« Oubliez pas hein ? Une fois le matin, puis le soir, à chaque fois pendant les repas pendant une semaine ! »
« Oui, bien noté Uriko, merci encore ! Passe le bonjour à ta mère. »
« Ouii merciii ! »
Dans un petit village, sur la petite île de Shimotsuki, un jeune garçon des plus ordinaires venait de livrer quelques médicaments à l’un des villageois. A Kawai, tout le monde se connaît, ou presque, et Uriko ne faisait pas exception, au contraire, il était même populaire. Toujours souriant, de bonne humeur, extraverti et mignon comme tout, il ne laissait pas les gens indifférents. Et bien qu’il soit encore jeune, il avait acquis une certaine notoriété en tant qu’ancien chasseur de primes, avec quelques belles têtes à son palmarès. Un garçon peut-être pas si ordinaire que ça en fin de compte.
En cette journée ensoleillée, Uriko faisait une course pour sa mère qui était médecin de profession, c’était la dernière tâche de la journée. Il pouvait maintenant rentrer se relaxer et prendre un bon jus de fruits bien mérité. Se dirigeant chez lui, il fixait le grand ciel bleu et profitait des légères brises qui soufflaient de temps à autres. Ces jours simples et paisibles lui en feraient presque oublier les aventures tumultueuses, parfois dangereuses, mais terriblement excitante de son ancienne vie de chasseur de primes. Des souvenirs d'un temps éphémère qui paraissait désormais comme un rêve.
Combien d’année cela faisait-il depuis son retour à Kawai ? Quatre ans déjà ? Le temps lui a paru passer si vite. Humant un air joyeux lors de sa marche, Uriko finit par arriver chez lui et après s’être déchaussé et avoir rangé quelques affaires, celui-ci se dirigea vers une salle qui servait comme bureau de travail pour sa mère. Une pièce très sommaire ; une chaise, une table où étaient déposés quelques ustensiles de médecines et autres flacons aux produits trop inconnus pour notre jeunot, une étagère où étaient rangés encore plus d’herbes et médicaments et enfin un lit placé au coin de la pièce. Uriko se rapprocha de ce dernier, où une personne était visiblement allongée dedans, endormie, mais paraissant presque apaisée.
Le garçon se mit à genoux pour se mettre à hauteur du lit et de la personne allongée, avant de poser une main sur le rebord du matelas tout en arborant un doux sourire :
« Je suis rentré, Jajam. »
« Oui, bien noté Uriko, merci encore ! Passe le bonjour à ta mère. »
« Ouii merciii ! »
Dans un petit village, sur la petite île de Shimotsuki, un jeune garçon des plus ordinaires venait de livrer quelques médicaments à l’un des villageois. A Kawai, tout le monde se connaît, ou presque, et Uriko ne faisait pas exception, au contraire, il était même populaire. Toujours souriant, de bonne humeur, extraverti et mignon comme tout, il ne laissait pas les gens indifférents. Et bien qu’il soit encore jeune, il avait acquis une certaine notoriété en tant qu’ancien chasseur de primes, avec quelques belles têtes à son palmarès. Un garçon peut-être pas si ordinaire que ça en fin de compte.
En cette journée ensoleillée, Uriko faisait une course pour sa mère qui était médecin de profession, c’était la dernière tâche de la journée. Il pouvait maintenant rentrer se relaxer et prendre un bon jus de fruits bien mérité. Se dirigeant chez lui, il fixait le grand ciel bleu et profitait des légères brises qui soufflaient de temps à autres. Ces jours simples et paisibles lui en feraient presque oublier les aventures tumultueuses, parfois dangereuses, mais terriblement excitante de son ancienne vie de chasseur de primes. Des souvenirs d'un temps éphémère qui paraissait désormais comme un rêve.
Combien d’année cela faisait-il depuis son retour à Kawai ? Quatre ans déjà ? Le temps lui a paru passer si vite. Humant un air joyeux lors de sa marche, Uriko finit par arriver chez lui et après s’être déchaussé et avoir rangé quelques affaires, celui-ci se dirigea vers une salle qui servait comme bureau de travail pour sa mère. Une pièce très sommaire ; une chaise, une table où étaient déposés quelques ustensiles de médecines et autres flacons aux produits trop inconnus pour notre jeunot, une étagère où étaient rangés encore plus d’herbes et médicaments et enfin un lit placé au coin de la pièce. Uriko se rapprocha de ce dernier, où une personne était visiblement allongée dedans, endormie, mais paraissant presque apaisée.
Le garçon se mit à genoux pour se mettre à hauteur du lit et de la personne allongée, avant de poser une main sur le rebord du matelas tout en arborant un doux sourire :
« Je suis rentré, Jajam. »
Dernière édition par Uriko le Jeu 30 Mai 2024 - 0:31, édité 2 fois