Laurie regardait les vagues s'écraser sur la coque du bateau de la marine en passant la tête au-dessus des rambardes du pont supérieur. Les clapotis délicats de l'eau berçaient presque le jeune homme. Le temps était clément et le soleil haut dans le ciel. C'était une belle journée en perspective. Pourtant, Laurie n'était pas là pour admirer le paysage. Il gardait les yeux rivés sur l'eau mouvante, fronçant les sourcilles pour la scruter avec plus d'attention.
- "Ça ressemble à quoi une vache des mers ?"
Derrière lui, Alex était adossé à un mât, les bras croisés et les yeux fermés. Pensif, comme à son habitude.
- "Tu ne sais pas à quoi ça ressemble ?" Répondit-il surpris.
- "La dernière fois qu'on est tombé sur une de ces bestioles, j'étais sur le pont inférieur. Le temps de vous rejoindre, le colonel avait déjà découpé la bête en sashimis irreconnaissables."
- "Hmm, c'est vrai. Ca ressemble à une vache, grosse, avec des écailles."
Si le duo échangeait tranquillement sur le pont alors que leur mission devait commencer. C'était qu'ils attendaient que la sous-marine finisse de se préparer. Ils étaient là pour trouver la présumé île révolutionnaire gardée par des hordes de vaches des mers. Mais pour le moment, ils n'en avaient pas croisé une seule. Peut-être car il se tenait encore à une centaine de mètres de l'île de Manshon ? La 102ème avait été envoyé seulement pour se battre contre les dangers potentiels que croiserait le groupe. Après tout, ne disait-on pas qu'une marine de l'élite en vaut dix de la régulière ? Mais leur objectif était avant tout de localiser l'île, pas de partir en quête d'extermination de révolutionnaires. Alors seul la mort de quelques vaches sera à déplorer.
- “Ils en mettent du temps.” Râla Laurie en se redressant du bord du bateau.
- “Qu’est-ce qu’ils font ?”
- “Ils préparent leur espèce de radar et leur CPU je crois.”
Parce que s’il y avait bien un avantage à être assisté par la sous-marine, c'était bien leur gadget, dont le crédit revenait à la scientifique, mais qui était particulièrement pratique lorsqu’on cherchait à éviter au maximum les embrouilles avec des créatures marines de plusieurs mètres. Cependant, Laurie gardait son fusil à l’épaule. Parce que savoir qu’un danger arrive ne nous aide pas toujours à l’éviter.
- “On est prêt, on peut se mettre en marche.” Vint annoncer un soldat de la sous-marine aux deux jeunes hommes.
- “Enfin, c’est pas trop tôt !”
Et enfin, le bateau avançait. C'était maintenant que les choses allaient devenir amusantes.
- "Ça ressemble à quoi une vache des mers ?"
Derrière lui, Alex était adossé à un mât, les bras croisés et les yeux fermés. Pensif, comme à son habitude.
- "Tu ne sais pas à quoi ça ressemble ?" Répondit-il surpris.
- "La dernière fois qu'on est tombé sur une de ces bestioles, j'étais sur le pont inférieur. Le temps de vous rejoindre, le colonel avait déjà découpé la bête en sashimis irreconnaissables."
- "Hmm, c'est vrai. Ca ressemble à une vache, grosse, avec des écailles."
Si le duo échangeait tranquillement sur le pont alors que leur mission devait commencer. C'était qu'ils attendaient que la sous-marine finisse de se préparer. Ils étaient là pour trouver la présumé île révolutionnaire gardée par des hordes de vaches des mers. Mais pour le moment, ils n'en avaient pas croisé une seule. Peut-être car il se tenait encore à une centaine de mètres de l'île de Manshon ? La 102ème avait été envoyé seulement pour se battre contre les dangers potentiels que croiserait le groupe. Après tout, ne disait-on pas qu'une marine de l'élite en vaut dix de la régulière ? Mais leur objectif était avant tout de localiser l'île, pas de partir en quête d'extermination de révolutionnaires. Alors seul la mort de quelques vaches sera à déplorer.
- “Ils en mettent du temps.” Râla Laurie en se redressant du bord du bateau.
- “Qu’est-ce qu’ils font ?”
- “Ils préparent leur espèce de radar et leur CPU je crois.”
Parce que s’il y avait bien un avantage à être assisté par la sous-marine, c'était bien leur gadget, dont le crédit revenait à la scientifique, mais qui était particulièrement pratique lorsqu’on cherchait à éviter au maximum les embrouilles avec des créatures marines de plusieurs mètres. Cependant, Laurie gardait son fusil à l’épaule. Parce que savoir qu’un danger arrive ne nous aide pas toujours à l’éviter.
- “On est prêt, on peut se mettre en marche.” Vint annoncer un soldat de la sous-marine aux deux jeunes hommes.
- “Enfin, c’est pas trop tôt !”
Et enfin, le bateau avançait. C'était maintenant que les choses allaient devenir amusantes.