_ Interdit au public... je lis sur un panneau, à voix haute.
A quelques mètres devant moi, il y a l'entrée d'une grotte, protégée par une grille qui ne tient plus trop debout pourtant. Et bientôt, un type ne met pas longtemps à faire grincer le portail, lorsqu'il sort par ce trou.
Je relève les yeux vers la silhouette pas spécialement costaud, puis replonge un dernier instant sur le panneau. On peut y voir également une tête de mort dessinée dessus, si on s'y intéresse un peu plus.
Alors forcément, je m'interroge rapidement... Et qui dit ce genre de dessin, dit logiquement piraterie dans le coin ! Mouaip, en voilà une bonne déduction, j'estime sur le coup.
Bon d'accord ! L'individu qui me dévisage, possède aussi une barre de fer, entre les mains. Donc je ne traîne pas à comprendre que je ne suis sans doute pas le bienvenu dans le secteur... Ca, ou alors l'effet de ma capuche, évidemment.
_ Oh, j'te rassure, hein ! je tente de plaisanter. J'ai bien vu ce qui était écrit...
Mais comme l'autre zouave ne bronche pas plus, à part se frotter les mains sur le métal de son bambou... je reprends :
_ Mais ce que je ne pige pas... c'est pourquoi, toi, tu t'es engagé dans cet endroit sombre, si déjà tu ne sais pas lire du simple texte, en pleine lumière ?
Tu la sens, la belle petite provocation qu'il se mange entre les dents ? En tout cas, il grogne, serre son arme un peu plus, mais hésite à me sauter dessus avec. Peut-être me considère-t-il comme de la bête et vulgaire fille sans défense, à cause de ma voix.
Je profite alors de cette occasion pour faire les premiers pas, vers sa personne. Bien sûr, le doute prend le dessus... et mâle ou femelle lui faisant face, pas question de se laisser marcher dessus, qu'il doit en déduire illico !
Bingo ! dès que je suis trop proche, le gars recule soudainement, comme pour prendre un certain élan, et me balancer sa grosse batte bien dure dans les dents... Du moins, il essaie.
_ Oulah ! dis-je en esquivant son coup dans le vide. Pas très amical, le chien de garde !
Mon agresseur rembobine le tout, et retente de nouveau de me marteler, la seconde suivante. Je glisse encore sur le côté, et ainsi de suite... jusqu'à ce qu'il finisse par comprendre que son joujou trop lourd n'aura jamais raison de mon agilité.
Résultat, c'est trop tard ensuite de récidiver pour lui, quand la fatigue s'empare de ses bras. Quant à moi, je n'ai alors plus qu'à tambouriner ma cible, le plus simplement du monde : avec une série de coups de poings par-ci, et des coups de griffes par-là.
Puis, une fois qu'il pleure de douleur et du sang, je n'ai plus qu'à me servir de sa propre barre de fer. Et d'une violente tarte dans la tronche avec, bing ! Assommé direct, le mec... il s'écrase à terre.
Après quoi, je m'amuse à lui caresser le dos avec ma chaussure. Non, je ne cherche pas à le masser, ça va pas la tête ! C'est un moyen de le réveiller... doucement mais sûrement. Nuance !
A quelques mètres devant moi, il y a l'entrée d'une grotte, protégée par une grille qui ne tient plus trop debout pourtant. Et bientôt, un type ne met pas longtemps à faire grincer le portail, lorsqu'il sort par ce trou.
Je relève les yeux vers la silhouette pas spécialement costaud, puis replonge un dernier instant sur le panneau. On peut y voir également une tête de mort dessinée dessus, si on s'y intéresse un peu plus.
Alors forcément, je m'interroge rapidement... Et qui dit ce genre de dessin, dit logiquement piraterie dans le coin ! Mouaip, en voilà une bonne déduction, j'estime sur le coup.
Bon d'accord ! L'individu qui me dévisage, possède aussi une barre de fer, entre les mains. Donc je ne traîne pas à comprendre que je ne suis sans doute pas le bienvenu dans le secteur... Ca, ou alors l'effet de ma capuche, évidemment.
_ Oh, j'te rassure, hein ! je tente de plaisanter. J'ai bien vu ce qui était écrit...
Mais comme l'autre zouave ne bronche pas plus, à part se frotter les mains sur le métal de son bambou... je reprends :
_ Mais ce que je ne pige pas... c'est pourquoi, toi, tu t'es engagé dans cet endroit sombre, si déjà tu ne sais pas lire du simple texte, en pleine lumière ?
Tu la sens, la belle petite provocation qu'il se mange entre les dents ? En tout cas, il grogne, serre son arme un peu plus, mais hésite à me sauter dessus avec. Peut-être me considère-t-il comme de la bête et vulgaire fille sans défense, à cause de ma voix.
Je profite alors de cette occasion pour faire les premiers pas, vers sa personne. Bien sûr, le doute prend le dessus... et mâle ou femelle lui faisant face, pas question de se laisser marcher dessus, qu'il doit en déduire illico !
Bingo ! dès que je suis trop proche, le gars recule soudainement, comme pour prendre un certain élan, et me balancer sa grosse batte bien dure dans les dents... Du moins, il essaie.
_ Oulah ! dis-je en esquivant son coup dans le vide. Pas très amical, le chien de garde !
Mon agresseur rembobine le tout, et retente de nouveau de me marteler, la seconde suivante. Je glisse encore sur le côté, et ainsi de suite... jusqu'à ce qu'il finisse par comprendre que son joujou trop lourd n'aura jamais raison de mon agilité.
Résultat, c'est trop tard ensuite de récidiver pour lui, quand la fatigue s'empare de ses bras. Quant à moi, je n'ai alors plus qu'à tambouriner ma cible, le plus simplement du monde : avec une série de coups de poings par-ci, et des coups de griffes par-là.
Puis, une fois qu'il pleure de douleur et du sang, je n'ai plus qu'à me servir de sa propre barre de fer. Et d'une violente tarte dans la tronche avec, bing ! Assommé direct, le mec... il s'écrase à terre.
Après quoi, je m'amuse à lui caresser le dos avec ma chaussure. Non, je ne cherche pas à le masser, ça va pas la tête ! C'est un moyen de le réveiller... doucement mais sûrement. Nuance !