Ce fut un voyage éprouvant.
Éprouvant, parce que je n'ai pas réussi a arriver à temps pour sauver un maximum de nos hommes... Au lieu de cela, ça a été un bain de sang pour un résultat plus que médiocre. Alors oui, la famille Royale de Goa est morte, oui, Rafaëlo Di Auditore a réussit à allumer les flammes de la révolution dans de nombreux cœurs mais... cela a fait tellement de victime qu'on ne compte même plus les corps.
Est ce que nous avons vraiment bien fait ? N'aurais-je pas pu empêcher cela en temps qu'Atout de la révolution ? Si, bien sûr que si. Mais j'étais occupée ailleurs, et je suis arrivée sur la fin de la bataille. J'ai juste eu le temps de secourir quelques uns de nos soldats, abimant ma prothèse de bras gauche au passage.
Et maintenant me voilà, arrivant sur Torino à bord d'un navire qui a bien voulu nous emmener moi et tous ces blessés de guerre. J'espère que leur médecin acceptera de nous aider, nous en avons plus que besoin. Et cette fois, c'est à moi qu'incombe la bonne marche de cette action.
- Tu viens avec moi América ? On va aller négocier avec les médecins.
America. Un fidèle berger allemand élever par un soldat révolutionnaire du nom de Tom. Cela a été difficile de le faire abandonné le cadavre de son maître, mais je ne pouvais décemment pas le laisser là. Alors je l'ai convaincu à force de caresse et de mot doux que c'était la chose à faire. Et puis, lui aussi à besoin de soin, sa prothèse lui permettant de parler étant légèrement abimer et lui faisant une voix étrange.
C'est donc tous les deux que nous débarquons dans le port de Torino en montrant patte blanche aux locaux qui restent toujours sur leurs gardes en voyant des touristes. Mais après leur avoir expliquer rapidement notre situation, il ne faut pas longtemps pour que nous soyons amené au chef du village qui est le seul à être en mesure de prendre la décision d'accepter notre demande de soin.
C'est donc dans une grande hutte à l'aspect sauvage que nous nous installons sur le sol, face au grand maître du coin.
- Que voulez vous de nous, étrangers.
- Bonjour grand Katabolonga. Je me nomme Raven et je suis la cheffe d'un groupe ayant subit une lourde attaque. Nous avons de nombreux blessés à bord de notre navire et nous désirons pouvoir profité du savoir faire de votre peuple pour les soigner.
- Hm... et combien sont-ils ?
- Une bonne cinquantaine. Étant moi même médecin j'ai pu leur administrer les premiers soins mais je n'ai pas pas les médicaments pour les aider... De plus mon ami ici présent et moi aurions besoin de l'aide d'un expert en technologie pour nous réparer... Auriez vous un tel expert dans votre village ?
- Cela va de soit. Mais qu'obtiendrons nous en échange de telles services ?
- Je n'ai malheureusement pas d'argent à vous proposer mais, demandez moi ce que vous désirez et je m'exécuterai. Bien entendu je peux participer aux soins médicaux à prodiguer à mes hommes, mais je suis aussi douée dans de nombreux domaines.
- Le capteur olfactif de ce chien est-il puissant ?
- Vous parlez de son flair ? Je suppose oui.
- Sauriez vous nous débarrassé du démon qui nous guette ?
Le chef se tourne alors et sort une plume noir d'un mètre de long qu'il nous pose sur la table.
- Ce démon noir menace les oiseaux de notre île. Et nous ne savons pas d'où il peut venir... Mais il n'est pas le bienvenu chez nous !
- Vous me demandez donc de chasser un oiseau ?
- Nous avons depuis longtemps fait le serment de ne plus en tuer, donc oui, cela doit être fait par un étranger.
- Très bien. Nous allons nous en occuper. Pas vrai América ? Pendant ce temps, vous voulez bien commencer à vous occuper de mes hommes ?
- Je vais envoyez des médecins sur votre navire.
- Merci beaucoup. Dans ce cas, allons y América.
Prenant la plume noire, nous sortons de la hutte, une nouvelle mission n'attendant que nous.
Éprouvant, parce que je n'ai pas réussi a arriver à temps pour sauver un maximum de nos hommes... Au lieu de cela, ça a été un bain de sang pour un résultat plus que médiocre. Alors oui, la famille Royale de Goa est morte, oui, Rafaëlo Di Auditore a réussit à allumer les flammes de la révolution dans de nombreux cœurs mais... cela a fait tellement de victime qu'on ne compte même plus les corps.
Est ce que nous avons vraiment bien fait ? N'aurais-je pas pu empêcher cela en temps qu'Atout de la révolution ? Si, bien sûr que si. Mais j'étais occupée ailleurs, et je suis arrivée sur la fin de la bataille. J'ai juste eu le temps de secourir quelques uns de nos soldats, abimant ma prothèse de bras gauche au passage.
Et maintenant me voilà, arrivant sur Torino à bord d'un navire qui a bien voulu nous emmener moi et tous ces blessés de guerre. J'espère que leur médecin acceptera de nous aider, nous en avons plus que besoin. Et cette fois, c'est à moi qu'incombe la bonne marche de cette action.
- Tu viens avec moi América ? On va aller négocier avec les médecins.
America. Un fidèle berger allemand élever par un soldat révolutionnaire du nom de Tom. Cela a été difficile de le faire abandonné le cadavre de son maître, mais je ne pouvais décemment pas le laisser là. Alors je l'ai convaincu à force de caresse et de mot doux que c'était la chose à faire. Et puis, lui aussi à besoin de soin, sa prothèse lui permettant de parler étant légèrement abimer et lui faisant une voix étrange.
C'est donc tous les deux que nous débarquons dans le port de Torino en montrant patte blanche aux locaux qui restent toujours sur leurs gardes en voyant des touristes. Mais après leur avoir expliquer rapidement notre situation, il ne faut pas longtemps pour que nous soyons amené au chef du village qui est le seul à être en mesure de prendre la décision d'accepter notre demande de soin.
C'est donc dans une grande hutte à l'aspect sauvage que nous nous installons sur le sol, face au grand maître du coin.
- Que voulez vous de nous, étrangers.
- Bonjour grand Katabolonga. Je me nomme Raven et je suis la cheffe d'un groupe ayant subit une lourde attaque. Nous avons de nombreux blessés à bord de notre navire et nous désirons pouvoir profité du savoir faire de votre peuple pour les soigner.
- Hm... et combien sont-ils ?
- Une bonne cinquantaine. Étant moi même médecin j'ai pu leur administrer les premiers soins mais je n'ai pas pas les médicaments pour les aider... De plus mon ami ici présent et moi aurions besoin de l'aide d'un expert en technologie pour nous réparer... Auriez vous un tel expert dans votre village ?
- Cela va de soit. Mais qu'obtiendrons nous en échange de telles services ?
- Je n'ai malheureusement pas d'argent à vous proposer mais, demandez moi ce que vous désirez et je m'exécuterai. Bien entendu je peux participer aux soins médicaux à prodiguer à mes hommes, mais je suis aussi douée dans de nombreux domaines.
- Le capteur olfactif de ce chien est-il puissant ?
- Vous parlez de son flair ? Je suppose oui.
- Sauriez vous nous débarrassé du démon qui nous guette ?
Le chef se tourne alors et sort une plume noir d'un mètre de long qu'il nous pose sur la table.
- Ce démon noir menace les oiseaux de notre île. Et nous ne savons pas d'où il peut venir... Mais il n'est pas le bienvenu chez nous !
- Vous me demandez donc de chasser un oiseau ?
- Nous avons depuis longtemps fait le serment de ne plus en tuer, donc oui, cela doit être fait par un étranger.
- Très bien. Nous allons nous en occuper. Pas vrai América ? Pendant ce temps, vous voulez bien commencer à vous occuper de mes hommes ?
- Je vais envoyez des médecins sur votre navire.
- Merci beaucoup. Dans ce cas, allons y América.
Prenant la plume noire, nous sortons de la hutte, une nouvelle mission n'attendant que nous.