Un vent frais soufflait sur le pont d’un bateau de voyage alors que Beethoven appréciait la brise sur son visage. Ce moment apaisé était entrecoupé de plaintes de Lully qui tournait sur les épaules de Beethoven comme un chat raleur devant une gamelle vide.
- “Non mais cette fille. Elle nous porte la poisse. La dernière fois, sur Koneashima ! Qui a fait exploser les barils de Gixendre ? Hmm ?”
- “Elle nous a été d’une aide précieuse contre le pirate qui vous avez capturé Maître.” répondait simplement Beethoven, loin de chercher à vexer davantage Lully mais ne souhaitant pas non plus le laisser se complaire dans une frustration ridicule.
- “Tu aurais très bien pu t’en sortir seul. Dès qu’elle regarde ailleurs, je la pousse par-dessus bord et je lui vole ses berries.”
La loutre se frottait déjà les mains avec un sourire malicieux sur les lèvres alors que l’Homme-poisson s’amusait de ses dires sans les prendre au sérieux. Lully n’était pas assez fort pour pousser ne serait ce qu’une tomate par dessus bord, alors Beethoven n’avait aucune crainte pour Raiko. D’une main délicate, l’homme-poisson venait caresser le haut du crâne de Lully avant de descendre sur le long dos du mink. Rapidement, il se détendit et finissait par se coucher, les pattes de chaque côté du cou de son porteur, pendant dans le vide comme une fourrure de mauvaise facture.
- “Vous devriez vous reposer Maitre. Cela va prendre un moment avant d’arriver à la prochaine île.”
- “Et où va-t’on cette fois-ci ?” demandait la loutre en baillant.
- “Je ne sais point.”
Et d’une main délicate, Beethoven continuait de caresser la petite loutre jusqu’à ce qu’elle s’endorme sur ses épaules. Puis, Raiko réapparu, comme si elle avait attendu que l’hystérique se calme pour revenir s'asseoir aux côtés de l’homme-poisson. Depuis qu’ils avaient quitté Fushia, les deux chasseurs de prime n’avaient pas vraiment pris le temps d’échanger sans être entrecoupé des complaintes du mink.
- “Où comptez-vous aller maintenant ?”
- “Non mais cette fille. Elle nous porte la poisse. La dernière fois, sur Koneashima ! Qui a fait exploser les barils de Gixendre ? Hmm ?”
- “Elle nous a été d’une aide précieuse contre le pirate qui vous avez capturé Maître.” répondait simplement Beethoven, loin de chercher à vexer davantage Lully mais ne souhaitant pas non plus le laisser se complaire dans une frustration ridicule.
- “Tu aurais très bien pu t’en sortir seul. Dès qu’elle regarde ailleurs, je la pousse par-dessus bord et je lui vole ses berries.”
La loutre se frottait déjà les mains avec un sourire malicieux sur les lèvres alors que l’Homme-poisson s’amusait de ses dires sans les prendre au sérieux. Lully n’était pas assez fort pour pousser ne serait ce qu’une tomate par dessus bord, alors Beethoven n’avait aucune crainte pour Raiko. D’une main délicate, l’homme-poisson venait caresser le haut du crâne de Lully avant de descendre sur le long dos du mink. Rapidement, il se détendit et finissait par se coucher, les pattes de chaque côté du cou de son porteur, pendant dans le vide comme une fourrure de mauvaise facture.
- “Vous devriez vous reposer Maitre. Cela va prendre un moment avant d’arriver à la prochaine île.”
- “Et où va-t’on cette fois-ci ?” demandait la loutre en baillant.
- “Je ne sais point.”
Et d’une main délicate, Beethoven continuait de caresser la petite loutre jusqu’à ce qu’elle s’endorme sur ses épaules. Puis, Raiko réapparu, comme si elle avait attendu que l’hystérique se calme pour revenir s'asseoir aux côtés de l’homme-poisson. Depuis qu’ils avaient quitté Fushia, les deux chasseurs de prime n’avaient pas vraiment pris le temps d’échanger sans être entrecoupé des complaintes du mink.
- “Où comptez-vous aller maintenant ?”
Dernière édition par Beethoven le Ven 27 Sep 2024 - 10:36, édité 1 fois