Corleone D Vito, Pseudonyme
Sexe : Homme...
Race : Humain Future agent du gouvernement en formation:
Groupe : Gouvernement mondiale
But : Faire partie de l'élite du Gouvernement Mondial ( il vise CP9 dans un premier temps)
Équipement : Deux pistolets évidement avec les munitions qui vont avec, une montre à gousset un dès à 6 faces, un jeu de 54 cartes traditionnels
Codes du règlement :
Description physique
Vito, un jeune garçon âgé de seulement douze ans, incarne une présence discrète parmi les élèves de l'école de formation du Gouvernement Mondial. De taille modeste pour son âge, il arbore une silhouette délicate, sa masse corporelle encore en voie d'épanouissement, dénotant une musculature à peine esquissée. Son allure ne se révèle pas imposante, mais dégage plutôt une harmonie paisible.
Un tic caractéristique le trahit souvent : lorsqu'il réfléchit profondément ou se prépare à un combat sérieux, ses doigts délicats se portent instinctivement à son front, comme s'il cherchait à appuyer sur les mécanismes de sa pensée. Ce geste précède toujours le léger basculement de son chapeau vers l'avant, signe que son esprit est en ébullition.
Dans ses interactions, le langage qu'il emploie est d'une remarquable distinction pour un enfant de son âge. Toujours poli, il maîtrise un parler raffiné qui surprend et impressionne. Sa voix, douce et posée, transmet un calme olympien, même dans les moments les plus agités.
Son allure en mouvement ne déroge pas à cette image de sérénité qu'il projette. Il marche avec une lenteur calculée, sans hâte apparente, ses pas résonnant avec légèreté, s'intégrant parfaitement au décor qui l'entoure. Cette démarche anodine, presque imperceptible, cache pourtant une vigilance sous-jacente, telle celle d'une panthère dans les hautes herbes.
Dans le registre vestimentaire, Vito affiche une préférence pour les teintes sombres. Un chapeau noir repose sur sa tête, soulignant sa chevelure d'un bleu profond et courte. Sa peau claire se marie harmonieusement avec sa chemise, sa cravate, sa veste, son pantalon et ses chaussures, tous d'un noir sobre et élégant. Deux pistolets, discrètement dissimulés mais toujours à portée, complètent son apparence.
Description psychologique
Cette enfant à l'âme juvénile mais à la mentalité d'un sage, révèle une façon singulière de prendre des décisions. Face à des choix de vie cruciaux, il se tourne vers le hasard en lançant un dé, comme pour accepter le flux imprévisible du destin. Cette attitude, en apparence téméraire, est en réalité une manifestation de son acuité mentale : il a bien saisi que, parfois, il est nécessaire de lâcher prise et d'accepter les caprices de l'incertitude.
Lorsqu'il se retrouve face à un adversaire, son esprit se déploie dans un ballet de réflexions. Vito ne se lance jamais précipitamment dans un combat. Au contraire, il cherche inlassablement les failles, les points faibles, et les opportunités stratégiques. La ruse et la subtilité sont ses alliées, et il préfère que la première balle soit celle qui mette fin à la confrontation. La prolongation des combats ne fait que ternir l'efficacité et la précision qu'il cherche à maintenir.
Ses yeux perçoivent le monde comme un immense échiquier où les pièces bougent en suivant les ordres d'une hiérarchie invisible. Être un pion obéissant dans ce jeu d'intrigues ne l'incommode pas. Au contraire, il trouve dans cette structure, cette discipline imposée, une voie qui lui évite de se perdre dans les méandres d'une existence parsemée de décisions complexes. Être guidé par une autorité supérieure est pour lui une tranquillité d'esprit.
Dans la valse des émotions, Vito est un danseur assuré. La quiétude de son esprit et sa capacité à garder le contrôle sont des piliers de sa personnalité. Cependant, lorsqu'il déraille, la machine bien huilée de sa maîtrise vacille. L'instant où il perd pied est rare, mais lorsque cela se produit, il devient presque méconnaissable. Son talent au tir disparaît, laissant place à un corps-à-corps maladroit et peu coordonné. Un vif contraste qui souligne la fragilité de son calme intérieur lorsqu'il est ébranlé.
Il y a peu d'âmes qui ont le privilège de sa confiance. Ces quelques individus, choisis méticuleusement, sont les élus d'un cercle restreint, pouvant être comptés sur une main. Les épreuves de la loyauté sont les seules capables de forger des liens indéfectibles avec lui. Vito ne tolère pas la souffrance infligée à ses proches, la douleur qu'il est prêt à endurer pour devenir plus fort ne doit jamais se refléter sur ceux qu'il aime. Un paradoxe subtil d'une personnalité complexe. Il y a aussi cette haine farouche envers les tomates, une aversion dont l'origine reste encore aujourd'hui un mystère qui ne l'empêche pas de leur tirer dessus lorsqu'il se promène dans un marché .
Biographie
Dans le limbe inhospitalier d'East Blue, où les vagues semblaient chanter un éternel requiem pour les âmes perdues, résidait un enfer nommé Tequila Wolf. Un enfer dans lequel le châtiment et l'agonie se faisaient les gardiens du triste destin de milliers d'âmes captives. Parmi ces damnés, figurait une femme aux traits marqués par la souffrance, connue sous le nom de Maria Merantara.
Elle, s'abîmait chaque jour dans les entrailles du bagne titanesque, où les ouvrages démesurés des Huit Ponts défiaient l'horizon. Son visage autrefois radieux, dévoré par l'implacable labeur, portait les stigmates d'une vie accablée par la cruauté et la misère. Chaque lever du soleil dévoilait une peau émaciée, ciselée par des années d'esclavage.
Dans cette geôle de fer et de glace, la lueur de l'espoir était un trésor rare, perdu au milieu des cris des opprimés et du fracas des chaînes. La pitance était le rêve, et la faim était leur quotidien. Chaque gorgée d'eau ressemblait à un acte de résistance face à la soif dévorante qui les tenaillait. La dignité avait été confisquée, le regard était vide, l'âme meurtrie.
Chaque journée apportait son lot de labeur insensé, sous l'œil impitoyable des matons, gardiens du désespoir. Les pierres lourdes et les poutres massives semblaient être les seuls témoins muets des existences écrasées par le poids de leur propre destinée. Maria était l'une de ces âmes prisonnières de l'obscurité, une étoile éteinte dans ce firmament d'injustice.
Depuis son arrestation Maria avait dissimulé son secret le plus précieux. Dans l'ombre du bagne, là où l'injustice et la cruauté régnait en maître, elle portait en elle l'espoir d'une vie nouvelle. Les chaînes qui entravaient son corps ne pouvaient entraver sa détermination à préserver la vie qui grandissait en elle. Elle avait fait de son ventre une cachette secrète, gardant son trésor en lieu sûr, sous les vêtements en coton ample et sale.
C'était une bataille silencieuse, chaque jour un pas de plus vers la lumière, chaque nuit un murmure d'amour à l'oreille de l'enfant qu'elle portait. Le jour vint où les douleurs la poussèrent au-delà du voile de la douleur et de la dissimulation. Lorsque les cris de l'enfant s'élevèrent, les matons ne purent ignorer la vérité qui se dévoilait. Dans l'agonie de l'accouchement, Maria expira, mais son dernier souffle porta l'écho d'un amour infini pour l'enfant qui venait de naître.
« Mon chéri je te fais naître dans un monde de douleur et de souffrance et j’en suis désolé, mais je sais que tu seras plus fort que moi tu sauras t’adapter. Je t’aime Vito »
Lui chuchota-t-elle tout en lui mettant une gourmette gravée qu’elle avait fabriqué en secret avec les outils à dispositions pour construire le pont. Sur ce bijou était gravé : Corleone Di Vito
Dans l'indifférence cruelle des geôliers, Vitofut confié à des mains dénuées de tendresse. Des habitants de Tequila Wolf, sombres et résignés, furent désignés pour le prendre en charge jusqu'à ce qu'il fût apte au labeur. C'était un fardeau pour eux, une bouche de plus à nourrir dans un monde où chaque bouchée était comptée.
Dans cet exil imposé, son éducation ne fut pas le doux rivage auquel tout enfant a droit. Ses parents adoptifs, si l'on peut les nommer ainsi. L’éduquèrent avec rigueur, lui imposant un langage soutenu et des manières impeccables. C’est à partir de ce moment que le masque qui lui permettait de dissimuler la douleur et la privation qu'il endurait devenait son vrai visage. Un regard neutre, calme, et impassible dans un monde terrible, cruel et injuste.
À l'âge de six ans, la main du destin l'emmena dans les entrailles du bagne, où il fut initié à l'amertume du travail forcé. Il découvrit l'enfer des Huit Ponts, et sa jeunesse fut dévorée par les maux de l'esclavage.
Dans l'ombre des Huit Ponts, il usait de ruses, se cachait dans les coins sombres et volait de précieuses bouchées de nourriture en maniant habilement son lance-pierre, son intelligence et son imagination. Ces talents furent repérés par d'autres prisonniers, d'anciens révolutionnaires dont l'espoir de la liberté palpitait toujours en eux.
Parmi ces compagnons d'infortune, un optimiste nourrissait l'idée que la révolte viendrait un jour et que l'heure de se battre sonnerait. Il prit Vito sous son aile et lui enseigna l'art des pistolets, malgré le manque de balles il lui apprit le maniement de base et comment viser avec une arme à feu.
Six années s'écoulèrent, et à l'âge de douze ans, lors d'une pause repas sur l'un des huit ponts, un affrontement entre un homme requin et un autre détenu éclata. La tension longtemps refoulée explosa en une émeute féroce, un ballet chaotique où l'acier s'entrechoquait et les cris résonnaient comme un hymne de rébellion.
Dans cette tourmente, Vito repéra son professeur et ami, attaqué sans merci par un soldat. Les éclairs de la bataille dessinaient la scène, et un pistolet abandonné par un soldat désarmé gisait à terre, une chance inespérée. Vito, agile et vif, esquiva les tirs ennemis, se glissant dans le décor apocalyptique du pont, une danse fluide dans l'enfer de la violence.
Il saisit le pistolet, l'acier froid entre ses doigts agiles, et l'utilisa avec une précision quasi surnaturelle. Sa première balle troua la main du soldat prêt à assassiner son ami, faisant lâcher le sabre ensanglanté. Puis, il tira dans le genou d'un autre soldat qui s'apprêtait à faire feu à bout portant, mettant un terme à son intention meurtrière.
Ça précision si impressionnante attira l’attention de trois soldats qui convergèrent vers lui pour l'encercler, mais Vito, empli de détermination, ferma les yeux un instant, puis, avec une synchronisation digne d'une partition de musique, pressa les détentes.
Deux détonations simultanées retentirent. Les épaules des soldats furent touchées, les faisant choir au sol. Vito ouvrit les yeux et pointa ses deux pistolets vers le front du soldat restant. Lorsqu’il sentit soudain le froid d’un canon contre son crâne, tandis qu'une voix féminine grave résonnait derrière lui : "Je serais toi, je n'appuierais pas sur la détente. Tu n'as pas encore franchi l'irréparable, ne le fais pas."
La voix féminine lui ordonna de poser les armes et de se retourner, avant de lui passer les menottes. Elle était d'une prestance imposante et portait un uniforme noire avec une cravate et un chapeau de la même couleur. Cette femme se révéla être un agent du Gouvernement Mondial.
Dans le bureau du bagne, Vito s'installa face à elle, les menottes entravant sa liberté. Elle rompit le silence pesant en entamant un dialogue franc. "J'ai remarqué que tu possédais un talent remarquable pour le tir. D'où te vient cette aptitude ?", demanda-t-elle.
"Je n'ai jamais appris, Madame. J'ai bien peur que ce don m'ait été hérité par une force supérieure", répondit Vito, masquant ainsi la vérité pour protéger celui qui lui avait enseigné.
La femme lui exposa deux alternatives pour les actes commis. La première impliquait de le laisser subir la vengeance des soldats pour les tirs qu'il avait réalisés sur leurs camarades. La seconde, plus inattendue, était de le convier à rejoindre une nouvelle section de formation spécialement créée pour les jeunes, dotés de prédispositions pour devenir les futures élites du Gouvernement Mondial. Vito, réfléchissant aux conséquences, répondit, "J'accepte votre proposition, Madame, à condition que mon ami soit libéré du bagne."
L'agent du gouvernement sembla hésiter un instant, puis acquiesça finalement à sa demande en lui expliquant qu'elle fera marcher ses contacts.Vitos'apprêta alors à quitter cette île infernale, embarquant vers l'avenir incertain aux côtés de cette femme, en direction de la capitale Marijoa.
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Astreos
- Êtes-vous majeur ? oui
- Vous aimez / n'aimez pas :J'aime les animés, le dessin, la plongé sous marine, je n'aime pas la pizza hawaïenne
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Je dirais Law j'aime beaucoup son caractère et son histoire
- Vous vous définiriez comme : fêtard, amateur de dessin de JDR et de jeux vidéos...
- Vous faites du RP depuis : plus de 10 ans
- Vos disponibilités (approximatives) : Je dirais un peu tous les soirs
- Comment avez-vous connu le forum ? Je l'ai découvert grâce à Google .
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Dernière édition par Corleone D Vito le Lun 16 Oct 2023 - 11:03, édité 4 fois