Ambrosias a eu droit au sommeil le plus long de toute sa vie : sans cesse droguée à la mélatonine, l’hormone de Morphée, elle a dormi plusieurs jours, réveillée qu’occasionnellement pour qu’elle puisse se nourrir ou lorsque Red et elle ont parlé.
Là bas, sur Sekan, mon homme de main Marin a récupéré du granit qu’il est en train de reforger à sa sauce. Mais tant que la récompense n’est pas tombée, cet outil restera en stand-by dans les fourneaux sans savoir si l’opération sera fructueuse ou non. En attendant ces chaînes idéales pour garder Ambrosias captive, c’est à mes hormones du sommeil qu’elle fut sujette.
Enfin, jusqu’à Armada. Ambrosias se réveille doucement au beau milieu d’un salon, par terre où est sa place. Elle ignore probablement qu’elle se trouve en réalité dans mes quartiers, au sein de la Mascarade, en pleine cité pirates. Elle peut reconnaître des articles et affiches de primes sur certains murs, tous ayant un lien avec moi. Mia, ma seconde qui gère ce quartier en mon nom aimait mettre en avant les prouesses de son patron, sûrement une manière de me flatter tout en se flagornant elle-même pour la place qu’elle a obtenue. Le crépitement caractéristique du bois qui expire dans le feu attire son regard vers un fauteuil qui lui tourne le dos. Fauteuil dans lequel je suis assis et qui finit de lui rappeler le mauvais rêve duquel elle sort.
Pourtant Ambrosias constate qu’aucune entrave matérielle ne la retient. Seulement que ses affaires ne sont plus, remplacées par la tenue des prisonniers d’Impel Down, une sorte de revanche de ma part. Mais aucun lien ni menotte, je n’en ai pas besoin. En effet, qu’elle tente le moindre effort, surtout hostile, et elle remarquera combien son cœur peine à suivre : mes hormones ont drastiquement affaibli ses capacités cardiaques de telle sorte qu’une forte douleur dans la poitrine la rappellera à l’ordre en menaçant l’arrêt cardiaque. Et si elle tente tout de même quelque chose, mon mantra me préviendra de ses intentions. D’ailleurs, contrôle aussi tes émotions chère Ambrosias, la colère sollicite aussi le cœur…
« Tu ne sembles pas avoir de chance : on a tiré à la courte paille. Alice s’occupe du VIP et moi de toi.
Tu trouveras là-bas ton repas, mais je te conseille de mâcher doucement. »
Il ne faudrait pas que son cœur lâche. J’ignore si je n’ai pas trop dosé mes hormones, mais comme elle n’est pas l’otage principale ce n’est pas grave s’il lui arrive quelque chose. Ira-t-elle s’attabler de l’autre côté de la pièce ou tentera-t-elle plutôt de s’enfuir ? Après tout rien ne semble la retenir et elle est simplement dans un salon où les portes ne sont pas verrouillées. Quel genre de prisonnière es-tu ?
« Savoure chaque bouchée car j’ai une question pour toi : à quoi me servirait un Contre Amirale alors que je détiens l’Archi Gouverneur du Nouveau Monde ? »
Là bas, sur Sekan, mon homme de main Marin a récupéré du granit qu’il est en train de reforger à sa sauce. Mais tant que la récompense n’est pas tombée, cet outil restera en stand-by dans les fourneaux sans savoir si l’opération sera fructueuse ou non. En attendant ces chaînes idéales pour garder Ambrosias captive, c’est à mes hormones du sommeil qu’elle fut sujette.
Enfin, jusqu’à Armada. Ambrosias se réveille doucement au beau milieu d’un salon, par terre où est sa place. Elle ignore probablement qu’elle se trouve en réalité dans mes quartiers, au sein de la Mascarade, en pleine cité pirates. Elle peut reconnaître des articles et affiches de primes sur certains murs, tous ayant un lien avec moi. Mia, ma seconde qui gère ce quartier en mon nom aimait mettre en avant les prouesses de son patron, sûrement une manière de me flatter tout en se flagornant elle-même pour la place qu’elle a obtenue. Le crépitement caractéristique du bois qui expire dans le feu attire son regard vers un fauteuil qui lui tourne le dos. Fauteuil dans lequel je suis assis et qui finit de lui rappeler le mauvais rêve duquel elle sort.
Pourtant Ambrosias constate qu’aucune entrave matérielle ne la retient. Seulement que ses affaires ne sont plus, remplacées par la tenue des prisonniers d’Impel Down, une sorte de revanche de ma part. Mais aucun lien ni menotte, je n’en ai pas besoin. En effet, qu’elle tente le moindre effort, surtout hostile, et elle remarquera combien son cœur peine à suivre : mes hormones ont drastiquement affaibli ses capacités cardiaques de telle sorte qu’une forte douleur dans la poitrine la rappellera à l’ordre en menaçant l’arrêt cardiaque. Et si elle tente tout de même quelque chose, mon mantra me préviendra de ses intentions. D’ailleurs, contrôle aussi tes émotions chère Ambrosias, la colère sollicite aussi le cœur…
« Tu ne sembles pas avoir de chance : on a tiré à la courte paille. Alice s’occupe du VIP et moi de toi.
Tu trouveras là-bas ton repas, mais je te conseille de mâcher doucement. »
Il ne faudrait pas que son cœur lâche. J’ignore si je n’ai pas trop dosé mes hormones, mais comme elle n’est pas l’otage principale ce n’est pas grave s’il lui arrive quelque chose. Ira-t-elle s’attabler de l’autre côté de la pièce ou tentera-t-elle plutôt de s’enfuir ? Après tout rien ne semble la retenir et elle est simplement dans un salon où les portes ne sont pas verrouillées. Quel genre de prisonnière es-tu ?
« Savoure chaque bouchée car j’ai une question pour toi : à quoi me servirait un Contre Amirale alors que je détiens l’Archi Gouverneur du Nouveau Monde ? »