Satisfaction
Dans les profondeurs de la nuit, alors que les étoiles semblaient retenir leur souffle, Davinia se tint face à la silhouette majestueuse du manoir familial. Ses yeux étincelaient d'une détermination froide, son cœur palpitait au rythme de sa vengeance imminente. Avec précaution, elle observe la bombe inflammatoire qui serait la première à être lancer avant qu’il n’y soit une avalanche d’autre. Elle glisse ses billes de gauche à droite, observant les quelques silhouettes qui l’accompagnait. Des choses filiformes tout envelopper de noir et aux visages cachés. Le plan avait été simple, en soit à réaliser. Le plus fastidieux avait été de le construire, de récupérer les ressources nécessaire le tout sans soulever la suspicion de sa maternelle. Une fois la horde d'animaux rassemblée, que ce soit en récupérant des créatures sauvages des rues sombres de la ville, en les acquérant dans des refuges désespérés ou même en les importants de contrées lointaines, elles furent installées "confortablement" dans l'attente de leur rôle crucial. Davinia observa avec une froideur calme l'agitation dans laquelle étaient plongés tout le monde dans la salle, leurs cris mêlés remplissant la salle de bal d'une cacophonie chaotique. Malgré le caractère surréaliste de la scène, il y avait un message clair derrière cette action, un message que Davinia voulait graver dans l'esprit de ses parents. Chaque animal représentait une métaphore vivante de leur propre nature cruelle et égoïste, une illustration poignante de leur indifférence envers ceux qu'ils considéraient comme inférieurs. Les cris de ces créatures étaient un cri de rébellion contre l'oppression et l'injustice, un appel à l'attention du monde sur les atrocités commises au nom du pouvoir et de la richesse. Dans le chaos de la salle de bal, Davinia se tint debout avec un mélange d'émotions - colère, tristesse, mais surtout de la rage.
D'une main sûre, elle lance la bombe qui représentait les flammes de la rage, libérant le feu destructeur qui dévora chaque pièce et chaque souvenir taché de trahison. Dès que son orbe toucha le manoir, les autres personnes présentent suivirent son mouvement, envoyant à leur tour les engins de sa vengeance. Le manoir, autrefois majestueux et imposant, se transforma en un brasier infernal, ses flammes dévorant les luxueuses pièces et les précieuses possessions des Valthane. Les tourbillons de lumière et de chaos dansaient devant les yeux de Davinia, éclairant son visage d'un éclat sauvage alors qu'elle contemplait le spectacle avec une satisfaction glaciale. Chaque crépitement des flammes semblait être une musique de triomphe à ses oreilles, chaque éclat de lumière un éclat de sa volonté à punir ceux qui avaient osé trahir sa confiance. Dans cet instant, alors que le manoir était englouti par le feu qu'elle avait allumé, Davinia ressentait un tumulte d'émotions déchirantes. La satisfaction, d'abord, brûlait dans ses veines comme le feu qu'elle avait allumé, une récompense pour chaque injustice subie, chaque mensonge découvert. Mais cette satisfaction était teintée d'une colère brûlante, une rage sourde contre ceux qui avaient trahi son innocence et sa confiance. La tristesse s'immisçait également dans son cœur, une mélancolie sombre qui contrastait avec les flammes dansantes. Elle regrettait les liens brisés, les souvenirs perdus, les moments de bonheur désormais réduits en cendres. Une pointe d'amertume piquait ses pensées, rappelant les sacrifices faits et les choix irréversibles qui avaient conduit à cet instant de destruction. Pourtant, au milieu de ce tourbillon émotionnel, une lueur d'espoir émergeait. C'était la sensation de libération, la délivrance d'un fardeau trop longtemps porté. En voyant la justice enfin rendue, elle ressentait une validation profonde, un sentiment que ses actions avaient une signification, qu'elles avaient un pouvoir de changement sur son destin. Alors qu'elle observait les flammes dévorer les vestiges de son ancienne vie, Davinia se promit que rien ne l'arrêterait dans sa quête de rétribution. Elle était prête à affronter les conséquences de ses actes, à faire face à l'avenir avec une dessein. Car dans cet instant de destruction, elle avait trouvé une nouvelle force, une force forgée dans le feu de sa propre volonté de voir justice rendue.
Une expression de satisfaction étirant ses traits alors qu'elle admirait son chef-d'œuvre le plus récent. Dans la pénombre de la cour extérieure, la lueur des flammes dansait sur ses traits, accentuant une aura de puissance éphémère. Son regard, aussi tranchant que l'acier, balayait la scène d'un air de supériorité. Soudain, un bruit assourdissant résonna, brisant le calme apparent. La porte d'entrée explosa, brisée par une forme humaine décuplé par l’adrénaline, laissant place à l'entrée fracassante d'un trio de silhouettes. Son regard glacial se posa d'abord sur son père, Talkan Valthane, dont l'apparence était à présent marquée par les flammes qui avaient dévoré une partie de son corps. Son visage autrefois sévère et impénétrable était maintenant déformé par la douleur, une moitié de son corps brûlée, la chair noircie et les vêtements en lambeaux. Des lambeaux de tissu carbonisés pendaient de ses membres, tandis que des blessures béantes laissaient échapper des volutes de fumée. À ses côtés, Madame Valthane, le visage déformé par la détresse, ses traits nobles et altiers semblant se dissoudre dans un océan de chagrin. Ses vêtements, autrefois élégants et impeccables, étaient maintenant réduits en lambeaux, brûlés par les flammes qui avaient ravagé leur demeure. Des cendres et des suies souillaient sa peau pâle, et ses cheveux autrefois soigneusement coiffés tombaient en désordre autour de son visage. Et au centre de ce tableau de désolation, Talkan tenait dans ses bras le corps inerte d'Arabella, sa fille chérie, dont la beauté autrefois immaculée était maintenant ternie par les marques des flammes. Son visage était défiguré par les brûlures, une moitié de son corps couverte de brûlures. Ses vêtements étaient réduits en lambeaux, laissant entrevoir une peau meurtrie et brûlée par le feu. Les cris perçants de Madame Valthane résonnaient dans la pièce, emplissant l'air de désespoir et de douleur. Sa voix, autrefois assurée et dominante, était maintenant brisée par l'angoisse alors qu'elle appelait désespérément sa fille bien-aimée, cherchant à lui insuffler un souffle de vie dans ce chaos infernal.
Perchée en hauteur, tel un spectateur invisible dans les coulisses d'un drame, Davinia observait silencieusement la scène qui se déroulait en contrebas. Ses yeux, empreints d'une lueur calculatrice, scrutaient chaque détail de la tragédie qui se jouait sous ses yeux, tandis que son esprit élaborait des plans dans l'ombre de sa conscience. Elle fit un geste impérieux, signifiant à ses complices de se disperser. Leurs rôles dans cette pièce macabre étaient achevés, et elle était désormais seule à détenir les fils invisibles de la destinée. Un sourire froid et déterminé ourla ses lèvres alors qu'elle observait la scène se dérouler, une symphonie de chaos orchestrée selon ses propres desseins. Pourtant, au milieu du tumulte des émotions et des machinations, une opportunité inattendue se dessinait pour elle, une occasion qu'elle ne pouvait pas se permettre d'ignorer. Dans l'obscurité de son esprit, les rouages de ses plans s'emboîtaient, tissant une toile complexe. Mais pour l'instant, le temps pressait. Davinia savait qu'elle devait agir rapidement pour échapper aux conséquences de ses actes, pour tenir sa promesse de départ. Pourtant, même alors qu'elle se préparait à disparaître dans l'ombre, une certitude demeurait ancrée dans son esprit calculateur : elle reviendrait. Toujours. Car dans le jeu sans fin du pouvoir et de la manipulation, il n'y avait jamais de véritable fin, seulement de nouvelles opportunités à saisir et de nouveaux plans à élaborer. Et Davinia était prête à jouer son rôle avec une maestria implacable, prête à se hisser toujours plus haut dans les sombres hauteurs du pouvoir et de l'intrigue.
D'une main sûre, elle lance la bombe qui représentait les flammes de la rage, libérant le feu destructeur qui dévora chaque pièce et chaque souvenir taché de trahison. Dès que son orbe toucha le manoir, les autres personnes présentent suivirent son mouvement, envoyant à leur tour les engins de sa vengeance. Le manoir, autrefois majestueux et imposant, se transforma en un brasier infernal, ses flammes dévorant les luxueuses pièces et les précieuses possessions des Valthane. Les tourbillons de lumière et de chaos dansaient devant les yeux de Davinia, éclairant son visage d'un éclat sauvage alors qu'elle contemplait le spectacle avec une satisfaction glaciale. Chaque crépitement des flammes semblait être une musique de triomphe à ses oreilles, chaque éclat de lumière un éclat de sa volonté à punir ceux qui avaient osé trahir sa confiance. Dans cet instant, alors que le manoir était englouti par le feu qu'elle avait allumé, Davinia ressentait un tumulte d'émotions déchirantes. La satisfaction, d'abord, brûlait dans ses veines comme le feu qu'elle avait allumé, une récompense pour chaque injustice subie, chaque mensonge découvert. Mais cette satisfaction était teintée d'une colère brûlante, une rage sourde contre ceux qui avaient trahi son innocence et sa confiance. La tristesse s'immisçait également dans son cœur, une mélancolie sombre qui contrastait avec les flammes dansantes. Elle regrettait les liens brisés, les souvenirs perdus, les moments de bonheur désormais réduits en cendres. Une pointe d'amertume piquait ses pensées, rappelant les sacrifices faits et les choix irréversibles qui avaient conduit à cet instant de destruction. Pourtant, au milieu de ce tourbillon émotionnel, une lueur d'espoir émergeait. C'était la sensation de libération, la délivrance d'un fardeau trop longtemps porté. En voyant la justice enfin rendue, elle ressentait une validation profonde, un sentiment que ses actions avaient une signification, qu'elles avaient un pouvoir de changement sur son destin. Alors qu'elle observait les flammes dévorer les vestiges de son ancienne vie, Davinia se promit que rien ne l'arrêterait dans sa quête de rétribution. Elle était prête à affronter les conséquences de ses actes, à faire face à l'avenir avec une dessein. Car dans cet instant de destruction, elle avait trouvé une nouvelle force, une force forgée dans le feu de sa propre volonté de voir justice rendue.
Une expression de satisfaction étirant ses traits alors qu'elle admirait son chef-d'œuvre le plus récent. Dans la pénombre de la cour extérieure, la lueur des flammes dansait sur ses traits, accentuant une aura de puissance éphémère. Son regard, aussi tranchant que l'acier, balayait la scène d'un air de supériorité. Soudain, un bruit assourdissant résonna, brisant le calme apparent. La porte d'entrée explosa, brisée par une forme humaine décuplé par l’adrénaline, laissant place à l'entrée fracassante d'un trio de silhouettes. Son regard glacial se posa d'abord sur son père, Talkan Valthane, dont l'apparence était à présent marquée par les flammes qui avaient dévoré une partie de son corps. Son visage autrefois sévère et impénétrable était maintenant déformé par la douleur, une moitié de son corps brûlée, la chair noircie et les vêtements en lambeaux. Des lambeaux de tissu carbonisés pendaient de ses membres, tandis que des blessures béantes laissaient échapper des volutes de fumée. À ses côtés, Madame Valthane, le visage déformé par la détresse, ses traits nobles et altiers semblant se dissoudre dans un océan de chagrin. Ses vêtements, autrefois élégants et impeccables, étaient maintenant réduits en lambeaux, brûlés par les flammes qui avaient ravagé leur demeure. Des cendres et des suies souillaient sa peau pâle, et ses cheveux autrefois soigneusement coiffés tombaient en désordre autour de son visage. Et au centre de ce tableau de désolation, Talkan tenait dans ses bras le corps inerte d'Arabella, sa fille chérie, dont la beauté autrefois immaculée était maintenant ternie par les marques des flammes. Son visage était défiguré par les brûlures, une moitié de son corps couverte de brûlures. Ses vêtements étaient réduits en lambeaux, laissant entrevoir une peau meurtrie et brûlée par le feu. Les cris perçants de Madame Valthane résonnaient dans la pièce, emplissant l'air de désespoir et de douleur. Sa voix, autrefois assurée et dominante, était maintenant brisée par l'angoisse alors qu'elle appelait désespérément sa fille bien-aimée, cherchant à lui insuffler un souffle de vie dans ce chaos infernal.
Perchée en hauteur, tel un spectateur invisible dans les coulisses d'un drame, Davinia observait silencieusement la scène qui se déroulait en contrebas. Ses yeux, empreints d'une lueur calculatrice, scrutaient chaque détail de la tragédie qui se jouait sous ses yeux, tandis que son esprit élaborait des plans dans l'ombre de sa conscience. Elle fit un geste impérieux, signifiant à ses complices de se disperser. Leurs rôles dans cette pièce macabre étaient achevés, et elle était désormais seule à détenir les fils invisibles de la destinée. Un sourire froid et déterminé ourla ses lèvres alors qu'elle observait la scène se dérouler, une symphonie de chaos orchestrée selon ses propres desseins. Pourtant, au milieu du tumulte des émotions et des machinations, une opportunité inattendue se dessinait pour elle, une occasion qu'elle ne pouvait pas se permettre d'ignorer. Dans l'obscurité de son esprit, les rouages de ses plans s'emboîtaient, tissant une toile complexe. Mais pour l'instant, le temps pressait. Davinia savait qu'elle devait agir rapidement pour échapper aux conséquences de ses actes, pour tenir sa promesse de départ. Pourtant, même alors qu'elle se préparait à disparaître dans l'ombre, une certitude demeurait ancrée dans son esprit calculateur : elle reviendrait. Toujours. Car dans le jeu sans fin du pouvoir et de la manipulation, il n'y avait jamais de véritable fin, seulement de nouvelles opportunités à saisir et de nouveaux plans à élaborer. Et Davinia était prête à jouer son rôle avec une maestria implacable, prête à se hisser toujours plus haut dans les sombres hauteurs du pouvoir et de l'intrigue.
Dernière édition par Davinia Valthane le Jeu 28 Mar 2024 - 4:26, édité 1 fois