Rappel du premier message :
- Non mais c'est pas vrai ! Keiko, Milo, qu'est ce que vous foutez là ?!
- C'est simple : en temps que bras droit et première de tes accompagnatrice, je vais là où tu vas.
- Je t'avais dit que je te suivrai quand tu m'as engagé. Alors je te suis. Surtout vers une île remplie de poisson...
- Je pensais pourtant avoir été clair ! J'avais dit "les utilisateurs de fruits restent sur les navires !" Qui va s'oocuper de l'équipage si vous y êtes pas !
- T'inquiète... Alfred est avec eux.
- Mais... Alfred devait venir avec nous !
- Roh ça va, on a échangé. Et puis tu avais accepté de faire venir Senna.
- Oui... Mais elle, elle a demandé gentiment pour venir !
- Oh ça va, de toute façon on est là et en plus on ne prend même pas de place. Et à moins que Red veuille faire demi tour pour nous ramener, on reste avec toi.
- Vous me fatiguez...
- De toute façon ça y est, on arrive.
Sous cette annonce de Red, tous mes compagnons se précipitent vers les hublots pour mieux voir ce dont il est question : un royaume totalement engloutis par les eaux grouillant de vie marine. Lentement, je quitte mon siège pour me rapprocher de Daenerys qui est assise près d'une vitre.
- Ça va ? Pas trop angoissée ?
- Je... Je sais pas trop...
La sirène bleue déglutis bruyamment alors qu'elle voit cette île pour la première fois depuis de trop longues années. L'île où elle est née et où elle doit avoir une famille. Malheureusement, le sort à fait d'elle un animal esclave de dragon céleste avant même qu'elle soit en âge de conserver ses souvenirs. Pour autant, si l'on en croit ce que nous a dit Red, il ne sera pas si difficile que cela de retrouver sa famille : de part son pouvoir si précieux et particulier, qui fait d'elle l'arme antique "Poséidon", elle est une descendante de la lignée royale de cette île. Apprenant cela, Daenerys nous a alors demander de rencontrer cette famille, chose que nous n'avons pas pu lui refuser, au grand damne de son protecteur Matsuya, qui est bien silencieux depuis qu'on a entamé ce voyage...
Laissant la sirène a ses pensées, je me tourne vers lui, puis regarde dans la même direction que lui.
- Tu as peur qu'elle ne veuille plus jamais quitté sa famille hein ?
- Fous moi la paix.
- A mon avis, tu t'inquiètes pour rien. Elle t'aime beaucoup trop pour se séparer de toi.
L'ancien corsaire ne dit rien, par contre ses joues se parent d'un jolie rouge qui veut tout dire. Bien sûr, je pourrais le taquiner plus que ça sur le sujet, mais mon empathie m'indique qu'une autre personne dans ce sous marin est légèrement tendue. Je laisse alors mes compagnons à leurs émotions pour m'approcher du capitaine de ce vaisseau.
- Tu n'as jamais recroisé Toji depuis Impel, non ? On sait si il est toujours dans le coin ?
Toji, alias l'ancien capitaine de Red lorsqu'il était dans la marine. C'est à cause de lui que Red a été viré et je sais que c'est quelque chose qu'il porte dans son cœur comme un regret. Et je dois dire que ça m'attriste un peu en vérité. Car finalement, si Toji n'avait pas été un si gros ripoux, est ce que nous en serions là aujourd'hui ? Red serait surement devenu amiral plutôt qu'Empereur, et moi je serai peut être morte en 1625 des mains de cet affreux Tetsuda... Mais bon, c'est du passé tout ça et puis, on est pas tellement là pour remuer ces vieilles histoires...
- Tiens, voilà la zone aéré... C'est toujours aussi petit...
Juste le temps que la manœuvre d'amarrage soit faite et nous pouvons arrivé dehors, dans la petite zone commercial où sont autorisés les Touristes, et où la panique est vite généré alors qu'on met pieds à terre.
- Ce qu'il y a de bien c'est qu'on a pas besoin de s'annoncer pour avoir droit à un guide privé, je suppose que la garde va pas tarder à arriver avec tout ce remue ménage.
Devant nous, les civils crient, pleurent, paniquent : courant dans tous les sens en sonnant l'alerte à l'Empereur.
- Qu'est ce qu'ils leur arrivent ?! dit Daenerys, inquiète, chevauchant son Requin volant.
- Ils lisent trop les journaux. T'en fait pas, ça devrait aller mieux quand ils se rendront compte qu'on n'a rien cassé.
A bord du Mécakraken, 20000 lieues sous les mers...
- Non mais c'est pas vrai ! Keiko, Milo, qu'est ce que vous foutez là ?!
- C'est simple : en temps que bras droit et première de tes accompagnatrice, je vais là où tu vas.
- Je t'avais dit que je te suivrai quand tu m'as engagé. Alors je te suis. Surtout vers une île remplie de poisson...
- Je pensais pourtant avoir été clair ! J'avais dit "les utilisateurs de fruits restent sur les navires !" Qui va s'oocuper de l'équipage si vous y êtes pas !
- T'inquiète... Alfred est avec eux.
- Mais... Alfred devait venir avec nous !
- Roh ça va, on a échangé. Et puis tu avais accepté de faire venir Senna.
- Oui... Mais elle, elle a demandé gentiment pour venir !
- Oh ça va, de toute façon on est là et en plus on ne prend même pas de place. Et à moins que Red veuille faire demi tour pour nous ramener, on reste avec toi.
- Vous me fatiguez...
- De toute façon ça y est, on arrive.
Sous cette annonce de Red, tous mes compagnons se précipitent vers les hublots pour mieux voir ce dont il est question : un royaume totalement engloutis par les eaux grouillant de vie marine. Lentement, je quitte mon siège pour me rapprocher de Daenerys qui est assise près d'une vitre.
- Ça va ? Pas trop angoissée ?
- Je... Je sais pas trop...
La sirène bleue déglutis bruyamment alors qu'elle voit cette île pour la première fois depuis de trop longues années. L'île où elle est née et où elle doit avoir une famille. Malheureusement, le sort à fait d'elle un animal esclave de dragon céleste avant même qu'elle soit en âge de conserver ses souvenirs. Pour autant, si l'on en croit ce que nous a dit Red, il ne sera pas si difficile que cela de retrouver sa famille : de part son pouvoir si précieux et particulier, qui fait d'elle l'arme antique "Poséidon", elle est une descendante de la lignée royale de cette île. Apprenant cela, Daenerys nous a alors demander de rencontrer cette famille, chose que nous n'avons pas pu lui refuser, au grand damne de son protecteur Matsuya, qui est bien silencieux depuis qu'on a entamé ce voyage...
Laissant la sirène a ses pensées, je me tourne vers lui, puis regarde dans la même direction que lui.
- Tu as peur qu'elle ne veuille plus jamais quitté sa famille hein ?
- Fous moi la paix.
- A mon avis, tu t'inquiètes pour rien. Elle t'aime beaucoup trop pour se séparer de toi.
L'ancien corsaire ne dit rien, par contre ses joues se parent d'un jolie rouge qui veut tout dire. Bien sûr, je pourrais le taquiner plus que ça sur le sujet, mais mon empathie m'indique qu'une autre personne dans ce sous marin est légèrement tendue. Je laisse alors mes compagnons à leurs émotions pour m'approcher du capitaine de ce vaisseau.
- Tu n'as jamais recroisé Toji depuis Impel, non ? On sait si il est toujours dans le coin ?
Toji, alias l'ancien capitaine de Red lorsqu'il était dans la marine. C'est à cause de lui que Red a été viré et je sais que c'est quelque chose qu'il porte dans son cœur comme un regret. Et je dois dire que ça m'attriste un peu en vérité. Car finalement, si Toji n'avait pas été un si gros ripoux, est ce que nous en serions là aujourd'hui ? Red serait surement devenu amiral plutôt qu'Empereur, et moi je serai peut être morte en 1625 des mains de cet affreux Tetsuda... Mais bon, c'est du passé tout ça et puis, on est pas tellement là pour remuer ces vieilles histoires...
- Tiens, voilà la zone aéré... C'est toujours aussi petit...
Juste le temps que la manœuvre d'amarrage soit faite et nous pouvons arrivé dehors, dans la petite zone commercial où sont autorisés les Touristes, et où la panique est vite généré alors qu'on met pieds à terre.
- Ce qu'il y a de bien c'est qu'on a pas besoin de s'annoncer pour avoir droit à un guide privé, je suppose que la garde va pas tarder à arriver avec tout ce remue ménage.
Devant nous, les civils crient, pleurent, paniquent : courant dans tous les sens en sonnant l'alerte à l'Empereur.
- Qu'est ce qu'ils leur arrivent ?! dit Daenerys, inquiète, chevauchant son Requin volant.
- Ils lisent trop les journaux. T'en fait pas, ça devrait aller mieux quand ils se rendront compte qu'on n'a rien cassé.