Des trucs bien, j'en ai fait. Personne le sait. J'en parle rarement. La bonne action, elle perd d'sa saveur quand tu la baves. Puis les gens sont des truies. Y Mirent que c'qui veulent. Z'ont les globuleux embués. Par pleins d'trucs. Genre l'allure, la bouille, l'badge. Jack à l'allure d'un crevard crevure, la bouille d'un pic rouillé et les badges, il les mâche. Pour saliver. Puis y aurait pas un zig pour m'croire.
On s'en fout c'la dit. Tout ça j'ai fait. Et j'vais l'raconter. Profites, coco.
Faut s'mettre dans l'vent: j'suis sur East Blue à c'moment. Et ma liste d'victimes est encore minus. J'suis l'bon ch'min donc. J'sortais d'mer. J'avais passé deux plombes sur un rafiot pas frais. A m'crever pour des crasses. Récurage. Bricolage. Blablabla. Que du bon. Du bac +12. L'capitaine avait dit:
'Fin soit cette partie est chiante. On va la virer. On accoste donc. Et j'me carapate. Comme ça. Par d'ssus l'bastingage. En chopant d'la tune et des vivres. Liquides les vivres. Les flotteux tentent. M'attraper, m'clouer au piloti*, toussa. Mais niveau fuite, facile pour Jack. J'les sème. Et m'voilà en ville. Genre plein milieu. L'nom d'la ville? J'm'en fout. Ai pas d'mandé. Franchement, ça change quoi? L'paysage bouge. Les tronches restent dégueux. Donc j'suis là, sur l'pavé. Et j'ai du taf.
D'abord: trouver une planque. Deuxio: trouver un bar. Le bar peut d'venir la planque. Et vice-versa. Vice vers ça j'aime. Ça colle. C'est gourdinant**. J'zieute donc. A travers les ruelles. Les routes. Les tierquars. Mais j'suis broucouille. A part des berzingues clean qu'vendent des mandalines***. Ou des restos qu'sentent l'eau claire... Merde. Y a rien. C'est l'enfer c't'endroit. Pas un crados. Criminalité: nada. Miss ? Tu t'brosses, elles flairent soit l'mariage soit l'abstinence. 'Tain... Doit être maudit. J'continue mon ch'min, bon gré mal gré. Pas vraiment l'choix. J'check rien d'recevable. Juste "Belmer Corp", qu'est écrit sur des tas d'pierres. 'Fin, des maisons quoi. Ou des magasins. On s'en mouche en gros. C'est qu'une fois dans les kra-faubourg qu'j'ai piffé l'odeur d'l'embrouille. Présentée sous forme d'lamentations d'une mignonne. Qu'gesticule face à une échoppe d'vitamines. Une miteuse.
L'pavé avait fait place à la terre. Les baraques 'taient moins propres. Et j'la mire. D'vant moi. Toute biche. Les yeux brillants d'flotte, la charpente consommable. Vachement. Elle chiale à un vendeur d'mandaline. Et lui qu'veut rien entendre. Alors... ben alors... Moi! Ben moi j't'emboite mon pas l'plus Jackeux. Genre j'suis ici mais pas là... dans l'monde. T'vois quoi. Un truc classe. Qu'fait mouiller les fillettes. Qu'fait pencher leur éternel hésitation entre être une mère ou une catin du coté d'cette dernière. Et à m'sure qu'j'approche, j'capte:
qu'elle miaule. Hmmm sexy thing.
Elle s'épand d'plus belle. Mec, quelle miss! L'genre qu'tu veux protéger dans tes grands bras, mais qu'tu sais qu'si tu sers trop fort, tu la casses. Hmmm. Sentiment d'puissance. J'continue donc d'approcher, jusqu'à empoigner l'collet du voleur. On dit marchand, mais pour moi, c'est idem.
J't'accompagne le blabla d'un s'coué qu'en dit plus long. L'type d'vient flou. Pour tout l'monde. Mais c't'une 'tite menotte mimine qui s'pose sur mon épaule. La gamine m'regarde. Ses grands yeux font miroir, et j'me vois déjà en train d'lui faire... plein d'trucs. Mais vraiment. Du pic-nic au picpic. 'Fin t'vois.
L'marchand s'immobilise. Et la miss m'hypnotisise****. Elle continue. Sa voix, c'est genre une lèche dans l'pavillon. Sans la bave.
Impossible.. Impossible?
j'lache l'type, et la môme continue d'me mirer. Arf! Trop bien. La gonz. Elle bouge sa p'tite bouche douce, et susurre:
J'aime quand elles sont cons. Vraiment! J'me sens fort!
On s'en fout c'la dit. Tout ça j'ai fait. Et j'vais l'raconter. Profites, coco.
Faut s'mettre dans l'vent: j'suis sur East Blue à c'moment. Et ma liste d'victimes est encore minus. J'suis l'bon ch'min donc. J'sortais d'mer. J'avais passé deux plombes sur un rafiot pas frais. A m'crever pour des crasses. Récurage. Bricolage. Blablabla. Que du bon. Du bac +12. L'capitaine avait dit:
Traversée gratuite contre de menus boulots.
'Fin soit cette partie est chiante. On va la virer. On accoste donc. Et j'me carapate. Comme ça. Par d'ssus l'bastingage. En chopant d'la tune et des vivres. Liquides les vivres. Les flotteux tentent. M'attraper, m'clouer au piloti*, toussa. Mais niveau fuite, facile pour Jack. J'les sème. Et m'voilà en ville. Genre plein milieu. L'nom d'la ville? J'm'en fout. Ai pas d'mandé. Franchement, ça change quoi? L'paysage bouge. Les tronches restent dégueux. Donc j'suis là, sur l'pavé. Et j'ai du taf.
D'abord: trouver une planque. Deuxio: trouver un bar. Le bar peut d'venir la planque. Et vice-versa. Vice vers ça j'aime. Ça colle. C'est gourdinant**. J'zieute donc. A travers les ruelles. Les routes. Les tierquars. Mais j'suis broucouille. A part des berzingues clean qu'vendent des mandalines***. Ou des restos qu'sentent l'eau claire... Merde. Y a rien. C'est l'enfer c't'endroit. Pas un crados. Criminalité: nada. Miss ? Tu t'brosses, elles flairent soit l'mariage soit l'abstinence. 'Tain... Doit être maudit. J'continue mon ch'min, bon gré mal gré. Pas vraiment l'choix. J'check rien d'recevable. Juste "Belmer Corp", qu'est écrit sur des tas d'pierres. 'Fin, des maisons quoi. Ou des magasins. On s'en mouche en gros. C'est qu'une fois dans les kra-faubourg qu'j'ai piffé l'odeur d'l'embrouille. Présentée sous forme d'lamentations d'une mignonne. Qu'gesticule face à une échoppe d'vitamines. Une miteuse.
L'pavé avait fait place à la terre. Les baraques 'taient moins propres. Et j'la mire. D'vant moi. Toute biche. Les yeux brillants d'flotte, la charpente consommable. Vachement. Elle chiale à un vendeur d'mandaline. Et lui qu'veut rien entendre. Alors... ben alors... Moi! Ben moi j't'emboite mon pas l'plus Jackeux. Genre j'suis ici mais pas là... dans l'monde. T'vois quoi. Un truc classe. Qu'fait mouiller les fillettes. Qu'fait pencher leur éternel hésitation entre être une mère ou une catin du coté d'cette dernière. Et à m'sure qu'j'approche, j'capte:
Mais, c'est la troisième fois en une semaine Monsieur!
qu'elle miaule. Hmmm sexy thing.
J'suis désolé! Vraiment! Mais on y peut rien! C'est pas nous qui gérons les prix!
... Ma soeur et mon frère. Je dois les nourrir moi! A ce prix-là, je n'ai même pas de quoi en acheter une!
... Ma soeur et mon frère. Je dois les nourrir moi! A ce prix-là, je n'ai même pas de quoi en acheter une!
Elle s'épand d'plus belle. Mec, quelle miss! L'genre qu'tu veux protéger dans tes grands bras, mais qu'tu sais qu'si tu sers trop fort, tu la casses. Hmmm. Sentiment d'puissance. J'continue donc d'approcher, jusqu'à empoigner l'collet du voleur. On dit marchand, mais pour moi, c'est idem.
La d'moizelle nourrit la famille, elle t'dit! T'veux laisser crever des mômes??
J't'accompagne le blabla d'un s'coué qu'en dit plus long. L'type d'vient flou. Pour tout l'monde. Mais c't'une 'tite menotte mimine qui s'pose sur mon épaule. La gamine m'regarde. Ses grands yeux font miroir, et j'me vois déjà en train d'lui faire... plein d'trucs. Mais vraiment. Du pic-nic au picpic. 'Fin t'vois.
C'est gentil monsieur, mais ce n'est pas nécessaire... Il a aussi des bouches à nourrir.
L'marchand s'immobilise. Et la miss m'hypnotisise****. Elle continue. Sa voix, c'est genre une lèche dans l'pavillon. Sans la bave.
Belmer Corp. Ce sont eux qui augmentent les prix. Tout le monde tente de s'adapter, mais c'est devenu... impossible.
Impossible.. Impossible?
Y a rien qu'est impossible pour le Jack ma puce! Il va t'régler ton prob! En échange, t'acceptera son rendez-tout! Fair play non ?
j'lache l'type, et la môme continue d'me mirer. Arf! Trop bien. La gonz. Elle bouge sa p'tite bouche douce, et susurre:
Mais c'est qui Jack?
J'aime quand elles sont cons. Vraiment! J'me sens fort!
*faute de Jack.
** Gourdinant: qui fout le gourdin: qui te donne un érection: qui fait plaisir.
***faute de Jack. Encore.
****. Devine.
Dernière édition par Jack Sans Honneur le Lun 3 Oct 2011 - 16:48, édité 1 fois