Armada, 1626, Cadran du Kraken,
- On dirait une arnaque non ? Une lettre qui demande cent millions pour entrer dans un club bizarre. J'ai une équipe entière qui ne bosse que sur des trucs dans ce genre la.
- Ah oui ?
- Ouais, tu sais, on envoie des messages a des gens en disant par exemple qu'on est un membre en exil de la famille royale de Jaya, qu'on a un trésor a récupérer pas loin, et qu'on a juste besoin d'une petite avance pour redevenir riche, puissant, et rendre le service au centuple.
- Et ça marche ?
- Tu sais ce qu'on dit, il ne faut jamais sous estimer le caractère prévisible de la bêtise humaine. Sur un nombre suffisant de courrier, on tombe toujours sur quelques tocards qui paient, et ça suffit à rendre tout le système parfaitement rentable. Et je suis en train de monter la même chose mais par appel den den, je suis sur qu'on peut toucher encore plus de gens.
- Parle en a Clotho, je suis sur que ça va beaucoup l'intérésser.
- On verra. En attendant, ta lettre, elle pue le coup fourré non ? D'accord, le logo est joli, et l'envelopper et la papier sentent le fric, rien qu'au toucher on sent que ça vaut son poids en or. Mais ça fait partie de l'arnaque.
- Mouais. D'abord je ne pense pas qu'un type tentant de m'arnaque se contenterait de seulement cent millions. Autant demander deux fois plus, dix fois plus... Et ensuite, j'ai déjà entendu parler de ce Club Baron.
- Ah oui ? Quand ?
- C'est loin, ça date du CP, a une époque ou Scorpio avait passé un pacte avec Timuthé Tempiesta, le frère cadet de Manuel, alias don Carbopizza.
- Un administrateur du CP qui passe des pactes avec des mafieux ?
- C'était un super plan. Tim voulait se venger de son frère qui lui avait volé sa place de parrain, mais aussi foutre le camp de sa famille. Alors Scorpio lui a proposé un deal en or, l'aide du Cipher Pol pour devenir parrain à la place du parrain, et en échange, une fois au pouvoir, Tim devait nous balancer toute la famille.
- Et vous êtes aller l'aider comme ça ?
- Bah, c'était facile. Dans une guerre entre mafieux, tu ne laisses que des criminels sur le carreau. Donc même en aidant Tim a devenir le parrain, on laissait suffisamment de cadavres d'autres mafieux pour que Scorpio puisse faire des rapports ou il se glorifiait de lutter efficacement contre le crime organisé. Scorpio a toujours été habile à bouffer à tous les râteliers.
- Je parie que ça n'a pas marché.
- Non. Sans surprises, commencer une guerre civile entre mafieux c'est facile, mais la terminer c'est compliqué. Tim s'est fait griller et a décidé de foutre le camp en devenant pirate sur grand line, Et Scorpio a liquidé l'opération dans la foulée. On a descendu sommairement tous les gens dont on avait les noms et on s'est dispersé avant que la pégre nous tombe dessus. Comme d'hab, une tête de moins et deux qui repoussent.
- Et le Club Baron ?
- Manuel était membre du Club Baron. Il avait une de ces cartes, mais on avait pas creusé plus loin que quelques rumeurs sur une réunion de grosses pointes de la pégre se réunissant pour se faire mousser dans des soirées très très privés et très très décadentes...
- Hum... Décadentes hein ? ça c'est intéressant. Tu m'inviterais ?
- Ce serait triste d'être le seul à en profiter...
- Comment tu es censé répondre ?
- Apparemment l'émetteur de la lettre est dans le coin et attend une réponse. Le mec qui l'a amené est encore la ?
- Oh oui. On a du le mettre au fer quelque part au cas ou. Je vais envoyer quelqu'un le chercher.
- On dirait une arnaque non ? Une lettre qui demande cent millions pour entrer dans un club bizarre. J'ai une équipe entière qui ne bosse que sur des trucs dans ce genre la.- Ah oui ?
- Ouais, tu sais, on envoie des messages a des gens en disant par exemple qu'on est un membre en exil de la famille royale de Jaya, qu'on a un trésor a récupérer pas loin, et qu'on a juste besoin d'une petite avance pour redevenir riche, puissant, et rendre le service au centuple.
- Et ça marche ?
- Tu sais ce qu'on dit, il ne faut jamais sous estimer le caractère prévisible de la bêtise humaine. Sur un nombre suffisant de courrier, on tombe toujours sur quelques tocards qui paient, et ça suffit à rendre tout le système parfaitement rentable. Et je suis en train de monter la même chose mais par appel den den, je suis sur qu'on peut toucher encore plus de gens.
- Parle en a Clotho, je suis sur que ça va beaucoup l'intérésser.
- On verra. En attendant, ta lettre, elle pue le coup fourré non ? D'accord, le logo est joli, et l'envelopper et la papier sentent le fric, rien qu'au toucher on sent que ça vaut son poids en or. Mais ça fait partie de l'arnaque.
- Mouais. D'abord je ne pense pas qu'un type tentant de m'arnaque se contenterait de seulement cent millions. Autant demander deux fois plus, dix fois plus... Et ensuite, j'ai déjà entendu parler de ce Club Baron.
- Ah oui ? Quand ?
- C'est loin, ça date du CP, a une époque ou Scorpio avait passé un pacte avec Timuthé Tempiesta, le frère cadet de Manuel, alias don Carbopizza.
- Un administrateur du CP qui passe des pactes avec des mafieux ?
- C'était un super plan. Tim voulait se venger de son frère qui lui avait volé sa place de parrain, mais aussi foutre le camp de sa famille. Alors Scorpio lui a proposé un deal en or, l'aide du Cipher Pol pour devenir parrain à la place du parrain, et en échange, une fois au pouvoir, Tim devait nous balancer toute la famille.
- Et vous êtes aller l'aider comme ça ?
- Bah, c'était facile. Dans une guerre entre mafieux, tu ne laisses que des criminels sur le carreau. Donc même en aidant Tim a devenir le parrain, on laissait suffisamment de cadavres d'autres mafieux pour que Scorpio puisse faire des rapports ou il se glorifiait de lutter efficacement contre le crime organisé. Scorpio a toujours été habile à bouffer à tous les râteliers.
- Je parie que ça n'a pas marché.
- Non. Sans surprises, commencer une guerre civile entre mafieux c'est facile, mais la terminer c'est compliqué. Tim s'est fait griller et a décidé de foutre le camp en devenant pirate sur grand line, Et Scorpio a liquidé l'opération dans la foulée. On a descendu sommairement tous les gens dont on avait les noms et on s'est dispersé avant que la pégre nous tombe dessus. Comme d'hab, une tête de moins et deux qui repoussent.
- Et le Club Baron ?
- Manuel était membre du Club Baron. Il avait une de ces cartes, mais on avait pas creusé plus loin que quelques rumeurs sur une réunion de grosses pointes de la pégre se réunissant pour se faire mousser dans des soirées très très privés et très très décadentes...
- Hum... Décadentes hein ? ça c'est intéressant. Tu m'inviterais ?
- Ce serait triste d'être le seul à en profiter...
- Comment tu es censé répondre ?
- Apparemment l'émetteur de la lettre est dans le coin et attend une réponse. Le mec qui l'a amené est encore la ?
- Oh oui. On a du le mettre au fer quelque part au cas ou. Je vais envoyer quelqu'un le chercher.
- Capitaine Red. C'est un honneur de vous rencontrer en personne. Je n'en espérais pas tant.