La liberté... Un sentiment tellement présent pour le commun des mortels et pourtant si facile à supprimer... Morai ne savait que trop ce que ça faisait. Libre, en vivant avec ses parents, elle fut capturée, puis vendue comme esclave à un noble de Boréa. D'esclave, elle passa à escorte, mais ça restait une forme d'esclavagisme. Maintenant, qu'elle avait retrouvé sa liberté, elle comptait bien en profiter.
C'est sur son petit navire qu'elle en profitait le mieux. La sirène passait son temps à nager, manger, s'entraîner au Karaté des Hommes-Poissons, et surtout dormir ! Dès qu'elle avait envie de faire la sieste, elle le faisait.
Hélas, un jour qui était tout à fait classique, dirons-nous, Morai dormait tranquillement, bercée par le clapotis des vagues sur son petit navire. Alors qu'elle dormait d'un sommeil profond, baignée par les rayons du soleil, une ombre vint s'installer. Cette ombre était accompagnée de différentes voix inconnues :
"C'en est une ?"
"Ouais, elle a des jambes, mais ses oreilles ne me trompent pas ! Capturons-la !"
"Elle est bonne, en plus, la salope !"
Se réveillant pour savoir d'où provenait ses voix, elle ouvrit les yeux doucement, puis sursauta et essaya de se débattre. Mais les ravisseurs venaient de lui jeter un filet dessus.
"Bande de... Lâchez-moi ou je vous tue !"
"Elle a du répondant la petite !"
Malgré l'entrave du filet, Morai envoya deux types par-dessus bord, mais elle fut vite calmée par ce qui ressemblait à un des chefs. Ce dernier s'approcha de Morai et lui assainit un violent coup de poing dans le ventre. Ce dernier coupa la respiration de la sirène et la fit s'évanouir.
"Tu n'y as pas été un peu fort, Q ?"
"C'était soit ça, soit Z nous aurait foutu une belle branlée ! Récupère tes deux frères, J."
Pendant ce temps-là, un de leurs sbires était parti fouiller le navire et trouva les économies durement volées de la sirène.
"Hé ! Regardez ça !"
"Prends tout ! On verra après."
"Et le navire ?!"
"On s'en fout. Abandonnez-le ou coulez-le..."
"Ouais, rentrons. C'est mieux ! Z sera content !"
Quelque temps après, Moraï se réveilla. Elle était attachée et traînée. Elle était de nouveau sur terre, ou plutôt dans le sable. En effet, la sirène avait atterri sur un atoll où les ravisseurs avaient établi leur campement. Là, le chef, qui était assis dans un amas de coussins de luxe, sous une grande tante, sortit voir ce que leur avaient ramené ses gars.
"T'en penses quoi, Z ?"
Il prit le visage de Morai et répondit : "Beau spécimen. Elle a l'air plus raffinée que les autres. Mettez-la avec les autres !"
Morai décida le lui cracher au visage. Z s'essuyant, il lui fit : "Tu as de la chance que je ne doive pas t'abîmer, connasse. Notre client est beaucoup plus important que tu ne le peux l'imaginer."
La traînant de nouveau, elle fut jetée dans une cage avec une dizaine d'autres sirènes. Il y avait de tout en âge, mais elles étaient toutes plus jeunes que Morai. Le fait de revoir ça, lui fit remonter son passé et la fit vomir. Là, l'une des sirènes alla la voir pour voir comment elle se sentait. Morai leur expliqua qu'elle avait été esclave et qu'elle s'en était échappée. Le fait de se retrouver là, lui fit repenser à son passé de calvaires et de tortures qu'elle avait subis. Toutes eurent peur en entendant le discours de leur aînée.
"Vous savez où on doit aller ?"
"De ce que nous avons entendu, nous allons être vendues pour ce qu'ils appellent un Dragon..."
"Et merde... Pas question que je redevienne le jouet d'un noble..."
Du coup, Morai essaya de trouver un moyen pour se sortir de là...
C'est sur son petit navire qu'elle en profitait le mieux. La sirène passait son temps à nager, manger, s'entraîner au Karaté des Hommes-Poissons, et surtout dormir ! Dès qu'elle avait envie de faire la sieste, elle le faisait.
Hélas, un jour qui était tout à fait classique, dirons-nous, Morai dormait tranquillement, bercée par le clapotis des vagues sur son petit navire. Alors qu'elle dormait d'un sommeil profond, baignée par les rayons du soleil, une ombre vint s'installer. Cette ombre était accompagnée de différentes voix inconnues :
"C'en est une ?"
"Ouais, elle a des jambes, mais ses oreilles ne me trompent pas ! Capturons-la !"
"Elle est bonne, en plus, la salope !"
Se réveillant pour savoir d'où provenait ses voix, elle ouvrit les yeux doucement, puis sursauta et essaya de se débattre. Mais les ravisseurs venaient de lui jeter un filet dessus.
"Bande de... Lâchez-moi ou je vous tue !"
"Elle a du répondant la petite !"
Malgré l'entrave du filet, Morai envoya deux types par-dessus bord, mais elle fut vite calmée par ce qui ressemblait à un des chefs. Ce dernier s'approcha de Morai et lui assainit un violent coup de poing dans le ventre. Ce dernier coupa la respiration de la sirène et la fit s'évanouir.
"Tu n'y as pas été un peu fort, Q ?"
"C'était soit ça, soit Z nous aurait foutu une belle branlée ! Récupère tes deux frères, J."
Pendant ce temps-là, un de leurs sbires était parti fouiller le navire et trouva les économies durement volées de la sirène.
"Hé ! Regardez ça !"
"Prends tout ! On verra après."
"Et le navire ?!"
"On s'en fout. Abandonnez-le ou coulez-le..."
"Ouais, rentrons. C'est mieux ! Z sera content !"
Quelque temps après, Moraï se réveilla. Elle était attachée et traînée. Elle était de nouveau sur terre, ou plutôt dans le sable. En effet, la sirène avait atterri sur un atoll où les ravisseurs avaient établi leur campement. Là, le chef, qui était assis dans un amas de coussins de luxe, sous une grande tante, sortit voir ce que leur avaient ramené ses gars.
"T'en penses quoi, Z ?"
Il prit le visage de Morai et répondit : "Beau spécimen. Elle a l'air plus raffinée que les autres. Mettez-la avec les autres !"
Morai décida le lui cracher au visage. Z s'essuyant, il lui fit : "Tu as de la chance que je ne doive pas t'abîmer, connasse. Notre client est beaucoup plus important que tu ne le peux l'imaginer."
La traînant de nouveau, elle fut jetée dans une cage avec une dizaine d'autres sirènes. Il y avait de tout en âge, mais elles étaient toutes plus jeunes que Morai. Le fait de revoir ça, lui fit remonter son passé et la fit vomir. Là, l'une des sirènes alla la voir pour voir comment elle se sentait. Morai leur expliqua qu'elle avait été esclave et qu'elle s'en était échappée. Le fait de se retrouver là, lui fit repenser à son passé de calvaires et de tortures qu'elle avait subis. Toutes eurent peur en entendant le discours de leur aînée.
"Vous savez où on doit aller ?"
"De ce que nous avons entendu, nous allons être vendues pour ce qu'ils appellent un Dragon..."
"Et merde... Pas question que je redevienne le jouet d'un noble..."
Du coup, Morai essaya de trouver un moyen pour se sortir de là...