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Don't Fear The Reaper - Phase II | Pv Eleonore

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Don't Fear The Reaper - II
Feat
Eleonore




Quatre jours...

Pendant ce laps de temps, tu avais prit position dans le bureau du commandant en charge de cette base des plus pittoresques, t'activant autant que tu le pouvais pour relier les morceaux. Il y avait beaucoup d'inconnues dans cette affaire mais tu n'avais fondamentalement pas besoin de tout savoir. Il te fallait simplement les preuves suffisantes pour confirmer tes hypothèses ou au mieux les détailler. Heureusement pour toi, tu n'étais pas seule. Sans parler de Cobra et Vipère, qui t'aidaient au mieux dans ton enquête, il restait toujours la nouvelle Commandante.

Tu lui avais ordonné de prendre ses dispositions, de régler au plus vite les formalités en lien avec sa promotion et ensuite de reprendre du service à tes côtés. Tu ne lui avais pas vraiment laissé le choix, tu avais besoin d'elle dans ses pleines capacités et tu ne voulais que cette affaire la perturbe en bien ou en mal. Elle avait l'air droit dans ses bottes et à même de valoir ta confiance, mais tu ne la connaissais que trop peu pour l'affirmer finalement.

Enfin bref...

Tu avais transmit tes ordres et la Commandante devait te rejoindre sur le chemin vers chez Augustus. Depuis les derniers jours, la situation s'était envenimée bien que rien n'avait escaladé jusqu'au point de non retour. Les échanges entre les deux parties s'étaient fait plus houleux et ce n'était qu'une question de temps avant que les frères ne passent à l'acte suite à leurs menaces répétés. Si par eux-même, ils ne possédaient aucune forme de talent dans l'art de se battre, il ne faisait aucun doute qu'ils pourraient faire usage de leurs relations pour embaucher quelques mercenaires.

Et Augustus le savait, si bien que lui aussi avait commencé à regrouper ses propres relations pour se former une garde rapprochée en plus des marins en patrouilles renforcées autour de chez-lui.

- Ce serait vraiment plus simple si on se contentait de tuer ces abrutis une bonne fois pour toute ! On mettra ça sur le dos de quelqu'un, ils font tous ça dans le Cipher Pol !


- On ne peut pas faire ça. Notre devoir est d'appliquer la loi, qu'importe la difficulté de la tâche !

- Ramène pas ta gueule de rabat-joie ! Ça te fait marrer de venir sucer le peu de fun qu'il y a à chaque fois ?!

- Si tu te tenais deux secondes tranquille, tu saurais que cette histoire cache plus de chose qu'il n'y parait. Et qu'on ne ferait que tomber dans le jeu de nos opposants si on agissait de la sorte.


- Et alors ?! C'est quand même pas à nous de régler tout le merdier de ces foutues mers ?!

Comme d'habitude, ces deux-là étaient incapables de se mettre d'accord sur une quelconque décision. Heureusement pour toi, tu n'étais pas vraiment contrainte de leur obéir, ni même de les écouter, et tu te contentais alors de les ignorer en passant dans les couloirs du bâtiment,devant les yeux décontenancés des soldats sur place. Ils n'avaient pas pour expérience de croiser des énergumènes comme toi et tu ne pouvais même pas le leur reprocher.

Quelques minutes après, tu étais déjà en partance vers chez Augustus. Tu espérais que la Commandante n'ai aucun contretemps, tu avais besoin d'elle ne serait-ce que pour ses talents de déduction bien à elle.

- Une fois chez notre suspect, vous vous taisez. Je ne veux pas que vous veniez à me le faire flipper. Il parait qu'il a des problèmes cardiaques et la situation actuelle ne doit pas l'aider à être calme.


Tu fixais les deux malheureuses têtes avec ton air sévère pour finalement les voir fébrilement hocher la tête et venir peu à peu se résorber le temps de l'interrogatoire.




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“You become a changed person when you face the reaper and deny him your soul.”

Au lendemain de son tête-à-tête avec Pandore, Éléonore se rendait à la cabine de son supérieur. Tout en s’arrêtant devant la porte close, elle frappe deux coups secs, avant de l’ouvrir au moment où le choix de l’homme l’invitait à l’intérieur.

‘’Commodore Alnoth, vous m’avez demandée ?’’ S’étire la voix de la blanche.
‘’Oui, entre Éléonore.’’ Souffle le blond qui venait de raccrocher avec un interlocuteur inconnu. ‘’Entre et ferme derrière toi.’’
‘’Avec votre expression, j’ai l’impression que ce sont des mauvaises nouvelles que vous allez m’annoncer Commodore.’’
‘’Arg… Assez avec les politesses El, pas de ceci entre nous et tu le sais.’’
‘’Hmm… Qui était au téléphone ?’’
‘’Cipher Pol… Il semblerait que l’un des leurs soit… Parti rogue…’’
‘’Va me falloir des explications Al.’’
‘’Je ne sais même pas, par où commencer… En gros, si vous croisez un grand gaillard, cheveux noirs, cicatrice au niveau de la lèvre et qu’il est toujours en vie faut le récupérer…’’

Éléonore observe simplement son supérieur avec attention, ne soufflant pas un mot face à cette information. Elle croise simplement les jambes, penchant la tête légèrement sur le côté comme une mère qui attend sagement que son gamin nerveux trouve le courage de parler. Al plisse les yeux, observant la femme mature qui se trouve devant elle. Marie l’avait fortement averti du comportement de la demoiselle, ce n’était pas un trait qui se voulait mauvais en soit, mais plutôt une habitude de vie qui ne l’avait jamais quitté et qui dernièrement semblait refaire surface.

Le quarantenaire se souvenait encore du bout de femme qu’on lui avait confié, il y maintenant trois ans, elle n’avait été que l’ombre de la femme qui se trouve maintenant devant lui. Leur rencontre venait d’une demande personnelle de Marie, ou plutôt une faveur qu’elle récupérait des années plus tard et il n’avait pas pu la refuser même s’il avait senti les problèmes que la veuve allait lui apporter. Il soupire, il était heureux qu’elle soit retrouvée du poil de la bête, qu’elle est trouvée un intérêt dans quelques soldats, assez pour les tolérer, non les apprécier assez pour les garder près d’elle. C’était la seule raison qui avait poussé l’homme à accepter leur demande de transfert dans son équipe. Il retire sa casquette et passe une main dans ses cheveux court blond. Il retire sa paire de petites lunettes fumée qu’il pose sur son bureau avec un soupir. Il n’aimait pas cette histoire, elle puait grandement, mais il n’avait pas le choix de la terminer, il espérait seulement que tout finirait bien… Il pose finalement les mains sur son bureau avant de poser ses yeux laiteux sur la demoiselle en face de lui, visiblement incapable de retenir l’information supplémentaire de sortir de ses lèvres.

‘’Tu connais comment le Cipher Pol est très cachottier ? Toutefois, il se peut que tu/vous à voir dans quel état vous le retrouver que vous deviez l’empêcher de continuer sur sa vengeance personnelle. Disons que sa mission d’infiltration, c’est mal terminer et des gens serait remonter auprès de sa femme… Je vais sauter les détails, après la découverte, il est parti en croisade de vengeance et mon contact croit que ça l’a rendu jusqu’ici sur l’île. Alors, il fait simplement demander que si vous le croisez vivant ou non, que vous le récupérez.’’
‘’Parfait patron… Il a un nom ?’’ Demande Éléonore calmement.
‘’Kyllan, on le surnomme le Mad dog dans le service, alors soit prudent tout de même.’’
‘’Dès que je le trouve, j’appellerais avec le Den-den et vous enverrez des gens le récupérer. Autre chose ?’’
‘’Comment ça se passe sur le terrain ? J’attends toujours le rapport.’’
‘’Bien, il n’y a pas grande chose de nouveau autre que des doutes que nous essayons de mettre au clair. Il est visible qu’il y a un autre groupe qui essaye de mettre de la merde, pourquoi raison ? On ne sait pas encore. Qui ? Mafia ? Pirate ? Révolutionnaire ? Encore inconnu. On a une piste, on a placé un appât, on verra bien si ça mord.’’
‘’Et avec la Commodore ?’’ Reprends le blond et glissant les lunettes sur son nez et en s’adossant dans le fond de sa chaise.
‘’Bien aussi, moi et elle, on partage des points communs et la chimie est bonne.’’
‘’Hmm… C’est bon signe ?’’
‘’Pfff, oui Al, tout va bien entre nous, je n’ai rien à dire.’’
‘’Parfait, tu peux dégager maintenant et aller remplir la paperasse que j’ai fait envoyer à ta chambre, je la veux avant ce soir sur mon bureau. Avec ton nouveau grade, tu dois maintenant prendre à ta charge quelques personnes, faudra les choisir des noms, au moins 2.’’ Dit-il avec entendement.

Ce n’était pas une demande, mais un ordre soufflé de manière gentille. La blanche soupire lourdement, jouant de la carte de la veuve dramatique avant de hocher la tête et de se soulever son corps, salut moqueusement son supérieur avec un ‘oui chef, sans problème chef, se sera fait chef’ et quitter avec un sourire. Alnoth soupire, se demandant ce qu’il avait bien fait pour mériter une telle femme, mais en même temps un sourire taquin flotte sur ses lèvres tandis qu’il plonge le nez dans ses papiers.

★ ★ ★

La nouvelle commandante s’était une nouvelle, soit laissée guider par son nez. Ainsi, ses pas avaient rapidement retrouvé le chemin en direction d’Augustus, l’odeur serpentine et celle humaine trahissant la présence de Pandore. Elle finit par voir la silhouette de la jeune femme se dessiner au loin et elle accélère le pas, voulant la récupérer avant que cette dernière n’arrive sur la propriété. Arrivé près d’elle, elle s’exprime ;

‘’Commodore. Vous avez pu vous reposer ? Bonjour vous deux… Vous avez des noms par tout hasard ? J’ai oublié de demander la dernière fois.’’ Demande-t-elle comme si la chose était la plus normale au monde. ‘’Sinon des nouvelles durant ces quatre jours ? J’ai été submergé par la paperasse comme vous l’aviez précisé alors… Et j’ai reçu des ordres supplémentaires, je dois récupérer un agent du Cipher Pol. Je suppose que c’est pour ceci que la Marine a été envoyée.’’ Souffle-t-elle avec un regard entendu.

Au loin, la résidence riche d’Augustus se dessine, laissant apercevoir un grand jardin entretenu et riche en plantes. Des gens s’activaient sur le terrain, entre les jardiniers qui semblaient préparer le terrain, les soldats de la marine et les mercenaires, il y avait clairement trop de personnes à l’extérieur de la résidence qui se promenait autour de la maison. Si Éléonore avait eu vent dès l’énervement certains des deux clans, elle n’avait pas pensée que la chose avait dégénéré à ce point. Au même moment, une odeur familière lui est apportée par le doux vent qui pousse dans le dos des demoiselles. Tout en se retournant doucement, posant des pupilles inquisiteurs sur une silhouette féminine, elle plisse les yeux et redresse son nez, humant l’air un peu comme le ferait un animal.

Une Alicia se tenait là, debout en compagnie de Marcus. Ils traversaient la rue, passant d’un magasin à un autre. Cependant cette Alicia, même si elle partageait le faciès identique de la première qu’elle avait rencontré chez Marcus, lui semble différente. Quelque chose chez elle est moins charmeur et son odeur lui semble plus fraîche que la dernière fois…

‘’Hmm… Intéressant…’’ Souffle la blanche faiblement avant d’observer dans une autre direction, son nez attirer par l’odeur familière du fruit empoissonnée. Se pourrait-il qu’il y ait deux femmes ? Ceci pourrait expliquer les informations plutôt impressionnantes qu’elle avait réussi à récolter sur la femme durant ses quatre derniers jours. Comme premier ordre, elle avait demandé à Mars et Roy de récolter le plus d’informations qu’ils pouvaient trouver sur la rousse et ils avaient découvert que la demoiselle avait un très grand éventail de compétence, peut-être un poil trop pour une seule personne. Dans tous les cas, elle détectait deux odeurs pour une supposer une personne.

‘’Je crois qu’Alicia à plus de secrets qu’elle ne relève et que notre petite souris est plutôt un duo…’’ Souffle la blanche en portant ses yeux sur Pandore. ‘’Dans tous les cas, quel est le plan avec Augustus ? Vous recherchez quelque chose en particulier ou simple visite de courtoisie ?’’ Demande-t-elle en tirant un bonbon de sa poche et le glissant dans sa bouche, elle en offre également aux trios de têtes qui se trouvent avec elle.
Codage par Libella sur Graphiorum


Dernière édition par Éléonore Grey le Jeu 14 Déc 2023 - 20:03, édité 1 fois
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Don't Fear The Reaper - II
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Eleonore




Un Agent du Cipher Pol...

Silencieusement, tu te retenais de lâcher un rire nerveux. La pauvre... Aussi solide et compétente qu'elle pouvait être, tu la plaignais, elle, qui allait devoir collaborer avec le Cipher Pol. Même si tu entretenais des liens concrets avec certains de leurs agents, tu ne pouvais t'empêcher d'avoir des sueurs froides dès qu'on les mentionnait haut et fort. Le Cipher Pol était tel un trou rempli de serpents s'entre-dévorant pour savoir qui aurait l'honneur d'être couronné en tant que dernier survivant. Tôt ou tard, cela finissait toujours par retomber sur le malheureux ayant la mauvaise idée que de s'aventurer sur leurs terrains.

- Vous devriez être vigilante avec le Cipher Pol. Ce sont des gens qui ne tolèrent pas l'erreur, et parfois, même pas la réussite.

Enfin... Elle paraissait être capable de gérer ça, et de toute manière, c'était à peine si tu avais assez d'influence pour protéger ton propre cas face au Cipher Pol. Elle allait devoir naviguer dans ces eaux troubles avec la plus grande finesse et avec un peu de chance, elle s'en sortirait très bien. Enfin bref... Elle avait réussi à te rejoindre à l'heure et c'était tout ce qui comptait pour le moment.

- Des noms ? Je n'ai pas vraiment été originale sur ce coup. Je me contente d'appeler la plus vulgaire Cobra et l'autre Vipère.


Pourquoi aller chercher plus loin ? Après tout, elle pourrait les appeler Pandore qu'elle n'aurait fondamentalement pas tord. Dans tout les cas là n'était pas la question, et tu levais ta main amicalement afin de refuser sa générosité. Tu étais plus du genre à avoir une clope au bec pour passer le stress à même de te ronger la peau. Mais même-là, tu t'évitais de tomber dans cette manie en pleine mission. Question de principe.

- Si ce que vous dites est vraie, alors cela ne fait que confirmer mes soupçons. Ce que nous allons faire est très simple Eleonore. Nous allons crier haut et fort nos découvertes. La suite ce suffira d'elle même. J'espère que vous êtes en état de vous battre, je ne pourrais pas garantir totalement votre sécurité une fois les hostilités déclarées.


Tu souriais avec un petit air moqueur au coin du visage. Tu étais devenue habituée aux échanges houleux et tu avais profité de ces derniers jours pour en apprendre un peu plus sur la Commandante. Elle aussi avait eu son coup d'éclat, et à la vue de son passé, ce ne serait pas la violence et le sang qui viendraient la terrifier. Tant mieux, car toi et tes autres personnalités en étaient venues à la même conclusion : ce n'était qu'une question de temps avant qu'on s'en prenne à vous.

- Nous sommes les seules à avoir vraiment creusé l'enquête ces derniers jours. Il est encore possible de nous faire taire suffisamment de temps pour que la situation s'envenime d'elle-même.


Après tout, Karakuri était une île de seconde zone. Les habitants savaient pour la plupart se défendre eux-même et on y envoyait que les marins les moins compétents, ceux qui étaient davantage faits pour la paperasse que l'affrontement. Difficile à savoir s'ils avaient anticipé qu'on y enverrait une Commodore, bien au-delà des standards de son rang.

Finalement, tu venais à passer les quelques gardes postés au devant de la demeure d'Augustus avant de toquer à la porte de manière pressante. Tu n'avais plus la patience pour t'arrêter davantage sur cette histoire. Celle-ci se jouerait aujourd'hui ou elle ne se finirait jamais.

- Vous... Ils m'ont encore envoyé des menaces ! C'est imminent ! Qu'est-ce que vous allez-faire pour me protéger ?!


- Bonjour Augustus. Pouvons-nous entrer ?

Tu ne lui laissais même pas le temps de protester avant de passer le pas de la porte et de faire un signe à Eleonore de refermer derrière-vous. Éviter les regards indiscrets ? Pas vraiment... Tu ne le savais que trop bien que vous pouviez être épiés de bien des manières, ce n'était de toute façon plus aussi important que ça.

- On aurait quelques questions à vous poser, vous savez, la routine. Ce que vous faisiez le jour où on a retrouvé le cadavre de la victime, vos échanges avec eux ces derniers mois. Enfin vous-voyez.


- J'ai déjà tout dit à vos collègues ! Vous ne pensez pas encore que j'ai pu assassiner cet homme ?! C'est-eux ! Ce ne sont que des rats qui se tuent entre eux pour me faire porter le chapeau et se donner une raison de partir en vendetta soi-disant légitime. Si vous ne pouvez pas me protéger, je le ferais moi-même !

- Vous ne ferez rien !


Tu avais beau avoir dit tantôt que l'homme était cardiaque, tu n'allais pas non plus trop le ménager. Aussi-tôt, ton regard venait à prendre un reflet sombre alors qu'une aura lugubre se dégageait de toi.

- Vous n'êtes pas possibles sur cette île. Je vous demande de vous tenir tranquille quelques jours et vous n'avez pas arrêté de faire monter la tension. Ne me forcez pas à la faire redescendre moi-même.


De son côté, alors que tu faisais bien attention à être le moins discret possible, Eleonore pouvait sentir de l'agitation au-delà des murs de la bâtisse. Des odeurs familières qui semblaient se perdre dans les ombres, comme s'ils s'apprêtaient à vous sauter à la gorge à peine auriez-vous eu le malheurs de partir d'ici. Ton plan était simplement de faire croire que la présence derrière cette machination avait encore la chance de se sauver de votre enquête. Et pour ça, il fallait que tu agisses comme un marin lambda. Avec le moins de finesse et de jugeote possible.

- Vous allez me répondre, et après nous aviserons la Commandante et moi.

Tournant ton regard vers-elle, tu hésitais à t'en servir comme appât. Naturellement, de part son grade, on pouvait penser qu'elle était la moins dangereuse du duo. Et que cela soit vrai ou non, il serait plus alléchant pour l'ennemi de s'en prendre à elle quand elle serait seule. Et une fois que le poisson aurait mordu à l'hameçon, alors tu pouvais intervenir pour finir de le ferrer.

Cependant, tu ne pouvais pas lui imposer cela, et tu te contentais de la fixer alors que tu espérais qu'elle comprenne à ton expression que c'était son choix à elle. Dans tout les cas, tu ne serais pas loin.




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‘’Ah, c’est mon supérieur qui gère avec le Cipher Pol, moi, je fais que répondre à sa demande. Il fait le tampon et gère tout ce qui en découlera.’’ Exprime simplement la blanche en chassant la crainte d’un mouvement de main. ‘’Je n’ai pas eu d’ordre précis autre que si je trouvais l’homme ou le corps, que je devais le signaler pour une récupération. De plus, Alnoth sait très bien comment je fonctionne alors il ne se gêne pas d’être précis quand il le faut. ’’ Souffle-t-elle avec malice.

Elle écoute ensuite sa compagne d’enquête s’exprimer sur ses têtes. L’explication très simple soit semblée aller parfaitement avec ce qu’elle avait découvert de la personnalité de Pandore et le fait lui étire un sourire en coin. Elle hoche doucement la tête, approuvant. Pourquoi se compliquer la vie quand elle pouvait être simple ?

‘’Et bien, enchanté Cobra et Vipère. Original ou non, tant que tu es contente du résultat on se fiche du reste. Je voulais simplement une manière de les interpeller si la situation devait ce présenté pour éviter la moindre confusion. Tu imagines, Pandore ! Vous trois me répondeur en même temps et je suis comme non, l’autre Pandore. Moi ? NON L’AUTRE PANDORE. Je suis veux bien un peu de comique relief, mais quand même.’’

Il vient ensuite de l’explication du plan qui fit pétiller de plaisir les pupilles ambrés la blanche qui écoute tout de même sa Commodore avec une expression calme et sérieuse. Son cerveau semblait déjà analyser les différentes situations qui allaient découler de cette action. Combattre un ennemi plus fort ne l’inquiétait pas, elle l’avait fait à deux reprises à la foire. D’accord, elle était ressortie des combats dans un été pitoyable, mais le résultat en avait valu l’effort. Elle hoche doucement la tête, un sourire en coin se dessinant sur ses lèvres rosées.

‘’Parfait, ça me semble simple et logique. De plus, un peu d’action ne fera pas de mal. Je comprends, je ferais au mieux de vous aider si la chance se présente. Sinon ne vous en fait pas pour moi et occupe-toi du problème. C’est la priorité.’’ Pointe-t-elle simplement.

Voilà presque deux semaines depuis les événements de la foire. Entre le voyage en bateau pour se rendre ici et les quelques jours qui s’étaient écoulé tranquillement, une partie d’elle devenait impatiente à l’idée de combattre et de faire couler le sang. Le fait que ce soit le sien ou celui de l’ennemi ne la dérangeait pas, tout ce qu’elle voulait, c’était s’occuper à quelque chose d’utile. Alnoth n’allait certainement pas apprécier l’idée et elle en vient à comprendre pourquoi il lui posait tellement de questions à propos de sa relation avec Pandore, peut-être qu’il craignait qu’elles dégénèrent toutes les deux ? Avec ce qu’elles avaient partagé durant leur tête-à-tête, c’était une possibilité…

‘’Hmm… Logique et pourtant l’affaire ma semblée plutôt facile…’’ Marmonne la veuve qui ne comprend pas pourquoi les autres officiers avaient bâclé le travail.

Sans plus perdre de temps, après son observation personnelle sous la possibilité d’une Alicia jumelle, elles arrivent chez Augustus qui présente une attitude aussi agréable que Marcus à leur arriver. Une nouvelle fois, elle offre un simplement hochement de tête, refermant la porte derrière elle en jetant un dernier coup d’œil aux quelques gardes à l’extérieur. Elle se tient ensuite tranquille à deux pas de Pandore et de Gugus qui s’énerve et s’époumone. Pandore semble s’énerver et la voir ainsi étire malgré elle un large sourire sur ses lèvres, offrant un effet plus carnassier que moquer. Ainsi sous le regard prédateur et de son expression presque prédatrice, Augustus se redresse, surprit et un apeuré par la situation. Tout en perdant son sourire pour retrouver une expression plus neutre, la blanche observe l’homme se calme face à l’irritation peu voilée de la Commodore.

Tout en laissant Pandore mener la danse, Éléonore tend immédiatement l’oreille face à la nouvelle agitation à l’extérieur. Quelques éclats de voix se font entendre et tandis que des pas s’éloignent dans deux directions différentes, visiblement attirer par des ennemis différents, elle échange un regard entendu avec sa Commodore. Ce qu’elle lit dans son regarde lui arrache un sourire et sans même hésiter ou encore s’excuser, elle se détourne ouvre la porte et sort aussi simplement comme elle était arrivée. Elle replace sur son épaule la hache, passant la bande en travers de son corps au lieu de la garder simplement sur une épaule. Tout en attrapant un autre bonbon, elle observe les alentours qui sont maintenant absent des gardes. Les deux odeurs familières d’Alicia se présentèrent finalement à ses narines, et le bruissement des feuilles qui auraient pu paraître anodin révèle la présence de l’une des demoiselles.

Un projectile est lancé dans sa direction et elle fait un pas sur le côté en l’évitant, la sphère de verre allant exploser dans un pauvre buisson à quelques pas d’elle. Elle porte la tête en direction de la position de projection, observant une silhouette s’éloigner de la civilisation. Oh, les demoiselles avaient tellement été impatientes, qu’elles espéraient l’attirer dans un coin isolé. Cette pensée fit sourire la veuve qui sans la moindre hésitation s’élançant, faisant croire qu’elle

mordait à l’hameçon. Tout en écrasant la sucrerie entre ses dents, son pas de course et ses oreilles la guide finalement vers un lieu dégager d’une plaine de petite circonférence. Elle ralentit le bas, observant la silhouette de l’une des femmes au centre de la clairière, la même odeur que la première femme s’en dégage. Non loin derrière elle, l’odeur de la deuxième toujours camouflée se dégage de la cime des arbres. Elle sourit simplement à la première rousse, jouant le jeu de l’innocente.

‘’Selon la loi, je devrais vous sortir tout le tralala qui vous expliquait que vous êtes en état d’arrestation et que je te demanderais de me suivre, mais je doute que ce soit inutile.’’ Dit El en s’arrêtant à distance sécuritaire, toujours alerte à son environnement.
‘’Effectivement, je ne suis pas intéressée…’’ Réplique la voix mielleuse de son interlocutrice qui se nettoie les ongles.
‘’L’autre à l’intention de sortir de sa cachette ?’’
‘’Pardon ?’’ Laisse échapper la rouquine aux traits charmeuse.
‘’Ta jumelle… Je sais que vous êtes deux.’’

‘’Comment ?’’ Demande simplement la deuxième qui s’extirpe de sa cachette lentement.
‘’Cristalia !’’ S’exclame la première jumelle.
‘’Suffit Medusalith, j’avais des doutes… Mais comment as-tu découvert ?’’ Ordonne plus froide la deuxième à sa sœur.
‘’Vous étiez loin d’être parfaites.’’
‘’Hmm…’’ Réplique simplement la deuxième visiblement pensive.

Éléonore observe toujours la demoiselle qui est nonchalante, quelque chose dans son aptitude cloche avec la situation, elle ne faisait rien pour réellement la combattre comme l’autre en arrière, c’était comme si elles attendaient quelque chose… Ce ne fut que la circonstance du vent qui se soulève dans son dos et puis lui apporte l’odeur d’une troisième personne inconnue qu’elle eut le réflexe de se retourner rapidement pour voir arriver avec une vitesse affolante une ombre fondre sur elle. Si la Commandante voulait réagir, c’était le moment ou jamais…

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★ ★ ★

Crystalia : 1000 Dorikis. Pouvoirs : Analyste – Comptabilité – Acteur Inné – Passe-partout – Sens des affaires – Pieds sûrs – Air Breath (Avatar Aang)(1) 1000 Dorikis  Jonglerie Chimique (2)
Medusalith  : 1000 Dorikis. Pouvoirs : Aura de Séduction – Œil du Marchand – Acteur Inné – Faussaire – Mentalisme – Hasshoken (Style aux Huit Impacts)(1) – Retour à la vie (Cheveux médusa Marvel)(2)


Dernière édition par Éléonore Grey le Ven 15 Déc 2023 - 20:54, édité 3 fois
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Eleonore




Attentive...

Eleonore ne s'était pas faite désirée un seul instant, succombant à l'appel du sang sans même que tu n'ai à lui imposer véritablement l'ordre. Tant mieux... Cela rajoutait de la crédibilité à la scène et cela te confortait dans l'idée qu'elle serait survivre au traquenard dans laquelle tu l'avais plongé. Culpabilisais-tu ? Pas le moins du monde. C'était ton devoir et le sien de faire ce qu'il fallait. Et au fond de toi, tu savais qu'elle avait les épaules pour. D'une certaine manière, tu reproduisais les méthodes de Salem qu'il avait utilisé avec toi. Une formation à la dure qui n'admettait pas l'erreur sous peine de véritablement périr en combat.

- Pandore. Tu sens ça ? Ils s'activent. Nous ne pouvons pas laisser la Commandante seule.

- Augustus, je vais devoir vous laisser.

L'homme ne comprenait rien à la situation, mais il n'avait pas besoin d'en connaître les fondements pour le moment. Il y avait plus urgent sur le feu et tu sortais donc d'un pas pressé de l'endroit, ayant en tête l'odeur de la Commandante mais aussi celles des autres que tu avais pu différencier. Eleonore n'était pas la seule à avoir un odorat particulièrement développé, un talent que contrairement à elle, tu avais obtenu grâce à l'ingestion de ton fruit du démon. A bien des égards les Zoan possédaient des facultés impressionnantes, encore plus lorsque celui-ci tombait dans la catégorie de la mythologie du monde.

- Presse-toi ! Elle va se faire manger tout crue par les deux femmes si tu y vas aussi lentement !  

- Ce ne sont pas elles qui m'intéressent. Mais lui.

Ayant marché à travers les ruelles en direction de la Commandante, tu t'étais finalement arrêtée à quelques dizaines de mètres d'elles, à une poignée de rue plus loin. Un homme qui était resté totalement discret jusqu'ici avait fait exprès de se montrer pour t'attirer à lui, ce qu'il avait évidemment réussi à faire. Tu voyais à peine sa carrure au loin, mais tu savais qu'il représentait l'autre moitié du problème qui frappait cette île. Si tu ne savais pas la force des ennemis qu'affrontaient Eleonore, tu pouvais attester de la sienne simplement par l'aura sévère qui se dégageait de sa présence.

- Vous en avez mit du temps Commodore. J'ai pourtant tout fait pour que vous me remarquiez.

Tu plissais les yeux, toi aussi d'un air sévère alors que tu t'approchais au même titre que lui avant de vous faire face à seulement un mètre ou deux d'écart. L'homme était bâti comme un roc, et son corps montrant à quelques endroits sa chair, était marqué par les affrontements. Vu les rides qui se pavanaient sur son visage, il avait facilement deux fois ton âge.

- Vous pensiez que nous n'avions pas comprit votre petit jeu ?! Les jeunes comme vous me font gerber, pensant tout savoir. Mais vous avez gagné, je vais vous tuer ici et maintenant et le plan continuera comme si de rien n'était.


Difficile de savoir qui était le piégé des deux. Tu voulais le rencontrer, mais pour cela tu avais dû vous exposer. Et ils avaient l'initiative de l'endroit et des forces à déployer. Ce ne serait pas étonnant de penser qu'ils étaient bien plus préparés que vous à l'affrontement.

- Il parle beaucoup pour un connard à lunette.

Souriant à la provocation, tu regardais un nerf de frustration prendre place sur son front. L'homme était plein d'orgueil, et l'énerver était chose aisée. Quand à savoir si c'était une bonne nouvelle ou non, difficile à dire.

- Qu'importe ce que je vous demande, vous n'allez pas me répondre, alors commençons.

L'arrogance de la jeunesse, c'était sans doute là la chose qu'il détestait le plus, surtout provenant d'une frêle femme comme toi qui avait sans doute dû obtenir son rang par piston à ses yeux. Avais-tu peur ? Pas le moins du monde. Tu te contentais de sentir cette douce adrénaline couler dans tes veines alors que tu dégainer ton épée, en opposition à lui qui vint à saisir sa batte en acier. Drôle de manière de se battre, mais clairement, tu refusais de voir ta chair se faire broyer par un coup de sa part. Tu avais déjà assez dégusté dans ta vie pour les dix prochaines années au moins.

Et sans vous annoncer davantage si ce n'était par un râle de colère refoulé du type en face de toi, vos armes vinrent à se fracasser entre-elles, laissant vos Haki respectifs s'entrechoquer pour produire un choc bruyant dont le souffle était perceptible à des dizaines de mètres à la ronde.

Personnage:




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“You become a changed person when you face the reaper and deny him your soul.”

S’il n’en avait pas été de ses autres sens qui l’avertissaient que le vrai danger était devant elle, elle aurait été distraite assez longtemps pour recevoir les attaques combiner des deux dames. Éléonore ignore le sentiment angoissant de peur qui serre son cœur face à la vision de ses assaillants des Saigneurs des mers, une vision qui n’était pas possible pour bondir vers l’arrière et éviter les tentacules de cheveux rouges qui venaient viser ses points vitaux. À plus de trois mètres d’elles, Éléonore renvoie vers l’arrière sa natte blanche, dégageant son visage. Elle voit devant, les silhouettes des deux femmes qui sont surprissent, puis les visages de ses pirates ennemis. Elle sent une rage monter en elle, les sentiments qu’elle avait enfermés toutes ces années refont surface, défonçant la porte de sa psyché en criant près ‘Eleonore, we are here !’. Elle prend une grande respiration, essayant d’ignorer les faux sentiments.

‘’Impressionnant, peu sont ceux qui endurent mes hallucinations.’’ Souffle Crystalia intriguée.
‘’Pourquoi elle reste calme ? Elle ne devrait pas être en train de paniquer ? Tu es sûre que ton dosage est bon ?’’ Lui demande Medusalith.

Les deux femmes échangeaient vaguement, observant maintenant la blanche avec une certaine crainte. Avaient-elles mal évalué leur ennemi ? Le doute s’installe lentement entre elles. Elles profitent du fait qu’Éléonore était partiellement retenue par son imaginaire et de vieux souvenirs, ne les attaquant pas.

‘’Je n’ai pas changé la formule, ce doit être elle qui est plus résiliente…’’
‘’Oui, mais elle est trop calme, ça me trouble, d’ordinaire, ils se roulent au sol, pleurent, supplie et on a plus qu’à les achever… Tu lui as bien envoyé la bonne fiole ?’’

C’était donc ceci… La fiole qui avait éclaté non loin d’elle, le nuage qui c’était échapper après l’explosion… Le tout était une concoction chimique qui avait dû servir à tromper ses sens, jouant avec ses neurones en leur faisant croire qu’elle se retrouvait là-bas au pire jour de sa vie. Une nouvelle vague de peur et de rage la traverse tandis que ses ennemis oniriques se jettent sur elle, la traversent, la ‘frappent’ de leurs armes imaginaires que leur cri silencieux résonne dans son esprit, revivant l’exact moment. Elle ferme les yeux, écrasant ses pupilles humides en laissant deux larmes couler le long de ses joues. Elle n’avait pas besoin de ses yeux, pas de manière primaire. Elle pouvait utiliser ses autres sens, tout ce qu’elle avait à faire, c’était d’ignorer la douleur, d’étouffer la peur et la tristesse, laisser la rage couler librement… Toutefois, Éléonore n’avait pas le genre de rage qui était flamboyante, pas d’éclat de cri, non elle était plutôt du genre à avoir une colère froide, silencieuse et vicieuse. Elle avait ce qu’on appelait une agressivité prédatrice…

La pugnacité était quant à elle, très calme. La silhouette d’Éléonore semble bouger un peu, ses muscles s’étirer lentement et se réveiller, changeant quelque peu l’atmosphère autour d’elle. Elle en vient à ressembler à un tigre tapi dans l'herbe qui attend en silence le moment de bondir sur la proie. Ses pupilles glaciales fixées sur les deux femmes devant elles qui venaient de perdre leur statut d’humanité. Elle prend une grande respiration, gonflant ses poumons avant de brusquement s’élancer vers les deux femmes qui sont surprises par la rapidité de cette dernière. Éléonore, fait tournoyer sa hache à deux mains avec une grâce mortelle au-dessus de sa tête. Elle entame une danse mortelle où chaque mouvement qu’elle effectue à un but bien défini. Elle prend une grande respiration, gonflant ses poumons avant de brusquement s’élancer vers les deux femmes qui sont surprises par la rapidité de cette dernière.

En face d'elle, se tient Crystalia, avec des mouvements gracieux, elle avait fini par créer des tourbillons de vent autour d’elle pour éviter qu’Éléonore se rapproche trop d’elle. Elle répliquait en lui envoyant des rafales de projectiles de son air breath. Elle lance parfois des fioles chimiques avec une précision déconcertante, créant des explosions de couleur et de fumée dans la clairière dans le simple but de nuire à Éléonore et à la maintenir à distance. Crystalia était une artiste de la destruction, utilisant la science et l’air breath pour semer le chaos et contrôler le terrain. Cette dernière était très problématique pour Éléonore qui s’occupait dans l’immédiate avec Medusalith. Ses longs cheveux rouges étaient une extension vivante et redoutable de son corps athlétique. Ils se mouvaient tels des serpents, essayant d’attaquant les points vitaux de la soldate avec une agilité surprenante. Chaque mèche de cheveux semblait avoir une vie propre, et elles frappaient avec une précision chirurgicale qui ressemblait fortement au Hasshoken, mais adaptée au style de la demoiselle.

Le combat est intense, chacune des femmes utilisant au maximum leurs compétences uniques pour prendre l'avantage. Éléonore se battait avec une fureur contrôlée, malgré les hallucinations provoquées par Crystalia, qui réussissaient à la désorientaient. Sous ses pupilles agités et alertes, elle voyait les ombres mouvantes, les mirages qui rendaient chaque attaque qu’elle faisait à Medusalith incertaine. Ce qui la pousse à être plus sur la défensive qu’elle ne le voudrait… Malgré cela, sa rage froide brûle en elle, elle refusait de succomber aux artifices de Crystalia et chaque coup de hache était une déclaration de détermination. Avec un dernier moulinet de hache, elle réussit à trancher deux des ‘serpents’ de la crinière flamboyante, arrachant un cri de frustration de la rousse qui se jette sur elle avec une telle furie qu’elle en oublie un instant la sécurité.

Malgré le cri d’alerte de sa sœur, Medusalith se jette dans la mêlé, cheveux dresser telle des piques, près à frapper, mais elle perd en précision et tandis que la blanche lâche sa hanche pour se faufiler dans la bulle personnelle de son ennemi, elle tourbillonne un instant, ramassant le plus de Momentum dans son corps pour l’utiliser dans l’un de ses coudes. Les piques organiques viennent se planter dans les épaules et le dos de la soldate qui n’est pas arrêté dans son mouvement et elle soulève son coude pour venir l’écraser durement contre la mâchoire de cette dernière. Elle entend la mâchoire craquer, mais elle ne s’arrête pas là, sautant vers le haut en attrapant le visage de la demoiselle entre ses phalanges crispée et mêlées dans la chevelure, elle lui percute violemment le faciès dans son genou, explosant son nez. Encore une fois, elle ne s’arrête pas là, les yeux maintenant posées sur Crystalia, elle redresse la femme qui gémit de douleur, la force à s’agenouiller face à sa sœur. Elle passe les bras autour de sa tête et sans la moindre hésitation, elle lui casse la nuque froidement, laissant le corps retombé au sol sans vie comme s’il était un vulgaire déchet.

Elle enjambe la défunte, récupère sa hache et malgré le sang qui coule de son corps par les six trous ou la douleur qu’elle ressent, son visage reste neutre de la moindre émotion. Elle soulève son énorme arme et la dépose en travers de son épaule et souffle froidement ;

‘’Next.’’
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Don't Fear The Reaper - II
Feat
Eleonore





Terrifiant...

Ta volonté s'entrechoquait avec elle de ton adversaire, faisait jeu égal avec la sienne et s'abandonnant en onde de choc qui se répercutait aux travers de votre champ de bataille improvisé. Sa force était impressionnante, dépassant légèrement la tienne, te contraignant à compenser par une technique plus efficace, des mouvements plus vifs. Malgré tout, il n'y avait rien de subtile dans cet échange, rien d'élégant, rien de gracieux. Vous n'étiez semblable qu'à deux brutes, qui se contentaient de déployer toutes leurs ressources pour les faire s'écraser sur son opposant.

- Tss.  

Tu pouvais voir la frustration trôner sur son faciès. Bien qu'il vous avait sans doute observé depuis votre arrivé sur l'île, bien silencieusement, dans l'ombre des habitants, il n'aurait sans doute jamais pensé rencontrer une personne à la force brute presque similaire à la sienne. Après tout, tu n'étais qu'une vulgaire marine, même pas dans l'état major, qui n'avait aucun fait d'arme concret par elle-même, toujours assimilé au Vice-Amiral Fenyang.

S'il avait fouillé un peu ton passé, il était sans doute arrivé à la conclusion que tu n'étais qu'une arriviste, une opportuniste se servant de ses charmes pour séduire un grand homme qui avait prouvé plus d'une fois qu'il n'était pas indifférent à ce genre de malice.

Qu'importe, il pouvait désormais juger de ton niveau réel, et de ton côté tu t'inquiétais du sien. Pourquoi un homme de sa trempe avait été envoyé sur cette île ? Qui avait les moyens de se procurer ses services ? Agissait-il à son compte ? Pourquoi ?

Un ensemble de question, qui, te poussèrent à être négligente face à la colère de l'homme prenant forme d'un coup de batte plongeant directement dans tes côtes. Ne pouvant rien faire contre ça, tu fus propulsée à plusieurs mètres  en arrière avant de t'écraser contre une maison dont la façade vola en éclat une fois la rencontre avec ton corps effectué. Heureusement pour toi, tu n'étais plus la même qu'à ta reprise, tu avais évolué rapidement, et non sans te démener en effort impossible.

- Pandore. Tu vas bien ?

- Tu connais la réponse. J'ai connu pire.

Tu venais à faire craquer ta nuque avant de t'extirper des gravats pour rencontrer une nouvelle fois ton adversaire confus par ta résilience. Face à lui, une Pandore entièrement couverte d'une pellicule noir. Un Haki de l'Armement complet qui n'avait pas été dur à maîtriser une fois l'astuce en poche. Pour autant, si tu n'étais nullement blessée, vous étiez capable d'arriver à la même conclusion en même temps. En l'état, vous n'aviez pas de force suffisante pour vous blesser suffisamment avant de neutraliser l'autre. Lui même avait imité ton action pour se recouvrir de son propre Haki, et l'état alarmant de vos armes respectives en disaient long sur l’issue de cette confrontation.

- Qu'est-ce que vous voulez au cartel ? Et à Augustus. Vous y gagnez quoi ?

- Une merdeuse comme toi peut aller se faire voir. Tu n'es même pas inquiété pour ta camarade. A l'heure qu'il est, elle doit déjà être bien loin, capturée, torturée.


Essayait-il de te provoquer ? Sans doute. Y arrivait-il ? Un petit peu. Malgré ton manque d'empathie, et ta confiance envers Eleonore, ce serait mentir que de dire que tu ne te souciais pas ne serait-ce qu'un peu de son sort. Certes, tu ne regrettais pas de l'avoir lâché dans la gueule du loup de la sorte, mais c'était car tu ne pensais pas rencontrer une opposition de la sorte, à même de te bloquer totalement dans une éventuelle tentative de sauvetage.

- Elle se débrouillera.

- Hé ducon. On va te refaire le portrait !

Plus facile à dire qu'à faire. En l'état, tu ne savais pas comment passer sa résilience, et il semblait être dans le même cas que toi te concernant. L'épée fissurée par endroit, sa batte menaçait de faire de même et d'éclater au prochain échange, vous contraignant d'en finir aux poings. Tu pouvais toujours tenter de l'enrouler et de le soumettre, mais cela ne marchait que lorsque le différentiel de technique ou de force brute était important. Ce qui n'était clairement pas le cas. Et si l'idée de broyer son entrejambe avait marché avec Jengo à cause de son égo, cet homme semblait avoir trop les pieds sur terre pour tenter pareille fourberie.

- Pandore. Nos crocs ne perceront pas son Haki. Mais nous pouvons le contraindre autrement.

C'était vrai que tu n'étais pas seule... Tu n'avais pas besoin de toujours trouver la solution par toi-même et c'était soucieuse que tu hochais la tête, comprenant là où Vipère voulait en venir. Courbant alors ton bras, tu venais à faire un mouvement ascendant pour projeter une lame d'air distordue, ayant le don de soulever de la poussière sur son chemin en plus de vouloir se fracasser sur l'ennemi.

Et si ce dernier point ne pouvait se solder que par un échec, la poussière te permettrait de gagner quelques mètres pour un prochain assaut. Même si ses mouvements semblaient te faire comprendre qu'il te percevait bien plus qu'avec ses sens, il n'était pas encore capable de lire dans ta tête comme pouvait le faire l'Amiral Fenyang. Grâce à lui, tu avais été préparé même au pire scénario et c'était avec un plan en tête que tu t'acharnais une nouvelle fois sur ton adversaire.

Personnage:




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“You become a changed person when you face the reaper and deny him your soul.”

Le combat entre Éléonore et Crystalia était intense, chaque mouvement était une danse mortelle entre la puissance brute mais élégante de la blanche et la finesse tactique du contrôle du terrain. Éléonore maniait son arme à deux mains avec une habileté impressionnante, utilisant des attaques aériennes qui mêlaient sauts acrobatiques et frappes précises. Chaque coup de sa hache était exécuté avec une force qui se voulait dévastatrice, créant des faibles ondes de choc dans l'air à chaque impact physique qu’elle faisait avec le sol ou les arbres. De l’autre côté, Crystalia restait le plus possible à distance, utilisant ses techniques de frappe d'air pour déstabiliser ou encore détourner les attaques de la marine. Elle manipulait l'air autour d'elle avec agilité, créant des rafales soudaines qui perturbaient les mouvements de son adversaire. Crystalia combinait son Air Breath avec l'utilisation des bombes chimiques, lançant les projectiles explosifs en direction de la blanche qui savait maintenant qu’elle ne pouvait pas se laisser toucher par ceci de crainte de se retrouver encore plus sous le jonc des hallucinations.

Soudainement, Éléonore exécuta un saut acrobatique spectaculaire, décrivant une trajectoire précise pour atterrir près de Crystalia. D'un mouvement fluide, elle décocha une série d'attaques rapides, forçant Crystalia à se défendre et à temporairement oublier ses bombes. Cependant, Crystalia répliqua en créant un mur d'air protecteur, repoussant Éléonore et gagnant ainsi une brève pause pour immédiatement tourner les talons et prendre la fuite. Si la petite clairière avait été le théâtre de leur affrontement longtemps et qu’il garderait un temps les stigmas de leur affrontement, le combat entre Éléonore et Crystalia avait maintenant évolué en une course poursuite effrénée à travers une dense forêt. Les deux combattantes étaient déterminées, chacune cherchant à exploiter les faiblesses de l'autre. Le champ de bataille vibrait d'énergie alors que le duel entre la puissance et la ruse atteignait son paroxysme. Crystalia commençait à devenir inquiète face à la détermination et la férocité de la femme, cette dernière, même en douleur, ne semblait pas vouloir lâcher le morceau, elle lui faisait penser à un chien de chasse qui tenait une piste délicieuse et qui n’avait aucunement l’intention de lâché sa proie. Chaque bond effectué par la soldate, la propulsait au-dessus des obstacles naturels et toujours un peu plus près de la rouquine qui commençait de plus en plus à se sentir comme un lapin prit au piège.

La forêt résonnait des bruits de la course effrénée et des éclats métalliques de la hache contre les projectiles aériens. Les arbres fournissaient un abri intermittent, créant un jeu du chat et de la souris, ou plutôt celui du chien et du chat entre les deux combattantes. De temps en temps, la rousse lançait des bombes chimiques derrière elle, créant des obstacles pour ralentir sa poursuivante, mais qui ne semblait jamais être assez pour lui faire abandonner. Tout en zigzaguant entre les arbres, elle essaye de rejoindre le seul lieu qui pourrait lui offrir un semblant de couverture, du moins elle l’espérait sincèrement. Le combat se poursuivait entre les troncs d'arbres, au sol et dans les airs, une danse chaotique à travers la forêt. Chacune des combattantes cherchait à exploiter l'environnement naturel à leur avantage. Puis étrangement, Éléonore sembla prendre ce moment pour ralentir un peu, infusant un espoir fou dans le cœur de la rousse. Avait-elle réussi à la perdre ? Ou à l’épuiser assez pour qu’elle abandonne ? Ou peut-être que les blessures avaient enfin eu le dessus sur la soldate ? L’esprit remplit de question, elle ne remarque même pas qu’elle avait elle-même ralentit d’un poil sa cadence. Malgré l’espoir, une partie d’elle était effrayée de l’absence de la blanche. Crystalia, exploitant cette opportunité, pour sauter et venir se positionner en hauteur sur une branche d'arbre, préparant une attaque aérienne dévastatrice. Cependant, Éléonore anticipe son mouvement, suivant son odeur depuis le début, elle n’avait pas besoin de ses yeux pour lui dire la position citronnée de la demoiselle et d'un puissant saut, elle atteignait la branche avant même que Crystalia puisse lancer son attaque.

Le plat de la hache vient frapper la ceinture où se trouvaient encore quelques fioles en verre et un nuage chimique digne d’un petit champignon atomique explosa entre les deux femmes. La concernée vient brusquement percuter le tronc de l’arbre avant de tombée vers le sol. Crystalia eut la rapidité d’esprit de ralentir sa chute avec une poussée d’air, avant de s’écrouler, face première. Elle se plie ensuite en deux, son cerveau en proie aux différents effets secondaires qu’elle avait malheureusement absorbé à cause de l’explosion chimique. Ses pupilles dilatés au point qu’on ne différencie plus la couleur, elle se tord de douleur, son visage distordu par les émotions négatives. Eléonore, qui avait percuté le sol plus loin et avait effectué plusieurs roulées, se redresse péniblement. Durant la poursuite, elles étaient passées proche d’une rivière et en la longeant, la veuve avait arraché l’une de ses manches pour la glisser dans l’eau durant sa course avant de la passer autour de son visage, sur son nez et sa bouche, offrant une protection sommaire contre les produits volatiles. Ce n’était pas une solution miracle, mais elle avait permis de minimiser l’effet. Elle retire donc la manche noire qui avait servit de masque protecteur pour la jeter au sol, le son du tissu mouillé frappe l’air, tandis qu’elle se soulève complètement. Elle secoue un peu la tête, essayant de chasser l’étourdissement qui commençait à attaquer son cerveau.

Elle va retrouver la position de Crystalia qui ressemble à une junkie sur une overdose de drogue. Elle allait l’attraper pour la traîner à la clairière quand un faible gémissement s’étirer dans l’air. S’il n’avait pas été de ses oreilles fines, elle ne l’aurait surement pas entendu. Elle tourne légèrement la tête, cherchant la position et c’est en observant un peu mieux son environnement qu’elle trouve une cabine de pierre à moitié détruite. Elle se dirige vers le lieu visiblement abandonné depuis longtemps. Quand elle ouvre la porte de métal, ses pupilles tombent sur un spectacle bien horrible, ce qui lui arrache même un haut de cœur qui se termine en vomissure sur le côté de la cabine. Elle attrape son den-den et revient à l’intérieur, s’agenouillant près du corps immense masculin qui a une partie du corps ensanglanté, mais le plus horrible n’était pas l’étendue de ses blessures, mais plutôt les insectes qui le mangeaient.

‘’Ici Alnoth.’’
‘’Commodore, je crois que j’ai trouvé notre homme…’’
‘’Où êtes-vous ?’’
‘’De votre position, il faudra aller à l’est de l’île, maison d’Augustus pendant au moins une vingtaine de minutes à pied pour vous rendre à moi. Vous tomberez sur une clairière avec le corps d’une rousse et près de mois la deuxième rousse, toujours en vie. Je me trouve dans une petite cabine… Envoyez une équipe lourde de soin… Il est vraiment en mauvais état.’
‘’Vous avez appréhendé des ennemis ? Et votre état ?’’
‘’Oui, une, l’autre est mortes, moi, je vais bien à côté de lui.’’
‘’Et la Commodore Pandore ? Vous avez des nouvelles ?’’
‘’Non, nous avons été séparés, elle s’est occupée d’un ennemi de son calibre, si je me fis à l’onde de choc que nous avons ressenti.’’
‘’Ne bougez pas, j’envoie des renforts et une équipe de soin.’’
‘’Merci…’’

Elle raccroche le den-den et soupire lourdement. Elle allait se soulever pour quitter, mais une main l’agrippe, l’unique bras encore valide de l’homme. La poigne est faible, mais elle s’accroche désespérément aux vêtements, à sa hanche, sa cuisse, tout ce qui semble être possible de lui servir de surface à agripper. Un gémissement de douleur s’élève et elle pose sa main sur l’énorme paume.

‘’Kyllan, ici la marine, tout va bien, tu es maintenant en sécurité.’’
‘’Tu es bien réelle ?’’ Marmonne la voix cassée.
‘’Oui, tu n’hallucines pas. Je suis Éléonore Grey, on te cherchait justement.’’
‘’Hallucination ou pas, ne me laisse pas, accompagne-moi jusqu’à la fin…’’
‘’Je vais à nulle part et tu ne vas pas mourir… On va tout faire pour te garder en vie ok ?’'
‘’Hmm… Je suis entre les mains d’un ange, alors tout va bien aller…’’ Marmonne-t-il avant de fermer

Elle cette instant présent, la tension sembla brusquement retombée et des questions remplir son esprit, est-ce que les derniers moments de son mari avait ressemblez à ceci ? Est-ce qu’il avait souffert ? Est-ce que quelqu’un l’avait accompagnée durant la fin ? Ou avait-il était seul dans les décombres quand il avait été trouver ? La fatigue et l’épuisement des combats prennent finalement le dessus et des fines perles translucides glissent le long de ses joues silencieusement. Elle pousse un soupire, ferme les yeux en laissant son corps s’affaisser un eu sur lui-même, la tête légèrement penchée sur le côté, elle écoute le pouls faible de Kyllan. Elle ouvre finalement les yeux en sentant une main caresser son visage et chasser les larmes. Elle croise le regard absent de l’agent du Cp qui ne fait que regarder dans sa direction. Elle n’avait pas l’impression qu’en ce moment présent que c’était elle qui regardait, mais plutôt une autre personne, une personne à qui les mots qui allait suivre aurait dû appartenir.

‘’Ne pleure pas, je ne les mérite pas… Je n’ai même pas pu te protéger comme il se doit… Et si j’ai à mourir, je le ferais si c’était pour ta survie… Don’t cry my little angel…’’

Elle ne souffle aucun mot, de toute façon, elle n’aurait pas su quoi lui dire. Tandis que là, mais retombe lourdement sur elle, elle la déplace sur sa cuisse en la tenant toujours, elle ferme les yeux, penchant la tête vers l’avant. Son esprit se met à s’envoler, la perte de sang et les produits chimiques finissant enfin et épuiser la demoiselle. C’est donc ainsi que l’équipe de secouer les retrouva et que tous se retrouvèrent dans un état de panique devant la gravité de la situation. Ils furent rapidement pris en main et amener en ville.

Codage par Libella sur Graphiorum


★ ★ ★

Crystalia : 1000 Dorikis. Pouvoirs : Analyste – Comptabilité – Acteur Inné – Passe-partout – Sens des affaires – Pieds sûrs – Air Breath (Avatar Aang)(1) 1000 Dorikis  Jonglerie Chimique (2) (CAPTURE)
Medusalith  : 1000 Dorikis. Pouvoirs : Aura de Séduction – Œil du Marchand – Acteur Inné – Faussaire – Mentalisme – Hasshoken (Style aux Huit Impacts)(1) – Retour à la vie (Cheveux médusa Marvel)(2)(MORTE)
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Don't Fear The Reaper - II
Feat
Eleonore





Accablée...

Jusqu'ici, tu t'étais contentée de prendre les coups à chacune de tes confrontations. Et si tu étais devenue experte dans l'exercice, cela te contraignait d'être à l'article de la mort à chaque fois qu'un opposant était d'une force brute similaire ou supérieur à la tienne. Le Médecin avait été clair avec toi, ta manière de te battre ne tenait uniquement par la chance et les soins miraculeux qui tu avais reçu jusqu'ici. Certes, ta détermination te permettait de continuer à te battre jusqu'à la mort de ton adversaire du moment, mais celle-ci ne pouvait pas te ravir des bras de la faucheuse si tu persistais à prendre cette même voie encore et encore.

Et ton corps le savait. Cobra et Vipère le savaient. Toi même, tu le savais, bien que tu retombais souvent dans tes habitudes, comme si tu cherchais dans la souffrance une manière de te prouver que tu étais capable. Capable d'assumer le rôle qui t'incombait, capable de rendre la justice sur ces mers agités.

Mais, en refusant de t'écouter, tu t'empêchais d'exploiter le plein potentiel de tes nouvelles capacités. Il fallait que tu sois en harmonie avec toi-même et que tu puisses utiliser tes ressources à meilleurs escients... Et tandis que tu t'avançais d'un pas rapide et menaçant, voilée par l'épaisseur du nuage de poussière qui vous séparait, tu venais à fracasser une nouvelle fois ta lame contre son arme avant de les laisser tout deux s'éclater dans un choc encore plus violent que les précédents.

Certes, si tu avais eu en mains l'arme légendaire de Salem, l'histoire de ce combat ce serait arrêté ici et maintenant. Mais ce n'était pas le cas, et tu ne pouvais que sur toi. Toi et les multiples facettes que tu portais.

Tandis que tu menaçais de perdre l'équilibre, Cobra et Vipère s'entourèrent respectivement autour du cou de l'homme et de ses jambes afin de profiter de l'onde pour le contraindre. Incapable de s'échapper, incapable de s'éloigner de toi et désormais désarmé, tu pouvais faire parler tes phalanges.

Mais voilà... Il était encore plus dur que toi, plus dur que les pièces que Salem t'avaient jeté dessus pour t’entraîner. Incapable de briser sa carapace de Haki, même amoindrie par les différents angles d'attaques que tu mettais en place, l'homme vint à mordre de ses dents carnassières Cobra qui pesta violemment au même titre que toi qui ressentais la même douleur. Contraint de s'enlever de là par la force, l'ennemi en profita pour venir fracasser son crâne violemment contre le tiens éteignant ta conscience l'espace d'une fraction de seconde.

Sans ton propre Haki, ta tête aurait explosé sur le champ... Et confuse, contrainte, tu revins à faire surface uniquement pour réaliser que cette fois-ci, c'était un coup menaçant de fracasser une nouvelle fois ton visage qui se dirigeait tout proche de toi. Un second coup de la sorte aurait su te subtiliser ta volonté restante, te laissant sans défense... Mais dans un duel, il ne fallait pas se voir gagnant avant la dernière minute et tu laissais ton corps retombais comme désarticulé sur le sol pour esquiver son offensive tout en levant tes jambes pour les entourer autour du cou de l'homme.

A l'image de Cobra, tu strangulais l'homme à nouveau, cette fois-ci avec des défenses qui sauraient résister à une quelconque morsure.

Et, de manière tout aussi disloqué, tu relevais le haut de ton corps avant d'enfoncer tes deux coudes pointues et chargés en Haki s'abattre sur le crâne du pauvre homme qui en perdit ses lunettes. Répétant les coups encore et encore, tu resserrais tes jambes à mesure que ses défenses diminuaient tandis que Cobra et Vipère se reprirent pour cette fois-ci entourer les bras du malheureux.

Tu étais littéralement entrain de l'asphyxier, de le contraindre à l'immobilisme à l'image de ces prédateurs reptiliens gigantesques à même de neutraliser des proies bien plus imposantes qu'eux. Hormis ton front qui s'était mit à saigner abondamment, tu n'avais au final prit que très peu de dégât, et en le contraignant de la sorte, tu t'assurais de ne plus rien recevoir de sa part.

Et ce qui devait arriver. Son Haki commençait peu à peu à craqueler sous la pression que tu exerçais, si bien que tu gagnais du terrain encore et encore avant d'avoir l'opportunité que tu cherchais depuis tout ce temps. Étirant ton cou à l'image des serpents dont tu empruntais la forme, tu vins à planter tes crocs là où sa chair s'était vue dévoilée, y injectant ton poison nécrosant et t'assurant la victoire à coup sûr.

Des défenses déjà amoindries, un manque d'air au cerveau et enfin du venin qui circulait dans ses veines. Ce fut suffisant pour lui faire lâcher un dernier glas avant qu'il ne s'écrase mollement au sol, ton emprise toujours verrouillée sur sa personne.Ce n'est qu'après quelques minutes que tu pris le luxe de respirer à ton tour avant de te désengager de son corps et de te relever essoufflée. C'était bien la première fois que tu finissais un combat sans avoir perdu trop de sang. C'était là une forme de progrès.

- Si tu nous avais fait davantage confiance, tu aurais pu t'épargner ce coup de boule idiote !

- On en a déjà parlé. Si vous semblez savoir ce que je pense, c'est pas aussi simple pour moi avec vous.

- Car tu refuses simplement de nous écouter.

Tu te retenais de pester. Généralement, tu pouvais encaisser les remarques de Cobra, elles étaient souvent pleines de vulgarités et d'absurdités. Mais Vipère... Si même elle s'y mettait, c'était qu'il y avait un fond de vérité dans leurs paroles. Et tandis que tu t'engageais pendant quelques minutes dans une discussion avec elle, tu fus coupée par Vipère qui te pointa l'absence du corps de ton adversaire derrière toi.

- ...

Au même titre que toi, il avait plus de ressource qu'il ne semblait en afficher. Avait-il abandonné l'idée de se continuer à se battre dans son état ? Cela ne semblait pas être le cas. C'était un type plein d'orgueil qui avait une volonté qui dépassait de bien loin la tienne. Avait-il reçu l'information que ses coéquipières avaient fini leur boulot ? Qu'importe... C'était à peine si tu percevais son odeur ou celle de ton poison. L'homme avait réussi à tromper ta vigilance et celle de la Commandante pendant presque une semaine. Il devenait futile d'essayer de le traquer même s'il n'était encore qu'à quelques rues de toi.

- T'inquiète pas Pandore. J'ai réussi à lui arracher l'insigne qu'il avait à l'intérieur de sa chemise à cet enfoiré.

Un insigne... C'était maigre mais c'était un début de quelque chose. Et sans te faire prier, tu essayais de te diriger vers Eleonore en retraçant son odeur éparpillé sur plusieurs mètres. Une minute ou deux... C'était le temps d'écart entre ton arrivé et celle des secours sur place. D'une certaine manière, tu avais l'impression d'avoir prit le rôle de Salem et Eleonore le tiens. C'était donc ça qu'il ressentait lorsqu'il te voyait toi ? En sang ?

- Commodore. Nous avons été appelée, c'est une véritable boucherie par-ici. Vous allez-bien ?!

- Ne vous occupez pas de moi. Quadrillez la zone et emmenez les se faire soigner en urgence. Je veux aussi que vous preniez les patrouilles en ville de la situation et que vous les ordonniez de réunir la famille du Cartel et Augustus à la base d'opération pour demain. Ne leur laissez pas le choix de se débiner. Je leur expliquerai moi même les conclusions de l'enquête.


Et c'était donc dans ce chaos étrange que se terminait cette journée. A l'exception de la tienne, qui se continua jusqu'à très tard dans la nuit, à remplir une quantité assommante de paperasse. Ce genre de combat urbain avait le don de laisser des traces, et si ces affrontements étaient inévitables, tu devais justifier chacun de tes actes. C'était ce qui séparait le gredin du marin. Heureusement pour toi, cela allait bien plus vite à trois qu'en solitaire.

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Ce n'était que tard dans la matinée que tu te dirigeais vers la chambre dédiée à la Commadante. Son organisme était solide et avec les soins et un peu de repos, son corps avait déjà reprit des couleurs. L'homme qu'elle avait avec elle avait été déposé dans une autre chambre tandis que la criminelle encore vivante, emprisonnée pour être interrogée plus tard dans les geôles de la base.

- Vous allez bien Commandante ? Croyez mon expérience dans le domaine, on ne finit jamais par s'y faire.

Tu affichais un léger sourire tandis que tu la regardais encore entrain d'émerger.




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“You become a changed person when you face the reaper and deny him your soul.”

Les derniers jours, c'étaient écoulé beaucoup trop lentement pour la blanche. Alitée au lit, elle avait dû ronger son frein sous peine de se faire rabattre les oreilles qu’elle devait rester tranquille. Alnoth avait envoyé Mars et Roy, tous deux lui avaient tenue quelque peu compagnie pour la tenir au courant de ce qui se passait. Cependant, ils avaient refusé de lui parler plus en détails des informations importantes sous la cause qu’elle devait se reposer. Le lendemain matin, un jeune homme, c’était présenté à sa chambre, déclarant être le docteur Wayn. L’homme aux traits sévère, avait posé ses pupilles sombres sur la demoiselle pour l’observer un instant. Il avait placé les mains dans son manteau médical et lui avait annoncer une bien mauvaise nouvelle.

‘’Miss Grey ? Je suis ici pour vous donner des nouvelles de Kyllan. Il est dans un piteux état et nous sommes dans l’impossibilité de sauver son bras gauche et une partie de son corps, surtout les parties ronger par les insectes.’’
‘’D’accord, mais pourquoi m’en parler ? Appeler sa famille ?’’
‘’Malheureusement, nous sommes capables de rentrer en contact avec personne et il n’arrête pas de murmurer votre nom…’’
‘’D’accord… Mais vous voulez quoi de moi ?’’
‘’J’ai besoin de votre autorisation pour l’amputation de la chair morte…’’
‘’Vous voulez mon accord pour lui sauver la vie ?’’
‘’C’est le Protocole miss Grey.’’
‘’Allez-y, je prendrai la responsabilité du bill et de sa réaction s’il y a quelque chose.’’
‘’Bien, heureux de voir que vous voulez le sauver… J’ai des prothèses cybernétiques si vous voulez… Je peux lui mettre pour qu’il s’habitue immédiatement.’’
‘’Faite ce que vous avez à faire pour le sauver et le rendre viable, je m’occupe du reste.’’
‘’Parfait, bon rétablissement miss Grey.’’

Elle avait simplement secoué la tête, se demandant dans quel foutoir elle s’était mise en décidant de sauver cet homme. Elle reste tout de même surprise, aucune famille n’avait répondu ? Peut-être qu’il n’avait plus de famille ? En même temps, il était un agent du gouvernement, le CP ne devrait-il pas plutôt le prendre en charge ? Pourquoi ce complet abandon ? En même temps, elle n’avait pas toutes les informations…

★ ★ ★

Dès qu’elle avait entendu la porte d’ouvrir et le pas familier de la Commodore qui s’approche, elle avait ouvert les yeux, posant ses pupilles endormies sur la silhouette. Elle se redresse, prenant la peine de s’asseoir sur le lit et de repousser les couvertures pour sortir ses pieds. Son corps encore vaguement recouvert de bandage, son corps est marqué par plusieurs vieilles cicatrices sont visible un peu partout, ressemblant à des marques de lame que quelqu’un aurait promener sur son corps avec précision dans le but d’une torture. Elle enfile un chandail et un pantalon de coton par-dessus le boxer.

‘’J’ai connu bien pire, ne vous inquiétez pas. J’ai un corps très solide, ce ne sont pas quelques trous qui vont m’arrêter. Ils sont presque guéris d’ailleurs.’’ Offre simplement la veuve en se tournant vers Pandore.

Pieds nus sur le carrelage, elle s’étire un peu, montrant à sa Commodore qu’elle allait bien. Elle cache parfaitement bien la grimace de douleur qui voulut se dessiner sur son visage, seul le coin droit de sa lèvre bouge un peu. Elle avait tout de même hâte de retourner sur le terrain, le fait de rester inactive plus de quelques jours la rendait folle d’inconfort. Elle ne voulait pas prendre cette habitude, ceci faisait en sorte que son cerveau retournait dans des coins sombres qu’elle ne voulait pas revivre.

‘’Et vous ? J’ai cru comprendre que vous étiez tombée sur un gros morceau, vous allez bien ? Vous avez des informations utiles sur notre enquête ? Crystalia a parlé ? J’espère que vous avez été capable de sortir des trucs utiles d’elle ? Dites-moi quelque chose d’utile, je suis en train de devenir folle dans cette chambre, personne ne me dit rien…’’ Marmonne-t-elle avec un peu d’amertume dans sa voix. ‘’J’ignore pour vous, mais je veux voir la fin de cette histoire et je n’ai pas l’impression qu’elle est seulement sur cette île, il y a plus derrière tout ceci… S’il faut aller au bout du monde et chasser ces gens, je suis partante, il faut les éliminer, ils sont beaucoup trop dangereux.’’ Continue-t-elle avec détermination.
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Don't Fear The Reaper - II
Feat
Eleonore





Étonnée... ?

Pas vraiment. Tu te retenais même de sourire alors que tu la regardais gesticuler tout en ravalant des grimaces de douleur. Tu ne connaissais que trop bien ces paroles, tu les utilisais encore aujourd'hui très souvent. Relativiser était une bonne chose, c'était ce qui permettait de remettre le pied à l'étrier le plus rapidement possible. Malheureusement, tu savais très bien ce qu'il y avait à l'arrivé pour la Commandante. Tu avais emprunté la même voie qu'elle, et même si elle était plus mesurée que toi dans les risques qu'elle prenait au combat, il n'en restait pas moins que son corps finirait par se briser à terme.

Tu l'avais vécu. Et tu ne savais que trop bien que tu n'avais esquivé la retraite que de très peu. Ici, il n'y avait pas d'infirmière aussi compétente que celle du Vice-Amiral. Et malheureusement pour la Commandante, elle n'avait pas mangé de Zoan à même de renforcer drastiquement son corps. Peut-être que tu pourrais rendre service à Eleonore et à Salem au passage ? Ce dernier t'avait entraîné pour que tu deviennes bien plus forte que ce que tu n'étais. En faisant de même avec Eleonore qui avait clairement un lien avec ce dernier, ce serait-là une manière de payer tes dettes... Tu n'étais pas certes du niveau de l'Amiral, mais tu avais quelques conseils dans ta manche.

- Pendant que vous combattiez les sœurs, j'ai fais face à l'homme qui est sans doute à la tête de cette opération d'assassinat sur l'île. Je pensais l'avoir neutralisé mais j'ai sous-estimé ses dernières ressources et il s'est enfuit lorsque j'avais le dos tourné.

Nul doute que lui aussi cachait encore pas mal de chose dans son sac, s'il avait pu s'enfuir aussi aisément malgré son état. Tu ne savais pas combien de temps ton poison resterait dans son corps, mais à moins d'avoir un système immunitaire dépensant de loin tes propres forces, il continuerait à souffrir tant qu'il n'aurait pas de remède. Et malheureusement pour lui, le remède ne pouvait venir que de toi-même, de ton propre venin.

En le mordant, tu t'étais condamnée à le revoir un jour ou l'autre. Si tentait qu'il survivait jusqu'à ce jour fatidique.

- Cependant j'ai réussi à lui arracher un insigne. Et je me suis occupée personnellement à faire parler la femme que vous avez capturé. Bien qu'elle n'a pas été très coopérative, elle a fini par lâcher quelques morceaux. C'est bien elle et sa sœur qui ont tué le frère. Ces gens appartiennent à quelque chose de bien plus gros, comme nous le pensions. Ils avaient des intérêts à faire envenimer la situation sur cette île et à laissé les deux plus gros acteurs s’entre-tuer pour s'emparer du marché local. Si en plus, le gouvernement passait d'incompétent aux yeux de ces habitants, alors cela aurait été un bingo pour eux.


Tu te grattais la tête, le regard plissé. Cette histoire était bien plus complexe que celle que tu avais l'habitude de gérer. Ce n'était pas pour rien qu'on avait le Cipher Pol. Aussi horribles que leurs agents pouvaient être, ils étaient les meilleurs pour enquêter sur ce genre de cas. Tu ne t'étais d'ailleurs pas privé de faire appel à leurs services pour obtenir quelques renseignements durant ces derniers jours.

- J'ai bien entendu expliqué tout cela à la hiérarchie dans mon rapport et je me suis assurée que le Cartel et Augustus comprennent la vérité sur cette situation. Ça ne m'enchante guère de les laisser à leurs occupations de la sorte, mais ce n'est plus de notre ressort. Ce sera aux soldats dans cette base de savoir quoi faire ensuite avec eux. En ce qui concerne cette île, notre mission est terminée.


Fixant la fenêtre, tu aurais voulu en faire beaucoup plus pour cette île. Mais tu étais un soldat avant d'être un commandant. Tu savais planifier des stratégies de guerre certes, mais cela était bien différent que de gérer les problèmes économiques, politiques et sociétal d'une île. Cela ne te prendrait sûrement pas beaucoup de temps avant de maîtriser ces sujets mais tu avais déjà tant à faire.

- Mais vous n'allez pas me quitter tout de suite. J'ai été mise au courant de vos affaires en plus sur l'île. Assurez-vous de les régler au plus tôt. Nous quittons l'île dans trois jours. Essayez aussi d'être pleinement opérationnel physiquement d'ici-là.


Vu l'énergie dont elle semblait déborder, tu ne te faisais pas trop de soucis à ce sujet. Et tandis que tu t'apprêtais à quitter la pièce, tu vins à te souvenir d'un dernier truc. Cherchant dans ta poche, tu venais à tendre à la Commandante une sucette aux saveurs locales.

- Tenez. C'est de la part de Cobra. Il ne peut pas se manifester tout de suite mais il ne m'a pas lâché pour que je vous donne ce cadeau. Il m'a fait promettre de ne pas dire que c'était lui, considérez que c'est un secret entre nous.


Tu souriais une dernière fois avant de quitter la pièce, la tête planifiant déjà vos prochaines missions.




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