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Salazarr va teindre la mer de rouge

Salazarr "Le Kraken"

Age : 45 ans
Sexe : Homme
Race : Homme-Poisson : Pieuvre
Métier : Timonier/capitaine pirate
Groupe : Pirate
But : Savourer la liberté ultime d'être pirate en annihilant ceux qui l'ont autrefois réduit à l'esclavage (Gouvernement Mondial + Marine)
Équipement : Un sabre pirate à un seul tranchant ainsi qu'un pistolet
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? DC de Wolt Hender
Si oui, quel @ l'a autorisé ? @Calypso (moi j'y vois un signe, je sais pas vous)
Codes du règlement :

Description physique


Atypique ? Non, peu représentatif... Il faudrait, pour décrire Salazarr, un mot traduisant un mélange d'effroi, de curiosité et de dégoût.

Pour entamer la description de cet être, il convient de débuter par le plus évident : son physique.

Salazarr est un homme-poisson, issu de la lignée des pieuvres. Cependant, son apparence n'est pas exactement la même que la plupart de ses semblables aux origines céphalopodiennes. Mesurant près de deux mètres cinquante, large d'épaule, sa peau est grisâtre et légèrement visqueuse. Il possède deux bras et deux jambes, ses tentacules prenant place autour de sa mâchoire comme s'ils étaient une barbe mouvante et poisseuse. Son bras gauche est muni d'une main dont deux doigts (l'index et le majeur) s'élancent comme deux longues tentacules. De l'autre côté, sa main fut sectionnée puis remplacée par celle de l'un de ses confrères, possédant lui les attribues d'un crustacé. Ainsi, le pirate écope d'une pince à gauche, autant pratiques dans certaines situations que problématique dans d'autres.
Aussi, ayant perdu sa jambe droite, celle-ci a laissé place à une jambe de bois, qui claque sur le sol à chacun de ses pas.

Vestimentairement parlant, ce forban qu'est Salazarr porte fièrement l'attirail que l'on connaît à ces arpenteurs de l'Océan. Son tricorne est vieux, usé et rongé par l'eau de mer, mais ne le quitte jamais. Il couvre son torse par un épais ciré de marin, oscillant entre le gris et le bleu foncé. Son pantalon est de la même teinte, s'arrêtant à mi-mollet pour sa jambe gauche et juste au-dessus du genou à droite. Une ceinture de tissu rouge vient maintenir à la fois son pantalon et sa veste, donnant également une pointe de couleur à cet accoutrement morose.

A sa taille, l'homme-poisson a un sabre à un seul tranchant, légèrement recourbé vers l'arrière en sa pointe. L'arme est longue, suffisamment pour ne pas paraître trop petite à cause de sa taille. Son tranchant est fin, son équilibrage impeccable, ce qui lui permet d'être un bretteur averti. Au niveau de son torse, une lanière maintien un pistolet qu'il dégaine en un rien de temps avec l'une des tentacules lui servant de barbe. 

Mais si nous nous arrêtions là, nous passerions à côté de ce qui fait, en vérité, l'essentiel des particularités de Salazarr.

Boiteux, sa démarche est saccadée, alors qu'il tangue d'un côté puis de l'autre. Pourtant, ne se dégage de lui aucune forme d'apitoiement, cela renforce même son charisme naturel. Lorsqu'il reste statique, le pirate a pour habitude de planter son épée dans le sol, prenant alors appui dessus pour soulager sa prothèse de bois. Il possède un voix caverneuse, comme venue des abysses et a parfaitement conscience de ce à quoi il ressemble. Ainsi, emploie un débit de parole plutôt lent, comme pour installer une tension permanente, qu'il tranche avec des pointes énergiques et colériques ponctuelles. Bien qu'il n'ait rien d'un nobliaux, son langage reste correct et loin de certains pirates quasi analphabètes. 

Lorsque l'ont dépeint ainsi Salazarr, il est ainsi bien plus simple de se le figurer. Mais le diable se cachant dans les détails, il reste quelques éléments à décrire de lui. 

Sa main gauche d'abord, qui n'est pas la sienne à l'origine, lui a été implanté par une équipe médicale aux valeurs morales plus que limites. Sa jambe droite, elle, fut sectionnée moins nettement car réduite en bouillie par un coup de canon. De nombreuses cicatrices témoignent de la gravité de cet événement passé. Enfin, son dos est un véritable champs de bataille à lui seul. En plein milieu, une énorme cicatrice ronde retrace un scalp terrifiant, qu'il s'est lui-même infligé, tandis que le reste est zébrés tous du long par l'ardeur du fouet, qu'il goutât par bien trop de fois.

Enfaite, son enveloppe charnel était lourdement meurtrie dans sa chair, comme s'il eut été un rescapé de guerre. Mais cette guerre, lui, la poursuit inlassablement.
 

Description psychologique

Torturé, Salazarr n'en demeure pas moins un être complexe. 

Ayant toujours manqué d'amour, il n'a jamais su ce que c'était de pouvoir manquer à quelqu'un, de susciter le désir romantique ou amical. Il reste donc très perméable aux considérations des sentiments par autrui. Avoir peur, être amoureux, avoir de la peine, il identifie automatiquement cela comme des faiblesses qui, à défaut de tuer, lui mettrait déjà un pied dans la tombe. Sa vie lui a forgé un cuir dur, ce qui lui servit lorsqu'il dû survivre jour après jour dans l'arène, mais le desservit lorsqu'il découvrit qu'une vie existait hors de la captivité. 

Intransigeant, profondément égoïste et éprit de liberté, il est incapable de nouer des relations saines avec autrui. Pour lui, chaque interaction consiste en un rapport de force, une opposition entre deux caractères, deux égos, dont l'un doit obligatoirement prendre le dessus. Le principe même de pied d'égalité lui étant étranger, il soumet ou cherche à dominer ceux qu'il rencontre, par son aura. 

S'appuyant sur ce à quoi il ressemble et le regard d'autrui, Salazarr cultive un "amour" pour la peur. Il a développé une véritable aura horrifique, s'appuyant sur son physique repoussant, sa carrure imposante et sa voix caverneuse. Ayant identifié les grands axes de ce que représentent les pirates pour les civils, il joue des codes pour paraître toujours plus horrible et terrifiant, s'assurant ainsi obéissance et crainte, plutôt que respect. 

Son être est empli d'une haine inextinguible, transpirant dans tous les pans de sa personnalité. Emane de lui une violence et une cruauté n'ayant pour égale que les sévices qu'il a lui même subi. Ainsi, il torture, tue, terrorise et ravage ce qu'il lui plaît sans la moindre limite. Malgré ce penchant malsain, il n'en reste pas moins quelqu'un d'un tant soit peu intelligent, capable de planifier des plans, d'établir des stratégies, négocier ou manipuler autrui. 

Colérique, il aura la fâcheuse tendance à agir sur le coup des soubresauts de ses pulsions meurtrières avant de réfléchir aux conséquences de ses actes. Il peut donc être amené à foncer tête baissé vers la mort, qui, quoi qu'il arrive, ne pourrait que le délivrer de son existence. Car, même s'il ne souhaite pas forcément mourir, il n'est pas attaché à la vie comme quelqu'un de "normal". Sa vie entière n'ayant été que souffrance, il n'a pas cette crainte de trépasser.

Enfin, depuis près d'une décennie de liberté, il s'est intéressé au folklore pirate ainsi qu'aux légendes de cet univers qu'il tente d'intégrer en devenant capitaine. Il a alors choisi d'incarner l'idée même qu'il se fait du flibustier, portant le tricorne, revêtant la veste de marin et laissant libre court à son caractère impitoyable en chérissant sa liberté gagnée dans le sang.

Biographie

La vie de Salazarr n'est pas une quête héroïque et épique, ni même le voyage d'un homme en quête de rédemption. 

Il s'agit d'un écorché vif de la vie, qui vous invite à explorer les sombres méandres de son existence.

En 1584, en pleine mer sur GrandLine, un navire de traite d'esclave vit naître ce que de nombreux esclaves présents à ce moment une immondice. Esclaves humains, anges et homme-poissons voguaient enchaînés pour être vendu sur l'archipel Sabaody lorsque naquit Salazarr. Sa mère était une sirène, sont père un homme-poulpe qui ne fut pas pris par les ravisseurs. Ne possédant pas de tentacules à la place des bras comme la plupart de ses semblables, mais voyant ceux-ci encadrer sa mâchoire, certains le prirent pour un mauvais présage, d'autres pour un monstre. Sa mère, terrorisée que sa progéniture puisse être réduite en esclavage à peine née, avait tentée de se faire avortée par une autre femme emprisonnées dans la cale de ce navire, mais cela n'avait pas fonctionné et toutes deux furent sévèrement punies pour pareil manœuvre. Ainsi, une seule personne était satisfaite et réjouit par la naissance du petit Salazarr : son ravisseur. Qui voyait là le bénéfice qu'il se faisait en récupérant une sirène, pour finalement vendre deux êtres distincts. La traversée dura plusieurs jours et, dès lors qu'ils débarquèrent sur les Groves les plus malfamés, les enchères eurent raison de cette famille à peine formée. 

La mère fut vendue à un riche commerçant de la première voie de GrandLine, tandis que le nourrisson fut vendu comme une curiosité à un collectionneur des plus macabres. Il s'agissait d'un homme vil aux plaisirs malsains, collectionnant si bien des êtres vivants que morts. Une nourrice lui fut attribuée, non pas pour lui dispenser l'amour maternelle dont un enfant aurait besoin, mais uniquement pour le nourrir et assurer sa subsistance. Dans sa chambre, les chaque mur était couvert d'innombrables bocaux de formoles, dans lesquelles flottaient des organes de races différentes. Yeux, cerveaux, appareils génitaux et cœurs constellaient les étagèrent, comme veillant sur l'enfant, laissant alors planer un funeste destin à celui qui venait de naître.

L'homme étudia longtemps Salazarr, le faisant poser devant lui comme une bête de foire, puis le détaillant sous toutes les coutures. Versé dans les sciences, le collectionneur étudiait l'évolution et ce qu'il appelait bizarreries génétiques. Ainsi, son sujet d'études grandit, jusqu'à finalement ne plus lui servir à rien lorsqu'âge d'une dizaine d'année, l'enfant ne semblait plus avoir de secret à ses yeux. Alors, il le revendit, pour le plus grand damne du petit bonhomme qui malgré cela, aimait celui qu'il considérait alors comme son père. Pleurs et cris de douleur n'eurent d'effet sur la décision de son propriétaire qui, habilement, parvint à la vendre à un acheteur ô combien spécial. 

En effet, à ce jeune âge, Salazarr devint possession de l'un des êtres les plus puissants de ce vaste moinde : Saint Oberon Pietro di Vil Novallon.

Ce Dragon Céleste, connu pour être l'un des favoris pour la succession de son illustre famille, s'intéressait depuis toujours aux esclaves. Il s'était créé une véritable écurie, regroupant toutes les races et tous les profils. Son passe-temps favori étant de dénicher ceux qui, de son œil d'expert, auraient le plus grand potentiel. Fervent amateur de combat organisé, il possédait déjà quelques Colisées dans lesquelles il faisait combattre ses "possessions". 

Ainsi, Salazarr découvrit sans transition l'univers impitoyable du spectacle humain où, pour une seconde d'inattention, la mort nous souriait. Au vu de sa carrure bien développée pour un si jeune enfant, il subit des entraînements d'une rare intensité. On lui appris à manier l'épée, la lance, le combat à mains nues, à la dure. Ses partenaires étaient tous des esclaves qui, déshumanisés par leur condition, ne faisaient jamais dans la dentelle. Lorsqu'il ne répondait pas aux attentes de ses entraineurs, l'homme-poisson était battu, fouetté et molesté sans retenue. Un monde terriblement violent qui forgea le caractère de Salazarr, mais également sa pensée. Irritable, colérique, fier et profondément triste, il ne fit que survivre, année après année. Ses résultats devinrent petit à petit de plus en plus prometteurs, si bien qu'on l'envoya longtemps combattre sur Réthalia, pour le compte de l'écurie de Saint Novallon. Là-bas, il rencontra un confrère, un entraineur qu'il considéra comme son mentor et qui lui livra les secrets du karaté des homme-poisson. Ainsi, il passa un cap au fil des années, proposant un spectacle toujours plus grandiose et appréciable pour ceux qui payaient leurs places. Il devint champion à quelques reprises, puis perdait, regagnait un titre et ainsi de suite, dans la douleur. 

Le premier choc fut lorsqu'il atteignit vingt-et-un an. Après un combat perdu et de nombreuses réflexions par le responsable du Colisée dans lequel il combattait, le projet "Cancer" fut lancé. Au réfectoire des gladiateurs, Salazarr fut capturé par les employés et sédaté par un puissant poison. Une fois inconscient, on l'emmena jusqu'à une salle pleine de matériel médical. Là, deux lits côtes à côtes hébergeait chacun un homme-poisson. Salazarr se réveillait dans le brouillard, tandis qu'à sa droite il s'agissait de l'un de ses confrères, aux particularités typiques de crustacés. A peine sortie de leur torpeur, les deux homme-poisson subirent des opérations que l'on qualifieraient plutôt de mutilations, tant elles furent inhumaines. L'objectif étant de greffer certaines parties du corps de l'un sur l'autre et vice versa. Un échec monumental.
Les opérations furent effectuées sans anesthésiant, les chirurgiens véreux préférant "gérer" la douleur "au jugé". Salazarr fut ainsi amputé de la main gauche, comme son compatriote et on greffa l'appendice de l'un sur l'autre. La greffe pris sur l'homme-poulpe, mais pas sur l'autre qui succomba d'une hémorragie malheureuse. Alors, on le laissa ainsi et il ne reçu qu'une pince qui devint l'une de ses particularités physiques. 

Dès lors, son rôle au sein de son Colisée s'était accrue, car après une très courte période de repos, il reprit le chemin du sable de l'arène. Désormais munit de sa pince, il fit sensation et anima la ferveur violente des Réthaliens pendant de longues années. A cause de sa barbe de tentacules, on le surnomma "Le Kraken", épithète qui le suivit pour le reste de ses jours. 

Finalement, sa carrière prit fin en 1620 après de nombreuses défaites successives. Il n'était plus la coqueluche du public, désabusé par ses années de lutte pour la survie, sa rage de combat s'était envolée et il ne déchainait plus les passions. On le revendit alors à une société marchande, qui opérait pour le transport de vivres à destination de la base de la marine de South Blue. Il devint alors manutentionnaire, portant des charges que les humains normaux étaient incapable de soulever. Une mise au placard qui concluait misérablement la vie de cet être né esclave, puis forgé dans le sang des combats. 

Jusqu'à ce qu'en fin d'année, pris d'un élan de vigueur, il sentit à nouveau son cœur battre. Un but lui était apparu, celui de vivre libre. Il brisa alors ses chaines et, malgré une intervention immédiate de la Marine, parvint à s'enfuir à bord d'une barque. Il espérait naviguer comme un pirate, libre et sans loi, mais une caravelle l'intercepta. De ses cinq ou six canons, elle déchaina sur lui une pluie d'acier meurtrière qui réduisit à néant ses espoirs. Son embarcation, transformée en gruyère, sombra aussitôt et lui s'enfuit comme il le pu, ne laissant qu'une trainée pourpre dans son sillage. Sa jambe droite avait été touché, plus que cela même, meurtrie. Il rejoignit, tant bien que mal les hautes eaux et fut recueilli par un navire pirate qui fit étape sur Rokade. 

Le capitaine, pirate d'une bonté rarement égalé, se pris d'affection pour cet être au destin tragique et, une fois arrivé à terre, paya pour ses soins médicaux. Salazarr fut donc opéré, amputé proprement et on lui implanta une prothèse en bois, de quoi tenir debout. La douleur qui le parcourait été telle, qu'il lui fut prescrit de puissants psychotropes pour l'atténuer. Un soir de tempête, alors qu'ils reprenaient la mer, l'homme-poulpe à leur bord, les pirates décidèrent d'entrer dans la chambre aménagé pour sa convalescence. Mais sous l'effet de puissantes drogues et réveillé en sursaut, son cerveau disjoncta et dans un élan de rage incontrôlable saisit le premier sabre qui lui venait sous la main. Dans ce réflexe de survit animal, il trancha et transperça tout se qui se présentait à lui, ne laissant devant lui que des corps inanimés et évidés. Il avait massacré tout son équipage, les seuls qui eurent réellement de la compassion pour lui un jour. Devant l'affreux constat de ses actes, lorsqu'il retrouva sa lucidité, Salazarr explosa en sanglots, tenant les corps de ses camarades de fortunes contre lui. Couvert de leur sang, il arpenta le pont esseulé, comme vidé de son âme avant d'en conclure qu'il n'allait devoir vivre que pour lui et lui seul. Désormais libre, il allait se battre pour sa liberté et faire payer à ceux qui firent de son existence un enfer. 

Dès lors, Salazarr arpenta les mers en recherche d'équipage, mais ne se faisant jamais à la subordination. Ainsi, son souhait était de devenir capitaine pour mettre les voiles et parcourir le monde en trainant le sang de ses ennemis dans son sillon.   

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Rebienvenue à toi avec ce nouveau personnage !


Pour les descriptions:
La crainte que j'avais, c'était de voir une pâle copie de Davy Jones, et je trouve que tu a réussi à faire tien le personnage. Tu le décris particulièrement bien, d'une part, et tu as réussi à lui donner quelques petits ajouts pour le personnaliser à ta sauce. j'ai trouvé que le physique fonctionnait très bien. Quelle n'a pas été ma joie en lisant le mental. J'ai tout simplement adoré. C'est un vrai pirate dur, sanguinaire, cruel, mais qui a quand même un cerveau. Le fait de le faire manquer d'amour pour que ça fasse de lui un tel sociopathe est également une bonne idée. Rien à dire, c'était génial.

Pour l'histoire:
Là aussi, on part sur du très classique. Un homme-poisson esclave, à la fois sur le forum et dans le manga, c'est vu et revu. Et pourtant, là aussi tu as réussi à faire sienne cette histoire. L'utilisation du lore, avec le DC notamment, était appréciable et je tiens à la souligner. J'ai tout lu d'une traite avec grand plaisir, c'est prenant, on a une certaine compassion pour Salazarr qui a vraiment une belle vie de merde. Quand on prend l'histoire et les descriptions, on a vraiment un tout complet et cohérent qui fonctionne à merveille. J'ajoute à cela que c'est bien écrit, rendant la lecture plus plaisante encore.

Bref, c'était parfait à mes yeux, j'ai trouvé le personnage génial, son histoire sympa, ses descriptions géniales. J'ai hâte de le voir évoluer sur le forum


Tout ça pour dire que je te valide donc à 800 dorikis en tant que terrifiant flibustier.


Pour la suite, tu connais: direction la confection de ta FT et le recensement de ton avatar.


Bon jeu et amuse toi bien à nouveau sur OPR.
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