" Hummm.... " L'œil plissé de manière tout à fait suspicieuse, une lueur de curiosité qui illumine néanmoins son regard. " …c'est dément. "
Grixis se tient au milieu du boulevard, un bras en écharpe dans son peignoir qui tient son bâton et l'autre calé sur ce dernier pour que sa main vienne caresser son menton avec un air de penseur. Calme et à l'aise, il parait parfaitement inconscient de l'agitation qui nait tout autour de lui ; ou, au mieux, a l'air de ne pas en avoir grand-chose à faire. Son œil détaille avec curiosité la créature car c'est bien la première fois qu'il voit quelque chose comme ça ! La créature doit bien faire trois mètres cinquante de haut au garrot pour plusieurs tonnes au bas mot si l'on en juge au son de ses pas. Et ses pattes peuvent rappeler les sabots d'un bœuf, sinon qu'il a l'air d'avoir plusieurs sabots sur la même patte. Ses oreilles, immenses, paraissent pouvoir servir d'ailes tant elles sont immenses et… ce nez qui s'étire en tuyau a quelque chose qui relève de l'alien !
Contrairement à un bœuf en revanche, ça n'a pas de poil mais une peau grise et plissé comme un vieux cuir épais que le temps n'aurait pas épargné.
Grixis l'observe, serein, droit dans les yeux : une immense sagesse suinte du regard fatigué de l'animal. Une longue et fine pipe en bouche qui, de temps à temps, génère un peu de fumée… le nonchalant contemple avec admiration cet animal jusqu'ici inconnu à son répertoire : l'éléphant.
" T'as l'air crevé. "
Insouciant comme un enfant, Grixis va, du bout du bâton, taquiner doucement la trompe de l'éléphant qui se révèle aussi agile qu'un serpent. Évidement, l'espèce de petit temple sur le dos de l'éléphant abrite un conducteur et des passagers qui s'impatiente, bouillonne même. Et chauffe encore plus alors que Grixis les ignore complètement, bien trop intéressé par l'éléphant.
" Tu devrais faire une pause. "
L'éléphant tourne la tête sur le côté et visiblement, ne comprend pas le propos ; rien d'étonnant. Une image vaut mieux que mille mots alors, avec un sourire serein, Grixis s'assoit en tailleur face à lui. Immédiatement, avec ce qui ressemble à un sourire, l'éléphant s'effondre sur ses pattes pliés. Et l'animal le fait si lourdement que Grixis, en position de lotus, décolle momentanément du sol avant d'y retomber en rigolant.
Puis, du bout du bâton, il joue avec la trompe de l'éléphant au milieu du boulevard ou d'autres éléphants, des charrettes et des gens commencent à s'impatienter violemment que le trafic se débloque enfin.
Grixis se ballade dans la Baie de Jing depuis peu… débarqué clandestinement d'un bateau marchand et, entre nous, a eu le droit à un réveil assez "speed" après qu'on ait découvert celui qui a grignoté les réserves d'alcools destinés à la vente comme un rat qui se serait terré dans la cave à fromage. Alors là, il a surtout envie de se poser et s'amuse de voir que le vieil éléphant aussi. Les murmures se mêlent aux insultes dans le boulevard alors que des gens, rouges de rages et très très pressés, descendent de l'éléphant pour régler son compte à ce problème de circulation en peignoir.
Sans regarder, Grixis soupire un peu… malgré qu'il garde un demi-sourire... il reste ouvert à la proposition malgré tout, point n'objecte mais toujours accepte ce que l'univers a à lui offrir.
" Peut-être qu'après t'être reposé, tu accepterais de me porter… ? Tes oreilles ressemblent à des ailes mais peut-être sont-ce des nageoires… ? Qui sait, pour un peu tu sais nager et on pourrait partir à l'aventure sur les mers. "
L'éléphant, lui, malgré son âge avancé… s'amuse bien avec sa trompe qui tente vainement d'enlacer le bâton aux mouvements aussi fluide que les siens ! Grixis joue, simplement… et si ça doit partir en vrille avec le groupe de gens énervés autour de lui, ainsi soit-il ! Quelque chose qui l'aide à rester serein… et bien… l'éléphant semble avoir envie de continuer de jouer, lui.
Grixis se tient au milieu du boulevard, un bras en écharpe dans son peignoir qui tient son bâton et l'autre calé sur ce dernier pour que sa main vienne caresser son menton avec un air de penseur. Calme et à l'aise, il parait parfaitement inconscient de l'agitation qui nait tout autour de lui ; ou, au mieux, a l'air de ne pas en avoir grand-chose à faire. Son œil détaille avec curiosité la créature car c'est bien la première fois qu'il voit quelque chose comme ça ! La créature doit bien faire trois mètres cinquante de haut au garrot pour plusieurs tonnes au bas mot si l'on en juge au son de ses pas. Et ses pattes peuvent rappeler les sabots d'un bœuf, sinon qu'il a l'air d'avoir plusieurs sabots sur la même patte. Ses oreilles, immenses, paraissent pouvoir servir d'ailes tant elles sont immenses et… ce nez qui s'étire en tuyau a quelque chose qui relève de l'alien !
Contrairement à un bœuf en revanche, ça n'a pas de poil mais une peau grise et plissé comme un vieux cuir épais que le temps n'aurait pas épargné.
Grixis l'observe, serein, droit dans les yeux : une immense sagesse suinte du regard fatigué de l'animal. Une longue et fine pipe en bouche qui, de temps à temps, génère un peu de fumée… le nonchalant contemple avec admiration cet animal jusqu'ici inconnu à son répertoire : l'éléphant.
" T'as l'air crevé. "
Insouciant comme un enfant, Grixis va, du bout du bâton, taquiner doucement la trompe de l'éléphant qui se révèle aussi agile qu'un serpent. Évidement, l'espèce de petit temple sur le dos de l'éléphant abrite un conducteur et des passagers qui s'impatiente, bouillonne même. Et chauffe encore plus alors que Grixis les ignore complètement, bien trop intéressé par l'éléphant.
" Tu devrais faire une pause. "
L'éléphant tourne la tête sur le côté et visiblement, ne comprend pas le propos ; rien d'étonnant. Une image vaut mieux que mille mots alors, avec un sourire serein, Grixis s'assoit en tailleur face à lui. Immédiatement, avec ce qui ressemble à un sourire, l'éléphant s'effondre sur ses pattes pliés. Et l'animal le fait si lourdement que Grixis, en position de lotus, décolle momentanément du sol avant d'y retomber en rigolant.
Puis, du bout du bâton, il joue avec la trompe de l'éléphant au milieu du boulevard ou d'autres éléphants, des charrettes et des gens commencent à s'impatienter violemment que le trafic se débloque enfin.
Grixis se ballade dans la Baie de Jing depuis peu… débarqué clandestinement d'un bateau marchand et, entre nous, a eu le droit à un réveil assez "speed" après qu'on ait découvert celui qui a grignoté les réserves d'alcools destinés à la vente comme un rat qui se serait terré dans la cave à fromage. Alors là, il a surtout envie de se poser et s'amuse de voir que le vieil éléphant aussi. Les murmures se mêlent aux insultes dans le boulevard alors que des gens, rouges de rages et très très pressés, descendent de l'éléphant pour régler son compte à ce problème de circulation en peignoir.
Sans regarder, Grixis soupire un peu… malgré qu'il garde un demi-sourire... il reste ouvert à la proposition malgré tout, point n'objecte mais toujours accepte ce que l'univers a à lui offrir.
" Peut-être qu'après t'être reposé, tu accepterais de me porter… ? Tes oreilles ressemblent à des ailes mais peut-être sont-ce des nageoires… ? Qui sait, pour un peu tu sais nager et on pourrait partir à l'aventure sur les mers. "
L'éléphant, lui, malgré son âge avancé… s'amuse bien avec sa trompe qui tente vainement d'enlacer le bâton aux mouvements aussi fluide que les siens ! Grixis joue, simplement… et si ça doit partir en vrille avec le groupe de gens énervés autour de lui, ainsi soit-il ! Quelque chose qui l'aide à rester serein… et bien… l'éléphant semble avoir envie de continuer de jouer, lui.