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Charles Higan [Terminé]

>> Charles Higan


Charles Higan [Terminé] Sansre1fv

Pseudonyme : Bien que ne portant que la moustache (un peu comme Edward Newgate donc) j'envisage de demander l'obtention du surnom "Barbe Noire". Mais j'aimerai me voir imposer un nombre de Dorikis + PR à atteindre qui justifie que l'on considère Charles Higan comme Barbe Noire.
Age: 42 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang :Aucun

Métier : Bretteur
Groupe : Marine
Déjà un équipage : Aucun équipage à l'heure actuelle
But : Profiter de sa liberté recouvrée. Aider les opprimés.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Aptitude désirée dans le futur : le Haki de l'armement
Équipements : Au départ Charles Higan est un ancien esclave, il n'a donc aucune possession. Idéalement il cherche à obtenir un ou deux Meitous.

Codes du règlement (2) :

Physique<<

Charles Higan [Terminé] Presphysique
    Charles Higan, un homme...- traçons son portrait d’un seul trait de plume. Figurez-vous un homme d’une quarantaine d’années dont la force physique n’a pas dépéri avec le temps mais dont le visage porte des rides qui appartiennent normalement aux anciens. Des rides que les personnes les plus physionomistes ne verront pas comme un signe de vieillesse prématuré, mais simplement comme les témoins silencieux d’une vie de souffrance. Malgré cela, le visage est serein et l’œil pétille de bonté et d’intelligence.

    Dans sa globalité Charles est d’une taille modeste, il avoisine en effet le mètre quatre-vingt. Son corps est très athlétique et bien proportionné. Sa musculature présente peu de défauts et semble travaillée depuis longtemps. Il n’est plus réellement possible de développer davantage un corps de ce type sans tomber dans l’excès ou sans bénéficier d’une aide extérieure.

    Si le corps est d’apparence parfaite il en va tout autrement du faciès. Comme nous l’avons dit, celui-ci est marqué par quelques rides. Ses joues sont creusées comme si l’homme avait connu la faim toute sa vie. De surcroit, Charles à perdu son œil gauche ; ce qui aggrave encore l’impression de dichotomie. D’un côté, un corps parfait ; de l’autre, un visage ridé et mutilé. Mais ce visage n’est pas qu’une apologie de la souffrance. Le nez est fort et droit, le menton large et légèrement saillant. L’œil est fier et bienveillant. Enfin Charles porte une moustache importante mais finement dessinée et une coupe de cheveux courte et nette. Au final, le tout forme un ensemble harmonieux. Les stigmates d’une vie rude subsistent mais ne parviennent pas à endiguer le charisme du visage.


>>Psychologie

Charles Higan [Terminé] Prsentationpsy
    Il est difficile de parler de la psychologie de Charles Higan sans faire référence à sa vie. L’homme a vécu dans d’horribles conditions. Il vit et vécut des scènes qui ne purent que laisser des traces dans son esprit. Mais fort heureusement son caractère est fort et s’éleva encore davantage durant sa période de captivité. Son intelligence lui permit de se soustraire à sa condition de prisonnier, à sa condition d’esclave. Ainsi c’est une personnalité forte qui naquit de ce long séjour en enfer.
    Mais si le détenu gagna en force de caractère il perdit en tempérance. Les scènes d’injustices lui sont insupportables. Il lui est impossible de rester impassible devant celles-ci, si petites soient elles. Il ne peut qu’agir pour le bien commun, pour le bien de tous.

    La liberté est une valeur forte pour lui car il sait quelle douleur représente la privation de ce droit. Il a donc en horreur ceux qui s’élèvent contre l’ordre établi. Par conséquent il n’apprécie aucunement les hors la loi quels qu’ils soient.

    Charles possède donc un grand sens de la justice. Sa probité est l’une de ses plus grandes qualités. Lorsqu’il n’est pas seul, il est protecteur, bienveillant et amical. Il possède un calme olympien qu’il justifie par la nécessité d’agir sans impliquer ses sentiments. Il veut vivre une vie pleine de liberté tout en assistant les plus faibles. Son plaisir est de voguer et de voir de son œil ce que le monde a à offrir de plus beau, de plus spectaculaire.

    Malheureusement cette bonté et ce gout de la vie ne sont pas tout. Lorsque l’on est autant éprit de liberté que l’est Charles, on refuse rapidement toute forme d’autorité. L’homme n’est pas voué a être commandé mais bien à commander. Mais n’étant pas étroit d’esprit il accepte pourtant l’idée de subordination mais à petites doses et jamais sur le long terme.



Biographie


    Chapitre 1 : la jeunesse dorée
    Charles Higan [Terminé] Chap1
    Personne n'est mon égal !
      Charles Higan a vu le jour à Hinu Town, une île de West Blue. Cette île désertique comporte néanmoins une assez grande ville. Dans celle-ci ne vivent presque que des personnes aisées. Et la famille Higan ne faisait pas exception à cette règle. Appartenant aux hautes sphères de la société, cette dynastie de marchands était assez réputée. Charles était le fils unique des Higan. Il était choyé et ne manquait de rien. Son caractère de l’époque reflétait cette vie facile. Ainsi, Charles était un garçon arrogant et sûr de lui. Bien que jeune il était déjà conscient de sa beauté. Pire encore, il fut rapidement inscrit dans les écoles les plus prestigieuses et se découvrit des capacités intellectuelles et physiques qui ne firent qu’aggraver son sentiment de supériorité.

      Un garçon si accompli faisait la fierté de sa famille. La vie était simple pour lui. Il vivait sans penser au lendemain. Son arrogance frôlait alors les sommets. Tout lui était acquis, personne ne pouvait le surpasser dans un domaine. A l’école, il martyrisait les plus faibles, il dénigrait les plus bêtes. Sa famille le protégeait et justifiaient ces actes les plus insensés. Durant cette première période de sa vie, Charles Higan connut une véritable jeunesse dorée. Rien ne semblait pouvoir stopper son ascension que ce soit socialement mais également psychologiquement. Il était destiné à devenir un homme influent mais aussi extraordinairement imbu de sa personne.

    Chapitre 2 : les objectifs d’un père

      Le père Higan, voyant en son fils un potentiel important, le destina à une carrière militaire. La ville disposait d’une grande garnison. L’influence de la famille marchande permettrait sans nul doute d’obtenir au fils un poste influent. La vie du jeune garçon fut donc décidée pour lui. Il reçut dès lors une instruction militaire complète. Son objectif était maintenant de rentrer dans la marine. Il devait écraser toute concurrence potentielle et devenir un haut gradé de l’armée.

      Des sommes astronomiques furent dépensées dans cette optique. Le père, plus cupide qu’aimant, nourrissait de grands espoirs pour son fils. Si ses desseins se réalisaient, la dynastie Higan deviendrait une des familles les plus influentes de Hinu Town. Charles, toujours conscient de sa supériorité, avait embrassé les désirs de son père et était persuadé de devenir un membre influent de l’armée.

      Rien ne fut laissé au hasard. Charles devait devenir un véritable soldat. La stratégie militaire, le combat à main nue, le combat à l’épée, le renforcement physique, rien ne fut laissé oublé. Le jeune adolescent n’était pas qu’orgueilleux, il était aussi très talentueux. Il devint donc, avec le temps, un véritable soldat en devenir. Sa formation durait et ses compétences ne faisaient que croitre sous la vigilance constante de son père. A cette période, le futur était clair. Charles Higan allait devenir l’un des soldats les plus réputés de la garnison de Hinu Town et allait accéder à un poste de premier choix. Pourtant, le destin en décida autrement...

    Chapitre 3 : la descente aux enfers
    Charles Higan [Terminé] Chap3
    Qu'est ce que ?
      C’est là que débute réellement l’histoire de Charles Higan. L’orgueilleux enfant était devenu un jeune homme. Il était maintenant âgé d’une vingtaine d’année et terminait son entrainement. Il connaissait plus qu’il n’en fallait pour obtenir un grade intéressant dans l’armée. Il avait également trouvé le style de combat qui lui convenait le mieux, le style nytoriu, la technique de combat à deux sabres. Dans ce domaine il n’excellait pas encore mais cette particularité lui permettait de largement surclasser ses homologues du même âge.

      Pourtant, cette époque fut le tournant de sa vie...

      Un soir d’été, Charles fut la victime d’un kidnapping. Encore maintenant les circonstances de cet enlèvement sont floues dans son esprit. Le jour de la rafle, le jeune homme était à l’entrainement. Le temps s’écoulait rapidement sans qu’il s’en rende compte. Le soleil fit place à la lune et la nuit étendit son manteau noir avec délicatesse. Lorsque la faim et la fatigue se rappelèrent à Charles, les ténèbres avaient déjà envahies la ville. Celui-ci décida donc de rentrer au plus vite. Mais rien ne se passa comme prévu.

      Alors qu’il arpentait tranquillement les ruelles vers le domaine de sa famille, on l’attaqua. Ce ne fut pas une attaque emprunte de loyauté mais bien un guet-apens. La surprise fut totale pour le plus jeune des Higan. Plusieurs hommes cagoulés l’entourèrent et rapidement l’attaquèrent. Le jeu n’était pas égal et en quelques secondes les ravisseurs vinrent à bout de leur victime. Charles mordit la poussière, assommé. On le bâillonna, l’attacha et lui couvrit les yeux. Il fut placé dans une sorte de voiture. Bientôt d’autres personnes le rejoignirent. Elles semblaient se débattre tout comme lui et gémissaient. Il n’y avait pas de doutes à avoir, Charles n’était qu’une victime parmi tant d’autres.

      Les captifs furent emmenés jusqu’à un bateau qui avait mouillé dans une crique loin après le désert. Charles ne vit rien de tout ceci mais comprit rapidement qu’on l’arrachait à son pays, à son île et à sa famille. Ainsi débuta la véritable descente aux enfers de Charles Higan.

    Chapitre 4 : le marché aux esclaves

      Le voyage en navire fut long et pénible. Charles en tant que captif était parqué dans la soute. Il n’était pas seul. Dans le fond du navire s’entassait des dizaines et des dizaines d’hommes d’âges et de physiques divers. Certains semblaient plus anxieux que d’autres. Les visages étaient fermés, effrayés ou goguenards. La faim tiraillait les estomacs de tous. Les ravisseurs quant à eux semblaient indifférents à la perte de certains otages. Ils se contentaient de retirer les morts de la soute pour les jeter probablement à la mer.

      Après un périple qui parut durer des années, le navire accosta enfin. Cette fois-ci il mouilla à quai, signe que sa venue était attendue ou "légale". Les otages apprirent rapidement qu’ils étaient dorénavant des esclaves. Les ravisseurs furent rapidement accostés par des habitants de l’île. Tous semblaient animés par l’arrivée des « esclaves ». Personne ne semblait indigné par cette situation.

      Bientôt la ville portuaire dans laquelle était arrivée Charles s’anima complètement. Un nouvel arrivage était « déchargé ». Le marché des esclaves allait ouvrir d’ici quelques heures !

      En effet, une colonne d’esclave fut constituée et elle se dirigea vers un immense bâtiment. Pendant la marche Charles et ses compagnons d’infortune étaient sujets à raillerie, subissaient des coups, se faisaient agresser verbalement - la situation semblait bien désespérée...

      Le jeune Charles n’avait pas pour autant perdu de sa superbe. Il conservait la tête haute et méprisait du regard quiconque posait les yeux sur lui.

      Enfin, ils arrivèrent jusqu’au marché aux esclaves. On les parqua dans des cages. Un vieillard à l’air roublard s’approcha alors. Il était accosté de plusieurs gardes en armes. On fit passer une sorte de visite médicale à chaque esclave. Le vieillard examinait chacun et donnait un numéro de cage. Charles fut placé dans "un lot" sans qu’il ne comprenne la signification de tout ceci. La révélation ne se ferait que lors de l’ouverture du marché.

      Quand l'heure de la vente vint, le vieillard fit déplacer les cages une à une. Chaque cage représentait une catégorie particulière d’esclaves. Bientôt il ne resta plus que la cage de Charles dans l'entrepôt. Celle-ci fut, comme les autres, poussée vers un rideau. La cage traversa le tissu de velours pour apparaitre de l’autre côté. Un brouhaha monumental s’éleva alors. Des centaines hommes étaient rassemblés dans une salle disposée tel un amphithéâtre. Au centre, la cage était illuminée par des projecteurs.

      Soudain, une voix claironnante s’éleva par-dessus les autres.

        -«Et voici la dernière de nos cages d’aujourd’hui ! Le meilleur de nos lots de la semaine ! Un lot complet de jeunes hommes aux physiques redoutables. Regardez ces garçons ! Quelle puissance ! Quelle férocité ! Vous pourrez en faire des esclaves pour vos champs ! Des gardes du corps pour peu qu’il soit correctement dressé ou tout ce qui vous siéra HAHAHAHAHA !»

      La salle s’enflamma de plus belle dès que le speaker termina son petit discours. Puis les enchères débutèrent. Des sommes étaient hurlées dans toute la salle. Le vendeur voyait monter les prix avec délectation. On lisait sur son visage le plaisir que lui procurait cette transaction. Les sommes grimpaient encore et encore. Un million de Berry, deux, trois, dix ! DIX ! Un homme venait de calmer la salle entière. L’acheteur venait de donner une somme incroyable pour un tel lot. Le silence se fit... Puis on accepta son offre et la transaction fut réalisée.

      Charles et ses congénères de la cage « premier choix » furent transférés vers un nouveau bâtiment...

    Chapitre 5 : l’arène des gladiateurs
    Charles Higan [Terminé] Arne
    Quel est ce lieu sordide ?
      Charles et une vingtaine d’autres jeunes hommes furent déplacés dans un autre endroit de la ville. Vers un bâtiment tout aussi gigantesque que le marché aux esclaves. Sur l’entrée une énorme enseigne portait l’inscription « Arène des gladiateurs ».

      Rapidement la cage fut portée dans une salle sombre et humide où l’on parqua le nouvel arrivage dans une cage commune. Bientôt l’acheteur fit son apparition. L’homme était grand et dans la force de l’âge. Son regard était froid et impassible. Il prit rapidement la parole d’une voix tout aussi froide et impersonnelle.

        -«Bien. Vous m’appartenez dorénavant. Je suis Rydd Steiner, directeur de l’arène des gladiateurs. Vous ! Vous êtes des esclaves d’un style particulier. Vous ne vivez plus que pour vous battre entre vous. Les meilleurs restent, les autres meurent. Vivre ou mourir vous n’avez que ce choix. Vous affronterez qui je désire et ce quand je le désire. Ceux qui se refuseront à donner du spectacle subiront un châtiment pire que la mort. JE décide qui meurt et qui vit. Durant les combats vous respectez les règles ou vous subirez un châtiment pire que la mort. Vous n’êtes que des pions et votre sort ne me touche en rien. Pour preuve...»

      Le dénommé Rydd Steiner attrapa un pistolet coincé dans sa ceinture. Sans cérémoniel il pointa le canon à travers les barreaux de la cage et tira. La balle traversa le crâne d’un jeune garçon blond ce qui provoqua les hurlements de bon nombres d’esclaves.

        -«SILENCE !»

      Le silence revint au son de la voix du directeur. Charles prit alors la parole. Son air hautain et supérieur ne l’avait toujours pas quitté. Même dans cette cage, et devant un tel spectacle, son orgueil prenait le pas.

        -«Faites moi combattre, je tuerai la moitié de vos pseudos-combattants. Je vais créer votre faillite ! Je vous conseille donc de me libérer sur le champs !»

      Rydd s’esclaffa. Son regard s’était pourtant assombri. Dans son esprit, ce jeune loup, il allait le casser...

    Chapitre 6 : le premier combat

      Plusieurs jours passèrent sans que les nouveaux gladiateurs ne virent réapparaitre le directeur. Ils recevaient régulièrement la visite de gardes et de commis qui les nourrissaient. Cette nourriture n’était constituée que d'une bouillie infâme jetée à même le sol et d'eau croupie. Même le digne Charles Higan se jetait à plat ventre pour se nourrir tel un animal.

      Puis un jour, le directeur de l’arène se présenta de nouveau. Il se plaça devant la cage et désigna Charles du doigt.

        -«Très bien le bleu. J’accède à ta requête. Ce soir tu combattras cinq de mes meilleurs gladiateurs. Comble du luxe je te laisse même le choix d’une arme pour le combat. Ne suis-je pas d’une générosité extraordinaire ?»

      Pour toute réponse le directeur obtint deux mots.

        -«Deux épées...»

      Le directeur tourna le dos à la cage et repartit le sourire aux lèvres, la soirée allait être grandiose.
      Le combat de Charles n’était pas le seul du jour. Des gardes prirent de plusieurs jeunes de la cage des nouveaux arrivants. Aucun ne revint dans la cage... Enfin l’on vint chercher Charles. Il fut rudoyer par les gardes et conduit jusqu’à une sorte de petit vestiaire. Là l’attendait deux épées de simple facture mais qui semblaient solides.

      On détacha le gladiateur qui se dirigea rapidement vers les épées. Solidement entouré par plusieurs gardes il se fit conduire jusqu’à une porte de l’autre côté du vestiaire. On le poussa alors par la porte qu’il traversa sans broncher. De l’autre côté était l’arène, un disque de terre battue de dix mètres de diamètre environ et entouré de murs de pierre empêchant toute fuite.

      Charles n’était pas seul, cinq hommes attendaient déjà et semblaient clairement de connivences. Ils portaient tous des protections et des armes identiques. La voix du directeur s’éleva alors d’on ne sait où comme le fit auparavant le speaker dans le marché aux esclaves.

        -«Et voilà le clou du spectacle de ce soir. La mise à mort d’un gladiateur par nos cinq victorieux champions ! Après avoir vaincu chacun deux adversaires je les récompense par un dernier combat. Enfin, par un petit jeu de démembrement dirons-nous !»

      La foule se mit à applaudir. Les visages semblaient enjoués. Et les cinq gladiateurs regardaient tous le directeur qui se situaient sur une sorte de balcon. L’un des combattants détourna ensuite le regard et commença à jouer négligemment avec ce qui ressemblait à du sang frais qui constellait le sable devant lui.

      Enfin le directeur frappa un gong de sa main droite et les gladiateurs s’élancèrent en hurlant.

      Charles raffermi sa prise sur ses deux épées. Il arqua quelques peu ses jambes pour être en bonne position. Rapidement un premier gladiateur, manifestement plus leste que les autres, arriva à sa hauteur. L’adversaire de Charles semblait sûr de lui car il leva lourdement son épée au dessus de sa tête. Cette attaque verticale semblait puissante mais découvrait largement le torse du combattant. D’un mouvement expert Charles enfonça ses deux épées dans le tronc de son adversaire. Le souffle de celui-ci se stoppa net et il s’effondra sur le dos. Sous estimer son adversaire était une mauvaise chose.

      Les gladiateurs encore en place se figèrent l’espace d’une seconde. Ils s’attendaient en effet à une victoire facile et non à la mort d’un des leurs. Charles s’empara de cette opportunité. Il courut vers deux adversaires proches et effectua d’habiles attaques de tailles. L’un des gladiateurs fut touché à la gorge, le second directement au cœur. En l’espace de quelques secondes les cinq gladiateurs n’étaient plus que deux !

      La foule hurlait des insultes à destination des gladiateurs, elle réclamait du sang. On applaudissait maintenant Charles qui courrait vers ses deux derniers adversaires. Ceux-ci étaient prévenus de la dangerosité de leur vis à vis et furent donc plus mesuré.

      Le combat s’éternisa quelque peu, les gladiateurs n’étant en définitive pas si mauvais que ça. Mais il y avait fort a parié que les combats précédents avaient entamé l’endurance des deux derniers ennemis de Charles. Après quelques minutes de passe celui-ci vint à bout de l’un des deux hommes restant, puis du dernier. En définitive les cinq gladiateurs gisaient maintenant sur le sable froid de l’arène. Le sang maculait abondamment le sol et les vêtements de Charles. Le jeune homme lui, affichait un air plus que satisfait.

    Chapitre 7 : la fureur du directeur
    Charles Higan [Terminé] Chap7
    Que me veulent-ils ?

      Après le combat Charles ne fut pas raccompagné jusqu'à sa cellule. On l’emmena vers une salle bien particulière. Celle-ci était munie d’un mobilier très singulier. Des tables disposant de liens, des chaines et autres instruments complexes remplissaient l’endroit.

      On attacha solidement le gladiateur victorieux à une table de bois. Après quelques minutes d’attente les gardes et Charles furent rejoint par le directeur.Celui-ci semblait furieux. Son visage rougeoyait de colère.

        -«ALORS TU PENSES QUE TU AS GAGNE ! Belle démonstration ! Tu as de la chance ! Maintenant tu es réputé dans cette arène. Te tuer me fera perdre plus d’argent que de te laisser en vie. Mais tu ne vas pas t’en sortir à si bon compte. Tu es fort c’est indéniable. Mais le plus fort, c’est moi ! Tu sembles être un fabuleux épéiste. Mais tu n’es pas le premier bretteur à faire sensation ici. Je vais te briser ! TU VAS APPRENDRE A ME CRAINDRE. TU ME SUPPLIERAS DE TE TUER, IGNOBLE PETIT CAFARD. Je vais te donner une récompense pour cette victoire ! Je vais te donner l’opportunité de faire encore mieux !»

      Charles afficha un air interdit. Il était inquiet par la tournure de la situation et par le lieu où il se trouvait. Mais il ne montra rien et préféra narguer davantage le directeur.

        -«Je suis le plus fort ici. Et j’ai gagné dans l’arène petit directeur.»

      Le directeur écarquilla les yeux, il se dirigea vers un garde et attrapa le poignard qui était fixé à sa ceinture.

        -«Chaque jour que tu passeras ici tu seras vigoureusement rossé. Chaque bouchée que tu mangeras aura préalablement était piétinée. Ton eau aura connu mes pieds avant ta bouche. Et enfin !»

      Rydd s’approcha de Charles et fit signe à ses gardes de lui tenir fermement la tête.

        -«Nous verrons comment tu te défends avec un œil en moins. Et nous verrons si tu es toujours aussi arrogant d'ici quelques semaines !»

      Méticuleusement et très lentement le directeur enfonça la lame du poignard dans l’œil gauche de Charles. La douleur était insupportable, inimaginable. Il semblait que son crâne allait exploser. Des cris assourdissants émanaient de sa bouche. Un liquide semblable à de l’eau coulait sur son visage alors qu’il tentait vainement de se libérer.

      Puis le directeur retira la lame de l’œil. Charles ne voyait plus qu'à moitié l’expression de satisfaction de son bourreau mais entendait distinctement son rire machiavélique.

    Chapitre 8 : vingt ans plus tard...
    Je suis ... libre ?


      Un garde s’approchait des cages de l’arène des gladiateurs. Son pas était lent et avait quelque chose de tremblotant. Il traversa le couloir « des cages de masses », un long chemin qui était bordé de cellules constituées de barreaux et contenant une trentaine de gladiateurs. Il était tard et peu de captifs virent réellement la scène. Pourtant certains se levèrent d’un bond lorsqu’ils prirent conscience de ce qui se déroulait devant leurs yeux.

      Le garde était suivit d’un contingent de dix personnes environ. Le premier du groupe menaçait d’un pistolet le dos du geôlier. Ils avancèrent ainsi jusqu’au bout du couloir. Le petit groupe déboucha dans une nouvelle salle où semblait se trouver des cachots individuels. Tous étaient ouverts sauf un. Le groupe s’avança donc vers celui-ci. Le geôlier fut contraint d’ouvrir la porte à l’aide d’un énorme trousseau de clés.

      La lumière pénétra alors dans la cellule qui ne devait pas dépassé 3m². Là, gisait un homme d’une quarantaine d’année, le visage creusé, portant des vêtements rapiécés et un simple bandage gras et sale sur son œil gauche. Son corps était musculeux malgré la situation de dépravation dans laquelle il semblait plonger depuis longtemps. Alors que beaucoup regardaient le détenu, le geôlier tenta de se rebeller mais il fut transpercer par une lame en plein poumon. Il s’affaissa lentement et sans bruit, privé d’air.

      L’homme qui venait de porter le coup fatal extirpa sa lame du corps de l'inconscient et s’avança dans la cellule.

        -«Charles Higan ! Tu es le plus ancien gladiateur des lieux si je ne m'abuse. Aujourd’hui, c’est ton jour de chance. Notre groupe de marines a l'ordre de libérer les esclaves de cette île. Tu es donc libre ! Toi, mais également tous tes frères d’infortunes !


      Charles qui depuis longtemps avait perdu de sa superbe leva mollement les yeux vers son interlocuteur. Il resta quelques minutes à contempler son interlocuteur, à examiner cet uniforme qu'à une époque il convoitait ardemment. Puis, sans qu’il puisse se retenir, des larmes s’accumulèrent peu à peu dans son unique œil. Ce moment, il l’avait rêvé de tout son être. Et il semblait enfin arrivé ! Incrédule et sous le choc, il ne put dire un seul mot.

      Le marine l'aida à se relever et afficha un large sourire.

        -«Tu n’es connu que sur cette île mais tu sembles avoir une drôle de réputation ! Sortons ! Le soleil brille énormément aujourd'hui.»


      Charles suivit avec enthousiasme ses libérateurs. Il songeait aux paroles du marine. Le soleil... Voilà bien des années qu'il n'avait pu en profiter...

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Test RP


    Les vagues s’abattaient avec légèreté sur les flancs d’un navire cuirassé. Le bateau était imposant, sa coque noire et verte foncée disposait d’ouvertures où l’on distinguait aisément un grand nombre de « bouche de feu ». A la vue de ces canons tous pouvaient comprendre. Ce bâtiment, qui fendait la mer avec puissance, ne pouvait être qu’un navire de guerre. Sur la voile principale on pouvait lire « Marine » en capitales d’imprimeries. De nombreux hommes s’affairaient sur le pont. L’un d’entre eux se situait au niveau de la proue du bateau.

    Près de la proue, le foc se tendait avec force sous l’impulsion d’un vent arrière. On entendait l’intégralité du bateau grincer, il « chantait » comme disaient certains matelots de l’équipage. L’homme qui était à la proue et contemplait le paysage n’était autre que Charles Higan. Après avoir survécu à deux décennies de torture et d’esclavagisme, après avoir été sauvé par des marines d’élites du gouvernement mondial ; il se trouvait au bord du navire qui avait emmené ses libérateurs jusqu'à lui. Il s’était engagé ! Il espérait ainsi voir le plus de paysages possibles et défendre ceux qui souffrent.

    Les militaires emmenaient Charles et quelques autres volontaires vers leur base principale. Appartenant à un corps d’élite de la marine, les hommes avaient l’habitude d’installer des campements temporaires afin de mieux réaliser leurs tâches dans les environs. Après quelques jours de navigation sans encombre, le magnifique cuirassé s’approcha d’une île. Au premier abord, on eut dit que celle-ci était déserte. Mais pas du tout ! Le navire emprunta une sorte de large canal naturel qui entrait dans l’île. Rapidement il déboucha sur une crique entourée de falaise. Entouré ? Pas tout à fait. Il restait un seul passage, créé à travers la roche par l’eau et le temps. Charles contempla de son unique œil la crique. Il constata la présence de plusieurs canons sur les hauteurs. Et l’unique passage qui remontait vers l’île était gardé par une vingtaine de soldats de la marine.

    Le cuirassé jeta l’ancre et l’on fit descendre les chaloupes à la mer. Charles embarqua dans l’une d’elle et eut le privilège de « souquer ferme ». En effet, un sergent à la stature imposante venait de l’invectiver tout en lui jetant une rame dans le ventre. L’embarcation arriva rapidement jusqu’à la plage. Là, il gravit la pente traversant la falaise. Évidemment Charles ne marchait pas en tête mais bien derrière une flopée d’officiers et de soldats. Arrivé en haut de la falaise il découvrit une plus grande partie de l’île.

    En face de lui s’étendait un camp de taille impressionnante. Une cinquantaine de tentes étaient dressées dans une clairière bien dégagée. Le point de chute des marines étaient extraordinairement animé. Le retour des frères d’armes avaient enhardi une grande partie de ceux restés sur place. Charles attendait avec quelques « bleus » que l’on s’occupe de lui. Pour l’heure les marines étaient aux retrouvailles. Tous narraient l’escapade victorieuse vers « l’île des gladiateurs ». Tous riaient en entendant le récit de l’équipage. La scène de flottement ne dura pourtant que quelques minutes. Bientôt un officier à l’air sévère hurla avec force. Il n’eut pas besoin de parler car tous semblaient avoir prit conscience du problème. Aussitôt tous les marines disparurent pour réaliser des tâches qu’eux seuls semblaient connaitre. Ne resta donc sur place que le petit groupe de nouveau, relativement inquiet de ne pas pouvoir se soustraire à la vue de l’officier grincheux.

    Celui-ci avait d’abord affiché un air satisfait en voyant tous ses subalternes partir s’occuper du camp. Mais lorsque son regard croisa celui des nouveaux, il changea d’expression. S’approchant d’un pas lourd il grogna rapidement avant de prendre la parole.

      -«Nouveau hein ?! J’sais pas c’que c’est qu’ces consignes ! On prend pas d’nouveaux comme ça ! On est des marins d’élites nous ! Enfin ! Va falloir vous remuer ! Tâches ménagères ! HOP HOP !»

    Le groupe resta interdit devant le discours plus que décousu de l’officier. Celui-ci pensa que son discours était encore trop complexe. Aussi reformula-t-il d’une manière plus... directe...

      -«NETTOYEZ CE CAMP ET FISSAAAAAA ! LE PREMIER QUI PREND UNE PAUSE AURA DROIT A UN ALLER SIMPLE POUR LA FOSSE !»

    Tous partirent en courant en quête d’un éventuel balai, ou d’une brosse, susceptible d’aider dans la besogne. Au départ l’on ne comprenait pas trop ce qu’était « la fosse ». Mais lorsque le premier des mousses commença à montrer des signes de fatigue ; tous comprirent. En effet, après plusieurs heures un des hommes souffla lourdement et jeta son balai au sol. Ni une, ni deux, le bourru officier sortit d’on ne sait où. Il empoigna le postérieur du mousse et le souleva dans les airs. Quelques marins hurlaient alors « la fosse, la fosse ! ». Le massif gradé, tenant toujours le pauvre mousse, l’envoya valsé dans un trou large qui était invisible lorsque l’on était au camp. Le trou n’était autre qu’une fosse à ciel ouvert. Dans celle-ci était regroupée excréments, urines et autres déchets émanant du camp. Curieusement le mousse sembla s’enfoncer dans le mélange. Rapidement il en ressorti tête la première tentant de s’extirper au plus vite. Il semblait prit de multiples hauts le cœur et menaçait visiblement de vomir à chaque instant.

    Les marines riaient à gorge déployée, se tapant sur les cuisses, ou flattant le dos d’un voisin d’une bonne claque. Inutile de dire qu’après cela, Charles et ses compagnons ne stoppèrent leurs efforts qu’après en avoir reçu l'ordre plusieurs fois consécutives...

    En tant que non gradé Charles ne bénéficiait pas d’un entrainement militaire à part entière. Il pouvait néanmoins, d’un œil discret et durant ses corvées, regarder les « véritables » marines. Ceux-ci se battaient constamment sous le regard inquisiteur d’officiers à l’œil sévère. Ils couraient, se musclaient voir étudiaient des plans complexes sur de larges tableaux noirs.

    Si les marines d’élites étaient des soldats très compétents, ils étaient également très orgueilleux. Les pauvres mousses tels que Charles subissaient donc des railleries régulières. On semblait vouloir éprouver leurs résistances plus que leurs capacités.

    Charles avait un état d’esprit bien particulier. Certes sa situation n’était pas des plus glorieuses. Mais ! Il était impossible pour lui de ne pas positiver. Il sortait de vingt ans d’emprisonnement. Pour lui la seule idée de voir le soleil se lever le ravissait. Il s’accommodait donc parfaitement de cette vie. Les quolibets n’étaient au final pas si odieux. Et le soir on pouvait même surprendre quelques officiers se mêlant volontiers aux mousses pour leur narrer les exploits passés de la compagnie. Au final, Charles appréciait de plus en plus cette vie faite de dur labeur mais également de franche camaraderie.

    Après deux semaines de tâches ménagères récurrentes, les bleus furent convoqués devant la tente du capitaine. Celui-ci attendait déjà lorsque le petit groupe se présenta. L’homme étant grand et disposait d’un physique d’athlète. Son visage était constellé de cicatrices plus ou moins profondes. Son regard fier se posa sur chaque mousse. Puis un sourire traversa son visage.

      -«Vous avez supporté des jours et des jours de corvées. Ces tâches quotidiennes ne sont pas le but d’un marine. Vous n’êtes pas venu ici pour cela. Mais nous sommes l’élite de la Marine ! Nous ne pouvions que tester votre résistance ! Vous n’êtes qu’au début de votre périple ! Mais vous êtes prêt. Nous allons bientôt repartir vers d’autres îles pour d’autres missions. Vous avez maintenant le choix. Vous pouvez quitter la marine dès à présent, jugeant que le quotidien est trop rude. Ou vous pouvez nous suivre. Faites votre choix ! Ils vous appartient pour la dernière fois !»

    Les mousses se regardaient maintenant tour à tour avec un air d’hésitation sur le visage. Charles fit un pas en avant. Son visage affichait une résolution peu commune. Son œil fixa les yeux du Capitaine. Il prit alors la parole d'une voix était calme et déterminée.

      -«Capitaine. Je me prénomme Charles Higan. Je vous remercie de nous offrir l’opportunité d’appartenir à un corps d’armée aussi prestigieux que le votre. Je ne peux donc qu’accepter de tout mon cœur votre offre. J’espère être une aide pour la marine et aider celle-ci à endiguer les injustices de ce monde.»

    Le Capitaine désigna du doigt une tente en dehors du camp.

    Charles s’y rendit rapidement. Derrière lui galopait une partie des bleus. Ceux-ci, visiblement galvanisés par le discours du plus ancien des mousses, s’étaient empressés de le suivre. C’est donc tout le petit contingent qui arriva devant la tente désignée par le Capitaine. Là, plusieurs marines attendaient assis sur des chaises en bois ou se tenant debout. Un d'entre eux rompit le silence.

      -«Bien joué les nouveaux ! Vous avez fait le bon choix. Vous êtes des frères d’armes pour nous maintenant. Mais nous ne connaissons pas encore réellement vos niveaux. Va falloir nous combattre donc !»

    Tous les marins expérimentés encore assis se levèrent comme un seul homme. Chacun était armé d’une épée de bois. On en distribua aux bleus et on organisa des combats. Les combats étaient peu disputés. La majorité des jeunes allaient au tapis dès la première passe. Parfois, certains s’en sortaient mieux et désarmaient même leur opposant. Mais cet effort était vint puisqu’ils étaient alors battu au corps à corps.

    Vint enfin le tour de Charles. Certains savaient qu’il était un ancien gladiateur et un bretteur disposant d'une compétence certaine. Aussi atmosphère se fit plus tendue et moins décontractée qu’auparavant. Charles s’avança vers son adversaire. Il émanait de lui une aura de concentration particulière. Le bretteur ne riait pas, ne souriait pas et son visage était fermé. En effet, bien que jeune mousse Charles se prenait déjà très au sérieux. Il était déjà âgé et n’avait donc pas l’intention d’attendre des décennies une montée en grade. Ce n’était pas la vanité ou l’orgueil qui l’animait. C’était ses idéaux de justice ! Il devait rapidement obtenir un grade significatif. Il pourrait ainsi plus aisément prendre des décisions importantes et réaliser ses idéaux de justice.

    Après quelques secondes d’immobilisme total, le combat s’engagea. L’adversaire de Charles avait été scrupuleusement sélectionné. Un homme de bonne taille et bien fait qui maniait avec dextérité son épée de bois. Les passes s’enchainaient sans que les deux hommes ne semble vouloir lâcher du terrain. Les coups pleuvaient, les morceaux de bois s’entrechoquaient dans un bruit impressionnant. Puis, après quelques dizaines de secondes d’échange musclé, Charles effectua une passe décisive. Il fit sauter l’épée de son adversaire de ses mains. Pas troublé plus que cela, le gaillard s’élança à main nu vers son adversaire.

    Charles hésita quelques secondes. Il ne voulait pas blesser son opposant qui était au final un frère d’arme. Mais il ne voulait pas perdre non plus. Des images se bousculèrent dans sa tête. Il se voyait roué de coups dans une geôle sordide. Il se revoyait hurlant à la mort suite à la perte de son œil gauche. Après une réflexion qui sembla avoir duré des heures mais qui n’avait prit que quelques secondes, Charles leva son épée de bois. Il administra un coup formidable à son adversaire, l'arme avait touché une côte flottante. Aussitôt le marine s’effondra, le souffle coupé, se tordant de douleur.

    Charles posa son arme au sol et s’accroupit aux côtés du perdant.

      -«Désolé...»

    Puis il se releva. Pour lui la pitié n’était pas possible. Il ne pouvait s’écarter de ses objectifs...

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Spoiler:


Dernière édition par Minos le Mer 12 Oct 2011 - 21:56, édité 19 fois (Raison : Modification du Métier/Aptitudes souhaitées)
    Salut et bienvenue !
    Je vois que tu nous a fais un jolie fiche d'entrée de jeu, félicitation ;).

    Par contre avant même de lire ta fiche je me dois te prévenir de deux truc. Pour commencer, on a rien contre le fait de prendre des avatars d'autre manga (surtout que celui là est vraiment très classe), mais prendre ava' + même nom (manque que le King ^^')... ça c'est loin d'être tip top. De plus, cet avatar est hélas déjà utilisé pour l'amiral en chef en tant que PNJ (bien qu'avec une colo légèrement différente). Je ne sais pas trop jusqu'à quel niveau cela risque de te pénaliser durant ta présentation, mais il valait mieux que tu le saches, surtout en regard de la qualité que tu sembles vouloir nous offrir. ^^
    • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
    • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
    Bonjour !

    Alors, au sujet de la "réutilisation" de Bradley. C'est plus un petit caprice de roliste qu'une véritable obligation de ma part. Je ne savais pas trop qu'elle était la position du staff à ce sujet. Personnellement je ne fais pas facilement l'amalgame entre l'avatar et le pseudonyme puisqu'à mon sens tous ne sont pas censés connaitre le nom "réel" du personnage. Mais je suis tout à fait prêt à réaliser une modification du nom. Mon rp n'est pas débuté, et effectivement je souhaite réaliser une présentation de qualité. Si cela me pénalise véritablement je changerai donc sans aucun problème. Attendu, qu'effectivement la réutilisation d'un pseudonyme à l'identique peut choquer.

    Pour ce qui est de la ressemblance avec "Sentomaru Kenpachi". Effectivement c'est problématique. Je dirai bien que le votre porte une barbe blanche mais bon, sa transpire l'hypocrisie. Néanmoins pour le coût je tenterai de plaider ma cause.

    J'apprécie beaucoup l'image que reflète le personnage de Wrath. Je ne sais pas s'il est véritablement possible de conserver cet avatar néanmoins j'en formule humblement la demande. Je pense que vous pouvez faire primer le rp d'un joueur vis à vis d'un pnj. Évidemment ce n'est que mon avis, loin de moi l'idée de vouloir vous imposez quoique ce soit ! Malheureusement quand on s'éprend d'un certain avatar pour son personnage on tisse une histoire tout autour de lui. Il est plus aisé de changer un nom qu'un physique...

    Quoiqu'il en soit je me plierai à votre volonté et je vous remercie pour le temps que vous passerez à étudier ma candidature.
      Salut,
      Alors pour ton pseudonyme, tant qu'on retrouve pas dans ton histoire une ressemblance avec celle Wrath, je pense qu'on va pas non plus trop te molester, t'en fais pas. Comme vis-à-vis de ces capacités d'ailleurs, si tu avais espéré les mêmes, sa risque d'être caduc.
      Donc c'est toi qui vois vis à vis du prénom. Je pense pas que c'soit si gênant que ça, si tu respecte ces deux conditions.

      Après, Sentomaru n'est pas Bradley. Nani, un King sans sa moustache et avec les cheveux blancs, êtes-vous devenus fous ? !

        Bonjour et bienvenue, alors pour l'avatar ça peut passer, pour le pseudo aussi mais attention à ne pas faire d'amalgames entre les traits de caractères et la bio du personnage de FMA, car sinon :
        "Sachez aussi que votre présentation devra être de préférence totalement nouvelle, sinon :
        10 dorikis maximum au départ pour un personnage plagié d'un autre manga.
        10-250 dorikis + dorikis du test rp pour un personnage déjà utilisé sur d'autres forum (max 2 + liens à préciser) et petite justification en ce qui concerne le choix de garder le personnage."

        Voilà voilà ^^
          Très bien ! Pour moi cela me convient parfaitement. Je peux affirmer sans trop de soucis que mon personnage n'a pas de ressemblances avec King Bradley en terme de psychologie.

          Dois-je réaliser une demande particulière pour obtenir un test rp et ainsi clôturer ma présentation ?
            Ouai

            Tu as maintenant endossé le bleu des marines. Raconte comment c'est faite la transition entre ta vie d'esclave et celle de fier soldat... Comment réagissaient les autres en te voyant ? Comment réagissais-tu vis à vis des autres ? N’hésite pas à développer.

            Voilà, j'espère que ce test te vas.
            Bonne chance.

            Edit : Oulà, j'ai corrigé les fautes, c'était dégeulasse, désolé.
              Voilà, Test RP rédigé.

              J'en profite pour saluer le travail du staff qui semble très pertinent et d'une rapidité exemplaire. Je salue ma chance d'avoir trouvé un forum aussi bien dirigé !

              Edit : Modification apportée vis à vis du nom du personnage qui est dorénavant Charles Higan. Le rp a été modifié en conséquence mais je ne peux modifier le compte forum. Cette fois je pense pouvoir affirmer que la candidature est terminée.
                Le nom a été changé. Merci.
                • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
                • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
                J'ai réécrit mon test RP je n'étais pas satisfait. Je tiens à le préciser au cas où certains l'auraient lu °°.
                  Hop, Maximus Higan, à nous deux.

                  Hé bien, présentation très agréable, les évènements s'enchainent avec logique et on a toujours envie de connaitre la suite. Quelques rares fautes, mais c'est loin d'être problématique sur un texte de cette longueur, un style particulièrement plaisant. Par moment, j'ai trouvé quelques similitudes avec le brave Russell Crowe dans Gladiator, mais sans trop non plus, donc ça ne gêne pas au final.

                  Également, le rapt d'un mec comme Charles m'a un peu fait tiquer. Il est fort, mais surtout très connu sur son île, ça me semble un peu risqué de s'en prendre à une cible pareille. J'aurais été à la place des agresseurs, j'aurais ciblé un individu lambda niveau réputation. Mais ceci mis à part, ça baigne. Tout particulièrement parce que le côté fier du personnage est très bien mis en avant.

                  Pour l'anecdote, y'a une confusion esclavage / esclavagisme dans ton test RP il me semble.

                  Sinon, j'ai passé un bon moment à te lire, je propose 800 Dorikis.
                    Et bien je dois dire que j'ai beaucoup aimé lire cette présentation, le récit est fluide, le personnage construit, il y a peu de fautes d'orthographe... c'est bien quoi.
                    Tu aurais peut-être pu plus équilibrer la balance descriptions/biographie niveau longueur, cela aurait été mieux !

                    Juste quelques petites remarques :
                    "Le père Higan, voyant en son fils un potentiel important, le destina à une carrière militaire. La ville disposait d’une grande garnison. L’influence de la famille marchande permettrait sans nul doute d’obtenir au fils un poste influent. La vie du jeune garçon fut donc décidée pour lui. Il reçut dès lors une instruction militaire complète. Son objectif était maintenant de rentrer dans la marine. Il devait écraser toute concurrence potentielle et devenir un haut gradé de l’armée. "

                    Il aurait fallu moins de dialogue dans ta biographie et peut-être cibler les passages vraiment importants sans se soucier des détails superflus.

                    Le style "phrase courte" est sympathique mais attention à ne pas tomber dans l'excès Smile
                    800 dorikis, c'est bon pour moi, je te donne ma voix qui compte double !


                      Et une dernière voix qui compte simple, mais qui complète ce qu'il te faut.

                      Moi aussi j'ai pensé à Gladiator, mais ton Proximo est une vraie ordure. Le côté "envoyé en pâture contre 5 mecs" et l'arrogance d'Higan et l’antipathie du patron m'ont aussi fait penser à la série Spartacus, mais sais pas si beaucoup de monde l'a vue à part moi. Bref, très belle présentation et très bon personnage. Je m'arrangerai pour vous croiser avec Gharr, il y a de quoi creuser avec ces deux personnages.

                      800 Dorikis sans problème pour toi, bienvenue sur OPR Sébastien.
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                      • https://www.onepiece-requiem.net/t956-minos-kahezaro-en-cours