Lian Chinjao, Nihil
Sexe : Homme.
Race : Humain.Métier : Mafieux, mercenaire, homme à tout faire.
Groupe : Civil.
But : Se faire une place dans la pègre.
Équipement : Un baton et deux canifs.Parrain : //
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui. De Salem.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Izya.
Codes du règlement :
Description physique
Grand. Ouais, c’est la première chose qui frappe. J’dois faire dans les deux mètres, quelque chose comme ça. Et pour le commun des mortels, c’est grand. Tout du moins sur les Blues. Sur Grand Line, c’est une autre affaire, mais c’est pas comme si je m’en plaignais spécialement. D’ailleurs, plutôt que d’avoir l’air d’une poupée désarticulée ou plutôt d’un grand dadais, j’ai tout de même un maintien qui force le respect malgré une certaine nonchalance que je ne nierai pas. On est loin d’un port altier, mais même désinvolte, j’pense en imposer assez ou ne pas laisser indifférent mes vis-à-vis. Enfin… Ça c’est surtout quand je n’ai pas besoin de passer inaperçu, on s’entend. Sur la même veine, j’suis presque bâti comme un roc ou une armoire à glace. Ressembler à un gringalet ou une longue tige de bambou ? No, thanks ! D’ailleurs, ma démarche assurée et ma voix grave auront vite fait d’imposer un certain respect. Il en faut bien dans ce monde de brutes !
La couleur de mes cheveux ? Des teintes, évidemment. Quand j’ai lâché mon ancien blaze pour « Nihil », autant dire que j’ai tout voulu changer. Ma manière d’être, mon nom et aussi ce à quoi je ressemblais. J’ai donc pas la gueule typique d’un habitant de Kanokuni et même loin de là. Du coup, pour c’qui est de ma longue chevelure, presque toujours en queue de cheval, je la teints toujours en différentes nuances de bleu, vert et marron. Pour ressembler à Melo, mon ex-mentor. Ça l’a agacé au tout début, mais il a fini par s’en amuser et s’en accommoder. Pis, ça fait classe et c’est même ce qui doit attirer les regards après ma taille. D’ailleurs, les gens savent pas trop si j’suis brun, blond ou roux au naturel. Pas avant de m’avoir observé pendant un p’tit moment. Faut dire qu’avec mon sourire perpétuel et désarmant, sans compter mes mirettes brunes, ils ont généralement mieux à faire que d’se poser des questions là-dessus, héhéhé !
Concernant mes vêtements ? J’dois avouer être quand même sentimental. Un long manteau traditionnel trône toujours sur mes larges épaules. J’peux pas tout jeter non plus de ma chère mère patrie, même si j’ai pas de très bons souvenirs d’elle, heh ! Pour le reste, de simples t-shirts et jeans suffisent à mon bonheur. Hormis cette dégaine mal assortie de glan à plumer, j’me fringue aussi en fonction de la situation qui m’est imposée : t’imagines bien que dans une soirée mondaine, c’est costard cravate et tout le tintouin. En revanche, dans les ghettos ou autres quartiers pourris, c’est quelque chose d’plus simple, de moins tape-à-l’œil, de plus « humble » quoi, histoire de bien passer inaperçu… Ou pas. Ça dépend des jours. Mes boucles d’oreille, mon collier et autres bijoux presque clinquants ? Ouais, fais pas gaffe… C’est une lubie, ça. J’m’en sépare jamais. La signification de mes nombreux tatouages sur le torse et les bras ? T’en sauras jamais rien. T’as qu’à souffrir de mon silence et simplement les contempler, hein !
Description psychologique
Perfide. Ce type-là est sacrément perfide ! Un taré qui peut te la faire à tout moment, sérieux ! J’ai jamais eu confiance en ce gars-là et j’ai pas été étonné qu’il ait été viré ! Il est trop décontracté, trop relax, trop sûr de lui et ça a le don de mettre les gens en rogne, je vous jure ! Une fois, il m’a laissé en plan en pleine mission d’initiation, sous la pluie, pour aller trahir ma position chez une bonne partie des pirates qu’on traquait en se faisant passer pour une victime : ça a pas loupé ! Les gars m’ont poursuivi comme pas deux, pendant que lui se contentait de tuer tranquillement leur capitaine et quelques-uns de ses hommes restés sur place pour en tirer toute la gloire ! Sérieux, je ressemble à un appât moi ?! Tu me vois avec mes gros muscles et mes quatre mètres faire l’appât ?! D’ailleurs, le jour où je retrouve cette grosse enflure sur mon chemin, je le fume sérieux sans attendre ! La vie d’ma mère je le fuuuume !!!
Shelton, Agent de Catégorie 2 et ex-coéquipier occasionnel de Nihil.
Nil ? Nyaaaaaa ! Il est trop cool ! Je l’adore, je l’adore, je l’adore ! En plus, il est trop beau ! Un peu grand, certes, mais qui pourrait résister à son beau sourire ? Moi il me fait fondre ! En plus, c’est un vrai gentleman avec toutes les filles ici et on le kiffe toutes ! Il n’hésite pas à nous faire de cadeaux et à bien nous traiter, contrairement aux autres rustres du coin qui confondent les serveuses et strip-teaseuse avec des prostituées de bas de gamme ! Franchement, faut tout leur dire et tout leur apprendre à ses hommes ! Tout le contraire de Nihil ! Il est doux, attentionné et il adore nous conseiller après avoir longuement écouté nos problèmes ! Même qu’il nous offre des cocktails quand on le lui demande, sans broncher ! Un vrai homme, oui ! Ah… ? Est-ce qu’il nous demande des services et renseignements ? Même s’il le faisait, je ne vous le dirai pas, nah !
Shirley, stripteaseuse dans un bar de Shell-Town.
Oh, Nihil ? Faut dire que c’est un sacré roublard l’type ! Il a l’air flemmard et nonchalant, mais tu l’vois à sa gueule que c’est pas un type net. Y’a un p’tit quelque chose qui trompe pas. Du moins pour les initiés comme nous, bwéhéhéhé ! Mais en même temps, t’as qu’à juste mirer nos tronches qu’on l’est pas non plus hein ? Du coup, on l’aime bien, même s’il fait parfois tête à claque, héhé ! T’as parfois l’impression qu’il est dans la lune, mais l’gamin réfléchit à deux cents à l’heure ! Il a toujours une solution ou un plan d’secours quand y’a un truc qui coince ! Un peu comme un magicien qu’à toujours un tour dans son sac, t’vois l’genre ? En tout cas, même si on l’a plusieurs fois vu s’sortir des situations les plus improbables, il nous a jamais trahi l’bougre. Même qu’il le sent à l’avance quand y’a des marines qui veulent tomber dans l’coin, c’qui nous arrange bien pour déguerpir fissa histoire d’être tranquilles quoi. Non, vraiment, c’bougre, c’est une aubaine pour nos affaires et on espère que ça continuera comme ça, bwéhéhéhé !
Ricky, vieux mafieux qui traine avec sa familia sur North Blue.
Un caméléon social. C’est le mot qui pourrait bien résumer le petit Nihil. En même temps, c’est un peu ce qu’on attend d’un Cipher Pol, vous savez ? Se fondre dans la masse quand il faut… Caresser un ponte dans le sens du poil et obtenir gain de cause… Faire de la surenchère et provoquer des situations à certains moments… Tuer si cela est nécessaire à d’autres instants… Bref. En mission, notre identité propre ne compte plus et c’est bien un concept que le gamin avait très vite assimilé, ce qui augurait de bonnes choses. Si je suis déçu de lui ? Absolument. C’est à n’en point douter un trop grand gâchis. Quand bien même la mort de Melo l’a affecté, il aurait quand même pu surpasser cette peine et se donner à fond pour devenir un agent confirmé et pourquoi pas même un chef d’équipe. D’ailleurs, j’ai cru comprendre qu’il trempait dans des affaires louches… Ça me ferait du mal d’apprendre qu’il ait été bêtement tué par nos hommes…
One, instructeur CP.
Biographie
Nul.
Le vioque me rabâchait que j’étais nul.
Et c’était comme ça tous les jours. Tout le temps même…
Au point où j’étais passé au fil du temps de l’espoir à la honte de ma famille. Ou plutôt du paternel.
Le vioque était un hère de Kanokuni. Un type issu d’une famille pauvre qui avait dû se battre pour survivre durant une bonne partie de sa vie. Il avait tout de même réussi à se faire une place dans la Happou Navy, qui, disons-le, trempait dans des histoires louches et pas qu’un peu. Avec le temps et beaucoup de persévérance, il se fit une petite fortune, un nom et épousa même la fille de son capitaine, ce qui l’éleva encore plus dans la hiérarchie bien établie de la société du royaume. Un brave personnage qui s’était presque fait tout seul. Mérite que personne ne pouvait lui enlever. Devant son succès, il fut promis à prendre la tête de la petite flotte de son capitaine qui était très influent et qui l’aimait vraiment beaucoup. Ce fait advint en l’espace d’une décennie après le mariage. A la mort de son beau-père, mon daron devint alors le chef d’une flotte d’une multitude de corsaires. A croire qu’il tenait sa revanche sur la vie et que le destin lui souriait finalement… Enfin… Bonheur relatif pour qui le connaissait vraiment car il eut un problème ensuite…
Après une quinzaine d’années de mariage, le vioque n’avait eu que des filles. Trois filles.
Pas le moindre mâle. Pas le moindre héritier. De quoi le frustrer énormément.
C’est après une énorme beuverie, à la suite d’un deal rondement mené, que mon paternel se laissa aller avec l’une de ses servantes. L’alcool avait bien grisé ses sens et l’homme s’en était donné à cœur joie. Ce petit épisode fut bien entendu un scandale dans son ménage lorsque des rumeurs sur sa petite affaire se répandit comme une trainée de poudre un peu partout. Ladite servante, ma mère, fut répudiée très vite et partit se terrer dans les bidonvilles de la Baie de Jing. Tout de même éprise de l’homme avec qui elle s’était énivrée de plaisir lors d’un soir, elle décida de garder le fruit de leur amour, de leur étreinte. Neuf mois plus tard, j’étais enfin de ce monde. Là encore, le destin fut farceur puisque les nouvelles de ma naissance arrivèrent aux oreilles de mon paternel. Ce dernier, qui avait presque oublié sa pauvre servante qu’il avait renvoyé (sur ordre de sa jalouse de femme), fut fou de joie lorsqu’il apprit que j’étais un « mâle ». De quoi le pousser à venir chercher sa progéniture et à réhabiliter sa servante qu’il proclama maitresse attitrée.
Un bâtard ? Peu importe. L’homme assumait ce fait contre vents et marées. Sa femme, aigrie comme jamais auparavant, tenta plusieurs fois d’assassiner ma mère mais échoua à chaque fois. Elle se reclusa finalement dans ses quartiers lorsqu’elle comprit que c’était peine perdue et que son mari prêtait plus d’attention à sa maitresse et à son enfant. Ses filles, mes sœurs, furent également affligées par cette situation, si bien qu’elles décidèrent elles aussi de se mettre en retrait. Un retrait stratégique pour une vengeance froide à venir. L’idée était de se faire petit. De se faire oublier. Et de frapper au moment opportun tout bonnement. De ce fait, mes premières années furent tranquilles. J’étais aimé et chouchouté par tous. Jusqu’au jour de mes sept ans où ma mère mourut d’empoisonnement. L’œuvre d’une de mes diablesses de sœur qui avait réussi à approcher ma mère au fil du temps, à montrer patte blanche comme il faut, à me choyer aussi pour avoir sa confiance et assouvir sa vengeance. Des représailles finement menées en sept années.
Mon père fut ivre de colère, mais ne put se résoudre à tuer sa propre fille, surtout pour une maitresse. Il ne la répudia pas non plus, mais il lui fit comprendre qu’il ne voulait plus voir son visage. C’est à compter de ce moment-là qu’il décida de m’initier aux arts martiaux et à l’apprentissage du hasshoken. Malheureusement, le temps de deuil trop court, le passage à la dure réalité de la vie et le fait que mon paternel était un bon combattant mais un piètre enseignant ne m’aidèrent pas du tout. Fragile psychologiquement, je ne m’ouvris pratiquement jamais au hasshoken ; si bien qu’à l’âge de douze ans, j’avais seulement une bonne constitution physique pour un prépubère : je savais prendre des coups, en donner, mais c’était tout. Déçu de mon niveau, mon père commença doucement à me retirer mes quelques droits de bâtard et à m’ignorer. Sa femme, qui entre-temps, était rentrée une nouvelle fois dans ses grâces lui fit enfin un garçon. De quoi m’achever instantanément puisque je fus littéralement jeté aux oubliettes, aux basses besognes.
Plus de privilèges.
Plus d’apprentissage du hasshoken.
Juste un simple bâtard qui n’était bon qu’à faire des corvées comme un mousse sur un navire.
La roue avait tourné.
Malmené par son propre équipage qui me rappelait constamment que j’étais un bâtard qui avait tout de même de la chance de le servir, je me contentais des miettes qu’on m’offrait tout en rongeant mon frein. Si lors de la première année de ma déchéance j’avais accusé le coup en pensant que j’étais le seul et unique responsable de mon malheur, le temps me fit relativiser sur la chose : les quelques humiliations que mes sœurs me faisaient subir à l’occasion et les insultes proférées à l’endroit de ma défunte mère firent vite de faire grandir en moi une rancœur et une colère sourdes. Néanmoins, que pouvais-je faire ? Les tuer ? Je n’en avais pas la force. M’enfuir ? La famille et ses multiples connexions me retrouveraient surement. Ne plus obéir ? J’étais bon pour me faire tabasser plus que je ne l’étais déjà. J’étais donc « emprisonné » auprès des miens sans perspectives d’avenir ; même si j’avais la foi qu’une lumière viendrait bientôt où ils mordraient la poussière comme des chiens, tout autant qu’ils étaient. Je priais même pour ça…
Et les Dieux, quels qu’ils soient, entendirent mes prières noires lorsque j’eus 15 ans…
Ce jour-là, c’était toute la flotte du paternel qui avait bougé vers une île lointaine de West Blue. Une affaire en or qu’ils disaient. Personnellement, je n’avais pas eu vent des tenants et aboutissants de toute l’histoire, mais je savais que ladite affaire était assez importante et juteuse pour que l’équipage de mon paternel se déplace dans son intégralité. Pour ma part, j’avais tout simplement tenu mon poste de vigie sur le navire amiral. Malheureusement pour mon vieux et ses hommes, son opportunité n’était en fait qu’un piège tendu par des marines en collaboration avec le Cipher Pol. Un groupe de cinq navires attendaient fermement la flotte du vieux qui déchanta très rapidement. S’engagea alors une bataille navale d’une rare violence et d’un abordage des CP et marines. S’il eut résistance de notre part, l’équipage de mon père fut bientôt submergé et son navire fut le dernier à être pris. L’homme se battit jusqu’à son dernier souffle, mais il fut défait par un coup de lame d’un gradé de la marine et par une balle en traitre d’un CP qui lui perfora un poumon.
Alors qu’il était au sol et se vidait de son sang en balbutiant des paroles incompréhensibles et en tendant son bras vers le ciel obscurci par les rideaux de fumées importantes qui provenaient des embarcations enflammées, j’avais fini par descendre incognito du nid-de-pie du navire amiral, avant de bondir presque félinement sur le CP qui lui avait tiré dessus pour lui dérober son arme. L’initiative eut pour effet de surprendre tous les marines et quelques CP sur le pont du bateau amiral, mais ils n’eurent même pas le temps de réagir : j’avais tiré. Tiré non pas sur ceux qui étaient censés être nos ennemis, mais sur le corps agonisant de mon vioque. Avec un rire hystérique et le visage baigné de grosses larmes, je déchargeai avec véhémence toutes les balles de l’arme volée sur mon père qui succomba aussitôt. La scène qui n’était pourtant pas d’une extrême violence réussit quand même à choquer toutes les personnes aux alentours. Ma folie du moment se prolongea pendant quelques secondes puisque je continuais de presser la détente d’une armée vidée.
« CREVE ! CREVE ! CREVE ! CREVE ! »
Et ce fut finalement le CP que j’avais volé qui vint me retirer l’arme des mains avant de m’assommer.
A mon réveil, j’étais enchainé dans une cale. Est-ce qu’on allait m’emprisonner ? Me tuer ? Ces questions-là tournèrent en boucle dans ma tête pendant un long moment avant que je ne me laisse aller en soupirant, les yeux dans le vague. Quelle importance finalement ? J’avais réussi à abattre cet homme qui m’avait fait vivre un enfer et qui avait laissé son entourage cracher sur ma mère. Plus rien ne comptait à présent. Plus rien. Mais à ma plus grande surprise, la marine me relâcha après un interrogatoire où je leur avais raconté toute mon histoire et tout ce que je savais sur mon père, avant d’être récupéré par l’agent du Cipher Pol qui était grandement intéressé par mon profil. J’avais été moi-même une victime d’un ancien pirate notoire (Mon père avait une prime de 20 millions ce qui n’est pas rien sur les blues) et mes réflexes avaient pas mal bluffé celui qui voulait me recruter. Un temps sceptique devant sa proposition, je finis par accepter en haussant mes épaules. Sans être surdoué, je compris que ma remise en liberté était le fait de l’agent…
Et puis de toute façon, où pouvais-je aller ? Retourner « chez moi » n’était même plus une option.
La femme de feu mon père me tuerait tout simplement. Elle ou ses satanées filles, tiens…
C’est donc le cœur tout vide que je suivis le Cipher Pol. Ce dernier du nom de « Melo » (C’était très clairement son pseudo) me fit savoir qu’il était lui aussi originaire du royaume des fleurs. Plutôt que de me faire subir un entrainement intense dès le départ, il s’attela à construire une relation de confiance avec moi. Méfiant au tout début, mes barrières se brisèrent peu à peu devant celui qui s’érigeait en nouvelle figure paternelle. Je plaçai en lui toute ma confiance et décidai alors d’embrasser son propre travail. En quelques années donc, il m’apprit les rudiments que tout agent gouvernemental devrait savoir : la géopolitique et l’importance du Gouvernent Mondial, la navigation, le camouflage, la psychologie, l’éloquence… Bref, un bon paquet de choses qui me construisit et qui firent de moi un vrai homme au fil du temps. Seulement, Melo finit par clamser lors d’une mission quelconque sur Grand Line, ce qui me laissa une énième fois orphelin… Autant dire que j’étais un gros poissard sur le coup et pas qu’un peu d’ailleurs…
C’est donc sans véritable mentor que ma progression fut stoppée net et que je stagnai en tant qu’agent en formation du CP. Du reste, les instructeurs du coin constatèrent très rapidement que je n’étais plus vraiment motivé. La perte de Melo avait créé un certain vide en moi et un désintérêt pour la vie en général. D’agent en formation, je dégringolai en quelques années au rang de bureaucrate. Cantonné à un poste minable de comptable dans un bureau pourri durant quelques années, je finis par être viré à la suite d’erreurs répétées sur les comptes d’un projet qui semblait plus ou moins important. Vide et sans le sou, j’ai donc vivoté çà et là durant des années sur Grand Line et les blues à la recherche d’une raison d’être. C’est de fil en aiguille et grâce à mes talents acquis lors de mes années au Gouvernement Mondial que je finis par tremper dans des affaires illégales, mafieuses. Contrebande, recel, vol, proxénétisme… Autant dire que j’ai touché à un peu de tout dans une mafia locale sur une petite blues, avant de me faire la réflexion que je pouvais percer dans ce milieu…
Et me faire un nom qui me permettrait non seulement de me venger de ma marâtre, mais aussi de ses salopes de filles que je me voyais déjà couler dans du béton…Récupérer la Happou Navy non plus ne serait pas de trop. Et construire un empire underground derrière le tout était possible, in fine…
J’étais de toute façon bien placé pour savoir que la justice était dictée par les plus forts et qu’il n’y avait plus qu’à cravacher encore et encore pour concrétiser tout ça.
Des perspectives alléchantes qui m’enchantèrent véritablement…
L’avenir semblait promettre monts et merveilles !
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Blackie.
- Êtes-vous majeur ? Oui.
- Vous aimez / n'aimez pas : ///
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Luffy et Aokiji.
- Vous vous définiriez comme : ///
- Vous faites du RP depuis : Depuis 2009.
- Vos disponibilités (approximatives) : Régulièrement. Normalement.
- Comment avez-vous connu le forum ? Sans doute un top-site dans le temps.
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