Rappel du premier message :
- L'ile grouille de chasseurs de primes et d'agents du gouvernement, il nous est donc impossible de mouiller longuement dans le coin. Nous allons vous débarquer dans un coin discret, et repartir avant que le jour se lève. Nous repasserons dans trois jours, à la même heure et au même endroit. Puis, si vous n’êtes pas la, une nouvelle fois au quatrième jour, ensuite nous considérerons que vous êtes pris et nous vous laisserons sur place. Est ce que c'est bien clair ?
- Tout a fait clair.
- Je ne connais pas votre mission, mais je vous souhait bonne chance.
- Bonne chance à vous aussi.
Sous le regard d'America, déjà en place dans la chaloupe que les marins du navire viennent de descendre à la mer, j'échange une poignée de main fraternelle avec le capitaine du navire qui nous a conduit ici. Un courrier rapide et discret transportant aux quatre coins du monde, le courrier et les agents de la Révolution. Et qui vient de nous amener a pied d’œuvre de notre première mission importante en solitaire, sur la cote du premier repaire de chasseurs de primes de la route de tous les périls, Whiskey Peak.
Dédaignant le bras que me tend un des marins, je descend rejoindre le meilleur chien de garde de la révolution pendant qu'au dessus on s'empresse de larguer les amarres et de séparer les deux coques pour mettre les voiles. Il fait encore nuit, mais à l'Est les ténèbres palissent déjà, nous permettant de distinguer une esquisse de la cote et de ses collines en forme de cactus.
Un claquement de voile qu'on tend et quelques clapotis discret plus tard, et nous voila seuls a quelques encablures de notre objectif. Au programme, étayer les soupçons de la révolution sur ce qui a provoqué l'apparition de l'étrange population de sois disant légume vivants de l'ile. Des Témoignages qui me semblent tout à fait absurde, mais une mission derrière laquelle on soupçonne la présence d'un poneygliphe, ce qui m'a de facto désigné comme seul capable d'accomplir le travail de recherche.
Et quand la révolution demande...
- Ouaf ! Ce n'est pas moi qui vais ramer...
- Hum...
Comme America, je regarde la paire de rames rangé le long du bordée de la chaloupe, et dont je n'ai pas la moindre idée de l'usage. Avant de hausser les épaules.
- Je ne rame pas non plus.
Et pendant que ma main se modifie pour adopter la forme d'une hélice, je la plonge dans l'eau à l'arriérer de la barque avant de l'actionner, et quelques secondes plus tard, nous filons a bonne allure droit vers la plage.
Ramer... Vraiment...
- L'ile grouille de chasseurs de primes et d'agents du gouvernement, il nous est donc impossible de mouiller longuement dans le coin. Nous allons vous débarquer dans un coin discret, et repartir avant que le jour se lève. Nous repasserons dans trois jours, à la même heure et au même endroit. Puis, si vous n’êtes pas la, une nouvelle fois au quatrième jour, ensuite nous considérerons que vous êtes pris et nous vous laisserons sur place. Est ce que c'est bien clair ?
- Tout a fait clair.
- Je ne connais pas votre mission, mais je vous souhait bonne chance.
- Bonne chance à vous aussi.
Sous le regard d'America, déjà en place dans la chaloupe que les marins du navire viennent de descendre à la mer, j'échange une poignée de main fraternelle avec le capitaine du navire qui nous a conduit ici. Un courrier rapide et discret transportant aux quatre coins du monde, le courrier et les agents de la Révolution. Et qui vient de nous amener a pied d’œuvre de notre première mission importante en solitaire, sur la cote du premier repaire de chasseurs de primes de la route de tous les périls, Whiskey Peak.
Dédaignant le bras que me tend un des marins, je descend rejoindre le meilleur chien de garde de la révolution pendant qu'au dessus on s'empresse de larguer les amarres et de séparer les deux coques pour mettre les voiles. Il fait encore nuit, mais à l'Est les ténèbres palissent déjà, nous permettant de distinguer une esquisse de la cote et de ses collines en forme de cactus.
Un claquement de voile qu'on tend et quelques clapotis discret plus tard, et nous voila seuls a quelques encablures de notre objectif. Au programme, étayer les soupçons de la révolution sur ce qui a provoqué l'apparition de l'étrange population de sois disant légume vivants de l'ile. Des Témoignages qui me semblent tout à fait absurde, mais une mission derrière laquelle on soupçonne la présence d'un poneygliphe, ce qui m'a de facto désigné comme seul capable d'accomplir le travail de recherche.
Et quand la révolution demande...
- Ouaf ! Ce n'est pas moi qui vais ramer...
- Hum...
Comme America, je regarde la paire de rames rangé le long du bordée de la chaloupe, et dont je n'ai pas la moindre idée de l'usage. Avant de hausser les épaules.
- Je ne rame pas non plus.
Et pendant que ma main se modifie pour adopter la forme d'une hélice, je la plonge dans l'eau à l'arriérer de la barque avant de l'actionner, et quelques secondes plus tard, nous filons a bonne allure droit vers la plage.
Ramer... Vraiment...