Le mémorial
Le soleil était haut dans le ciel alors que je m'éloignais du port où l'équipage s'affairait à réapprovisionner le navire. L'île était petite, tranquille, une halte idéale pour un ravitaillement. Mais pour moi, elle était bien plus que cela : c'était l'endroit où je devais faire mes adieux à mes katanas, mes fidèles compagnons de combat.
Leur lame brisée reposait à mes côtés, silencieuse. Je les avais portés avec moi à travers d'innombrables batailles, chaque entaille et chaque fissure témoignant de notre histoire commune. Les événements récents, le combat contre le commodore John Constantine, avaient laissé leurs marques indélébiles sur ces lames, et je savais qu'il était temps de leur accorder un dernier hommage.
Je marchais lentement à travers les sentiers de l'île, cherchant un lieu digne de recevoir mes katanas. L'idée de simplement les abandonner sur le rivage ou de les laisser derrière me semblait impensable. Ils méritaient un repos paisible, loin de l'agitation du monde, dans un endroit où ils pourraient symboliquement veiller sur moi.
Je passai devant de petites criques bordées de palmiers, leurs feuilles bruissant doucement sous la brise marine. Je parcourus les chemins ombragés par des arbres centenaires, leur écorce rugueuse contrastant avec la douce mousse qui les recouvrait. Mais aucun de ces lieux ne semblait convenir à mes compagnons d'armes.
Alors que j'explorais un peu plus loin, mes pensées revenaient sans cesse à nos combats passés. Mes katanas avaient été plus qu'une simple arme ; ils avaient été une extension de ma volonté, de mon être. Leur maniement était devenu un art, une danse de vie et de mort à laquelle nous avions pris part ensemble.
Je m'arrêtais un moment, observant une colline surplombant l'île. Elle offrait une vue dégagée sur l'horizon, un point de rencontre entre le ciel et la mer. La beauté paisible du lieu me frappait, et je réalisais que c'était là, peut-être, que je pourrais les "enterrer", leur offrir un dernier salut.
Inspirant profondément, je reprenais ma marche, m'orientant vers cette colline où je pourrais enfin dire adieu à mes compagnons silencieux.
Leur lame brisée reposait à mes côtés, silencieuse. Je les avais portés avec moi à travers d'innombrables batailles, chaque entaille et chaque fissure témoignant de notre histoire commune. Les événements récents, le combat contre le commodore John Constantine, avaient laissé leurs marques indélébiles sur ces lames, et je savais qu'il était temps de leur accorder un dernier hommage.
Je marchais lentement à travers les sentiers de l'île, cherchant un lieu digne de recevoir mes katanas. L'idée de simplement les abandonner sur le rivage ou de les laisser derrière me semblait impensable. Ils méritaient un repos paisible, loin de l'agitation du monde, dans un endroit où ils pourraient symboliquement veiller sur moi.
Je passai devant de petites criques bordées de palmiers, leurs feuilles bruissant doucement sous la brise marine. Je parcourus les chemins ombragés par des arbres centenaires, leur écorce rugueuse contrastant avec la douce mousse qui les recouvrait. Mais aucun de ces lieux ne semblait convenir à mes compagnons d'armes.
Alors que j'explorais un peu plus loin, mes pensées revenaient sans cesse à nos combats passés. Mes katanas avaient été plus qu'une simple arme ; ils avaient été une extension de ma volonté, de mon être. Leur maniement était devenu un art, une danse de vie et de mort à laquelle nous avions pris part ensemble.
Je m'arrêtais un moment, observant une colline surplombant l'île. Elle offrait une vue dégagée sur l'horizon, un point de rencontre entre le ciel et la mer. La beauté paisible du lieu me frappait, et je réalisais que c'était là, peut-être, que je pourrais les "enterrer", leur offrir un dernier salut.
Inspirant profondément, je reprenais ma marche, m'orientant vers cette colline où je pourrais enfin dire adieu à mes compagnons silencieux.