Les ruelles étroites de la ville portuaire résonnaient des bruits animés du marché et des échos distants des vagues caressant les quais. Natsu, son sac à dos usé témoin des épreuves traversées, errait à travers les étals, son estomac émettant des grondements douloureux. La faim avait creusé ses joues, et ses yeux scrutaient chaque coin à la recherche d'une opportunité.
C'est alors qu'il la vit – une échoppe ambulante, dégageant des arômes envoûtants qui chatouillaient ses narines affamées. Un cuisinier, affairé à préparer des mets appétissants, semblait être sa seule échappatoire à la misère qui le tourmentait. Poussé par la nécessité, Natsu s'approcha subrepticement, esquivant habilement les regards.
D'une main rapide et furtive, il réussit à saisir un morceau de pain fraîchement cuit. Avant qu'il ne puisse savourer le fruit de son audace, une poigne ferme s'abattit sur son épaule. Natsu se retourna brusquement pour faire face à un homme imposant, le cuisinier ambulant, qui arborait un mélange de colère et de défi.
"Tu croyais pouvoir voler notre marchandise sans conséquence ?" rugit le cuisinier, réprimant l'impulsion de Natsu de s'enfuir.
Affaibli et conscient de la gravité de sa situation, Natsu essaya d'expliquer sa situation difficile. Cependant, le cuisinier, bien décidé à rendre justice à son commerce, lui proposa un marché. "Si tu veux manger, tu vas travailler pour nous. Tu nous rembourseras ce que tu nous as pris."
Face à l'alternative de la faim persistante ou de l'engagement forcé, Natsu acquiesça. Les épreuves de la vie l'avaient préparé à bien des combats, mais cette fois-ci, il allait devoir manier une spatule plutôt qu'un bâton. Et ainsi, son voyage le conduisit à embarquer dans un restaurant culinaire ambulant, la faim et le destin se liant d'une façon imprévue dans les rues bruyantes d'une ville portuaire sur North Blue.
Quelques semaines plus tard, à bord du restaurant ambulant voguant sur la mer de North Blue, Natsu était loin d'être un virtuose de la cuisine. Ses compétences culinaires se limitaient à peine à la gestion de la plonge, et il s'évertuait à éviter toute tâche impliquant des couteaux ou des poêles chaudes. Malgré ses maladresses notoires, l'équipage, composé de cuistots aussi extravagants que variés, lui assignait des tâches simples et non moins nécessaires.
Les jours, les semaines se succédaient, rythmés par les éclats de rire et les exclamations exaspérées des chefs tentant désespérément d'enseigner à Natsu les subtilités de la cuisine. île après île, les événements culinaires devenaient plus une comédie burlesque qu'un ballet orchestré. Natsu, avec ses deux mains gauche en cuisine, devenait le comique involontaire de l'équipage.
Lorsqu'une bande de pirates de bas étage décida de prendre d'assaut le restaurant ambulant, l'ambiance joviale bascula dans le chaos. Les cris et les bruits de combats remplirent l'air, mais Natsu, en bon maladroit qu'il était, se trouva par hasard au bon endroit au bon moment. En tentant d'échapper à une étagère qui menaçait de s'effondrer, il déclencha maladroitement une réaction en chaîne qui envoya des casseroles et des ustensiles voler dans toutes les directions.
Contre toute attente, cette avalanche de chaos désorganisa les pirates, créant une opportunité pour l'équipage de riposter. Natsu, au milieu du tumulte, se découvrit malgré lui comme un facteur inattendu de la victoire.
Le chef cuisinier, reconnaissant de l'incident rocambolesque, décida de libérer Natsu de ses fonctions culinaires. Avec un mélange de soulagement et de perplexité, Natsu fut déposé sur l'île la plus proche, Hat Island, plus précisément sur un patelin au nom très étrange “On vous jure c'est pas du tout un piège City”. Il y posa les pieds avec son sac à dos usagé sur les épaules, la conscience que même sans talent culinaire, il venait de jouer un rôle imprévu dans une histoire pleine de saveurs et d'aventures.
Hat Island s'étalait devant Natsu, une terre de sable, de mystères, et de saloons aux portes grinçantes. Son pas déterminé le mena dans les rues animées, où l'atmosphère semblait imprégnée de l'esprit du Grand Ouest. Les façades des bâtiments semblaient porter les cicatrices du temps, et les enseignes des saloons oscillaient au gré du vent aride.
Alors qu'il déambulait, son sac à dos témoignant de son périple, Natsu oscilla la tête dans tous les sens, Il observa avec des yeux pétillants d'enthousiasme tout ce qui l'entourait. Tel un enfant découvrant le monde, il se retrouva devant un saloon étrange. La lumière tamisée filtrait à travers les fenêtres poussiéreuses, et le son de la musique entraînante émanait de l'intérieur. Poussant la porte grinçante, il pénétra dans un univers de bois sombre, de rires étouffés et de mystère.
Le regard curieux des habitants du saloon se posa sur Natsu, le nouveau venu au sac à dos usagé. C'était un lieu où les histoires semblaient se nouer, où chaque regard pouvait cacher un secret, et où l'inattendu était la norme. Le jeune homme qui ne ressemblait en rien à un habitant d’Hat Island leva la main tout en criant qu’il était assoiffé.
Natsu, sans le savoir, venait d'entrer dans une nouvelle aventure, cette fois-ci au cœur de Hat Island, où les saloons étaient aussi étranges que les histoires qui y étaient tissées.
C'est alors qu'il la vit – une échoppe ambulante, dégageant des arômes envoûtants qui chatouillaient ses narines affamées. Un cuisinier, affairé à préparer des mets appétissants, semblait être sa seule échappatoire à la misère qui le tourmentait. Poussé par la nécessité, Natsu s'approcha subrepticement, esquivant habilement les regards.
D'une main rapide et furtive, il réussit à saisir un morceau de pain fraîchement cuit. Avant qu'il ne puisse savourer le fruit de son audace, une poigne ferme s'abattit sur son épaule. Natsu se retourna brusquement pour faire face à un homme imposant, le cuisinier ambulant, qui arborait un mélange de colère et de défi.
"Tu croyais pouvoir voler notre marchandise sans conséquence ?" rugit le cuisinier, réprimant l'impulsion de Natsu de s'enfuir.
Affaibli et conscient de la gravité de sa situation, Natsu essaya d'expliquer sa situation difficile. Cependant, le cuisinier, bien décidé à rendre justice à son commerce, lui proposa un marché. "Si tu veux manger, tu vas travailler pour nous. Tu nous rembourseras ce que tu nous as pris."
Face à l'alternative de la faim persistante ou de l'engagement forcé, Natsu acquiesça. Les épreuves de la vie l'avaient préparé à bien des combats, mais cette fois-ci, il allait devoir manier une spatule plutôt qu'un bâton. Et ainsi, son voyage le conduisit à embarquer dans un restaurant culinaire ambulant, la faim et le destin se liant d'une façon imprévue dans les rues bruyantes d'une ville portuaire sur North Blue.
Quelques semaines plus tard, à bord du restaurant ambulant voguant sur la mer de North Blue, Natsu était loin d'être un virtuose de la cuisine. Ses compétences culinaires se limitaient à peine à la gestion de la plonge, et il s'évertuait à éviter toute tâche impliquant des couteaux ou des poêles chaudes. Malgré ses maladresses notoires, l'équipage, composé de cuistots aussi extravagants que variés, lui assignait des tâches simples et non moins nécessaires.
Les jours, les semaines se succédaient, rythmés par les éclats de rire et les exclamations exaspérées des chefs tentant désespérément d'enseigner à Natsu les subtilités de la cuisine. île après île, les événements culinaires devenaient plus une comédie burlesque qu'un ballet orchestré. Natsu, avec ses deux mains gauche en cuisine, devenait le comique involontaire de l'équipage.
Lorsqu'une bande de pirates de bas étage décida de prendre d'assaut le restaurant ambulant, l'ambiance joviale bascula dans le chaos. Les cris et les bruits de combats remplirent l'air, mais Natsu, en bon maladroit qu'il était, se trouva par hasard au bon endroit au bon moment. En tentant d'échapper à une étagère qui menaçait de s'effondrer, il déclencha maladroitement une réaction en chaîne qui envoya des casseroles et des ustensiles voler dans toutes les directions.
Contre toute attente, cette avalanche de chaos désorganisa les pirates, créant une opportunité pour l'équipage de riposter. Natsu, au milieu du tumulte, se découvrit malgré lui comme un facteur inattendu de la victoire.
Le chef cuisinier, reconnaissant de l'incident rocambolesque, décida de libérer Natsu de ses fonctions culinaires. Avec un mélange de soulagement et de perplexité, Natsu fut déposé sur l'île la plus proche, Hat Island, plus précisément sur un patelin au nom très étrange “On vous jure c'est pas du tout un piège City”. Il y posa les pieds avec son sac à dos usagé sur les épaules, la conscience que même sans talent culinaire, il venait de jouer un rôle imprévu dans une histoire pleine de saveurs et d'aventures.
Hat Island s'étalait devant Natsu, une terre de sable, de mystères, et de saloons aux portes grinçantes. Son pas déterminé le mena dans les rues animées, où l'atmosphère semblait imprégnée de l'esprit du Grand Ouest. Les façades des bâtiments semblaient porter les cicatrices du temps, et les enseignes des saloons oscillaient au gré du vent aride.
Alors qu'il déambulait, son sac à dos témoignant de son périple, Natsu oscilla la tête dans tous les sens, Il observa avec des yeux pétillants d'enthousiasme tout ce qui l'entourait. Tel un enfant découvrant le monde, il se retrouva devant un saloon étrange. La lumière tamisée filtrait à travers les fenêtres poussiéreuses, et le son de la musique entraînante émanait de l'intérieur. Poussant la porte grinçante, il pénétra dans un univers de bois sombre, de rires étouffés et de mystère.
Le regard curieux des habitants du saloon se posa sur Natsu, le nouveau venu au sac à dos usagé. C'était un lieu où les histoires semblaient se nouer, où chaque regard pouvait cacher un secret, et où l'inattendu était la norme. Le jeune homme qui ne ressemblait en rien à un habitant d’Hat Island leva la main tout en criant qu’il était assoiffé.
“Un jus de pomme s’il vous plaît monsieur le tavernier !”
Natsu, sans le savoir, venait d'entrer dans une nouvelle aventure, cette fois-ci au cœur de Hat Island, où les saloons étaient aussi étranges que les histoires qui y étaient tissées.