La tempête fut particulière longue. Surement parce qu’avec mon petit navire de pèche que j’avais volé pour fuir, j’étais incapable de quitter l’étreinte de la perturbation. C’était une coque de noix qui peinait à lutter contre les éléments. Je ne pus que replier la petite voile et me cramponner au fond de la coque en attendant que ça passe. Une fois passé l’inconfort de la pluie et habitué au rythme des vagues, je finis par m’endormir d’épuisement.
Lorsque je me réveillai, j’étais sur une mer d’huile. Elle était plus plate que plate et le vent était tombé. Je fis un rapide état des lieux de mon embarcation. Elle avait plutôt bien résisté. Il n’y avait pas de trou dans la coque. Il y avait quelques dégâts, mais rien qui menaçait de me faire couler. J’arrachai les quelques planches qui pendouillaient pour m’en faire des rames. J’hissai la voile et me rendis compte qu’elle avait pris cher durant la tempête, même si elle était restée repliée. N’ayant rien pour la réparer, il faudrait faire avec en espérant que le vent se lève.
Après avoir longuement attendu que le vent se lève, je commençais à en avoir marre. Puis, je commençais à avoir un petit creux aussi. J’étendis mon Haki de l’empathie à la recherche de poisson. Enfin, je cherchais de la vie surtout mais il ne semblait ne rien y avoir dans le coin. Je repérai de vague signe de vie dans une direction. Je décidai donc que j’irais par là. Vu que le vent me boudait, je dus ramer avec mes planches. Ce n’était vraiment pas pratique. Du coup, je finis par les retailler pour qu’elles soient au moins agréable à manier. Sans arme tranchante, je dus faire ça à la main et ce n’était vraiment pas terrible. Enfin, je finis par trouver un rythme confortable et à avancer vers la source de vie.
Plusieurs heures plus tard, je finis par arriver dans cette zone qui semblait poissonneuse. Pourquoi ici plutôt qu’ailleurs, je m’en moquais. Je repérai, ce que je cherchais et je plongeai. Maintenant que je nageais comme un poisson dans l’eau ou presque, je pouvais tenter de pécher à la main. Je tentai de tuer un poisson avec des fléchettes d’eau Uchimizu, mais ça marchait plutôt mal sous l’eau. Ma proie étant malgré tout plus rapide que moi, j’utilisai Samegawara Seiken. Le coup de poing envoya une grosse onde dans l’eau qui sonna mon poisson. Je m’en saisis et remontai à la surface.
Ça faisait cinq minutes que j’étais assis dans le fond du bateau à regarder ma prise. Je n’avais pas de couteau, pas de quoi cuire, pas de cuistot. J’avais juste un poisson cru. Faire du feu dans une coque de noix qui n’était pas prévu pour, non merci. Je restai encore dans l’expectative pendant un petit temps, puis je me résolu à le manger cru. J’avais trop faim.
Ce fut un véritable carnage. Manger un poisson cru juste avec ses dents et ses doigts, c’était gluant. C’était beurk. Mais bon, ça avait un peu apaisé ma faim. Ce ne fut pas mon meilleur repas, mais ça fit l’affaire. Après m’être débarbouillé, je fis le point sur ma situation. J’étais perdu en mer avec une voile qui aurait bien du mal à prendre le vent. Vent qu’il n’y avait de toute façon pas. Je n’avais pas d’outils pour me repérer en mer. J’étais mal barré.
Je décidai de suivre le banc de poisson en attendant que le vent se lève. Je pagayai encore quelques heures. Puis, je décidai qu’il était temps de se reposer pour la nuit, après avoir manger un deuxième poisson cru.
Lorsque je me réveillai, j’étais sur une mer d’huile. Elle était plus plate que plate et le vent était tombé. Je fis un rapide état des lieux de mon embarcation. Elle avait plutôt bien résisté. Il n’y avait pas de trou dans la coque. Il y avait quelques dégâts, mais rien qui menaçait de me faire couler. J’arrachai les quelques planches qui pendouillaient pour m’en faire des rames. J’hissai la voile et me rendis compte qu’elle avait pris cher durant la tempête, même si elle était restée repliée. N’ayant rien pour la réparer, il faudrait faire avec en espérant que le vent se lève.
Après avoir longuement attendu que le vent se lève, je commençais à en avoir marre. Puis, je commençais à avoir un petit creux aussi. J’étendis mon Haki de l’empathie à la recherche de poisson. Enfin, je cherchais de la vie surtout mais il ne semblait ne rien y avoir dans le coin. Je repérai de vague signe de vie dans une direction. Je décidai donc que j’irais par là. Vu que le vent me boudait, je dus ramer avec mes planches. Ce n’était vraiment pas pratique. Du coup, je finis par les retailler pour qu’elles soient au moins agréable à manier. Sans arme tranchante, je dus faire ça à la main et ce n’était vraiment pas terrible. Enfin, je finis par trouver un rythme confortable et à avancer vers la source de vie.
Plusieurs heures plus tard, je finis par arriver dans cette zone qui semblait poissonneuse. Pourquoi ici plutôt qu’ailleurs, je m’en moquais. Je repérai, ce que je cherchais et je plongeai. Maintenant que je nageais comme un poisson dans l’eau ou presque, je pouvais tenter de pécher à la main. Je tentai de tuer un poisson avec des fléchettes d’eau Uchimizu, mais ça marchait plutôt mal sous l’eau. Ma proie étant malgré tout plus rapide que moi, j’utilisai Samegawara Seiken. Le coup de poing envoya une grosse onde dans l’eau qui sonna mon poisson. Je m’en saisis et remontai à la surface.
Ça faisait cinq minutes que j’étais assis dans le fond du bateau à regarder ma prise. Je n’avais pas de couteau, pas de quoi cuire, pas de cuistot. J’avais juste un poisson cru. Faire du feu dans une coque de noix qui n’était pas prévu pour, non merci. Je restai encore dans l’expectative pendant un petit temps, puis je me résolu à le manger cru. J’avais trop faim.
Ce fut un véritable carnage. Manger un poisson cru juste avec ses dents et ses doigts, c’était gluant. C’était beurk. Mais bon, ça avait un peu apaisé ma faim. Ce ne fut pas mon meilleur repas, mais ça fit l’affaire. Après m’être débarbouillé, je fis le point sur ma situation. J’étais perdu en mer avec une voile qui aurait bien du mal à prendre le vent. Vent qu’il n’y avait de toute façon pas. Je n’avais pas d’outils pour me repérer en mer. J’étais mal barré.
Je décidai de suivre le banc de poisson en attendant que le vent se lève. Je pagayai encore quelques heures. Puis, je décidai qu’il était temps de se reposer pour la nuit, après avoir manger un deuxième poisson cru.
Dernière édition par Yukikurai le Mer 1 Nov - 16:36, édité 2 fois