Ôda Natsume "Le Sonneur de Cloches"
Sexe : Homme
Race : HumainMétier :
Groupe : Chasseur de prime
But : Aucun particulier
Équipement : - Tsukigane : C'est un simple baton sur lequel est relié une cloche provoquant un tintement étrangement mélodieux, qui est à la base de son style de combat. (Arme contondante basique).
- Des boucles d'oreilles cloches qui ont un tintement léger
- Deux petites cloches qu'il a généralement d'accroché à sa ceintureParrain : Aucun
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
Description physique
Notre « sonneur de cloche » est tout ce qu’il y a de plus excentrique dans son apparence. Une musculature qu’il arbore avec la plus grande des fiertés dans un petit débardeur bleu et une simple veste bien trop ample pour lui. Ses cheveux longs qui descendent jusqu’à ses genoux toujours attaché en chignon très compacte sur le haut de son crâne. Sa peau blanche. Ses yeux bleus. Ses cicatrices. Laissons tous ces éléments descriptifs barbants de côté pour se concentrer sur les détails qui font de lui « le sonneur de cloche ». Ôda possède quelques particularités qui forment son caractère et sa réputation. La première est son habitude, sa manie de toujours avoir quelque chose dans la bouche. Passons outre les remarques déplacés jeunes gens, il possède toujours une réserve de gourmandise, des sucettes principalement qu’il a dans la bouche. Comme un tic, il joue avec le bâton de ce dernier avec une telle dextérité que cela pouvait en sembler déconcertant, comme le meilleur des épéistes avec ses sabres. La deuxième particularité se trouvait dans son arme, très spécifique. Tsukigane est un simple bâton orné de dorure, qui porte en son extrémité une sorte de cloche. Le tout bien ficelé, la cloche possède un son particulièrement grave. Notre sonneur se promène toujours avec cette arme assez grande, soit dans une main avec la cloche assez lourde qui dors Ôda en deux, le faisant marcher un peu en arrière, comme la première fois que l’on tient un bébé dans ses bras. Il peut également se promener avec Tsukigane dans le dos, attaché par une ceinture sur le long de sa colonne, de ce fait, en étant face à lui, l’on peut voir uniquement la grosse cloche au-dessus de sa tête. Sa dernière particularité est sonore : comme son nom et son style de combat l’indique, il possède une véritable fascination pour les cloches et le bruit qu’elles émettent. De ce fait, chacun de ses déplacements émettent des sons différents, tel le carillon d’un musicien. Il possède deux petites boucles d’oreille en forme de cloches, deux un peu plus grands à la ceinture, et celle qu’il porte grâce à Tsukigane.
Description psychologique
Que vaux la vie sinon de la vivre pleinement à la recherche de sa propre voie, de son propre bonheur ? Rien. La cause d’autrui valait-elle vraiment la peine de mourir pour elle ? Non. Y a-t-il plus grand honneur que de mourir en protégeant les siens ? Probablement pas. Les lois ne sont-elles pas faite par et pour les grands, sous prétexte d’ordre ? Très certainement. La vie est-elle injuste ? Bien entendu. Est-ce que l’on nait tous égaux ? Foutaises. Ceux qui croient cela n’ont qu’à mourir pour leurs vains idéaux. Est-ce qu’il existe le bien et le mal ? Non. Est-ce que les pirates représentent le chaos ? Non. Est-ce que le marine représente la justice et l’ordre ? Non plus. Est-ce que les révolutionnaires représentent le monde de demain ? Non. Plutôt d’éternels insatisfait qui ne savent choisir leur camp. Merci pour ces premières réponses, mais difficile de s’y retrouver dans ce capharnaüm, posons des questions plus ouvertes dans ce cas. Pourquoi t’être engagé en tant que Chasseur de prime ? L’argent et la liberté. Lorsque les pirates ou les révolutionnaires réussiront à renverser la Marine, je serais déjà mort. Donc tu ne t’es pas engagé car tu éprouves une haine profonde contre les pirates ? Ils souhaitent être libres et rafler des tonnes de magots. C’est la même réponse que le pourquoi je me suis engagé dans la Marine. Des braves types tous. Mais tu n’as donc aucun sens du devoir ? Oh si si, et de loyauté également, tant que j’y trouve mon compte et que ça paye. Dans ce cas pourquoi ne pas être devenu un forban des mers, écumant les honnêtes marins ? Flemme de chercher des trésors! Et l’honneur dans tout ca ? L’honneur, l’honneur, vous n’avez tous que ce mot à la bouche. Nous en reparlerons quand tu verras un père de famille nourrir ses enfants avec de l’honneur ou quand tu verras les coffres fort des pirates remplis d’honneur. Il n’y a donc rien qui t’importe ? Si une chose, le doux son des clochers. Quel bonheur. Merci de toutes ces réponses mon cher Ôda, nous avons grâce à cela compris tes ambitions, ta vision des différents camps qui s’opposent dans notre monde, la raison qui t’a fait chasser des pirates, ton avis sur le sens du devoir, de la loyauté, sur la dichotomie du bien et du mal et surtout, sur ta lâcheté.
Biographie
Quoi encore ? Mon histoire… Mon.. Mon histoire ? Très bien ! Accrochez-vous et sortez les mouchoirs car j’en ai gros sur la patate. Attends, je m’assieds.
Mon histoire commence comme vous pouvez vous en douter en 1599, oui il y a trente ans. Je sais, on m’a toujours dit que je ne fais pas mon âge. Mais arrêtez de me déconcentrer. Il y a donc trente ans, sur la North Blue et plus précisément dans la ville de Manshon, je suis venu au monde. Je vais passer une grande étape car je n’ai aucun souvenir de ma famille, de ma naissance, j’ai eu beau chercher pendant de nombreuses années, j’ai déjà oublié absolument tout ce qui concerne ma famille. L’un des souvenirs le plus marquant que j’ai conservé de cette époque est la somme pour laquelle j’ai été vendu en tant qu’esclave : 47 000 Berrys. Seulement ? Vous vous rendez compte ? C’était le premier tournant de mon histoire, lorsque j’ai été vendu contre une petite somme d’argent. Vous connaissez l’expression vendre sa mère pour une dose ? Et bien c’était à peu près ça ! En tant qu’esclave dans cette ville du crime, j’ai fait énormément de petits boulots, tous plus ingrats les uns que les autres, mais ça entretenait mon corps, ça me sculptait un corps d’Apollon, bien que de nombreuses cicatrices l’ont marqué. C’était dur ! Terriblement dur. Ça a sculpté mon esprit également, je suis devenu égoïste pour pouvoir survivre, c’était soit moi soit les autres. Autant vous dire que je passais bien avant tout le monde. Pendant cette période, j’ai même dû laminer la gueule d’un jeunot qui commençait à prendre du galon dans la famille dans laquelle j’étais. Je me suis fait rosser pour avoir détruit l’avenir de cet autre esclave, mais je ne pouvais passer numéro deux. Mais je me suis fait remarquer pour avoir défoncé les dents de ce jeune qui me rendait pourtant deux têtes. J’ai donc été assigné à d’autres tâches : celles de casser des bouches, faire le fossoyeur, puis finalement, je suis devenu garde du corps d’un des mafieux du coin. J’ai été entrainé au combat par ces mêmes hommes qui m’affamaient et me torturaient. Vous savez ce qui m’a fait tenir toutes ces années ? Cela pourrait vous sembler débile, mais le tintement de la cloche de « Notre Dame du Crime ». Ce tintement était tellement singulier, tellement profond. Ce fut mon garde-fou pendant toutes ces années.
Un soir cependant, alors que j’avais passé de nombreuses années en tant que gorille protecteur d’un gros qui ne pensait qu’à acquérir des choses tel un collectionneur, nous nous sommes rendus dans une partie du port, un peu plus éloigné quais naturellement à la recherche d’un homme. Visiblement, il s’agissait d’un forgeron d’art, ancien forgeron d’arme qui s’était reconvertit de peur de la mafia, qu’ils puissent le kidnapper et se servir de lui pour grossir les stocks d’armes des Sept familles qui dirigeaient pas si secrètement Manshon. Mais ça avait été sans compter sur tous les espions qu’avaient la mafia sur cette île. Ce crétin de forgeron n’avait pas vraiment réfléchi à ça. Penser pouvoir duper ainsi la mafia était une erreur monumentale qu’il était sur le point de payer. Quelques minutes tard, une trentaine de solides gaillards de ce mafieux que je protégeais, moi inclus bien entendu, se trouvaient devant l’atelier de ce forgeron, un peu excentré du reste de la plèbe. Le forgeron était un monstre, plus de deux mètres de haut, mais un âge avancé qui le rendait moins combattif, malgré un caractère bien trempé. S’opposant au mafieux, je fis un pas en avant pour le convaincre par la force avant qu’il ne se saisisse d’une sorte de bâton. La force de l’homme fut colossale lorsqu’il m’envoya valdinguer sur un porte arme qui se trouvait dans le coin. Mon visage ensanglanté ne bougeait plus, j’étais fixé sur une chose : cette arme. Incroyable. Alors que le combat s’intensifiait, j’approchais de l’homme : « Vieil homme. Je te débarrasse d’eux à tout jamais, si tu me fais cadeau de cette cloche ». Après un instant, le vieil homme sourit et accepta, en me traitant de fou, que je n’arriverais jamais à me débarrasser de tout le monde. Ce fut mal me connaître, le tintement de cette cloche était si profond qu’elle perça mon âme. En dix minutes, tout le monde était capout ! J’avais bien bossé. Je fis ensuite avec l’aide de l’homme passer tout cela pour un accident, brûlant l’atelier. Avant de disparaitre vers d’autres contrées, l’homme me donna cette arme incroyable : Tsukigane.
Nous étions désormais en 1623 et j’étais enfin débarrassé de la mafia. Mais j’avais du quitter l’île de Manshon, bien trop recherché par la mafia pour rester. Les larmes coulaient souvent sur mes joues en me souvenant du bruit de la cloche de Notre Dame du Crime. J’avais été sur un bateau, luttant aux côtés de ce forgeron pour rejoindre une autre île sur laquelle s’installer. Nous avons combattu des pirates, d’autres brigands en tout genre, fuit la marine, jusqu’à ce que le sort me rattrape. La nouvelle m’explosait au visage. Les Sept familles de Mafia qui sévissaient et régnaient en maître sur Manshon avaient été démantelé par la Marine lors d’une attaque monumentale de six cuirassés. D’abord fier de cette victoire sur ces ignobles familles, je me suis rendu par la suite sur l’île pour y découvrir Notre Dame du Crime, totalement en ruine. La cloche était tombée et ne tintera plus jamais. Signifiant le crime de ces familles pour les habitants, la Marine avait refusé de rebatir ou de raser, ils voulaient laisser cette église en ruine, comme un éternel rappel de la puissance de la Marine et du sort de ses ennemis. Alors que mon âme criait à l’agonie, j’essayais désormais de trouver un réconfort dans le tintement d’autres cloches, qui n’égaleraient jamais celle de Notre Dame du Crime. Je m’étais engagé en tant que chasseur de prime pour pouvoir avoir un objectif, pécunier bien entendu. L’argent fait tout de nos jours. Peut-être pourrais-je grâce à tout cet or, convaincre les habitants de restaurer cette église, de de faire tinter de nouveau cette cloche : unique trésor à mes yeux égoïstes.
Mon histoire commence comme vous pouvez vous en douter en 1599, oui il y a trente ans. Je sais, on m’a toujours dit que je ne fais pas mon âge. Mais arrêtez de me déconcentrer. Il y a donc trente ans, sur la North Blue et plus précisément dans la ville de Manshon, je suis venu au monde. Je vais passer une grande étape car je n’ai aucun souvenir de ma famille, de ma naissance, j’ai eu beau chercher pendant de nombreuses années, j’ai déjà oublié absolument tout ce qui concerne ma famille. L’un des souvenirs le plus marquant que j’ai conservé de cette époque est la somme pour laquelle j’ai été vendu en tant qu’esclave : 47 000 Berrys. Seulement ? Vous vous rendez compte ? C’était le premier tournant de mon histoire, lorsque j’ai été vendu contre une petite somme d’argent. Vous connaissez l’expression vendre sa mère pour une dose ? Et bien c’était à peu près ça ! En tant qu’esclave dans cette ville du crime, j’ai fait énormément de petits boulots, tous plus ingrats les uns que les autres, mais ça entretenait mon corps, ça me sculptait un corps d’Apollon, bien que de nombreuses cicatrices l’ont marqué. C’était dur ! Terriblement dur. Ça a sculpté mon esprit également, je suis devenu égoïste pour pouvoir survivre, c’était soit moi soit les autres. Autant vous dire que je passais bien avant tout le monde. Pendant cette période, j’ai même dû laminer la gueule d’un jeunot qui commençait à prendre du galon dans la famille dans laquelle j’étais. Je me suis fait rosser pour avoir détruit l’avenir de cet autre esclave, mais je ne pouvais passer numéro deux. Mais je me suis fait remarquer pour avoir défoncé les dents de ce jeune qui me rendait pourtant deux têtes. J’ai donc été assigné à d’autres tâches : celles de casser des bouches, faire le fossoyeur, puis finalement, je suis devenu garde du corps d’un des mafieux du coin. J’ai été entrainé au combat par ces mêmes hommes qui m’affamaient et me torturaient. Vous savez ce qui m’a fait tenir toutes ces années ? Cela pourrait vous sembler débile, mais le tintement de la cloche de « Notre Dame du Crime ». Ce tintement était tellement singulier, tellement profond. Ce fut mon garde-fou pendant toutes ces années.
Un soir cependant, alors que j’avais passé de nombreuses années en tant que gorille protecteur d’un gros qui ne pensait qu’à acquérir des choses tel un collectionneur, nous nous sommes rendus dans une partie du port, un peu plus éloigné quais naturellement à la recherche d’un homme. Visiblement, il s’agissait d’un forgeron d’art, ancien forgeron d’arme qui s’était reconvertit de peur de la mafia, qu’ils puissent le kidnapper et se servir de lui pour grossir les stocks d’armes des Sept familles qui dirigeaient pas si secrètement Manshon. Mais ça avait été sans compter sur tous les espions qu’avaient la mafia sur cette île. Ce crétin de forgeron n’avait pas vraiment réfléchi à ça. Penser pouvoir duper ainsi la mafia était une erreur monumentale qu’il était sur le point de payer. Quelques minutes tard, une trentaine de solides gaillards de ce mafieux que je protégeais, moi inclus bien entendu, se trouvaient devant l’atelier de ce forgeron, un peu excentré du reste de la plèbe. Le forgeron était un monstre, plus de deux mètres de haut, mais un âge avancé qui le rendait moins combattif, malgré un caractère bien trempé. S’opposant au mafieux, je fis un pas en avant pour le convaincre par la force avant qu’il ne se saisisse d’une sorte de bâton. La force de l’homme fut colossale lorsqu’il m’envoya valdinguer sur un porte arme qui se trouvait dans le coin. Mon visage ensanglanté ne bougeait plus, j’étais fixé sur une chose : cette arme. Incroyable. Alors que le combat s’intensifiait, j’approchais de l’homme : « Vieil homme. Je te débarrasse d’eux à tout jamais, si tu me fais cadeau de cette cloche ». Après un instant, le vieil homme sourit et accepta, en me traitant de fou, que je n’arriverais jamais à me débarrasser de tout le monde. Ce fut mal me connaître, le tintement de cette cloche était si profond qu’elle perça mon âme. En dix minutes, tout le monde était capout ! J’avais bien bossé. Je fis ensuite avec l’aide de l’homme passer tout cela pour un accident, brûlant l’atelier. Avant de disparaitre vers d’autres contrées, l’homme me donna cette arme incroyable : Tsukigane.
Nous étions désormais en 1623 et j’étais enfin débarrassé de la mafia. Mais j’avais du quitter l’île de Manshon, bien trop recherché par la mafia pour rester. Les larmes coulaient souvent sur mes joues en me souvenant du bruit de la cloche de Notre Dame du Crime. J’avais été sur un bateau, luttant aux côtés de ce forgeron pour rejoindre une autre île sur laquelle s’installer. Nous avons combattu des pirates, d’autres brigands en tout genre, fuit la marine, jusqu’à ce que le sort me rattrape. La nouvelle m’explosait au visage. Les Sept familles de Mafia qui sévissaient et régnaient en maître sur Manshon avaient été démantelé par la Marine lors d’une attaque monumentale de six cuirassés. D’abord fier de cette victoire sur ces ignobles familles, je me suis rendu par la suite sur l’île pour y découvrir Notre Dame du Crime, totalement en ruine. La cloche était tombée et ne tintera plus jamais. Signifiant le crime de ces familles pour les habitants, la Marine avait refusé de rebatir ou de raser, ils voulaient laisser cette église en ruine, comme un éternel rappel de la puissance de la Marine et du sort de ses ennemis. Alors que mon âme criait à l’agonie, j’essayais désormais de trouver un réconfort dans le tintement d’autres cloches, qui n’égaleraient jamais celle de Notre Dame du Crime. Je m’étais engagé en tant que chasseur de prime pour pouvoir avoir un objectif, pécunier bien entendu. L’argent fait tout de nos jours. Peut-être pourrais-je grâce à tout cet or, convaincre les habitants de restaurer cette église, de de faire tinter de nouveau cette cloche : unique trésor à mes yeux égoïstes.
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : OG
- Êtes-vous majeur ? oui
- Vous aimez / n'aimez pas : L'argent
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Smoker
- Vous vous définiriez comme : Riviérophile.
- Vous faites du RP depuis : Oula, plus de 15 ans
- Vos disponibilités (approximatives) : Va différer en fonction du travail, mais je dirais au minim deux/trois soirs /semaine
- Comment avez-vous connu le forum ? Google.
One Piece Requiem Tous droits réservés
Dernière édition par Ôda Natsume le Lun 25 Sep 2023 - 12:33, édité 5 fois