d’une île gigantesque, qui ne peut être qu’elle … La belle désertique, la fleur du désert, la capitale d’un royaume quasi indépendant du gouvernement, ça me fascine, moi, quand on arrive à mettre la nique aux cinq étoiles.
Vivi doit être une sacrée bonne femme, quand même. Je me prépare à accoster avec ma coque de noix, et le port et son activité débordante se révèle à mon regard au détour d’une crique. De gigantesques navires me frôlent dans un ballet rondement mené, mille et une fois répété, millimétré et presque usité dans ce coin du monde.
Je touche enfin du doigt ma destination finale. Un des administrateur de l’endroit me demande une somme rondelette, et la raison de ma venue.
- Je suis là pour affaire, et tenez, voilà vos 100 000 Berrys m’sieur … Que je fais en lui souriant de manière désarmante.
Pourquoi se méfier, après tout ? Je suis seul, dans un tout petit bateau. Que pourrais-je faire de mal ici ?
Je remonte les allées du port sous un soleil de plomb, alors qu’il n’est pas encore 11h du matin. Mon sac en toile de sportif sur l’épaule, contient quelques affaires de change, de la corde, et une lettre de mon informateur pour un trafiquant de bijoux anciens et d’autres cartes pour des trésors enfouie. Je dois le rencontrer dans la soirée.
D’ici là, j’ai le temps de m’adonner à un peu de tourisme. Ou trouver une bonne auberge pour boire quelques godet bien mérités.