On pourra dire beaucoup de choses sur le service de la révolution, mais pas qu'on s'y ennuie en faisant des taches répétitives, au contraire, au delà de l’aspect épanouissant de travailler au bien être du monde, l'agent révolutionnaire est sans cesse contraint de se réinventer au contact de nouvelles missions, de nouveaux défis, et s'il n'en est pas capable il ne fait pas long feu.
Ce qui explique probablement la comparaison entre la révolution et une bicyclette. Si on arrête de pédaler, on tombe.
- Est ce le plan est clair pour tout le monde ? Paul ? J'ai l'impression que tu n'écoutes pas.
La question du chef de groupe me ramène à la problématique du moment et à la hutte de berger dans lequel l'équipe s'est réfugié après avoir accosté à Kage Berg. Une problématique enfantine, que je suis parfaitement capable de gérer tout en pensant à une douzaine d'autres sujets. Mais je peux comprendre que le valet qui m'adresse la parole ne soit pas habitué à côtoyer des soldats aussi géniaux que moi.
- Tout a fait clair. Nous sommes la pour nous emparer du renouvellement en or de la garnison de Kage Berg. Trois guetteurs sur le port sont chargés de repérer le navire et de nous prévenir du débarquement du charriot, et nous l'attaquerons a mi chemin de la garnison, dans un vallon qui nous dérobe aux regards. Grace au troupeau que nous avons rassemblés nous bloquons la route, déguisés en berger pour ne pas éveiller les soupçons, le chariot s’arrête, nous surgissons tout autour pour prendre l’ennemi par surprise et le neutraliser avant qu'ils aient pu donner l'alerte. Je m'occuperai d'ouvrir le chariot et les coffres, nous chargeons les berrys et filons vers le navire que nous avons planqué sur la cote. Nous sommes parti avant que la garnison ait commencé à se poser des questions sur le retard.
- Hum, c'est correct. si tout le monde suit bien le plan, nous aurons délesté le gouvernement d'un tas d'or sans tirer un seul coup de feu.
- Je ne vois vraiment pas ce qui pourrait mal tourner...
Même si j'aurais préféré un plan qui n'implique pas de porter une pelisse en peau de mouton et de se cacher dans une bergerie puante accompagné d'un troupeau de bestiaux bêlants.
Quels sacrifices ne ferait'on pas pour la cause ?
Ce qui explique probablement la comparaison entre la révolution et une bicyclette. Si on arrête de pédaler, on tombe.
- Est ce le plan est clair pour tout le monde ? Paul ? J'ai l'impression que tu n'écoutes pas.
La question du chef de groupe me ramène à la problématique du moment et à la hutte de berger dans lequel l'équipe s'est réfugié après avoir accosté à Kage Berg. Une problématique enfantine, que je suis parfaitement capable de gérer tout en pensant à une douzaine d'autres sujets. Mais je peux comprendre que le valet qui m'adresse la parole ne soit pas habitué à côtoyer des soldats aussi géniaux que moi.
- Tout a fait clair. Nous sommes la pour nous emparer du renouvellement en or de la garnison de Kage Berg. Trois guetteurs sur le port sont chargés de repérer le navire et de nous prévenir du débarquement du charriot, et nous l'attaquerons a mi chemin de la garnison, dans un vallon qui nous dérobe aux regards. Grace au troupeau que nous avons rassemblés nous bloquons la route, déguisés en berger pour ne pas éveiller les soupçons, le chariot s’arrête, nous surgissons tout autour pour prendre l’ennemi par surprise et le neutraliser avant qu'ils aient pu donner l'alerte. Je m'occuperai d'ouvrir le chariot et les coffres, nous chargeons les berrys et filons vers le navire que nous avons planqué sur la cote. Nous sommes parti avant que la garnison ait commencé à se poser des questions sur le retard.
- Hum, c'est correct. si tout le monde suit bien le plan, nous aurons délesté le gouvernement d'un tas d'or sans tirer un seul coup de feu.
- Je ne vois vraiment pas ce qui pourrait mal tourner...
Même si j'aurais préféré un plan qui n'implique pas de porter une pelisse en peau de mouton et de se cacher dans une bergerie puante accompagné d'un troupeau de bestiaux bêlants.
Quels sacrifices ne ferait'on pas pour la cause ?