Pour plus de compréhension de l'histoire, n'hésitez pas à lire la deuxième partie !
Pour les autres : le Commodore Jean-Poil devait demander un blocus du port pour s'assurer qu'aucune marchandise empoisonnée ne sorte du port. De son côté, INDRA a vaincu Suisui et a reçu un appel de Jean-Poil, le pressant de le rejoindre.
INDRA arriva au port de Whole Cake Island, ses pas lourds résonnant sur les quais de bois usés par les années. Le port, vibrant d'une animation incessante, était un véritable spectacle pour les sens. Des bateaux de toutes tailles et formes, aux coques peintes de couleurs vives, se balançaient doucement au rythme des vagues sucrées de la mer de tiramisu. L'air était saturé des arômes enivrants de friandises et de mets délicats, mêlant les parfums sucrés et fruités qui éveillaient les papilles. Si un Pacifista avait pu saliver, il l'aurait fait ! Les cargaisons, empilées avec soin, étaient de véritables trésors de gourmandise. De grands tonneaux débordaient de crème fouettée fraîche, des caisses en bois exhalaient le parfum intense de fruits tropicaux, tels que la mangue, l'ananas et la goyave, prêts à être transformés en sorbets colorés grâce à la glace des glaciers. Des barils remplis de jus de fruits, extraits directement des rivières de sirop qui serpentaient à travers l'île, attendaient d'être expédiés vers des îles lointaines. Les blocs de glace naturelle, d'une blancheur éclatante, étaient soigneusement rangés dans des conteneurs isolés, prêts à être utilisés pour créer des desserts glacés rafraîchissants. Les travailleurs du port, habillés de vêtements aux couleurs éclatantes, s'affairaient autour des navires, chargeant et déchargeant les marchandises avec une précision presque chorégraphique. Leurs voix, pleines d'énergie et de vigueur, se mêlaient au clapotis des vagues et aux grincements des cordages. Les immenses structures de chargement s'activaient sans cesse, soulevant des caisses de friandises et des barils de sirop. Des sacs de farine sucrée, utilisés pour la confection des célèbres pâtisseries de l'île, étaient manipulés avec précaution pour éviter les déchirures. Des éclats de rire et des discussions animées résonnaient, les dockers échangeant des blagues et des histoires en travaillant. Les enfants des travailleurs couraient entre les piles de cargaisons, leurs rires cristallins ajoutant une touche de joie à l'atmosphère déjà festive. Les mouettes planaient au-dessus, attirées par les délices sucrés, lançant des cris aigus et essayant de piocher ce qui pouvait l'être. Les prothèses oculaires d'INDRA virèrent au rouge tandis qu'il cherchait le Commodore Belmondo dans la foule. Certains navires quittaient le port, transportant des cargaisons de biscuits croustillants, soigneusement empilés dans des caisses ventilées pour préserver leur fraîcheur. D'autres étaient remplis de barils de chocolat fondu, prêt à être utilisé pour des fondants ou des ganaches, dégageant une odeur riche et réconfortante. Les bateaux chargés de confitures de fruits, aux couleurs vives et aux arômes sucrés, ajoutaient une touche de couleur supplémentaire à ce tableau déjà éclatant.
Mais si les bateaux quittaient le port... cela signifiait-il que le blocus du Commodore Jean-Poil avait échoué ?
Pour les autres : le Commodore Jean-Poil devait demander un blocus du port pour s'assurer qu'aucune marchandise empoisonnée ne sorte du port. De son côté, INDRA a vaincu Suisui et a reçu un appel de Jean-Poil, le pressant de le rejoindre.
INDRA arriva au port de Whole Cake Island, ses pas lourds résonnant sur les quais de bois usés par les années. Le port, vibrant d'une animation incessante, était un véritable spectacle pour les sens. Des bateaux de toutes tailles et formes, aux coques peintes de couleurs vives, se balançaient doucement au rythme des vagues sucrées de la mer de tiramisu. L'air était saturé des arômes enivrants de friandises et de mets délicats, mêlant les parfums sucrés et fruités qui éveillaient les papilles. Si un Pacifista avait pu saliver, il l'aurait fait ! Les cargaisons, empilées avec soin, étaient de véritables trésors de gourmandise. De grands tonneaux débordaient de crème fouettée fraîche, des caisses en bois exhalaient le parfum intense de fruits tropicaux, tels que la mangue, l'ananas et la goyave, prêts à être transformés en sorbets colorés grâce à la glace des glaciers. Des barils remplis de jus de fruits, extraits directement des rivières de sirop qui serpentaient à travers l'île, attendaient d'être expédiés vers des îles lointaines. Les blocs de glace naturelle, d'une blancheur éclatante, étaient soigneusement rangés dans des conteneurs isolés, prêts à être utilisés pour créer des desserts glacés rafraîchissants. Les travailleurs du port, habillés de vêtements aux couleurs éclatantes, s'affairaient autour des navires, chargeant et déchargeant les marchandises avec une précision presque chorégraphique. Leurs voix, pleines d'énergie et de vigueur, se mêlaient au clapotis des vagues et aux grincements des cordages. Les immenses structures de chargement s'activaient sans cesse, soulevant des caisses de friandises et des barils de sirop. Des sacs de farine sucrée, utilisés pour la confection des célèbres pâtisseries de l'île, étaient manipulés avec précaution pour éviter les déchirures. Des éclats de rire et des discussions animées résonnaient, les dockers échangeant des blagues et des histoires en travaillant. Les enfants des travailleurs couraient entre les piles de cargaisons, leurs rires cristallins ajoutant une touche de joie à l'atmosphère déjà festive. Les mouettes planaient au-dessus, attirées par les délices sucrés, lançant des cris aigus et essayant de piocher ce qui pouvait l'être. Les prothèses oculaires d'INDRA virèrent au rouge tandis qu'il cherchait le Commodore Belmondo dans la foule. Certains navires quittaient le port, transportant des cargaisons de biscuits croustillants, soigneusement empilés dans des caisses ventilées pour préserver leur fraîcheur. D'autres étaient remplis de barils de chocolat fondu, prêt à être utilisé pour des fondants ou des ganaches, dégageant une odeur riche et réconfortante. Les bateaux chargés de confitures de fruits, aux couleurs vives et aux arômes sucrés, ajoutaient une touche de couleur supplémentaire à ce tableau déjà éclatant.
Mais si les bateaux quittaient le port... cela signifiait-il que le blocus du Commodore Jean-Poil avait échoué ?