J’ai tenté bien des choses pour amener le gouvernement mondial à la table des négociations. D’abord un avertissement en endormant les employés de l’une de leur ambassade sans même me faire remarquer, puis en leur montrant une carte complète et précise de Marineford et en les menaçant de la vendre, elle et celle d’autres bases aux plus offrants et notamment aux révolutionnaires, mais ils n’ont pas eu la moindre réaction. Plus que de refuser d’abolir le Buster Call selon ma doléance, ils n’ont tout simplement rien dit du tout. Ni la menace de mes hormones, qui ont pourtant largement démontrées leur potentiel destructeur en provoquant un véritable génocide sur Château Géant, ni mes capacités d’infiltration et de cartographie n’ont abouti au résultat escompté.
Il y a quelques mois, je suis allé jusqu’à orchestrer le rapt de l’Archi-Gouverneur du Nouveau Monde avec le soutien de mon grand ami et Empereur Red. Une opération qui a échoué : le gouvernement avait mis en place une doublure pour nous déjouer.
Et pourtant !
Pourtant je suis certain de parvenir à mes fins cette fois. Car même si je n’ai pas pu mettre la main sur cet otage, j’ai une prisonnière de toute autre valeur : Ambrosias Gentry. Nulle autre que la petite fille du Commandeur Suprême. Cette fois c’est sûr : ils viendront pourparlers. On a évidemment suspecté le piège : pourquoi placer une doublure si c’est pour nous offrir un meilleur candidat ? Néanmoins elle a passé le plus clair de son temps sur Armada dans le monde miroir, au cas où l’idée était de se servir de vivre card qui lui soient liées pour mener un assaut chez nous. Combien de temps cela fait-il maintenant ? Je ne saurais le dire exactement, mais elle a été bien traitée : du moins physiquement. Par contre son esprit a été rudoyé à la fois par mes hormones aux effets de drogue et l’hypnose d’Alice pour tenter de la rendre à la fois dépendante et lui implanter l’idée que mon combat soit juste. Mais ça fait plusieurs jours que je ne lui ai pas rendu visite en personne. Dans quel état se trouve-t-elle à présent ? Nous allons vite le savoir.
Plouf, mon monstre marin de compagnie et vaisseau avec son intérieur aménagé, vient de rejoindre la surface. Nous sommes arrivés à destination : l’île d’Erbaff. C’est ici qu’auront lieu les négociations ; une manière de leur faire comprendre mon alliance récente avec les géants. Alice et moi débarquons sur la plage et je me tourne alors vers mon bras droit qui forme un miroir à taille humaine avant de dire :
« Amenez là. »
Grâce au contact d’Alice avec le miroir, le passage entre réalité et l’autre dimension s’ouvre et Ambrosias nous rejoint, bon gré mal gré. Je lui présente alors un denden sous les yeux.
« Compose le numéro. »
Il y a quelques mois, je suis allé jusqu’à orchestrer le rapt de l’Archi-Gouverneur du Nouveau Monde avec le soutien de mon grand ami et Empereur Red. Une opération qui a échoué : le gouvernement avait mis en place une doublure pour nous déjouer.
Et pourtant !
Pourtant je suis certain de parvenir à mes fins cette fois. Car même si je n’ai pas pu mettre la main sur cet otage, j’ai une prisonnière de toute autre valeur : Ambrosias Gentry. Nulle autre que la petite fille du Commandeur Suprême. Cette fois c’est sûr : ils viendront pourparlers. On a évidemment suspecté le piège : pourquoi placer une doublure si c’est pour nous offrir un meilleur candidat ? Néanmoins elle a passé le plus clair de son temps sur Armada dans le monde miroir, au cas où l’idée était de se servir de vivre card qui lui soient liées pour mener un assaut chez nous. Combien de temps cela fait-il maintenant ? Je ne saurais le dire exactement, mais elle a été bien traitée : du moins physiquement. Par contre son esprit a été rudoyé à la fois par mes hormones aux effets de drogue et l’hypnose d’Alice pour tenter de la rendre à la fois dépendante et lui implanter l’idée que mon combat soit juste. Mais ça fait plusieurs jours que je ne lui ai pas rendu visite en personne. Dans quel état se trouve-t-elle à présent ? Nous allons vite le savoir.
Plouf, mon monstre marin de compagnie et vaisseau avec son intérieur aménagé, vient de rejoindre la surface. Nous sommes arrivés à destination : l’île d’Erbaff. C’est ici qu’auront lieu les négociations ; une manière de leur faire comprendre mon alliance récente avec les géants. Alice et moi débarquons sur la plage et je me tourne alors vers mon bras droit qui forme un miroir à taille humaine avant de dire :
« Amenez là. »
Grâce au contact d’Alice avec le miroir, le passage entre réalité et l’autre dimension s’ouvre et Ambrosias nous rejoint, bon gré mal gré. Je lui présente alors un denden sous les yeux.
« Compose le numéro. »