Hinu Town, une île plutôt désertique, au climat aride, et aux paysages relativement peu communs. C’est sur cette île que le lieutenant Léonidas fut envoyé pour enquêter cette fois-ci sur des diverses activités suspectes. Ici, de nombreuses pratiques illicites sont commises dans le secret le plus absolu, l’endroit est d’un côté idéal et rassemble un bon paquet de conditions propices au crime.
La présence d’une réputée zone maritime en est la première, en effet dans ce genre de lieu où d’innombrables échanges ont lieu durant une journée, il est très facile de faire fleurir des commerces fructueux certes, mais peu légaux d’un côté purement législatif.
Il est aussi très aisé de les faire dissimuler, le problème étant que ces méfaits constituent un véritable fléau pour la population locale. Non seulement, car il dessert les commerçants locaux, mais aussi car il crée de véritables problèmes sociétaux pour les riverains.
Quelques jours avant que le gradé de la marine ne débarque sur place, plusieurs disparitions furent signalé aux abords du port d’Attalia. Dans cette zone pourtant très animée, depuis quelque temps, le nombre de personnes disparus augmente progressivement.
Les victimes, souvent des soûlards, des sans-abris, des mendiants ainsi que toute sorte d’individus précaires. En somme, des gens que l’on chercherait nulle part.
En apparence, cela pourrait paraître intéressant de débarrasser les rues de toute cette crasse. Nombreuses sont les cités ayant recours à de telles pratiques à l’approche de grands événements. Hélas, humainement parlant, cela laisse fortement à désirer.
De plus, ce schéma de disparition récurrent n’a rien d’inhabituel. Pour n’importe quel marin expérimenté, il est assez facile de déduire l’existence d’un trafic de produits humains, soient vendus esclaves au pays ou c’est autorisé, soit vendus en pièces.
Quoiqu’il en soit, cette problématique devait être résolue avant qu’elle ne prenne de l’ampleur.
L’officier subalterne ayant lu les rapports qui lui furent donnés, se renseigna dès lors à propos des volatilisé. Leur âge, les endroits qu’ils fréquentaient majoritairement et enfin le dernier lieu où ils furent aperçus.
Tout pointait du doigt une certaine zone du port, il semblait que la personne ayant fait le rapport s’était déjà occupé de la majeur partie des formalités. En somme, il ne s’agissait pas d’une mission de recherche. L’objet du jour était le passage à l’acte, le vif du sujet, pour ainsi dire la besogne.
En principe, il est assez rare que le lieutenant travaille seul, souvent accompagné d’une troupe de soldats, il agit comme un exemple pour ses subalternes qui le suivent dans ses entreprises.
Cette fois-ci, c’est en loup solitaire qu’il opérait, et c’est à grand pas qu’il se dirigea vers l’épicentre des problèmes.
Déjà arrivé par ce port, il fut assez aisé pour le gladiateur de retrouver l’endroit indiqué sur les rapports. Visuellement, il n’avait rien d’atypique. Il s’agissait là d’un bateau, rien de plus basique.
Pourtant, le calme anormal qui régnait dans cette zone unique du port semblait crier que rien qui ne vaille se tramait sur les lieux.
Sur ce genre d’embarcations, il existait souvent une entrée inférieure au bateau, une sorte de sortie de secours au cas où ce dernier coulerait, souvent à l’arrière du vaisseau. C’est par là que Léonidas allait entrer.
Pour une raison plus que capitale : il n’avait aucune idée de l’étendue des pouvoirs des potentiels adversaires qu’il allait croiser à bord. Il devait donc par précaution se montrer discret. Le lieutenant était certes un fier guerrier, mais il n’était pas sot et son ego ne le conduirait pas à un mort certaines.
Se jetant dans l’eau, le gladiateur vint atteindre la trappe avant de la forcer de sa lance. Dès lors qu’il fut à l’intérieur, l’odeur nauséabonde qui pénétra dans ses narines lui rappela celle de la fosse après une bataille royale.
Ça sentait la mort à plein nez. À présent devant une unique porte au bout d’un couloir moisi, le lieutenant allait bientôt découvrir ce qu’il en était.
S’approchant de l’entrée, une voix retentit d’un coup. Attentif, Léonidas vint tendre l’oreille.
Deux voix se mirent à rire avant que l’une d’entre elle ne réponde. Celles-ci étaient manifestement juste derrière la porte devant laquelle se trouvait l’officier.
Chuchotant, ce qui semblait être le collègue de la personne qui venait de parler reprit.
Entendant ces révoltante paroles, il serait tentant de défoncer la porte et de tabasser les deux gardes pour le style, mais il fallait être efficace.
Se saisissant de sa lance, l’officier subalterne vint enfoncer son arme dans la porte. C’est un cri déchirant qui vint confirmer le succès de son entreprise.
Dès lors, il était à présent judicieux de défoncer la porte, retirant son outil du bois, c’est d’un coup de pied spartiate que le lieutenant vint envoyer la porte à l’autre bout de la cave.
Découvrant alors le visage comme prévu laid des surveillants. L’un au sol constatant le trou béant qu’il avait désormais dans le ventre, l’autre troublé par ce qui venait de se passer.
Les larbins prirent vite une décision et se firent dès lors attacher. Leur instinct de survie criait que toute résistance était futile, et ils avaient bien raison. Désormais privé de paroles et de mouvements, ils observèrent la scène silencieusement.
Le guerrier, prenant les gourdes des deux truands vint la donner à l’unique prisonnier de l’endroit.
Le vieillard se saisissant du présent s'hydrata immédiatement.
L’homme âgé, un peu déçu de ne pas pouvoir donner de réponses réelles vint se justifier.
Prenant les clés des deux gardiens, Léonidas vint libérer le prisonnier lui indiquant la sortie. Le vieillard le remerciant vint immédiatement quitter le navire.
Pendant ce temps, le sauveteur vint se diriger vers l’autre entrée de la salle, désormais, il allait devoir passer à la suite…
La présence d’une réputée zone maritime en est la première, en effet dans ce genre de lieu où d’innombrables échanges ont lieu durant une journée, il est très facile de faire fleurir des commerces fructueux certes, mais peu légaux d’un côté purement législatif.
Il est aussi très aisé de les faire dissimuler, le problème étant que ces méfaits constituent un véritable fléau pour la population locale. Non seulement, car il dessert les commerçants locaux, mais aussi car il crée de véritables problèmes sociétaux pour les riverains.
Quelques jours avant que le gradé de la marine ne débarque sur place, plusieurs disparitions furent signalé aux abords du port d’Attalia. Dans cette zone pourtant très animée, depuis quelque temps, le nombre de personnes disparus augmente progressivement.
Les victimes, souvent des soûlards, des sans-abris, des mendiants ainsi que toute sorte d’individus précaires. En somme, des gens que l’on chercherait nulle part.
En apparence, cela pourrait paraître intéressant de débarrasser les rues de toute cette crasse. Nombreuses sont les cités ayant recours à de telles pratiques à l’approche de grands événements. Hélas, humainement parlant, cela laisse fortement à désirer.
De plus, ce schéma de disparition récurrent n’a rien d’inhabituel. Pour n’importe quel marin expérimenté, il est assez facile de déduire l’existence d’un trafic de produits humains, soient vendus esclaves au pays ou c’est autorisé, soit vendus en pièces.
Quoiqu’il en soit, cette problématique devait être résolue avant qu’elle ne prenne de l’ampleur.
L’officier subalterne ayant lu les rapports qui lui furent donnés, se renseigna dès lors à propos des volatilisé. Leur âge, les endroits qu’ils fréquentaient majoritairement et enfin le dernier lieu où ils furent aperçus.
Tout pointait du doigt une certaine zone du port, il semblait que la personne ayant fait le rapport s’était déjà occupé de la majeur partie des formalités. En somme, il ne s’agissait pas d’une mission de recherche. L’objet du jour était le passage à l’acte, le vif du sujet, pour ainsi dire la besogne.
En principe, il est assez rare que le lieutenant travaille seul, souvent accompagné d’une troupe de soldats, il agit comme un exemple pour ses subalternes qui le suivent dans ses entreprises.
Cette fois-ci, c’est en loup solitaire qu’il opérait, et c’est à grand pas qu’il se dirigea vers l’épicentre des problèmes.
Déjà arrivé par ce port, il fut assez aisé pour le gladiateur de retrouver l’endroit indiqué sur les rapports. Visuellement, il n’avait rien d’atypique. Il s’agissait là d’un bateau, rien de plus basique.
Pourtant, le calme anormal qui régnait dans cette zone unique du port semblait crier que rien qui ne vaille se tramait sur les lieux.
Sur ce genre d’embarcations, il existait souvent une entrée inférieure au bateau, une sorte de sortie de secours au cas où ce dernier coulerait, souvent à l’arrière du vaisseau. C’est par là que Léonidas allait entrer.
Pour une raison plus que capitale : il n’avait aucune idée de l’étendue des pouvoirs des potentiels adversaires qu’il allait croiser à bord. Il devait donc par précaution se montrer discret. Le lieutenant était certes un fier guerrier, mais il n’était pas sot et son ego ne le conduirait pas à un mort certaines.
Se jetant dans l’eau, le gladiateur vint atteindre la trappe avant de la forcer de sa lance. Dès lors qu’il fut à l’intérieur, l’odeur nauséabonde qui pénétra dans ses narines lui rappela celle de la fosse après une bataille royale.
Ça sentait la mort à plein nez. À présent devant une unique porte au bout d’un couloir moisi, le lieutenant allait bientôt découvrir ce qu’il en était.
S’approchant de l’entrée, une voix retentit d’un coup. Attentif, Léonidas vint tendre l’oreille.
« De l’eau, je vous en supplie, cela fait bientôt 7 heures que je n’ai rien bu.»
Deux voix se mirent à rire avant que l’une d’entre elle ne réponde. Celles-ci étaient manifestement juste derrière la porte devant laquelle se trouvait l’officier.
« Tu boiras quand on l’aura décidé papy, t’impatiente pas. »
Chuchotant, ce qui semblait être le collègue de la personne qui venait de parler reprit.
« Ses reins sont d’jà résérvés, il est vieux mais les chefs vont s’mettre plein les poches avec c’pauvre narvalo »
Entendant ces révoltante paroles, il serait tentant de défoncer la porte et de tabasser les deux gardes pour le style, mais il fallait être efficace.
Se saisissant de sa lance, l’officier subalterne vint enfoncer son arme dans la porte. C’est un cri déchirant qui vint confirmer le succès de son entreprise.
Dès lors, il était à présent judicieux de défoncer la porte, retirant son outil du bois, c’est d’un coup de pied spartiate que le lieutenant vint envoyer la porte à l’autre bout de la cave.
Découvrant alors le visage comme prévu laid des surveillants. L’un au sol constatant le trou béant qu’il avait désormais dans le ventre, l’autre troublé par ce qui venait de se passer.
« Rendez-vous, ou mourrez. Je vous donne le choix bande de monstres,
contrairement à vous, je ressens de la compassion envers mes semblables. »
contrairement à vous, je ressens de la compassion envers mes semblables. »
Les larbins prirent vite une décision et se firent dès lors attacher. Leur instinct de survie criait que toute résistance était futile, et ils avaient bien raison. Désormais privé de paroles et de mouvements, ils observèrent la scène silencieusement.
Le guerrier, prenant les gourdes des deux truands vint la donner à l’unique prisonnier de l’endroit.
Le vieillard se saisissant du présent s'hydrata immédiatement.
« Vieillard, que sais tu de cet endroit ? »
L’homme âgé, un peu déçu de ne pas pouvoir donner de réponses réelles vint se justifier.
« Je ne sais pas, je me suis réveillé ici, je me rappelle simplement m’être assoupi dans la taverne de la jument pavoisée. Ce que je peux vous dire, c’est que de telles salles, il y en a certainement d’autres, j’ai souvent entendu d’autres gens gémir à travers les murs. Dieu soit loué que vous soyez là. »
Prenant les clés des deux gardiens, Léonidas vint libérer le prisonnier lui indiquant la sortie. Le vieillard le remerciant vint immédiatement quitter le navire.
Pendant ce temps, le sauveteur vint se diriger vers l’autre entrée de la salle, désormais, il allait devoir passer à la suite…