Marcel, Leonard
Sexe : Homme
Race : HumainMétier : Capitaine Pirate Mime
Groupe : Pirate
But : Être élu président des piratesParrain : Marine Pirate
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Pas vraiment, vu que les autres sont morts depuis un moment, mais si y'a besoin d'une demande, pas de souci
Codes du règlement :
Description physique
« Mesdames et Messieurs, je suis Hortense Leonard, et je vous souhaite la bienvenue à cette réélection annuelle à mon poste de maire ! Permettez-moi, pour la première performance, de donner la parole à mon fils Marcel ! »
La petite femme guindée au visage sévère s'écarta de la scène sous les applaudissements tandis que rentrait un grand et élégant jeune homme brun. Ce dernier se positionna solennellement au centre de l'estrade et s'inclina élégamment pour saluer son public avant de se redresser, un sourie affable sur ses lèvres maquillées de noir.
Marcel avait fait des efforts, considérant l'occasion. Il avait soigneusement dessiné l'ovale de son masque blanc, s'était appliqué à tracer la larme noir sous son œil gauche et avait habilement peint ses lèvres fines. Chaque trait était régulier, aucun détail laissé à la chance. C'était la moindre des choses pour une personne de son statut.
Mais bien sûr, le visage ne fait pas tout. A quoi bon se farder de la sorte si le reste ne suivait pas ? Alors Marcel s'était paré de ses plus beaux atours, élevant juste ce qu'il fallait son style habituel. Sur son impeccable costume noir, il avait ajouté une rose fraîche, cueillie le matin même dans un rosier communal. Autour de son cou, un nœud papillon de satin faisait fière mine, et il le resserra en le pinçant délicatement entre ses mains vêtues pour l'occasion de sa plus belle paire de gants immaculés. Ils avaient appartenu à son grand-père, c'était un symbole, une démonstration de l'héritage de sa famille.
Le jeune homme était très fier de son allure, il irradiait la confiance propre à son statut de fils de la maire du village, mais également la solennité due à son père, mime municipal agréé. Toutefois, l’heure n’était pas à la complaisance. Il avait un discours à donner.
La petite femme guindée au visage sévère s'écarta de la scène sous les applaudissements tandis que rentrait un grand et élégant jeune homme brun. Ce dernier se positionna solennellement au centre de l'estrade et s'inclina élégamment pour saluer son public avant de se redresser, un sourie affable sur ses lèvres maquillées de noir.
Marcel avait fait des efforts, considérant l'occasion. Il avait soigneusement dessiné l'ovale de son masque blanc, s'était appliqué à tracer la larme noir sous son œil gauche et avait habilement peint ses lèvres fines. Chaque trait était régulier, aucun détail laissé à la chance. C'était la moindre des choses pour une personne de son statut.
Mais bien sûr, le visage ne fait pas tout. A quoi bon se farder de la sorte si le reste ne suivait pas ? Alors Marcel s'était paré de ses plus beaux atours, élevant juste ce qu'il fallait son style habituel. Sur son impeccable costume noir, il avait ajouté une rose fraîche, cueillie le matin même dans un rosier communal. Autour de son cou, un nœud papillon de satin faisait fière mine, et il le resserra en le pinçant délicatement entre ses mains vêtues pour l'occasion de sa plus belle paire de gants immaculés. Ils avaient appartenu à son grand-père, c'était un symbole, une démonstration de l'héritage de sa famille.
Le jeune homme était très fier de son allure, il irradiait la confiance propre à son statut de fils de la maire du village, mais également la solennité due à son père, mime municipal agréé. Toutefois, l’heure n’était pas à la complaisance. Il avait un discours à donner.
Description psychologique
Il avait répété avec assiduité son discours, afin d’être certain de rendre justice au talent d’oratrice de sa mère. Elle lui avait tout appris : l’art de communiquer ses valeurs à autrui, le paraître au quotidien, le style, l’éloquence, et surtout la confiance en soi. Et s’il y avait bien une chose dont ne manquait pas Marcel, c’était de confiance. Il avançait dans la vie avec l’audace de celui qui pense savoir. Il avait une opinion sur tout – et surtout une mauvaise diront les mauvaises langues ; des idées pour chaque situation, bien qu’il concède lui-même que lesdites idées ne soient pas à la portée de chacun. Son esprit se trouvait parfois trop élevé pour la plèbe, l’obligeant fréquemment à s’abaisser aux niveaux les plus simplistes de la réflexion.
Ce qu’il fallait comprendre par là, et dans un pur souci de dresser un portrait objectif, c’est que si Marcel avait le choix de passer par la fenêtre entrouverte du premier étage pour entrer dans une demeure, il le ferait. Même si la porte d’entrée était déverrouillée. Même si « bon sang, Marcel, descend de ce chêne, on est à la maison et même si c’était fermé on a tous une clé ». Soyons clairs, le bon sens de Marcel pointe systématiquement dans la mauvaise direction.
Heureusement, l’aplomb du jeune homme lui a toujours épargné le retour de bâton de ses mauvaises idées. De manière globale, il considérait que toute idée menant à une réussite quelconque était la sienne et disposait d’une dose de mauvaise foi suffisamment élevée pour ne pas être capable d’entendre la moindre vérité contrariante. Il était si reconnaissant auprès de sa mère pour l’avoir doté de tous ces outils. Après tout, c’est ce qui avait permis à Hortense de se faire élire toutes ces années durant.
Mais son incroyable personnalité, il ne la devait pas seulement à sa mère. Son père Hippolyte, avait également grandement contribué à son développement personnel. Il l’avait élevé, lui et ses frères, dans les plus strictes règles de l’art de la pantomime. Marcel était ainsi parfaitement maître de son corps et de ses gestes. Il avait acquis par le fruit de son travail acharné une grâce et une élégance enviée de ses proches comme de ses opposants. Aucun faux pas n’avait croisé son chemin, et ses dons de persuasion étaient sans pareil. A ses yeux, du moins.
Ce soir, il allait donc mettre à profit le fruit de ses apprentissages pour féliciter sa mère et partager avec la foule la grandeur de la famille Leonard, prêt à rendre sa mè(ai)re fière, à rendre hommage à ses accomplissement et sa réélection auto-proclamée – les prochaines élections officielles n’arriverait que dans trois ans, mais pour Hortense, la clé de la réussite résidait dans la fidélisation de l’électorat.
Marcel inspira un grand coup.
« ( ͡ಥ ͜ʖ ͡ಠ) ヾ(῀ ⌄ ῀)ノ” _〆(⊙ᴗ⊙)७ ง (ಠ ل͜ಠ)ง ⎧ᴿᴵᴾ⎫◟◟◟◟◟◟◟◟ ❀◟(ó ̯ ò, ❀ (〜•-•)〜 ╰(✿´⌣`✿)╯♡
ET C'EST TOUT CE QU'ELLE MÉRITE ! »
Ce qu’il fallait comprendre par là, et dans un pur souci de dresser un portrait objectif, c’est que si Marcel avait le choix de passer par la fenêtre entrouverte du premier étage pour entrer dans une demeure, il le ferait. Même si la porte d’entrée était déverrouillée. Même si « bon sang, Marcel, descend de ce chêne, on est à la maison et même si c’était fermé on a tous une clé ». Soyons clairs, le bon sens de Marcel pointe systématiquement dans la mauvaise direction.
Heureusement, l’aplomb du jeune homme lui a toujours épargné le retour de bâton de ses mauvaises idées. De manière globale, il considérait que toute idée menant à une réussite quelconque était la sienne et disposait d’une dose de mauvaise foi suffisamment élevée pour ne pas être capable d’entendre la moindre vérité contrariante. Il était si reconnaissant auprès de sa mère pour l’avoir doté de tous ces outils. Après tout, c’est ce qui avait permis à Hortense de se faire élire toutes ces années durant.
Mais son incroyable personnalité, il ne la devait pas seulement à sa mère. Son père Hippolyte, avait également grandement contribué à son développement personnel. Il l’avait élevé, lui et ses frères, dans les plus strictes règles de l’art de la pantomime. Marcel était ainsi parfaitement maître de son corps et de ses gestes. Il avait acquis par le fruit de son travail acharné une grâce et une élégance enviée de ses proches comme de ses opposants. Aucun faux pas n’avait croisé son chemin, et ses dons de persuasion étaient sans pareil. A ses yeux, du moins.
Ce soir, il allait donc mettre à profit le fruit de ses apprentissages pour féliciter sa mère et partager avec la foule la grandeur de la famille Leonard, prêt à rendre sa mè(ai)re fière, à rendre hommage à ses accomplissement et sa réélection auto-proclamée – les prochaines élections officielles n’arriverait que dans trois ans, mais pour Hortense, la clé de la réussite résidait dans la fidélisation de l’électorat.
Marcel inspira un grand coup.
« ( ͡ಥ ͜ʖ ͡ಠ) ヾ(῀ ⌄ ῀)ノ” _〆(⊙ᴗ⊙)७ ง (ಠ ل͜ಠ)ง ⎧ᴿᴵᴾ⎫◟◟◟◟◟◟◟◟ ❀◟(ó ̯ ò, ❀ (〜•-•)〜 ╰(✿´⌣`✿)╯♡
ET C'EST TOUT CE QU'ELLE MÉRITE ! »
Biographie
Quelques applaudissements polis s’élevèrent du public tandis que le reste de la famille Leonard rejoignait Marcel. Hortense était émue, Hippolyte affichait une expression exagérément heureuse. Derrière eux, les trois frères de Marcel étaient mitigés.
Hortense et Hippolyte avait eu la chance de voir leur vie bouleversée par l’arrivée de quadruplés. Certes, leur quotidien était devenu mouvementé, mais ils avaient tellement de choses à transmettre que quatre enfants, ça n’avait pas été de trop. Et bien sûr, Marcel avait été l’apogée de leur gênes, un parfait mélange de pantomime et de politique. L’équilibre idéal qui le destinait à de grandes choses. Toutefois, les autres n’étaient pas en reste, chacun développant des spécialités uniques, complétant celles des autres.
Ainsi, en plus de Marcel, mi-mime, mi-politicien, la famille était composée de Charlie, Louis et Sasuke. Charlie était un mime de génie qu’on n’avait jamais entendu prononcer un son, même le jour où il se cassa le nez en percutant la fenêtre imaginaire dont il cherchait la poignée. Louis préféra la politique, aidé par son riche et complexe vocabulaire qu’il n’hésitait pas à clamer dès qu’on lui adressait la parole. Enfin, il y avait Sasuke. Il était... spécial. Un bon bougre, mais dont le seul loisir était la maçonnerie. La vraie. Avec des briques bien solides. Ses parents n’avaient jamais vraiment réussi à le comprendre, mais ils l’avaient acceptés et élevés avec le même amour que pour les trois autres.
Aujourd’hui sur scène, le tableau était touchant. Après tout, cette journée n’était pas seulement dédiée à Hortense, car les garçons avaient désormais dix-huit ans, ils devenaient des hommes en mesure de représenter le peuple ou d’obtenir le statut officiel d’intermittent du spectacle. Et justement, Marcel avait eu l’idée parfaite pour entrer dans la vie active. Il attendit que la cérémonie se termine et il réunit ses frères pour leur proposer son projet :
« ࣪ ﹏⊹﹏|▷﹏⊹ ࣪ (。●皿●)σ»
Devant l’air extrêmement incrédule de Charlie, Marcel développa :
« [̲̅$̲̅(̲̅ ͡° ͜ʖ ͡°̲̅)̲̅$̲̅] ❪ง✧ل͜ ✧❫ง❪ง✧ل͜ ✧❫ง❪ง✧ل͜ ✧❫ง EST-CE QUE VOUS ME SUIVEZ ??»
« Il est indubitablement certifié que notre génitrice a expressément asserti de la nécessité d’un fort apport pécuniaire dans le cadre du développement certifié de nos compétences réciproques. »
« Y’a des murs sur un bateau ? »
« (ʘ ل͟├┬┴┬┴ »
« Alors j’en suis ! »
« Je peux concevoir une mise à niveau de mon planning afin d’aligner mes objectifs dans la lignée d’une mise en commun de nos aptitudes. »
« ⁅ÔຟÔ⁆ »
Et c’est ainsi que naquit l’équipage des Pirates Mime Députés.
Bien que l’équipage fut fondée sur l’idée que pour démarrer une bonne campagne électorale, un apport monétaire était toujours une bonne chose, la petite troupe s’en sortit étrangement bien. Ayant été élevés ensembles, les quatre frères savaient communiquer efficacement et en bonne entente. Charlie mima parfaitement la navigation tandis que Louis parvenait à convaincre les bateaux qu’ils abordaient que l’argent qu’il leur prenait allait être investi dans des causes d’intérêt général. Sasuke s’assurait du bon maintien du navire, la charpenterie n’étant au final pas si éloignée de la maçonnerie. Quant à Marcel, capitaine auto-proclamé, il avait toujours des idées pour trouver de nouveaux électeurs et faire de son équipage le premier équipage pirate élu démocratiquement par le peuple, ce qui ferait de lui le Président des pirates.
Malheureusement, on connaît le dicton : toutes les bonnes choses ont une fin. Et malgré les succès et les aventures, l’équipage commença à décliner. Un matin, alors qu’ils s’étaient arrêté dans une petite ville portuaire tranquille, Sasuke annonça son désir de rester à terre. Il avait rencontré un vieil architecte dans un bar, et ce dernier lui avait fait part de son désir de monter la plus grande muraille du monde autour de l’île. Les yeux de Sasuke s’étaient illuminés de passion, et la fratrie n’eut pas le cœur de lui refuser son rêve.
Quelques semaine plus tard, ils accostèrent sur une île en pleine frénésie suite au décès de leur roi, dépourvu de tout héritier. Louis se mêla à l’affaire et les habitants virent en lui le digne successeur de leur souverain perdu. Il quitta donc l’équipage.
Enfin, ce fut au tour de Charlie. La Société Secrète des Mimes de North Blue lui tomba dessus au détour d’une ruelle, et avant d’avoir pu tirer une corde invisible pour se tirer de là, il fut emmené et recruté dans le silence le plus total.
Désormais seul, Marcel sillonna les mer dans la continuité de son projet. Il combattit la solitude en se gratifiant d’avoir permis à ses frères de trouver leur destiné, et se gageait de trouver bientôt la sienne.
Hortense et Hippolyte avait eu la chance de voir leur vie bouleversée par l’arrivée de quadruplés. Certes, leur quotidien était devenu mouvementé, mais ils avaient tellement de choses à transmettre que quatre enfants, ça n’avait pas été de trop. Et bien sûr, Marcel avait été l’apogée de leur gênes, un parfait mélange de pantomime et de politique. L’équilibre idéal qui le destinait à de grandes choses. Toutefois, les autres n’étaient pas en reste, chacun développant des spécialités uniques, complétant celles des autres.
Ainsi, en plus de Marcel, mi-mime, mi-politicien, la famille était composée de Charlie, Louis et Sasuke. Charlie était un mime de génie qu’on n’avait jamais entendu prononcer un son, même le jour où il se cassa le nez en percutant la fenêtre imaginaire dont il cherchait la poignée. Louis préféra la politique, aidé par son riche et complexe vocabulaire qu’il n’hésitait pas à clamer dès qu’on lui adressait la parole. Enfin, il y avait Sasuke. Il était... spécial. Un bon bougre, mais dont le seul loisir était la maçonnerie. La vraie. Avec des briques bien solides. Ses parents n’avaient jamais vraiment réussi à le comprendre, mais ils l’avaient acceptés et élevés avec le même amour que pour les trois autres.
Aujourd’hui sur scène, le tableau était touchant. Après tout, cette journée n’était pas seulement dédiée à Hortense, car les garçons avaient désormais dix-huit ans, ils devenaient des hommes en mesure de représenter le peuple ou d’obtenir le statut officiel d’intermittent du spectacle. Et justement, Marcel avait eu l’idée parfaite pour entrer dans la vie active. Il attendit que la cérémonie se termine et il réunit ses frères pour leur proposer son projet :
« ࣪ ﹏⊹﹏|▷﹏⊹ ࣪ (。●皿●)σ»
Devant l’air extrêmement incrédule de Charlie, Marcel développa :
« [̲̅$̲̅(̲̅ ͡° ͜ʖ ͡°̲̅)̲̅$̲̅] ❪ง✧ل͜ ✧❫ง❪ง✧ل͜ ✧❫ง❪ง✧ل͜ ✧❫ง EST-CE QUE VOUS ME SUIVEZ ??»
« Il est indubitablement certifié que notre génitrice a expressément asserti de la nécessité d’un fort apport pécuniaire dans le cadre du développement certifié de nos compétences réciproques. »
« Y’a des murs sur un bateau ? »
« (ʘ ل͟├┬┴┬┴ »
« Alors j’en suis ! »
« Je peux concevoir une mise à niveau de mon planning afin d’aligner mes objectifs dans la lignée d’une mise en commun de nos aptitudes. »
« ⁅ÔຟÔ⁆ »
Et c’est ainsi que naquit l’équipage des Pirates Mime Députés.
Bien que l’équipage fut fondée sur l’idée que pour démarrer une bonne campagne électorale, un apport monétaire était toujours une bonne chose, la petite troupe s’en sortit étrangement bien. Ayant été élevés ensembles, les quatre frères savaient communiquer efficacement et en bonne entente. Charlie mima parfaitement la navigation tandis que Louis parvenait à convaincre les bateaux qu’ils abordaient que l’argent qu’il leur prenait allait être investi dans des causes d’intérêt général. Sasuke s’assurait du bon maintien du navire, la charpenterie n’étant au final pas si éloignée de la maçonnerie. Quant à Marcel, capitaine auto-proclamé, il avait toujours des idées pour trouver de nouveaux électeurs et faire de son équipage le premier équipage pirate élu démocratiquement par le peuple, ce qui ferait de lui le Président des pirates.
Malheureusement, on connaît le dicton : toutes les bonnes choses ont une fin. Et malgré les succès et les aventures, l’équipage commença à décliner. Un matin, alors qu’ils s’étaient arrêté dans une petite ville portuaire tranquille, Sasuke annonça son désir de rester à terre. Il avait rencontré un vieil architecte dans un bar, et ce dernier lui avait fait part de son désir de monter la plus grande muraille du monde autour de l’île. Les yeux de Sasuke s’étaient illuminés de passion, et la fratrie n’eut pas le cœur de lui refuser son rêve.
Quelques semaine plus tard, ils accostèrent sur une île en pleine frénésie suite au décès de leur roi, dépourvu de tout héritier. Louis se mêla à l’affaire et les habitants virent en lui le digne successeur de leur souverain perdu. Il quitta donc l’équipage.
Enfin, ce fut au tour de Charlie. La Société Secrète des Mimes de North Blue lui tomba dessus au détour d’une ruelle, et avant d’avoir pu tirer une corde invisible pour se tirer de là, il fut emmené et recruté dans le silence le plus total.
Désormais seul, Marcel sillonna les mer dans la continuité de son projet. Il combattit la solitude en se gratifiant d’avoir permis à ses frères de trouver leur destiné, et se gageait de trouver bientôt la sienne.
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Eryn
- Êtes-vous majeur ? oui
- Vous aimez / n'aimez pas : Qu'on me demande si je suis majeure
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Ben Beckman, toujours
- Vous vous définiriez comme : Paillettes
- Vous faites du RP depuis : Que je suis majeure
- Vos disponibilités (approximatives) : Approximatives
- Comment avez-vous connu le forum ? Google, y'a tard l'époque
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Dernière édition par Marcel Leonard le Sam 10 Aoû 2024 - 18:11, édité 2 fois