Pseudonyme : Le Guillotineur Fou !~ Age: Vingt-deux ans. Sexe : Homme Race : Homme Rang : Le Guillotineur Fou
Métier : Tueur. Bretteur. Groupe : Pirate. Déjà un équipage : Shuufu machin. But : Je tue pour être plus connu, et faire de mon prochain capitaine, Seigneur des pirates... Peu original, je m'en doute, mais cet idéal est primordial pour moi. J'ai évidemment un deuxième idéal. Pouvoir un jour, naviguer sur les flots sans se soucier d'être dérangé. Et donc, éliminer la marine.
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Bretteur, style à trois sabres, s'inspirant de l'ancien et connu pirate Roronoa Zorro. Armes [Deux sabres les mêmes dans les mains : https://2img.net/r/ihimizer/img151/4681/thelastsamuraiswordofna.jpg Et un sabre spécial, un sabre des 50, une lame de qualité supérieure si possible. Elle vaut 2 millions de berrys : [Je créerais] Et aussi Ito Ito No Mie Fruit des fils
Codes du règlement (2) :
Parrain : Ryuuku Gakuen. DC en fait.
>> Physique
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•Me décrire ? Pourquoi faire ? Tu veux vraiment que je me décrive alors. Bon alors, je vais résumer et synthétiser. Je n'ai pas que ça à faire moi. En gros, je suis plutôt grand, pour une taille normale. A vue de nez, il parait que j'avoisine les 1 mètre 90. Je suis mince. Même assez mince, pour que mes abdominaux ressortent, sans vraiment être sportif. Par contre, je ne suis pas musclé, mais ce n'est pas pour que ça que je ne fais pas mal... Ça commence à m'amuser cette description de moi. Maintenant ma tenue vestimentaire. Presque toujours, une chemise, blanche ou noire, avec un col roulé. Mais la chemise est ouverte. Je profite de mes abdominaux quand même un peu... Ensuite, un pantalon simple, tout simplement. Mes chaussures n'ont aucune importance pour vous. Tout ça, ce sont mes habits d'habitude, évidemment je change souvent... Je ne porte jamais de chapeau, mes cheveux sont trop importants pour moi. Pourquoi les cacher... •Je suis aussi équipé de plusieurs armes. Je suis tout d'abord sabreur. J'ai donc deux sabres, plutôt banals, qui m'accompagnent partout. Aucune arme à feu sur moi. Ces futilités à poudre ne sont que pour les mauviettes. Tirer à 20 mètres d'un ennemi, alors qu'un simple coup de sabre à 20 centimètres est beaucoup plus ravageur... Aucune chaîne en fer, coup de poing américain, etc... Il n'y a que les sabres qui me procurent ce sentiment, au moment, où de mal, je Tranche. Quelques fois, je porte quand même du fer, des couteaux même parfois, pour manger, certes, mais aussi pour tuer, une de me choses préférées. Les couteaux sont vraiment parfaits pour ça. Mais par contre, pas de fourchettes... •Mais parlons un peu de mon visage. Mes cheveux sont bleus parfois même bleus foncés. Ils sont parfois en pics, ou parfois tout lisses. Tout ça change en fait en fonction de mon humeur. Mes cheveux sont de cette couleur bleue, car elle signifie la mer, ce lieu qui m'accueille tout les jours de mon existence à bras ouverts. Sinon, mes traits sont plutôt fins. Un visage qui se termine par un menton triangulaire, et qui est tout plat, sans aucune recourbure. Mes sourcils sont également bleus. Pour rester dans l'optique de mes cheveux... Egalement un nez pointu, et des oreilles très petites, presque inexistantes. Ma bouche est très "calme", sereine, qui ne change presque jamais de position. Mais les éléments les plus importants de mon visage, sont mes yeux, et mon tatouage. •Tout d'abord, mes yeux. D'une couleur noire, presque malfaisante. Et elle l'est. Ces yeux sont sombres, calmes, mais surtout reposants. En les regardant, on peut voir un éclat. Un éclat de tristesse, de force, de noirceur. Mais ce qui est vraiment intéressent, c'est mon tatouages, qui se trouve juste au-dessus, et en-dessous de mon œil droit. Mon tatouage signifie mon ancienne noblesse. Plus jeune, quand toute ma famille et moi viviont en symbiose, nous avions tous ce tatouage. Il représentait notre famille. Une famille de bretteur. Le tatouage, signifiant force, vigueur, et fluidité. •Maintenant, et pour terminer, zoomons sur le reste de mon corps. Plus exactement mes mains, et mes jambes/pieds. Je ne pense pas que mon nombril vous intéresse. Quoique... Bref, tout d'abord mes mains, synonymes de force. Les poignées de mes mains sont solides, et plus que fluides. Elles permettent de faire des mouvements que peu d'hommes peuvent exécuter. Ensuite les doigts sont fins et éffilés. Ils sont moins puissants que les poignées, mais leur taille permet de pouvoir encire avoir plus de fluidité dans les mouvements. Elles sont très bien supportées pas les poignets. Ensuite les jambes, je ne sais plus si j'en ai parlé, mais je vous en reparle maintenant... Elles sont robustes, et peuvent supporter vitesse et endurance. Mais par contre, mes pieds sont plutôt... grands. Ils ne peuvent pas vraiment eux être bien silencieux. Mais par conter, Seiko a une excellente stabilité au niveau du corps. •Bon, je pense en avoir fini pour mon physique. Je pense qu'on peut de me définir de quelqu'un de presque parfait, avec quelques idéaux... Mais ça, je vous le laisse pour mon mental, que je vais également vous décrire...
>> Psychologie
•Ma personnalité. Certains la qualifie de normale, simple, sujette à de simples réflexions. Mais pas du tout. Dans l'esprit de Seiko, il y a bien un cerveau. Bien évidemment, son sens de l'intuition est très développé chez lui. Il prendra souvent sa première idée. Sans vraiment réfléchir à une autre. Mais il est très imaginatif quand il a plus de temps. Mais je vais plus vous décrire tout ça en plusieurs parties. Tout d'abord, je vais vous parler de moi en général, puis vous parler de ce que j'aime, ce que je n'aime pas, de mes idéaux, ma devise... etc. Mais je vais vous parler aussi comment je réagis aux étrangers, comme je suis face un ennemi. Tout ça je vais vous le dévoiler. Pourquoi ? Car je vous tuerais après évidemment... •Et oui, pour commencer donc, en général, je suis un pirate gentil-méchant. Plus exactement, je pense que j'ai un bon fond, je ne suis pas là pour vraiment faire du mal, ou faire pleurer les gens. Par contre, si c'est pour les tuer, j'ai déjà plus de plaisir. Car je suis gentil dans le fond donc, mais fondamentalement méchant. Un pirate se doit de l'être. Tuer est donc quelque chose que j'aime particulièrement bien même... Mais revenons au général. En tant que pirate, je suis plutôt normal en fait. Je tue pour être plus connu, et faire de mon prochain capitaine, Seigneur des pirates... Peu original, je m'en doute, mais cet idéal est primordial pour moi. J'ai évidemment un deuxième idéal. Pouvoir un jour, naviguer sur les flots sans se soucier d'être dérangé. Et donc, éliminer la marine. Cette marine qui prétend défendre, mais commet quand même le meurtre d'autres hommes et femmes. Ils ne sont pas la justice, ce n'est pas possible... •Ce qui est sûr, je n'aime pas la marine, le gouvernement, et tout leurs sujets. Ils ne servent qu'à répandre la mort, en voulant l'éviter. Ça se passe souvent comme ça dans l'histoire d'un peuple... Mais ce que j'aime par dessus tout est en fait une personne. L'ancien bretteur Roronoa Zorro, pour son style de combat à trois sabres et pour sa force gargantuesque. Même si mon style de combat est le même que le sien, je garde quand même ma personnalité. Et je veux la garder. Je prends toujours la vie dans le bon sens, je suis comme ça, je préfère sourire devant une défaite, que pleurer. •Par contre, il y a également beaucoup de choses que je n'aime pas. Par exemple, faire une erreur. Même si je "mélange" parfois mes mots quand je parle, j'aime avoir raison dans ce que je dis et fais. Et si je fais une erreur, j'en tirerais les enseignements pour ne pas la refaire. Il existe une exception à cette règle, mon capitaine peut avoir plus raison que moi parfois... Ensuite, je n'aime pas les flemmards. Ceux qui ne font rien, et ne servent à rien. J'aime bien toujours bouger, être en activité. Notre temps est compté, les humains ne sont pas immortels, autant profiter de notre vie à fond... •J'ai une devise. JE l'ai trouvée dans une vieille bibliothèque, un ouvrage sur le début de la vie de Roronoa. J'ai beaucoup cherché sur lui, pour comprendre son style de combat. Et c'est un peu grâce à cette devise, que je m'améliore chaque jour au sabre. La voici : "La véritable force d'un sabre, c'est de pouvoir protéger ce que celui qui le manie veut protéger et trancher ce qu'il veut trancher.". En gros, l'art du sabreur s'exprime dans ce qu'il veut faire, dans ce qu'il veut exprimer avec son corps. C'est un art émotionnel. •Et enfin, pour terminer, voici comment ça se passe quand je rencontre une nouvelle personne. Tout d'abord, je vais marcher sur mon intuition. Je vais d'abord regarder le physique de la personne, comment elle se tient, le corps exprime des sentiments vous savez... Ensuite, pendant qu'il parlera j'analyserais ce qu'il dira. J'essaierais de poser beaucoup de questions, pour en savoir plus, mais sans rien dire sur moi. Puis, en fonction de ce que je saurais, j'agirais. Un coup de lame castrateur est si vite arrivé... Bon, maintenant, je vais vous raconter ma vie, ou ce que l'on m'a raconté de celle-ci.
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>> Biographie
Premier Danse : Riche à en perdre la tête.
Le 24 décembre, au soir, un homme naquit. Un homme qui pourrait changer beaucoup de choses. Comme tout humain. Cette nuit, son père, Charlie Sanzashi, riche homme prononça ces mots.
"C'est mon fils ! Mon premier héritier. Tu vas mener la belle vie, tu deviendras marine comme ton père, et tu deviendras célèbre par toutes les mers !" Rien de tout cela ne s'est réalisé en ce moment. Cet homme, c'est moi. Ma mère m'a raconté toute ma vie, avant que je prenne la mer le jour de mes seize ans. Mais commençons par le commencement. Je vais donc vous conter mon histoire. Tout d'abord, je suis né dans les mers bleues. Né sur South Blue, j'étais, et je suis toujours un enfant de riches personnes. Mon père, marin très respecté au sein de a faction, avait un jour tué un pirate dont la prime s'évaluait à plusieurs millions de berrys. Maintenant, ils pouvaient vivre de cet gloire passée. Ma mère, n'a par contre rien fait elle. Elle a juste aimé mon père, et ça a du être réciproque entre eux deux... Mais ça ne m'intéresse pas, ce que je sais, c'est qu'après cette naissance, les sept années qui suivirent, ma vie fut parfaite; j'avais toujours ce que je voulais, tout les jouets, tout les plaisirs d'un enfant insouciant. Mais à sept ans, mon mode de vie changea. Je du commencer à aller aux cours, et devenir un érudit. Je ne devais apprendre qu'à manier le sabre à douze ans. C'était comme ça depuis quatre générations. Cette vie n'était pas si parfaite que l'on pourrait le croire. Evidemment, avoir tout ce dont on n'a besoin est quelque chose de privilégié, mais dans ce genre de famille, le fils est là pour honorer son père, et non pour son propre honneur. Je ne pouvais presque jamais prendre la parole, ni donner mon avis. Et à sept ans, je n'aimais pas déjà obéir aux ordres. Mais j'allais quand même faire ce qu'on me disait, en silence. Je ne m'amusais pas dans ce monde d'adulte. Où tout le monde se saluait, sans sourire.
Cela dura cinq ans. Au bout de ces cinq ans, j'étais une personne qu'on pouvait signifier d'une personne avec un avenir prometteur. Plutôt intelligent, mon maniement du sabre fut mis de côté. J'ai eu droit à plusieurs tests qui me permettraient de voir mes capacités à manier le sabre. Dans la bourgeoisie, il y a de tout... Et j'étais prédestiné au sabre, mais mes parents me cachèrent cette vérité. Je m'en étais douté, j'adorais manier le sabre, et je sentais déjà une fluidité dans mes coups. Je le savais déjà... Mes parents ne me donnèrent pas les résultats exacts, car ils préférèrent que je devienne un érudit, comme ils avaient prévu. Ils pensaient que tout ceci serait meilleur pour moi. Comme beaucoup de parents dans la bourgeoisie. Ce n'est pas l'honneur du fils qui est en jeu, mais celui du père. Mais tout cela ne m'empêchait pas de penser. Et j'utilisais mon cerveau, pour quelques fois trouer le temps de m'entraîner au sabre. Pas vraiment discrètement, mes parents ne s'y opposaient pas, tant que ce n'était pas pendant les heures de cours. Mais la nuit, j'essayais de me calmer, de chercher de la force en moi. De chercher une énergie spirituelle, pour m'aider à devenir plus fort. Après 4 ans encore, j'atteins les 16 ans. J'étais devenu quelqu'un de plus ou moins érudit. Egalement bon dans le maniement du sabre. J'avais une place toute faite dans la marine. Et c'est là-bas que j'allais. J'aurais la même place où mon père se trouvait auparavant. Je devais créer la stratégie et les mouvements des troupes. Même si ce travail était très reposant, il ne me plaisait guère... J'entrais quand même dans la marine, à seize ans. La suite de mon histoire, va commencer avec de la haine. Toute petite au départ, pour un père exemplaire, mais qui pense à son bonheur, et non celui de son fils...
Deuxième Danse : Parcourir la mer.
La marine était plus libre que je ne le pensais. En plusieurs années, j'avais beaucoup appris. Dans la marine, j'eus plus de temps libre pour moi que pendant les années de mon enfance. Mais surtout plus de temps pour apprendre le maniement du sabre. Et sa perfection. Très vite, je fus respecté. Grâce à l'influence que mon père avait créé dans la marine. Je travaillais dans l'ombre, je faisais mon travail silencieusement. Je ne préférais pas trop me faire connaître. N'étant pas sûr de moi. J'avais évidemment peu de remerciements, mais j'avais pleins d'idées dans ma tête. Et une de ces idées germa, explosa même, quand à un moment, mes oreilles entendirent une phrase qui me choqua. "Merci monsieur le fils de ... Comment est-ce déjà ? Charlie ?" Il est vrai que je ressemblais à mon père, mais cette phrase ne me plu guère. Toute une haine que j'avais amassée explosa donc. Je me repliais dans la lecture, et dans le calme. Mais je n'y arrivais pas toujours. Le seul art qui me permettait vraiment de me calmer, était celui du sabre. Plusieurs arbres se souviennent sûrement de cette période de ma vie...
Mais je n'en restai pas là. Comme presque toute haine qui explose, il y a un blessé. Cette fois-ci, ce fut un mort. Pas mon père, même si cette haine lui était destinée. Si je tuais mon père, je serais tout de suite le premier coupable. Mais la vraie raison, était que je ne pouvais pas. Tout simplement, car cet homme n'avait sûrement que voulu mon bonheur. Même s'il a engrangé un peu de malheur aussi... Non, ce n'était pas lui qui rendrait son dernier souffle, pour laisser mon souffle enfin expirer cette haine. Mais c'est un de mes compagnons, un marine. Un marine peu gradé, mais connu pour sa perfection. Il était tout simplement parfait. Beau, fort au combat, intelligent et diplomate. Je n'étais pas spécialement jaloux de lui... mais il devenait trop fort à mou goût. Surtout aux sabres, ma première discipline, celle que j'aime tant, celle qui e fait avancer, mais surtout, celle qui m'a aidé à surmonter nombres d'obstacles, surtout mentaux.Il était reconnu pour cet art, cet homme si parfait. Peut-être bien qu'il l'était. Mais moi, pendant qu'on le regardait manier le sabre, je devais remplir multitudes de PAPIERS INUTILES !... Peut-être... Peut-être étais-je, et suis toujours un peu jaloux.
Quoi qu'il en soit, je le défiais en combat singulier. Ce défi serait un secret entre nous deux. A l'aube d'un matin. Normalement, dans ce genre de duel, personne ne mourait. Mais j'avais déjà de trop fortes idées dans ma tête, pour pouvoir les oublier. Il pensait que nous nous amusions, je pensais à tuer. Pendant le combat, je pris très vite l'avantage. Tout se passa en quelques secondes à peine. Je le tua. Il ne restait plus qu'une tête, à côté d'un corps sans vie. J'étais bien plus fort que lui. Je maîtrisais déjà deux sabres, et lui un. Mais aussi, il ne s'était pas douté de ma puissance. J'étais maintenant dans une impasse. Je sentais un peu de bonheur monter en moi à ce moment même, je m'en rappelle très bien. Ce corps devant moi, prostré, m'avait donné un sentiment de puissance, que j'avais adoré. Je savais aussi que ma vie prendrait maintenant un nouveau tournant. Je ne pouvais pas laisser ce corps là, sans dire que j'étais l'auteur du crime. Je laissa un mot, que seules quelques personnes connaissent. Et je partis pour une nouvelle vie, je ne savais pas encore, où elle me mènerait, mais je m'attendais, et j'étais prêt, à tout.
Interlude : Une idole, un passé, un nouveau style.
Comment se retrouver dans toute cette mer gigantesque ? C'était la question que je me posais en ce moment même, en pleine mer. J'étais partis il y a quelques jours, et j'avais pris assez de provisions pour plusieurs semaines. Mais je n'étais pas bon navigateur. Heureusement, une île s'était profilée à l'horizon. Et tout de suite, je pris les rames, et me déplaça en direction de l'endroit. Une gigantesque tour dépassait du sol. Elle était tellement grande, qu'elle dépassait des nuages. Ayant une carte, je ne savais pas quelle était cette île. Elle n'était pas répertoriée sur ma carte... Quel était cet étrange bâtiment... J'accostais, et je mis mon bateau à l'abri. Il pleuvait toujours. La mer peut vraiment être très agitée les jours de pluie. Je ne savais quoi faire, mais rester dehors sous l'eau, ne m'aurait permis que de mourir de froid. Il fallait que j'entre dans ce grand bâtiment. Par n'importe quel moyen. Mais il y avait un problème. Je fis plusieurs fois le tour du bâtiment, mais aucune entrée n'était visible. Aucune. Pas une porte, ni une seul fenêtre. J'attendais là, sous la pluie. Le destin ne pouvait pas m'avoir amené là, sans qu'il n'y ait de raison. Je savais qu'en attendant, un élément changerait tout.
Un oiseau passa. Il venait de la tour ! Il y avait donc une entrée par le haut. Et les briques semblaient difficiles, mais possibles. J'ai alors commencé l'ascension. Je savais que je n'aurais qu'une chance. Plus je monterais, plus je serais fatigué. Si je lâchais, je tombais. Et ne saurais plus remonter. Je donnas toutes mes forces dans cette ascension. Elle fut très difficile. Mais j'y arrivais. C'était un peu une évidence, car je suis aujourd'hui là pour vous le conter... En arrivant plus haut, juste au-dessus des nuages, je sentis une rembarde. De fenêtre. Quelque chose pour s'agripper plus facilement, pour rentrer. Interstice invisible du sol, mais très présente ici. Je sautais au-dessus de la rembarde, et regarda à l'intérieur. Une salle, remplie de pigeons. Ensuite, une porte. Au moins, je savais que j'étais à l'abri là, et je ne préférais pas penser à la descente... D'abord, je suis resté dans la pigeonnerie. Mais ma soif de découverte m'a poussé vers la porte. Quand je l'ouvris, je ne vis pas l'inscription marquée dessus. "Passe ton chemin, la découverte n'engendre que la perte." Si j'avais su, je ne serais pas comme ça aujourd'hui. Mais peu importe, j'ouvris cette porte, et je découvris un trésor inestimable.
Une gigantesque bibliothèque, remplie sur des centaines d'étages, avec des centaines de milliers de livres ! J'adorais lire. A ce moment, j'avais même pensé vivre là. Les pigeons qui me nourrissent, et la lecture pour compagnie. Je commençais tout de suite ma nouvelle aventure parmi ces pages, ces livres, ces documents rares... Je ne savais pas vraiment où aller. Il y avait tellement de livres... Au centre, se trouvait un énorme livre. Mais aucun chemin n'y menait. La curiosité étant débordante, j'ai sauté. J'avais très mal à la jambe, mais ma soif de savoir mettait la douleur de côté. J'avançais jusqu'au grand livre. Sur sa couverture, il était écrit de anciens langages, que je n'ai pu traduire. J'ouvris le livre. Je ne pensais plus à rien. Le livre était blanc. Je tournais les pages frénétiquement, mais toutes étaient blanches. Quel était donc ce livre ? Dès que je pensa cela, des descriptions de livres apparurent. Je savais quel était ce livre. Si on pensait à quelque chose, le livre nous montrerait quels livres aller chercher pour. Je sentais une présence à ce moment là. J'aurais du me méfier. Mais j'ai plutôt pensé à l'art des sabres, et aux maîtres sabreurs pirates. Pour plus tard, essayer d'apprendre de l'un deux. Le grand livre me montra où était le livre.
Je ne sus pourquoi, mais je courais. La frénésie était en moi. J'étais arrivé devant un étalage juste rempli de ce que je cherchais. Il y avait tellement de livres, que je ne savais pas par lequel commencer. Je pris le premier qui me venait à l'esprit. Un livre relié d'or. Je l'ouvris. La première page avait un titre. Roronoa Zorro, le sabreur à trois sabres. J'avais pensé, parfait ! Mais j'ai vite compris qu'il était déjà mort. C'est là que j'eus une révélation. Tout ces éléments, tout ça, ne pouvait avoir qu'une seule signification. Le destin voulait que je soie un sabreur à trois sabres, reprenant la flemme de l'ancien bretteur Roronoa. Et ça m'allait très bien, et il y avait tellement de choses sur la vie de cet homme, même toutes ses techniques, ses mémoires, tout... Tout cela ne pouvait être tellement beau. Je le mis dans ma poche, et alla vers la pièce centrale. En remontant, j'avais trouvé un petit escalier. Mais juste avant de le prendre, je sentis quelque chose me frapper dans le dos. Je tomba à terre. Je me suis ensuite relevé, mais de nouveau, une chouette, oui une chouette, me fonçait dessus ! Elle avait la taille d'un homme... Et elle allait très vite, mais surtout, ses griffes faisait un mal de chien ! A ce moment, j'ai couru vers l'endroit d'où j'étais arrivé.
Elle me poursuivait toujours, je n'ai même pas pensé que c'était à cause du livre. Mais j'étais toujours dans ma course, arrivé au pigeonnier je referma la porte, et mis des planches devant. Dans quelques secondes, la chouette ouvrirait la porte. Je venais d'avoir une idée lumineuse à ce moment. Dès que la chouette enfonça la porte une fois de plus, j'ouvris la porte, et emportée dans son élan, je sautai sur la chouette. Je mis mon sabre en-dessous de sa gorge et lui ordonna de m'amener en bas. Elle descendit, et quand elle me posa, je lui tranchai quand même la gorge. D'abord par sûreté, mais aussi parce que je perdais grand nombre de mon humanité. Mais maintenant, j'avais de quoi m'entraîner, et devenir encore meilleur au sabre, il fallait aussi que je trouve un troisième sabre...
Danse Finale : La faim justifie les moyens.
Faisons plus bref. Je vais maintenant vraiment synthétiser. Tout d'abord, j'ai vogué un peu sur la mer, m'entraînant à plusieurs techniques maîtrisées par zorro. J'ai trouvé aussi un sabre, plus puissant que les autres, avec une fonction très particulière, permettant d'enflammer le sabre légèrement. On m'appris plus tard, que c'était une lame très rare... Mais peu importe, cette lame, elle faisait partie de mon bras, comme les deux autres. Parce que je combattais bien au style de trois sabres, comme l'ancien et défunt roronoa. C'était un style compliqué, mais quand maîtrisé, dévastateur. Je m'entraînais donc presque tout les jours, et pour subvenir à mes besoins, je tuais.
Oui, maintenant, cet acte faisait partie de moi. Pour survivre, je tuais dans l'ombre. J'étais à la recherche de nakamas, avec lequel je pourrais aller enfin sur les mers, sans avoir peur des marées, sans être seul dans ma chaloupe. Et après quelques années, je trouvais des nakamas, mes qui ne me correspondaient pas. Je m'entraînais de plus en plus sur la marine. Je commençais à avoir des idéaux, des convictions. Qu'ils soient bons ou mauvais, peu importe. Maintenant, la seule chose qui comptait à mes yeux, était de devenir un homme. Un homme fort, reconnu pour son style de combat à trois sabres, mais également, par son art de toujours tuer de simples gens, et leur coupant la tête...
>> Test RP
La mer était calme pour une fois. Souvent dure avec les hommes naviguant seul sur cet amas de flotte. Mais ce jour là, le seul bruit était celui des vagues. Seul le mouvement d'une chaloupe venait déranger ce grand panorama. Tout ça est bien beau, mais il faut que je trouve une terre pour enfin manger. Cela devait faire au moins plusieurs jours que je n'avais rien mangé.Moi, Seiko Sanzashi, ne pouvait mourir ainsi. Cela n'étant pas digne d'un bretteur. Je pris les devants. Et voyant une île se profiler à l'horizon, mon courage reprit. C'était une île simple, n'ayant que du banal. Le vent changeait de direction. Tout d'un coup, les oiseaux s'envolèrent. Que des mauvais présages dans ce ciel. Je le sens mal. Pourquoi tout cela...
Je prends les rames, et commence mon travail. C'est très dur, je suis épuisé, mais tous ces signes me font monter l'adrénaline en moi. J'ai du mal à respirer, mes muscles sont contractés. Mon sang ne va plus en direction de mon cerveau, mais bien au niveau de mes muscles. Je me crispe même, et commence à saigner des mains. Mais le rivage approche. Il pleut tellement fort que les vagues sont destructrices maintenant. La pluie frappe la peau également. Tout cela, alors que je suis épuisé. Je vois une lumière. Même plusieurs lumières. Mais qu'est-ce donc que tout cela. Les lumières sont calmes. Le gens qui naviguent dessus ont l'air confiant, aucun de leurs visages ne sont visibles.
Mais qu'est-ce que... Ces hommes pointent de fusils vers moi. Je m'en fous, la seule chose à laquelle je pense, c'est d'arriver à la côte. Même si mon sort est pour l'instant entre les mains de ces vagues. Je suis en train de perdre le contrôle de mon esprit. Mes membres faiblissent. Je réutilise mon sang pour mon cerveau. Je m'arrête, et regarde ces gens qui sont maintenant devant moi. Ils ne pointent plus leurs amres vers moi. Mais qui sont-ils ? Je tombe alors dans les pommes. Je sens le contact du bois froid sur mon visage. Je me sens empoigné, et tombe dans un sommeil plein de questions.
> Le sommeil est une sorte de protection, si paradoxal que cela puisse paraître. [Samuel Beckett]
Je me réveille ensuite. Personne ne m'a donc tué, mais je sens que mes bras sont liés. Mes sabres ne sont pas très loin, je les vois de mon lit. J'ai du mal à me réveiller. Mais que fais-je ici. Après quelques minutes, je reprends mes esprits. Je ne me sens pas très bien. Tout ce que je viens de vire aidant. Mais surtout, mon malaise de ne rien savoir en ce moment. Presque en tout cas, je ne sais pas où je suis, pourquoi ais-je survécu ? Pourquoi je respire encore, pourquoi vis-je encore ? Je ne sais pas répondre à cette question, mais par une simple phrase, j'essaye que l'on me réponde.
-Pourquoi ?!
Un homme s'approcha de moi, je n'étais donc pas seul. Il me répond :
-Pourquoi ? Tout simplement, tu vas bientôt le savoir maintenant que tu es réveillé. Personne ne te connaît ici. On veut savoir qui tu es, et pourquoi tu es ici. Ensuite tu auras tes renseignements, mais viens, je vais te montrer à mon chef.
Je ne répond rien et le suit. Je ne sais rien faire d'autre, mon esprit est en train de reprendre de l'oxygène, et commence à enlever toute cette brume qui m'empêche de bien raisonner. J'arrive alors devant trois personnes. Une très calme, au milieu. Un qui est dans son livre, et un dernier qui me regarde de ses yeux, très distinctement. Je ne sais quoi faire, alors je parle.
-Je suis Seiko Sanzashi. Un nouveau pirate, n'ayant encore jamais tué personne. Je veux juste pouvoir partir, qui que vous soyez; j'aimerais récup...
-Qui que vous soyez, je m'en fous, c'est à cause de la tempête que vous êtes ici, mais nous avons juste une question à vous donner. Si vous y répondez bien, vous pourrez partir. Sans nos noms. Alors voilà. Que pensez-vous de la marine, et des civils ?
Des révolutionnaires. Il n'était pas très très discrets. Mais peu importe, je répond ce qu'ils veulent entendre.
-La marine, je veux la détruire. Elle prend trop de pouvoirs, et il y a des sadiques dedans. Je ne les aimes pas. Ensuite il y a des bons et des mauvais partout, mais je veux surtout être libre. Pour les civils, peu m'importe. Ils sont comme vous et moi. Sauf qu'ils ne tuent personne...
Je suis un peu gêné, ils me regardent très distinctement, mais ils me répondent alors.
-Reprends tes armes et pars. Ne dis à personne que tu nous as vu, quelqu'un va t'accompagner jusque dehors.
Et c'est ce qui se passe. On me libère, je prends mes affaires et suit quelqu'un. Cette personne m'accompagne jusque dehors, sans aucune parole. Il me laisse passer, et ma chaloupe est là.
Drôle de rencontre, drôle de moment. C'est même un de ces moments dont on se souvient. Un moment si simple, mais si vrai. Qui ne peut être gardé que par moi, avec des rencontres qui ne seront jamais plus... En tout cas, il faut que maintenant, je trouve des gens pour venir avec moi. Tout seul en mer, cela me paraît impossible.
N'aime pas : Devoir changer de compte à cause du DC.
Personnage préféré de One Piece : Ta mè... Euh, toujours les mêmes.
Caractère : Beau Goss, Beau goss, beau goss,...
Fais du RP depuis : Depuis qut'es né !
Disponibilité : 7/7 24/24
Comment avez vous connu le forum ? Je dois y répondre ?
Dernière édition par Seiko Sanzashi le Ven 7 Jan 2011 - 11:38, édité 14 fois
Posté Ven 17 Déc 2010 - 16:22 par Game Master
Hellllo j'avais pas tilté au début que c'était un DC --'
Pour le nikyu et le sabre : impossible, tu ne peux pas tenir un sabre avec tes mains, tu repousses tout. Il faudrait inventer des gants à la Kuma et pour l'instant je m'y oppose : Sabre + Nykiu c'est trop pour moi.
Posté Ven 17 Déc 2010 - 17:59 par Seiko Sanzashi
Ouais ok. Je réfléchis à autre chose bien vu, c'est logique. Je vais voir si je reste sabreur (plutôt dans cette optique là) et je prends un autre FDD; ou alors pas de FDD: ou alors pas sabreur mais nikyu... Je vais voir. Peut-être le fruit des jumeaux, je resterais un peu dans fairy tail, ou il y en a deux qui se ressemblent... Et c'est mon personnage. Je vais voir, un double sabreur donnerait bien. [En fait je note ici pour me souvenir.] Ou encore un petit
Spoiler:
Hone Hone No Mie : (Paramécia des os) Son possesseur a un contrôle total sur son squelette, et peut se servir de ses os comme bon lui semble, en agissant sur leur densité, leur taille, et d'autres facteurs, dans la limite du raisonnable. De plus, ses os ont la faculté de se régénérer. Néanmoins, l'utilisateur subit la douleur liée au fait que ses os sortent de son corps s'il le désire, ou bougent sous sa peau, mais cette douleur n'est que mentale. (donc pas de sang par exemple)
qui irait bien avec mon perso.
Mais celui pour les jumeaux, tu m'en penses capable ? Et je vais faire une prez' du tonnerre tu verras, elle vaudra un 1000 dorikis, elle sera sûrement terminée à la prochaine màj... ; )
Et en fait, le FDD des fils (le gars en rose là, le schischibukai), il est pas dans la liste ? Car il m'intéresse beaucoup, couper comme mon perso, manipuler, il est parfait. Donc je pourrais tenter celui là ? A oui mais je suis sabreur... Oui mais je peux ranger mes sabres dans mes poches, puis faire mes fils, faire les deux. Alors qu'avec le Nikyu je peux pas c'est à vie. Donc un truc à dire ? :d
Posté Sam 18 Déc 2010 - 16:10 par Game Master
Alors le fruit de Doflamingo est trop obscur pour le moment pour que l'on puisse le mettre. Le fruit des jumeaux est très, très puissant, il faudra une très bonne prés' pour l'avoir du début, c'est ce que j'ai dit à Hitsugaya qui le convoitait aussi .
Posté Sam 18 Déc 2010 - 19:00 par Ryuuku Gakuen
Ok Merci. Je vais encore chercher et voir. Mais le FDD de Doflamingo, c'est celui des fils ! On le sait dans les épisodes pour l'instant nan ? Car il coupe la jambe de Oz Jr. Et il sait manipuler les gens aussi donc je ne vois pas pourquoi...
Bref, je continue ma fiche dès que je peux.
Posté Sam 18 Déc 2010 - 20:29 par [mort] Yukiji Alucard
Sans vouloir être dérangeant, et sachant pertinemment que je n'ai pas le droit de poster ici. Je fais tout de même mon intrusion pour essayer d'éclairer Ryuuku. Pour ma part je pense que le Fruit des Fils de Donflomingo a été abandonné, ou mis de côté, car ne nous connaissons pas sa limite. En d'autre terme nous ne savons pas jusqu'à quel point il peut contrôler une autre personne. De ce faite, en combat il serait impossible à une personne normale, ou qui n'est pas doter d'un FDD qui transforme son corps, de survivre à un individu qui est munis de cette capacité.
Pardon pour cette intrusion. Je ne recommencerai plus ...
Posté Sam 18 Déc 2010 - 21:55 par Game Master
On n'en sait pas assez sur le fruit c'est pour ça. Tant qu'on est pas sûr on prend pas de risque.
Posté Dim 19 Déc 2010 - 15:39 par Seiko Sanzashi
Ok, je vais réfléchir à une technique spéciale alors, ou un autre FDD, ou alors une prédisposition au haki, mais pas envie d'attendre comme pour l'autre avec mon FDD... Sinon, le FDD de Donflamingo, Oda n'en a pas parlé dans le SBS ?
Posté Dim 19 Déc 2010 - 16:57 par Game Master
Je ne crois pas non ;) mais rien ne t'empêche de faire une recherche, si tu trouves qqch d'intéressant, MP
Posté Lun 3 Jan 2011 - 10:59 par Ryuuku Gakuen
Je viens dire que j'avance peu à peu dans ma bio.
Posté Lun 3 Jan 2011 - 17:17 par Game Master
OK ! Très beau kit au passage !
Posté Lun 3 Jan 2011 - 17:18 par [mort] Satoshi Noriyaki
Bonne chance pour la suite
PS : GM, vient sur la CB
Posté Dim 9 Jan 2011 - 16:06 par Ryuuku Gakuen
Voilà ! J'aimerais bien le test rp, s'il vous sied. J'ai un peu baclé la fin de ma bio, mais le reste est parfait. Voilà voilà !
Posté Dim 9 Jan 2011 - 18:46 par [mort] Satoshi Noriyaki
Tu es sur ton bateau, et tu échoues sur une île annexée par des révolutionnaires qui te capturent, vas tu te battre ou te servir d'eux intelligemment ?
Posté Sam 15 Jan 2011 - 15:27 par Ryuuku Gakuen
Test RP assez simpliste, mais ma prez' est maintenant officiellement terminée. Je n'arrive jamais à la terminer bien, donc regardez plus les descriptions :d
Sinon, suite à la règle que j'ai mise dans les bureaux, je viens demander un FDD que je pourrais obtenir avec mon perso.
Je m'explique, avant, je me disais : "Ouais chouette un sabreur, je vais avoir de chouettes techniques et tout !" Et finalement, je vois que tout le monde fait un sabreur et que quoi qu'il en soit, tout le monde décide de ses techniques.
Alors je me suis dis, ce n'est pas drôle alors, je viens demander tout simplement si je peux avoir un FDD avec mon perso ci présent. Si ma prez' en vaut la peine. C'est donc le FDD que j'ai créé le Ito Ito No Mie avec ses défauts (plusieurs quand même...) et ses qualités.
Voilà voilà, j'attends vos avis avec impatience ! :d
Posté Sam 15 Jan 2011 - 17:08 par Hiro Shima
ça vaut un bon 700 Doriikis...Le FDD des fils, je m'en doutais ^^Fais gaffes à pas GB avec même si t'es un BG et que tu ne va pas le faire. Donc ça sera accepté je pense, fait ta demande dans le topic quand même.
Autre avis ?
Posté Sam 15 Jan 2011 - 21:14 par Game Master
Je suis ok pour 750 dorikis ^^
Posté Sam 15 Jan 2011 - 22:10 par [mort] Satoshi Noriyaki