Maintenant qu’il était de la 102ème de l’élite, accompagné de ses deux comparses aux crânes luisants, Lex se voyait confié une missions, et on lui avait laissé « carte blanche » ; Ou plutôt le droit de se démerder mais de régler une situation cataclysmique. Le Don des Saints, je crois que ça parle à tout le monde, mais pour les trois derniers dans le fond, on va résumer rapidement : Lieu de vie d’une famille de Dragon Célestes, sans doute pour son climat clément et sa population locale dérisoire, et surtout rattachée à une fieffée raclure emmerdant tout et surtout son contemporain : j’ai nommé le très cher et très respecté capitaine des Saigneurs, Tahar.
Bon, maintenant c’est plutôt des routes propres et sans un seul nid de poule, du marbre, de l’or, des touristes qui repartent avec des souvenirs locaux, et tutti quanti … Ils y ont mit le paquet, et pas qu’un peu. Et bien sur, comme a chaque fois que tu entreprends de dynamiser le tissus économique et sociale d’un coin à coup de bottes et de fusil, ça ne plait pas à quelqu’un. Bon le quelqu’un était doué, ou sinon très discret ou bien si honnie que son nom était inconnu de Lex et de ses hommes, mais vu qu’apparemment aucun autres gradés n’avaient eu l’info, et qu’il pionçait à moitié, bercé par le chaloupé décalé du navire de la flotte de l’état Major qui les menaient sur place, il ne se formalisa pas de tout ça.
Tout juste ses antennes captèrent qu’un ou deux agent du Cipher étaient de la partie qu’un nouveau clapotis, qu’il percevait de l’autre côté du bois, avec ses écoutilles acérées, eurent vite fait de détourné son attention du briefing. Bon, selon Lex, l’affaire ne méritaient pas qu’on s’étendent en deux heures d’un monologue pompeux et ultra nationaliste, à croire que la grand mère de la cousin du gradé chargé de rassembler les équipes de tout les corps réquisitionnés par l’Etat Major, avait elle même été empoisonnée par l’eau contaminée… Oui parce que le génie révolutionnaire avait eu pour idée fantasque de glisser une substance spéciale et redoutable sensée tuer les Dragons Célestes dans leur doux nids douillets.
Sauf qu’il s’est pas imaginé une seule seconde que les Tenryuubito, ne buvaient pas d’eau du robinet, mais que des demie plate ou gazeuse, directement amenées pr cargos depuis l’île connue pour produire les meilleures eaux du monde, mais que par contre, ils chiaient dans l’eau potable et se douchaient avec. Que les boutons et autres furoncles des Dragons, associées à la mort et autre handicap lourds, allait mettre la puce à l’oreille des plus malins, et que la scientifique allait intervenir rapidement pour « régler ce merdier avant que je ne dise Toji Arshibourei ».
Donc il se retrouve dans ce bateaux, pour finir le taff, c’est à dire protéger la scientifique qui doit encore évaluée les dégât sur les céréales, parce que sur place, c’est l’épidémie la plus foudroyante, mortelle et grave survenue sur East Blue, à telle point qu’on transportait des spécialistes, un par équipe, qui doivent être de cinq minimum… Bah oui, en état d’alerte et devant retrouvés les éventuels dissidents/sympathisants/incompétents sur qui le chapeau de Damoclès va tomber, faut qu’ils soient cinq, au cas ou, soit.
On fournit de l’eau et des vivres saines, pour quelque jours, ainsi qu’une carte de la ou l’on doit déposer les scientifiques, chaque équipes se forment, selon leur accointances, leur renommés, et l a sympathie qu’ils s’inspirent, autant te dire que … Il ne resta a la fin qu’un grand rouquin à rouflaquettes et ventripotent, notre héros et ses deux auxiliaires, et une femme masqué….Bien obligé de s’avancer, dans sa tenue traditionnels de marins, ayant l’air du trouffion de base, notre gentilshommes ouvrit les hostilités :
- Bon, je vous présente Bonzo et Baek, sont plus utiles qu’ils ont en l’air. Moi c’est lex, Reglia, sergent de la 102ème.
Bon, maintenant c’est plutôt des routes propres et sans un seul nid de poule, du marbre, de l’or, des touristes qui repartent avec des souvenirs locaux, et tutti quanti … Ils y ont mit le paquet, et pas qu’un peu. Et bien sur, comme a chaque fois que tu entreprends de dynamiser le tissus économique et sociale d’un coin à coup de bottes et de fusil, ça ne plait pas à quelqu’un. Bon le quelqu’un était doué, ou sinon très discret ou bien si honnie que son nom était inconnu de Lex et de ses hommes, mais vu qu’apparemment aucun autres gradés n’avaient eu l’info, et qu’il pionçait à moitié, bercé par le chaloupé décalé du navire de la flotte de l’état Major qui les menaient sur place, il ne se formalisa pas de tout ça.
Tout juste ses antennes captèrent qu’un ou deux agent du Cipher étaient de la partie qu’un nouveau clapotis, qu’il percevait de l’autre côté du bois, avec ses écoutilles acérées, eurent vite fait de détourné son attention du briefing. Bon, selon Lex, l’affaire ne méritaient pas qu’on s’étendent en deux heures d’un monologue pompeux et ultra nationaliste, à croire que la grand mère de la cousin du gradé chargé de rassembler les équipes de tout les corps réquisitionnés par l’Etat Major, avait elle même été empoisonnée par l’eau contaminée… Oui parce que le génie révolutionnaire avait eu pour idée fantasque de glisser une substance spéciale et redoutable sensée tuer les Dragons Célestes dans leur doux nids douillets.
Sauf qu’il s’est pas imaginé une seule seconde que les Tenryuubito, ne buvaient pas d’eau du robinet, mais que des demie plate ou gazeuse, directement amenées pr cargos depuis l’île connue pour produire les meilleures eaux du monde, mais que par contre, ils chiaient dans l’eau potable et se douchaient avec. Que les boutons et autres furoncles des Dragons, associées à la mort et autre handicap lourds, allait mettre la puce à l’oreille des plus malins, et que la scientifique allait intervenir rapidement pour « régler ce merdier avant que je ne dise Toji Arshibourei ».
Donc il se retrouve dans ce bateaux, pour finir le taff, c’est à dire protéger la scientifique qui doit encore évaluée les dégât sur les céréales, parce que sur place, c’est l’épidémie la plus foudroyante, mortelle et grave survenue sur East Blue, à telle point qu’on transportait des spécialistes, un par équipe, qui doivent être de cinq minimum… Bah oui, en état d’alerte et devant retrouvés les éventuels dissidents/sympathisants/incompétents sur qui le chapeau de Damoclès va tomber, faut qu’ils soient cinq, au cas ou, soit.
On fournit de l’eau et des vivres saines, pour quelque jours, ainsi qu’une carte de la ou l’on doit déposer les scientifiques, chaque équipes se forment, selon leur accointances, leur renommés, et l a sympathie qu’ils s’inspirent, autant te dire que … Il ne resta a la fin qu’un grand rouquin à rouflaquettes et ventripotent, notre héros et ses deux auxiliaires, et une femme masqué….Bien obligé de s’avancer, dans sa tenue traditionnels de marins, ayant l’air du trouffion de base, notre gentilshommes ouvrit les hostilités :
- Bon, je vous présente Bonzo et Baek, sont plus utiles qu’ils ont en l’air. Moi c’est lex, Reglia, sergent de la 102ème.