Changement de plan, Raines, tu vas aller assister Jurgen.
La voix du Vice-Amiral Fenyang s’abat sur moi comme un couperet, et la sentence est irrévocable. J’esquisse une moue que j’efface très rapidement pour éviter que mon supérieur ne s’en rende compte, et masque ma déconfiture en effectuant un garde-à-vous. C’est aussi ça, être militaire : il faut parfois obéir aux ordres de sa hiérarchie, même si on n’est pas forcément d’accord. Et contrairement à ce qu’il s’était passé durant la réunion de briefing pré-Buster Call, la situation ne se prête pas vraiment à ce que je fasse une remarque ou essaie de négocier. Les ordres sont les ordres, point. Le Vice-Amiral Fenyang fait demi-tour et part rejoindre ses hommes. De mon côté, je me retourne vers l’officier auquel je viens d’être affecté.
Vice-Amiral Jurgen Phillip. Le chasseur. Je connais bien le dossier militaire de cet homme (comme celui de tous les officiers qui participent à cette opération)... Et à sa lecture, j’ai été frappé de la ressemblance entre son profil et celui de mon père. Il est issu d’une grande famille de marines, et a fait une carrière exemplaire… Jusqu’à ce qu’elle soit également entachée par la trahison d’un fils. Là où sa fille a suivi son exemple et s’est engagée, son fils s’est rebellé contre son éducation trop rigide et trop exigeante et est devenu un forban. Shell Phillip, dit le Punk. Un vagabond violent, alcoolique et sans une once d’honneur, qui n’a sans doute pas le quart du talent de Damian. J’espère qu’il ne finira pas comme lui… Les ressemblances s’arrêtent là. Du moins, je l’espère. Car ce n’est pas un secret de polichinelle que le Vice-Amiral Phillip use sa vie et celle de sa fille à traquer son fils… Sans succès, et ce alors qu’il a la réputation d’être un chasseur et un pisteur hors pair. Alors, exagération ou réalité ? Je n’en ai aucune idée. Dans tous les cas, je refuse de finir dans la même situation. Je trouverai bien assez vite mon frère, le mettrai derrière les verrous, et redorerai le nom des Raines.
Vous avez fait une sacrée impression, lors de la réunion toute à l’heure… Mais vous semblez droit dans vos bottes, et prometteur. C’est bien.
Je suis agréablement surpris. Contrairement à ses collègues, il paraît moins désagréable… Le chasseur se serait-il ramolli, avec le poids des années et la perte de sa main ? Peut-être. Dans tous les cas, je ne vais pas me plaindre de travailler avec quelqu’un qui estime mes compétences et ma droiture. Je relativise quant à ma situation. Je ne peux peut-être pas accompagner le Vice-Amiral Fenyang et briller, ou assister le Vice-Amiral Scar dans son opération de sauvetage des civils… Mais si ses compétences sont avérées, je peux peut-être apprendre une chose ou deux auprès du Vice-Amiral Jurgen qui me seront utiles dans la traque de mon frère… Alors je compte bien ouvrir l'œil…
Nous nous mettons en route vers Elysée, la capitale d’Aeden. Mine de rien, c’est une tâche importante que nous avons… Et avec comme objectif intermédiaire l’extradition de Mountbatten. Comme nos collègues du Cipher Pol, nous devons nous aussi sortir notre contact de ce bourbier. C’est plutôt ironique, que ce soit au Vice-Amiral Jurgen et à moi-même, au vu de notre passé, qu’incombe la tâche de mettre en sécurité un traître de la marine. Même si dans le cas de l’ex-Commandant d’élite, je me permets de garder une certaine réserve : d’après les informations du Vice-Amiral Fenyang, il n’aurait pas vraiment retourné sa veste, et aurait simplement été victime d’un coup monté. Et effectivement, même ses faits d’armes en tant que pirate tendent à prouver que c’est le cas… A titre personnel, je choisis de croire que c’est bien la vérité. Après tout, il paraît invraisemblable que nos supérieurs déclenchent toute cette opération et ce qu’elle implique sur la simple base des informations d’un traître.
Il faut donc sauver l’ex-soldat Mountbatten.
Nous quittons donc le rivage et nous enfonçons dans la Forêt de Brocéliande, qui couvre la majeure partie de cette île à la beauté saisissante. Il s’agit d’une pinède moussue, dans laquelle règne une ambiance calme et presque féérique, qui tranche avec le chaos environnant. Nous progressons lentement, mais sûrement, en nous basant sur les plans transmis par nos différents contacts, parvenons finalement jusqu’à la capitaine révolutionnaire. L’attaque commence alors. Je me prépare à aller assister nos hommes qui partent à l’assaut de la ville et débutent leur confrontation avec les soldats de l’armée révolutionnaire. Peut-être qu’en étant dans la mélée, je pourrai minimiser les pertes des deux côtés, et calmer les ardeurs de nos hommes les plus belliqueux et assoiffés de sang gris… Mais le Vice-Amiral Jurgen m’en empêche, m’ordonnant de rester en retrait.
Mountbatten devait nous retrouver ici avant notre arrivée… Et il est aux abonnés absents. Il souffle dans sa barbe. Le retrouver est une priorité.
Pourquoi ? Ne devrions-nous pas justement nous concentrer sur la prise de la capitale, Vice-Amiral ?
Permettez-moi de ne pas avoir une confiance aveugle dans la parole d’un déserteur. Qu’il soit absent, c’est louche. Je voudrais être sûr de ne pas envoyer mes hommes dans un piège.
Un piège dont l'appât serait le quartier général secret de la révolution sur West Blue, civils y compris ? C’est improbable…
Ne sous-estimez pas la vilenie de la raclure révolutionnaire, Raines… J’esquisse une légère moue. Les révolutionnaires ne sont peut être pas des enfants de chœur, et ils nous ont maintes fois montrés être capables d’une grande cruauté, en particulier envers la marine. Toutefois, je ne les imagine pas comme des stratèges diaboliques qui seraient prêts à sacrifier le peuple pour une victoire contre le gouvernement mondial. Non, la justice absolue, peu importe le coût, c’est plus la griffe de notre Amirale en Chef, ça… Il reprend. Nos hommes savent ce qu’ils doivent faire. Concentrez-vous sur notre objectif et retrouvez Mountbatten.
J’acquiesce à contrecœur en me mettant au garde-à-vous, puis commence les recherches. Aux dernières nouvelles, le prétendant au titre de Corsaire (seule solution pour lui de réhabiliter son nom, chose pour laquelle je suis compatissant) devait se charger de l’élimination rapide et discrète du chef de la section révolutionnaire locale, Thomas Bolton, avant de nous rejoindre. Peut-être qu’il a eu un contretemps ou qu’il y a eu un imprévu ? D’une série de Geppous, je me déplace dans les airs en esquivant les projectiles qu’on m’envoie et en me frayant un passage à coup de Rankyakus. J’arrive finalement au bâtiment le plus imposant de la cité, et que je devine être l'hôtel de ville. Logiquement, c’est là que les appartements du chef de la Vox Populi devraient se trouver… Je me propulse au travers d’une des fenêtres en utilisant un mélange de Geppou, Soru et Tekkai, débarquant dans un couloir richement décoré. Deux révolutionnaires, paniqués par l’agitation qui secoue l’île toute entière, m’attaquent alors. Une série de frappes bien placées au niveau du sternum, de la clavicule et du menton incapacitent le premier. Je me saisis du bras du deuxième, qui tente d’en profiter pour me poignarder, le frappe au poitrail de ma main libre et passe dans son dos pour le bloquer en clé de bras. Je le plaque au sol avec force.
Je suis le Commodore Raines de la 2ème division de la marine. Où sont les appartements de Thomas Bolton ?
Fais pas l’innocent, chien de marine ! Tu le sais très bien ! Vous venez de l’attaquer !
Comment ça ? Parle. Je serre un peu plus fort ma prise et menace de déboiter son épaule.
Aaaah ! Je sais pas, il se faisait pourchasser par un type et il s’est barré vers la forêt !
Merci bien.
Je relâche mon emprise et le frappe au niveau de la base de la nuque pour le mettre K.O. puis rentre à toute vitesse vers le camp de base de notre offensive. A ma grande surprise, le Vice-Amiral Jurgen n’est plus là. Je m’approche de son aide de camp, qui semble désormais en charge de l’opération.
Où est passé le Vice-Amiral ?
Ah… Commodore… Et bien… Il a trouvé de son côté une piste qui s’enfonçait dans la forêt de Brocéliande… Alors il est parti la suivre. Il s’excuse, embarrassé que son supérieur m’ait complètement laissé sur le carreau. Je peste intérieurement, mais je me ressaisis rapidement. Hors de question que je ne mène pas cette mission à bien, même si elle ne m’enchante pas plus que ça ! Après lui avoir demandé dans quelle direction il était parti, je me mets en route à pleine vitesse. Finalement, la fameuse piste n’est pas difficile à suivre. Les arbres sont marqués et abimés par le combat qu’ont dû mener Bolton et Mountbatten.
Et puis d’un coup, au loin, il y a un grand bruit de fracas. Comme s’il y avait encore une salve de tirs du Buster Call qui venait de s’abattre, mais sans la détonation et l’odeur de poudre. Non, ce n'est pas ça. Je sais pertinemment de quoi il s'agit. C’est le bruit caractéristiques de coups surpuissants qui s’échangent. Le Vice-Amiral Jurgen serait tombé sur Mountbatten et ce dernier serait hostile ? C’est une hypothèse probable…
A moins qu’il y ait un troisième protagoniste qui change complètement la donne. J'accélère la cadence. Si le Vice-Amiral est en danger, je dois me hâter de l'assister...
La voix du Vice-Amiral Fenyang s’abat sur moi comme un couperet, et la sentence est irrévocable. J’esquisse une moue que j’efface très rapidement pour éviter que mon supérieur ne s’en rende compte, et masque ma déconfiture en effectuant un garde-à-vous. C’est aussi ça, être militaire : il faut parfois obéir aux ordres de sa hiérarchie, même si on n’est pas forcément d’accord. Et contrairement à ce qu’il s’était passé durant la réunion de briefing pré-Buster Call, la situation ne se prête pas vraiment à ce que je fasse une remarque ou essaie de négocier. Les ordres sont les ordres, point. Le Vice-Amiral Fenyang fait demi-tour et part rejoindre ses hommes. De mon côté, je me retourne vers l’officier auquel je viens d’être affecté.
Vice-Amiral Jurgen Phillip. Le chasseur. Je connais bien le dossier militaire de cet homme (comme celui de tous les officiers qui participent à cette opération)... Et à sa lecture, j’ai été frappé de la ressemblance entre son profil et celui de mon père. Il est issu d’une grande famille de marines, et a fait une carrière exemplaire… Jusqu’à ce qu’elle soit également entachée par la trahison d’un fils. Là où sa fille a suivi son exemple et s’est engagée, son fils s’est rebellé contre son éducation trop rigide et trop exigeante et est devenu un forban. Shell Phillip, dit le Punk. Un vagabond violent, alcoolique et sans une once d’honneur, qui n’a sans doute pas le quart du talent de Damian. J’espère qu’il ne finira pas comme lui… Les ressemblances s’arrêtent là. Du moins, je l’espère. Car ce n’est pas un secret de polichinelle que le Vice-Amiral Phillip use sa vie et celle de sa fille à traquer son fils… Sans succès, et ce alors qu’il a la réputation d’être un chasseur et un pisteur hors pair. Alors, exagération ou réalité ? Je n’en ai aucune idée. Dans tous les cas, je refuse de finir dans la même situation. Je trouverai bien assez vite mon frère, le mettrai derrière les verrous, et redorerai le nom des Raines.
Vous avez fait une sacrée impression, lors de la réunion toute à l’heure… Mais vous semblez droit dans vos bottes, et prometteur. C’est bien.
Je suis agréablement surpris. Contrairement à ses collègues, il paraît moins désagréable… Le chasseur se serait-il ramolli, avec le poids des années et la perte de sa main ? Peut-être. Dans tous les cas, je ne vais pas me plaindre de travailler avec quelqu’un qui estime mes compétences et ma droiture. Je relativise quant à ma situation. Je ne peux peut-être pas accompagner le Vice-Amiral Fenyang et briller, ou assister le Vice-Amiral Scar dans son opération de sauvetage des civils… Mais si ses compétences sont avérées, je peux peut-être apprendre une chose ou deux auprès du Vice-Amiral Jurgen qui me seront utiles dans la traque de mon frère… Alors je compte bien ouvrir l'œil…
Nous nous mettons en route vers Elysée, la capitale d’Aeden. Mine de rien, c’est une tâche importante que nous avons… Et avec comme objectif intermédiaire l’extradition de Mountbatten. Comme nos collègues du Cipher Pol, nous devons nous aussi sortir notre contact de ce bourbier. C’est plutôt ironique, que ce soit au Vice-Amiral Jurgen et à moi-même, au vu de notre passé, qu’incombe la tâche de mettre en sécurité un traître de la marine. Même si dans le cas de l’ex-Commandant d’élite, je me permets de garder une certaine réserve : d’après les informations du Vice-Amiral Fenyang, il n’aurait pas vraiment retourné sa veste, et aurait simplement été victime d’un coup monté. Et effectivement, même ses faits d’armes en tant que pirate tendent à prouver que c’est le cas… A titre personnel, je choisis de croire que c’est bien la vérité. Après tout, il paraît invraisemblable que nos supérieurs déclenchent toute cette opération et ce qu’elle implique sur la simple base des informations d’un traître.
Il faut donc sauver l’ex-soldat Mountbatten.
Nous quittons donc le rivage et nous enfonçons dans la Forêt de Brocéliande, qui couvre la majeure partie de cette île à la beauté saisissante. Il s’agit d’une pinède moussue, dans laquelle règne une ambiance calme et presque féérique, qui tranche avec le chaos environnant. Nous progressons lentement, mais sûrement, en nous basant sur les plans transmis par nos différents contacts, parvenons finalement jusqu’à la capitaine révolutionnaire. L’attaque commence alors. Je me prépare à aller assister nos hommes qui partent à l’assaut de la ville et débutent leur confrontation avec les soldats de l’armée révolutionnaire. Peut-être qu’en étant dans la mélée, je pourrai minimiser les pertes des deux côtés, et calmer les ardeurs de nos hommes les plus belliqueux et assoiffés de sang gris… Mais le Vice-Amiral Jurgen m’en empêche, m’ordonnant de rester en retrait.
Mountbatten devait nous retrouver ici avant notre arrivée… Et il est aux abonnés absents. Il souffle dans sa barbe. Le retrouver est une priorité.
Pourquoi ? Ne devrions-nous pas justement nous concentrer sur la prise de la capitale, Vice-Amiral ?
Permettez-moi de ne pas avoir une confiance aveugle dans la parole d’un déserteur. Qu’il soit absent, c’est louche. Je voudrais être sûr de ne pas envoyer mes hommes dans un piège.
Un piège dont l'appât serait le quartier général secret de la révolution sur West Blue, civils y compris ? C’est improbable…
Ne sous-estimez pas la vilenie de la raclure révolutionnaire, Raines… J’esquisse une légère moue. Les révolutionnaires ne sont peut être pas des enfants de chœur, et ils nous ont maintes fois montrés être capables d’une grande cruauté, en particulier envers la marine. Toutefois, je ne les imagine pas comme des stratèges diaboliques qui seraient prêts à sacrifier le peuple pour une victoire contre le gouvernement mondial. Non, la justice absolue, peu importe le coût, c’est plus la griffe de notre Amirale en Chef, ça… Il reprend. Nos hommes savent ce qu’ils doivent faire. Concentrez-vous sur notre objectif et retrouvez Mountbatten.
J’acquiesce à contrecœur en me mettant au garde-à-vous, puis commence les recherches. Aux dernières nouvelles, le prétendant au titre de Corsaire (seule solution pour lui de réhabiliter son nom, chose pour laquelle je suis compatissant) devait se charger de l’élimination rapide et discrète du chef de la section révolutionnaire locale, Thomas Bolton, avant de nous rejoindre. Peut-être qu’il a eu un contretemps ou qu’il y a eu un imprévu ? D’une série de Geppous, je me déplace dans les airs en esquivant les projectiles qu’on m’envoie et en me frayant un passage à coup de Rankyakus. J’arrive finalement au bâtiment le plus imposant de la cité, et que je devine être l'hôtel de ville. Logiquement, c’est là que les appartements du chef de la Vox Populi devraient se trouver… Je me propulse au travers d’une des fenêtres en utilisant un mélange de Geppou, Soru et Tekkai, débarquant dans un couloir richement décoré. Deux révolutionnaires, paniqués par l’agitation qui secoue l’île toute entière, m’attaquent alors. Une série de frappes bien placées au niveau du sternum, de la clavicule et du menton incapacitent le premier. Je me saisis du bras du deuxième, qui tente d’en profiter pour me poignarder, le frappe au poitrail de ma main libre et passe dans son dos pour le bloquer en clé de bras. Je le plaque au sol avec force.
Je suis le Commodore Raines de la 2ème division de la marine. Où sont les appartements de Thomas Bolton ?
Fais pas l’innocent, chien de marine ! Tu le sais très bien ! Vous venez de l’attaquer !
Comment ça ? Parle. Je serre un peu plus fort ma prise et menace de déboiter son épaule.
Aaaah ! Je sais pas, il se faisait pourchasser par un type et il s’est barré vers la forêt !
Merci bien.
Je relâche mon emprise et le frappe au niveau de la base de la nuque pour le mettre K.O. puis rentre à toute vitesse vers le camp de base de notre offensive. A ma grande surprise, le Vice-Amiral Jurgen n’est plus là. Je m’approche de son aide de camp, qui semble désormais en charge de l’opération.
Où est passé le Vice-Amiral ?
Ah… Commodore… Et bien… Il a trouvé de son côté une piste qui s’enfonçait dans la forêt de Brocéliande… Alors il est parti la suivre. Il s’excuse, embarrassé que son supérieur m’ait complètement laissé sur le carreau. Je peste intérieurement, mais je me ressaisis rapidement. Hors de question que je ne mène pas cette mission à bien, même si elle ne m’enchante pas plus que ça ! Après lui avoir demandé dans quelle direction il était parti, je me mets en route à pleine vitesse. Finalement, la fameuse piste n’est pas difficile à suivre. Les arbres sont marqués et abimés par le combat qu’ont dû mener Bolton et Mountbatten.
Et puis d’un coup, au loin, il y a un grand bruit de fracas. Comme s’il y avait encore une salve de tirs du Buster Call qui venait de s’abattre, mais sans la détonation et l’odeur de poudre. Non, ce n'est pas ça. Je sais pertinemment de quoi il s'agit. C’est le bruit caractéristiques de coups surpuissants qui s’échangent. Le Vice-Amiral Jurgen serait tombé sur Mountbatten et ce dernier serait hostile ? C’est une hypothèse probable…
A moins qu’il y ait un troisième protagoniste qui change complètement la donne. J'accélère la cadence. Si le Vice-Amiral est en danger, je dois me hâter de l'assister...
Dernière édition par Alex Raines le Ven 27 Oct 2023 - 12:13, édité 1 fois