La Triade de Kanokuni

Ma Song est un vieil homme rabougri d'1m20, le crâne complètement lisse et aux grands yeux. Du haut de ses 97 ans, il a une expérience et un vécu inégalé dans le milieu de la mafia. Depuis plus de 60 ans, c'est lui qui dirige le clan et œuvrant pour sa prospérité. Ayant des relations dans tous les niveaux de l'administration, il a longtemps fait la pluie et le beau temps sur l'île. Réfractaire aux changements, il est semble être dépassé mais son entêtement l'empêche de céder sa place. Véritable ponte local, c'est un homme respecté et respectable, qui possède encore un statut particulier. Même au sein de la Triade, il possède une aura singulière et sa parole pèse lourd. Autrefois l'un des guerriers les plus puissants de son pays, il rivalisait avec les Chinjao. Chef de guerre, il mis fin à de nombreuses rébellions contre le pouvoir central, ce qui lui permis d'obtenir des terres et une certaine immunité pendant de longues années. Il voit d'un mauvais œil la Révolution, qu'il juge responsable de la perte de l'identité kanokunienne, mais haït plus encore le Gouvernement Mondial, cherchant à retirer sa gouvernance à son peuple.

Le plus important pour Ma, c'est le respect des traditions et des valeurs. Attaché à ces principes, c'est un homme têtu et convaincant. Il est éloquent, rodé par des décennies de politique et parle avec beaucoup de respect. Bien qu'assagit par son âge vénérable, il n'en reste pas moins un homme colérique et fougueux, comme en témoigne son épithète de "Tigre de Chang Hyai". Particulièrement sensible sur le sujet de l'apparence physique, aborder sa taille ou sa légère surdité mènent à la mort.

Elevé depuis son plus jeune âge dans les intrigues politiques et les opérations mafieuses, Chao a toujours su qu'il reprendrait un jour la suite de son père. Seulement, à plus de 60 ans, il n'est toujours pas le chef du clan et n'en peut plus d'attendre. Il a gravit les échelons en interne, pour se forger et appris le hasshoken auprès de l'armée impériale, qu'il intégra dans sa jeunesse pendant 2 ans. Dans son élément à la Cité Rouge, il a des idées très différentes de celles de son père. Lui est pour accueillir le changement, saisir les opportunités et transformer le clan pour qu'il prospère encore longtemps, mais se heurte sans cesse à la poigne de fer et au traditionnalisme de Ma. Longtemps complexé par son physique disgracieux le faisant passé pour une "brute épaisse" alors qu'il se considère lui-même comme quelqu'un de raffiné, il a appris à maîtriser le Retour à la Vie pour changer d'apparence. Il est un homme sournois, machiavélique et prêt à tout pour atteindre ses objectifs. Jusqu'à tuer son propre père ? 
Bien sûr que oui, il en est même à la 32ème tentative d'assassinat.
Porteur d'une idéologie extrême liée à la "pureté de la race" pour assurer la gloire future de son clan, il a mis enceinte sa propre sœur (dans le plus grand secret), donnant naissance à Bao, puis l'a fit assassiner quelques mois plus tard. Pourquoi ? Parce que sa femme ne pouvait plus enfanter et qu'il n'avait pas de fils. 

Hautain, suffisant et hypocrite, Chao n'a aucun respect pour des traditions qu'il juge dépassées. Avide de pouvoir et d'argent, il est un manipulateur avisé qui sait jongler avec la diplomatie pour arriver à ses fins. Avec le temps, il voue une haine envers Ma, qu'il juge unique responsable de l'affaiblissement du clan Song. Il reconnaît en la famille Xi de parfait rivaux, trouvant le clan Tsao trop arriéré et conventionnel. 

Forme lorsqu'il relâche son Retour à la Vie:

Sen est le cadet de la famille Song, âgé de 93 ans. Ayant toujours secondé Ma, il a longtemps été son assassin le plus efficace. On le surnomma alors "Le Hiboux", car il opérait de nuit et sans un bruit, ne laissant derrière lui que des cadavres. Aujourd'hui, vieux et excentrique, il se positionne comme un conseiller du clan et formateur de certains de ses membres. Il n'aime plus les discussions politiques qui le fatiguent grandement. Ses implications portent essentiellement sur les décisions structurelles du clans et ses intérêts commerciaux. Son dos se bloque souvent, lui faisant prendre des positions loufoques qui ne font qu'accentuer sa personnalité déjà originale. 
Depuis la mort de sa nièce, la sœur de Chao, il porte une grande tristesse. Il en était très proche, lui qui n'eut jamais ses propres enfants. La considérant presque comme sa fille et elle le voyant comme son père de substitution.

 Sen est un homme extravagant, comme en témoigne sa coupe de cheveux à minima originale. Il s'exprime en faisant de nombreuses références/analogies aux hiboux et joue à se considérer comme tel. Taquin, il aime pousser ses interlocuteurs dans leurs retranchement pour savoir à qui il a à faire. Il ne manque pas de se plaindre régulièrement des douleurs dû à son grand âge, non sans en rire. Il n'est pas colérique, quoi que tout ce qui touche à sa défunte nièce le rend fou de rage.

Fille ainée d'une famille de notable, les siens prirent l'annonce de son mariage avec Chao Song comme une véritable aubaine. Ils devaient faire face à des difficultés financière et le sale caractère de leur fille les exaspéraient. Honorés que l'héritier des Song s'intéressent à leur progéniture, ils les accueillirent à bras ouverts. 
Depuis le mariage, Lin revit, pouvant laisser libre-court à sa personnalité et ses folies dépensières. Cependant elle ne su jamais que si Chao la séduite, c'était uniquement par intérêt, car la famille de Lin possédait de nombreuses boutiques qui permirent aux Song de blanchir leur argent. Un mariage arrangé en somme. 
Elle enfanta Meï, puis tenta en vain d'avoir un garçon. L'objectif était de fournir un héritier à Chao, qui n'en eut jamais de légitime. Elle tomba gravement malade et, passant non loin du trépas, devint totalement stérile. Ce coup dur, elle ne s'en remis jamais vraiment. Depuis lors, sa personnalité a un peu changée et ses traits sadiques et hautain ont totalement pris le dessus. Elle déteste l'amour et les femmes qui peuvent tomber enceinte, lui rappelant alors ce qui lui fut reproché comme son "inutilité" par son mari, charmant.

 Bavarde, volubile mais aussi sournoise et sadique, elle vit désormais sans la moindre contrainte sociale. Derrière son air de noble respectable, elle est aussi séductrice et se délecte du malheur des autres. Hautaine, elle se sent profondément supérieure à ce qu'elle nomme "la plèbe". Changeante, elle peut paraître douce lorsqu'elle défend certains intérêts, puis la seconde d'après, être enragée et quémander la décapitation de quelqu'un. 

Versée depuis son plus jeune âge dans les affaires familiales, Meï est particulièrement douée. Diplomate, autant que calculatrice et autoritaire, elle s'adapte parfaitement à son public. Capable de bienveillance, elle n'œuvre que pour le bien de son clan, qu'elle a dans les veines. 
Amoureuse de l'amour, elle s'est toujours entiché d'hommes au premier battement de cil. Dans le plus grand secret, toujours, car Chao n'a jamais toléré qu'elle ne fréquente quelqu'un que lui-même n'avait pas choisi. Or, elle ne peut faire autrement, c'est plus fort qu'elle. Si bien qu'un jour elle tomba folle amoureuse d'un certain Tan, un artiste martial renommé, mais surtout un roturier sans nom. Lorsque son père le découvrit, il envoya des assassins, qui éliminèrent le jeune homme. Enfin presque, car celui-ci devint l'homme à tout faire des Song, après avoir été lobotomisé. Depuis lors, elle garde Tan à ses côtés, comme étant son garde du corps.
Elle développa alors une haine féroce envers son père, mais ne peut se résigner à quitter son clan, qu'elle aime plus que tout. Elle demanda alors à prendre plus de responsabilité, tout en s'exilant elle-même du côté de la Péninsule des Tigres, où elle acquis en liberté d'action.

 Meï est une femme pleine de charme, ambitieuse et organisée. Elle est aussi belle que sévère lorsqu'elle le veut bien. Obligée de se battre et de prouver plus que les autres, de part sa condition de femme, elle a développé une grande force de caractère. Maussade depuis " l'assassinat "de Tan, elle a fini par croire elle-même qu'elle était maudite de l'amour. Aussi, cela a développé sa colère et son ressentiment envers son père, qu'elle espère supplanter à la tête du clan. Elle n'est pas particulièrement cruelle, mais habituée aux méthodes de la mafia, elle n'a aucun problème avec la mort et la violence, qu'elle côtoie depuis toujours. 

Bao n'a jamais connu sa mère, la défunte sœur de Chao. Aussi, il fut élevé par ce dernier, comme s'il était son propre fils. Depuis qu'il fut en âge de comprendre les choses, il se jura d'un jour tuer le meurtrier de sa mère. Rapidement, il fut écarté des affaires mafieuses et il fut placé dans l'Armée Impériale aux alentours de ses 14 ans, grâce aux contacts des Song. Ainsi, il a fais toutes ses classes, a appris l'art du Hasshoken est a gravit les échelons par la force. Véritable colosse, il n'a jamais lésiné sur l'intellect est s'est instruit pour devenir officier. Au fil des années, il s'est forgé une certaine réputation, menant ses hommes à la victoire et remportant de nombreux duels. Ayant pris part à de nombreuses batailles, il a affronté le Gouvernement Mondial, comme des pirates, des Révolutionnaires et autres brigands. Son appartenance au sein de l'armée lui a permis de développer un fort sentiment nationaliste et il mourrait pour Kanokuni. Depuis qu'il a pris en grade, il fournis quelques informations mineures au clan Song, afin de faciliter leurs affaires.
En réalité, il est le fils de l'union contre-nature de Chao et sa mère. Celle-ci a d'ailleurs été assassiné par lui, afin de plonger ce terrible secret dans la tombe. Chao ayant alors un fils, il l'endurcit ailleurs pour, à termes, en faire son héritier, au détriment de Meï. 

 Fierté, honneur, orgueil et droiture, décrivent parfaitement Bao. Sa vie de militaire a fait naître ces valeurs fortes, qu'il défend et défendra contre vents et marées. Il n'est pas très bavard, l'air constamment énervé (bien qu'il ne s'agisse que d'une façade). Bao est un homme intransigeant et nationaliste qui déteste tout ce qui peut venir de l'extérieur de son pays. Il défend l'idée d'un putsch militaire pour rétablir l'Empereur, mais n'a pas les alliés nécessaires pour le faire. Bien qu'il soit un stratège militaire, il est plus enclin à se faire manipuler que Meï, du moment que ses faiblesses sont bien exploitées. Prompt à l'emportement lorsqu'on le provoque, son égo est l'un de ses principaux défauts.   

Tan était un homme charmant et charmeur, un virtuose des arts martiaux qui gagnait son pain grâce à ses compétences, lors de représentations ou de combats. Malgré sa basse extraction, il a côtoyé les hautes sphères jusqu'à séduire la belle Meï Song. Les deux jeunes adultes se voyaient souvent, flirtaient et vivaient un idylle amoureux caché des regards. Enfin jusqu'à ce que Chao s'en rende compte. Ce jour là, il envoya des assassins pour éliminer le gueux qui osait souiller sa fille. Ils furent tous vaincus. Surpris Chao dû envoyer bien trop d'hommes pour en vaincre un seul, jusqu'à devoir intervenir lui-même pour mettre un termes à cette mascarade, ce qui lui déplut fortement. Reconnaissant le potentiel de son adversaire, il le maintint en vie tout en le torturant. Il le brisa psychologiquement et lui fit vivre les pires atrocités. Notamment, il l'amputa de ses deux bras avant de les lui réimplanter, grâce à l'aide de grands chirurgiens véreux. Les douleurs qui s'en suivirent furent terribles. Au bout d'un mois de sévices, son cerveau se déconnecta, sa personnalité se brisa et Chao fit venir des savants fou de Zaun. Ceux-ci implantèrent une puce dans le cerveau de Bao, le transformant alors en arme humaine, sans émotions, sans conscience ni libre-arbitre. Désormais, l'homme n'a plus que sa force pour lui et agi selon les volontés de ses maîtres.
Un ordre de priorité dans les ordres a été mis au point lors de son formatage, que voici : 
Membre lambda du clan < dirigeants du clan (Chao, Lin, Sen ou Ma) < Meï
Tan ne peut exécuter un ordre qui va à l'encontre d'un membre du clan, ou un ordre émanent de lui, supérieur dans l'ordre de priorité du commandement.
En réalité, ce schéma bien que présenté comme tel par les savants de Zaun est faux, il est plutôt comme cela : 
Membre lambda du clan < dirigeants du clan (Lin, Sen ou Ma) < Meï < Chao

 Tan a perdu presque toute sa faculté d'élocution, n'alignant que des phrases très courtes et expéditives, qui se résume généralement à "oui maître/sse", à "mission accomplie" ou "élimination confirmée" . Il n'a ni personnalité, ni humanité, n'étant qu'un robot à l'instar d'un Pacifista de la Marine. 

Niveau évalué :
Dorikis : 2 700
PP : 100 (considéré comme l'exécuteur du clan, il n'est craint que par les autres mafieux)
PI : -200 (il n'est employé que pour l'assassinat et la protection de Meï
PRIME :
Localisation :
Créateur du PNJ :

Habiletés/Pouvoirs :
Hasshoken
Maîtrise des nunchakus
Voltigeur
Maître martial
Programmé

Ayant, dans sa jeunesse, choisi de rentrer dans un monastère pour étudier le zen, son sang l'a finalement rappelé à la réalité. Son père, Deng, mourut en 1627 et l'obligea à reprendre les rennes du clan. Motivé par le rêve de vivre dans un monde en harmonie, il mène d'une main douce les affaires des Tsao. S'appuyant sur l'expérience et les connaissances de ses cousins, il mène une véritable campagne, pour s'attirer la sympathie de hauts-placés. Ainsi, il espère annihiler les ambition belliqueuses de Jin, son opposant à la succession. Car selon lui, celui que l'on nomme "Le Serpent" est le pire de ce qu'il pourrait advenir du clan Tsao. Un homme sous l'emprise duquel, le clan se lancerait dans des guerres interminables et placerait le pays tout entier sous les ombres du mal.
Très poli, son éducation de moine transpire dans chacune de ses interactions.

Tempéré, philosophe et empreint de bonté d'âme, Dung embrassa la voie de chef mafieux dans la souffrance. Très attaché à la notion de devoir, il ne peut se soustraire à son destin, essayant d'adoucir ce pans criminel de la société. Pacifiste de nature, il cherche à résoudre les conflits par la diplomatie. Il s'exprime avec un grand respect, humilité et toujours avec calme, comme le veut son instruction monastique.

Si l'assassinat devait avoir un visage, ce serait celui de Jin.
Né dans une branche secondaire de la famille Tsao qui gère depuis plusieurs générations les activités d'assassinat, il fut élevé dans cadre d'une rudesse extrême. Dès l'âge de quatre ans, on lui appris mille et une façon d'occire un Homme. Battu, soumis à d'effroyables tortures, empoisonné, on lui fit subir tout ce qu'il y avait de pire, pour s'assurer qu'il soit fort. Rompu aux techniques du hasshoken, l'art martial local, dont il est l'un des tous meilleurs représentant, son ambition de pouvoir a grandit au fil des années. Conscient, depuis son plus jeune âge, qu'il ne serait jamais le chef, il vécu dans la frustration, jusqu'au décès de son oncle Deng. Il pensait alors être nommé à la tête du clan Tsao, mais on lui préféra Dung, ramené depuis les ordres monastiques. Dissimulant sa rage derrière une langue acerbe et des manigances mortelles, il complote pour prendre les rennes, par la force ou la ruse.

La fin justifie les moyens : voici ce qui correspond le mieux à Jin.
Il ne fait aucune place aux sentiments, est un homme calculateur, manipulateur et sadique, prenant du plaisir à torturer ses ennemis, aussi bien physiquement que psychologiquement. Calme, il n'est pas colérique, mais est intransigeant. Il ne voit que par l'excellence et ne tolère en aucun cas l'échec. 

Fils de Jin, il est pourtant le parfait opposé à son paternel.
Là où le chef de la branche de l'assassinat est un homme fin, au style de combat aérien et élégant, lui est un véritable rhinocéros, fonçant et détruisant tout sur son passage. Né d'un mariage avec une étrangère, sa tignasse blonde lui a valu de nombreuses stigmatisations, depuis tout jeune. Moqueries qu'il a toujours fait taire de ses poings. Soutien indéfectible à la candidature de son père comme chef du clan, on le dit si efficace qu'il aurait une place toute réservée au CP9, s'il se présentait au Gouvernement Mondial. Dur comme un bloc de granit, autant de corps que d'esprit, son nom fait trembler ses ennemis.

Si physiquement il est à l'opposé de son père, mentalement il lui ressemble beaucoup. Froid, implacable, attaché aux valeurs d'excellence, de fierté et familiales. Cependant, là où il se démarque c'est dans l'absence totale de sadisme de sa part, lui préfère les assassinats éclairs et radicaux. Il est très sûr de lui et de sa force. Sa loyauté envers son père est indéniable et il mourra pour ses principes.

Cousin éloigné de Dung, il s'est fait apposé la marque de la honte, selon les traditions du clan. En effet, son père a trahit la famille Tsao, vendant des informations au Song par le passé. Il fut alors tué et ses enfants furent marqués d'une double cicatrice, pour que la honte traverse le temps. Ning a pourtant suivi la seule voie qu'il connaissait, celle de la criminalité. Pisteur de talent, négociant et beau parleur, il supervise le trafic d'animaux à travers tout le pays. Capable de communiquer avec les bêtes, il a su tirer son épingle du jeu et reste un fervent partisan de Dung, souhaitant voir l'ex-moine à la tête du clan plutôt que l'effroyable Jin. Il est fidèle à son clan, incapable de trahir les siens à cause du traumatisme vécu suite à la faute de son père. C'est un homme influent, qui aime participer aux soirées mondaines.

Ning est un tendre, qui masque son manque d'assurance et de force de caractère par un comportement volubile. Il parle fort, se fait remarquer constamment par ses excentricités. Il aime énormément l'argent et les privilèges que lui octroient cette richesse. Il n'est pas un homme autoritaire et cherche des solutions timorées aux situations. Bon vivant, il a en horreur Jin et ses descendants, qu'il trouve dangereux. Il n'est pas quelqu'un de très loyal, sa survit passant avant ses valeurs. Il n'est pas quelqu'un de fier ni même réellement courageux.

Hsin et le petit frère de Ning, lui aussi marqué par la balafre de la honte. Il est également l'un des principaux piliers, favorisant le maintien de Dung au pouvoir du clan Tsao mais est plus ancré dans les méthodes détournées de la mafia que son ainé. Ayant une grosse influence dans le milieu agroalimentaire de Kanokuni, il cherche à réunir un maximum de fonds, afin de financer l'extermination de Jin et sa descendance. Il reste malgré tout adroit diplomate et fera tous ses coups par derrière. Incapable de trahir la lignée au pouvoir du clan, c'est un bon vivant qui se satisfait de nourriture, d'alcool et de jolies femmes. On lui prête des mœurs qu'il vaut mieux taire. Seul son rang lui a évité, jusqu'à présent, la potence.

Décadent, Hsin est un homme à la fois avide, cruel et manipulateur. Son argent et son influence lui garantisse son impunité, qu'il met à rude épreuve par l'assouvissement de ses désirs dépravés. Il joue constamment de sa position, aime le pouvoir et le fait d'être au-dessus des autres. Il est méticuleux dans ses plans, réfléchi et prêt aux pires trahisons. Ses valeurs n'existent que pour le maintenir aux plus hautes sphères, il soutien d'ailleurs Dung car il sait qu'avec Jin au pouvoir, il perdra de son rang.</p>


Niveau évalué :
Dorikis : 50
PP : 500 (ponte du commerce et de l'agroalimentaire, il a des connexions à toutes les échelles, des paysans aux ministres)
PI : -500 (c'est un homme abjecte qui a de nombreuses affaires sordides dans ses placards, il exploite aussi les paysans qui lui vouent une haine autant qu'ils ont besoin de lui)
PRIME : Non-primé
Localisation : Kanokuni
Créateur du PNJ : Wolt Hender

Habiletés/Pouvoirs :
Habile négociateur
Utilise un pistolet

Jeune fils de Huo, il est le prodige du clan Tsao.
Il a surpassé tous ses prédécesseurs en termes de précocité dans l'art de l'assassinat. Efficace, discret et puissant, son nom commence à être redouté. Naturellement doué, il sait apprendre n'importe quel art martial en un rien de temps et possède contrôle de son corps tellement aboutit, qu'il en a maîtrisé sans le vouloir le retour à la vie. Combattant à l'aide de ses longs cheveux noirs, on lui prête alors la réputation de pouvoir se battre avec mille bras, d'où son épithète. Il est, malheureusement, un peu colérique et son seul défaut réside dans son manque de maîtrise de ses émotions.

Instable décrit parfaitement Dewei. La violence et la cruauté de l'entraînement que lui ont fait subir Huo et Jin l'on rendu fou. Il est introverti, ne parlant qu'à voix très basse et arbore un masque perpétuel. Cependant, il est colérique, ne parvenant pas à gérer cette émotion qui le transcende. Comme une seconde personnalité, il parle alors avec une voix grave et se mue en une bête sauvage, inarrêtable. Timide et dévoué, il ne sait pas ce que pourraient être ses désirs, ses valeurs ou ses envies, tant il est guidé par ce qui lui a été inculqué. N'ayant pas d'identité propre, il est presque un cyborg, que de puissantes émotions pourraient faire vaciller. 

Bateï est un esclave acheté par Jin, qui l'a par la suite libéré de son servage. En effet, le doyen de la branche secondaire avait remarqué son imposante carrure et son potentiel dès son plus jeune âge. Aussi, à seize ans, il se sacrifia pour sauver son maître qui faisait l'objet d'une tentative d'assassinat à la dynamite. En reconnaissance de ce sacrifice, Jin fit venir les meilleurs médecins du marché noir et d'importants ingénieurs de Zaun pour lui sauver la vie. Bateï s'en sortit alors, devant par la même occasion un cyborg, bien que peu modifié. Il est revêtu d'une fine plaque de métal, protégeant ses organes, ses muscles et entrailles. Ainsi, il ne peut être percé de balles ou coupé par un sabre lambda, mais pourra saigner car il possède encore son système veineux. 
Ses doigts, eux, ont été remplacé par des prothèses de pistolets mitrailleurs. Ils prennent ainsi la forme de doigts normaux, mais à sa guise il peut ouvrir les dernières phalanges, laissant entrevoir le bout des canons de ses armes. Il s'agit du garde du corps de cette branche du clan Tsao, leur servant de bouclier humain.

Au service de Jin depuis de nombreuses années, Bateï est son homme de main le plus dévoué. Prêt à tout pour son maître, il a renié son humanité pour n'être plus que son outil. Il a une voix calme, presque apaisante et ne s'énerve jamais, sauf s'il voit Jin où l'un de ses descendants saigner. Pragmatique, il en est presque binaire à l'image d'un robot. Il n'éprouve pas de sentiment et ne possède aucune valeur. Ceci s'explique par les dommages qu'a reçu son cerveau lors de son sacrifice. Pour lui, seul compte son devoir, comme programmé dans sa conscience : protéger et servir les Tsao.

Selon Xi Jinping, l'argent domine le monde.
Marchand depuis toujours, il ne voit le monde et les relations humaines que sous le prisme de l'argent. Conscient qu'un plafond de verre l'empêcherait de s'élever aux plus hautes sphère, car il n'est pas de la dynastie Ming, il a fini par faire son entrée dans la mafia. Son ascension fut fulgurante. Habile négociateur, capable de jauger des forces et faiblesses d'autrui en un coup d'œil et véritable charmeur de foules, il est un homme redoutable et redouté. Selon lui, cette voie est la seule qui lui permettra d'assouvir son avidité qui semble intarissable. Possédant une grande fortune, il paye et essaye de rallier à lui ceux qu'il juge comme les meilleurs, afin de se constituer une puissance invincible. Son incursion dans la mafia, très récente, lui voue une très mauvaise réputation auprès des autres membres de la Triade, mais lui il s'en fiche.

Ronin du pays des Wa, Kenbun a quitté sa patrie pour vivre l'aventure dans ce vaste monde. Rapidement, il s'est rendu compte que l'aventure s'était surcoté et que sans argent, on fini par crever de faim (ou manger du roi des mers si on en trouve).
Il a pas mal vagabondé, de mer en mer, jusqu'à obtenir une licence de Chasseur de Prime. Dès lors, il commença à gagner de l'argent, devenant un mercenaire redouté. Chassant les pirates en quête de liberté, il les réduisait à néant, pour son seul confort. Puis les années passèrent et il se tourna vers West Blue, où il traquait révolutionnaires et pirates. Il voulu prendre en chasse Gaman Thompson et Sergeï Kalachnikov, se faisant arrêter par Xi Jinping qui le recruta, contre une somme faramineuse. Excité par l'argent et curieux des intentions de son nouvel employeur, il décida de rester à ses côtés pour voir où cela allait le mener.

Pirate depuis plus d'une quinzaine d'année, Gaman jouit d'une terrible réputation, celle d'être un cannibale. Il n'y a pas de fumée sans feu. Il est vrai que celui que l'on nomme "Le Dévoreur" est de la pire espèce. Amateur de femme, pervers et salace, il rajoute à son triste palmarès celui d'aimer la chair humaine, notamment de belle jeune femme. Dès lors que les autorités ont eu vent de cette abomination, ils lui collèrent une prime reflétant la dangerosité pour les peuples qu'il côtoierait. Une malédiction, qui le fit poursuivre par les soldats et les chasseurs de primes pendant de longues années. Harassé par cette course-poursuite perpétuelle, il échoua à Kanokuni avec son équipage, où il fut rapidement repéré par Xi Jinping. Celui-ci l'embaucha et lui offrit une nouvelle vie, dans un pays qui n'a que faire des avis de recherches, car non-affilié au Gouvernement Mondial.

Ancien rookie ayant écumé les Blues ainsi que la première partie de Grandline, Sergeï et un alcoolique notoire, vainqueur de bien trop de concours de boisson. Né dans la crasse d'Amerzone, plongé dans l'alcool par un père ivrogne, il s'est développé ainsi jusqu'à entrer dans le banditisme. Contrebandier, puis voleur, brigand il fini pirate à voguer et terroriser ceux qui ne lui offraient pas l'apéro. Après de multiples affrontements avec la Marine, il écopa d'une coquette prime sur sa tête, témoignant de sa ténacité et sa dangerosité. Il ne passe pas une seconde sans qu'il ne tienne une bouteille et à la main, pourtant, il ne sera jamais malade. Son métabolisme s'est habitué et, dit-on, c'est du rhum qui coule dans ses veines et non du sang.

Autrefois bête de foire, exhibé par un équipage pirate, il s'est ensuite fait bourlinguer de cirque en cirque, jusqu'à atterrir sur Kanokuni, où il rencontra Oogway, son père d'adoption. Véritable gentil, naïf et pataud, il n'a jamais cherché à entrer dans la mafia, subissant le coup du sort. Il obéit donc aux ordres de Jinping, qu'il tente parfois de remettre en cause, mais dès lors que son maître hausse le ton, il plie et s'exécute. Doux, il rêverait d'un monde de paix au cœur d'une forêt de bambou.

Humain, autrefois moine zen dans un monastère reculé de Kanokuni, il fut un jour missionné par ses pairs pour les ravitailler en encens. Il dû alors cheminer jusqu'à la capitale, où il allait acheter ce dont il avait besoin mais découvrit un minks panda, esseulé et tourné au ridicule. Défenseur de la vie, il choisi de prendre sa défense et l'acheta, l'obligeant alors à adopter son nouveau compagnon et travailler pour acheter l'encens nécessaire. Personne ne voulait le faire travailler, alors ils vécurent la faim pendant un moment, jusqu'au jour où il mangea un étrange fruit. Il devint alors un homme-tortue, capable de se nourrir de végétaux. Il fut découvert par Xi Jinping, qui vit en ces deux compagnons un potentiel énorme. Dès lors, il devint le diplomate du clan, toujours prompt à chercher l'entente et l'harmonie dans ses relations avec les autres membres de la Triade.

Oogway suit les ordres dictés par Xi Jinping, car celui fait peser la menace de détruire le monastère auquel il appartenait, en cas de désobéissance.