Si la mer était agitée, aucun nuage ne venait assombrir l’horizon. Cela devait être dû aux merveilleux capacités climatique de la Cavalière Trisha qui leur assurait un temps clément bien que le vent cherchait à les malmener. Et heureusement qu’ils ne devaient pas essuyer une terrible pluie battante, car le moral des troupes était déjà au plus bas. Jaya s’était terminé, l’île était perdue et malgré les efforts des révolutionnaires pour protéger l’endroit de la folie d’une dragon céleste, cela n’avait pas été suffisant pour assurer leur victoire. Sur l’ensemble de bateau s’étendait des hommes et des femmes de l’Armée Révolutionnaire et des civils de Jaya. Beaucoup de blessés, et surtout, une tristesse planante. Mais si beaucoup pleuraient encore la mort et la disparition de leur père, fils ou ami, certains révolutionnaires s'étaient déjà lancé dans les projets suivants pensant avant tout à la prochaine revanche.
Regroupés autour d’un tas de ferraille, America, Paul et tout un tas de soldats de la section développement détaillaient l’engin qu’ils avaient ardemment fait grimper sur le navire pendant l’évacuation. Un engin complètement amorphe, et à la forme d’un pacifistas de première génération que la marine avait envoyé par vague pour détruire les premières lignes révolutionnaires.
- “Je ne sens rien !” clamait America de sa voix robotique.
Cela faisait un moment qu’il essayait de rentrer en contact avec la machine sans qu’elle ne lui réponde. Dans son système interne, le phrase “no signal” s’affichait au milieu de son centre visuel encore et encore sans qu’il ne la comprenne. Elle était suivie d’un bipement sonore qu’il avait fini par associer à l’échec.
Il approchait sa truffe de pacifista, reniflant de son odorat de chien pour sentir le métal chaud et l’odeur âcre de la fumée des affrontements. Il recula alors la tête.
- “Il est tout cassé !”
Un constat simple que tous avaient déjà du se faire dans le groupe de scientifique de l’AR mais que le chien avait besoin d'extérioriser comme un enfant incapable de se taire. Et s’il avait envie de le réparer lui-même, il n’avait malheureusement pas les bras pour se débrouiller seul.
Regroupés autour d’un tas de ferraille, America, Paul et tout un tas de soldats de la section développement détaillaient l’engin qu’ils avaient ardemment fait grimper sur le navire pendant l’évacuation. Un engin complètement amorphe, et à la forme d’un pacifistas de première génération que la marine avait envoyé par vague pour détruire les premières lignes révolutionnaires.
- “Je ne sens rien !” clamait America de sa voix robotique.
Cela faisait un moment qu’il essayait de rentrer en contact avec la machine sans qu’elle ne lui réponde. Dans son système interne, le phrase “no signal” s’affichait au milieu de son centre visuel encore et encore sans qu’il ne la comprenne. Elle était suivie d’un bipement sonore qu’il avait fini par associer à l’échec.
Il approchait sa truffe de pacifista, reniflant de son odorat de chien pour sentir le métal chaud et l’odeur âcre de la fumée des affrontements. Il recula alors la tête.
- “Il est tout cassé !”
Un constat simple que tous avaient déjà du se faire dans le groupe de scientifique de l’AR mais que le chien avait besoin d'extérioriser comme un enfant incapable de se taire. Et s’il avait envie de le réparer lui-même, il n’avait malheureusement pas les bras pour se débrouiller seul.