- “Pouah, c’est dégueux votre truc.”
- “C’est vrai que ça a un goût étrange.”
La fête battait son plein à Taraluvneel. Lors de leur arrêt sur l’île, Davinia avait appris la mise en place d’une célébration d’Halloween au sein du parc d’attraction de l’île. S’il s’agissait d’une fête humaine à la volonté terrifiante, l’équipage avait surtout trouvé une occasion de s’amuser dans cette ambiance festive. Des hommes et des femmes habillés en monstre de conte passaient dans les allées pour distribuer à qui le voulait des bonbons merveilleux et qui n'auraient d’effet qu’en ce jour spécial. Et bien sûr, Camillius en avait attrapé un sans savoir à quoi il s’exposait, principalement parce qu’il ne disait jamais non à quelque chose de gratuit. Rapidement, il voyait ses bras couverts de bandage beige, jusqu’à remonter à ses épaules et sur sa tête. Son troisième œil finissait caché par l’amas de tissu sans qu’il n’ait le temps d’ouvrir sa bouche pour se plaindre à nouveau. Il preferait se tourner vers ses equipière, jetant un regard noir à Arondel qui rigolait devant le spectacle que lui offrait son coéquipier.
- “C’est toi qui m’a jeté du PQ ?!”
Et alors même qu’il tendait les bras en avançant d’un pas pour en venir au main avec la navigatrice, ses bandelettes de tissus fonçaient vers la femme pour la saussissoner rapidement, lui laissant que les yeux pour voir le regard surprise de Camillius et la bouche pour clamer :
- “Hey mais lâche moi idiot ! Je n’y suis pour rien. C’est le bonbon que tu as mangé.”
Puis la femme se desagrégait en un tas d’ossement sur le sol, lui permettant d’échapper au contrôle de son coéquipier toujours aussi perdu. Les morceaux de tissus du dragon revenaient à ses mains alors que ce dernier scrutait ses bras avec attention. Arondel reprit forme avant d'épousseter ses vêtements et d’ajouter :
- “Tu as mangé un Bonbon du Démon sans savoir ? La sélection naturelle a mal fait son travail avec toi …”
Et malgré le grognement de Camillius, les lumières, les musiques, et les exclamations de joies du monde les entourant semblaient couvrir ses nouvelles complaintes.
- “C’est vrai que ça a un goût étrange.”
La fête battait son plein à Taraluvneel. Lors de leur arrêt sur l’île, Davinia avait appris la mise en place d’une célébration d’Halloween au sein du parc d’attraction de l’île. S’il s’agissait d’une fête humaine à la volonté terrifiante, l’équipage avait surtout trouvé une occasion de s’amuser dans cette ambiance festive. Des hommes et des femmes habillés en monstre de conte passaient dans les allées pour distribuer à qui le voulait des bonbons merveilleux et qui n'auraient d’effet qu’en ce jour spécial. Et bien sûr, Camillius en avait attrapé un sans savoir à quoi il s’exposait, principalement parce qu’il ne disait jamais non à quelque chose de gratuit. Rapidement, il voyait ses bras couverts de bandage beige, jusqu’à remonter à ses épaules et sur sa tête. Son troisième œil finissait caché par l’amas de tissu sans qu’il n’ait le temps d’ouvrir sa bouche pour se plaindre à nouveau. Il preferait se tourner vers ses equipière, jetant un regard noir à Arondel qui rigolait devant le spectacle que lui offrait son coéquipier.
- “C’est toi qui m’a jeté du PQ ?!”
Et alors même qu’il tendait les bras en avançant d’un pas pour en venir au main avec la navigatrice, ses bandelettes de tissus fonçaient vers la femme pour la saussissoner rapidement, lui laissant que les yeux pour voir le regard surprise de Camillius et la bouche pour clamer :
- “Hey mais lâche moi idiot ! Je n’y suis pour rien. C’est le bonbon que tu as mangé.”
Puis la femme se desagrégait en un tas d’ossement sur le sol, lui permettant d’échapper au contrôle de son coéquipier toujours aussi perdu. Les morceaux de tissus du dragon revenaient à ses mains alors que ce dernier scrutait ses bras avec attention. Arondel reprit forme avant d'épousseter ses vêtements et d’ajouter :
- “Tu as mangé un Bonbon du Démon sans savoir ? La sélection naturelle a mal fait son travail avec toi …”
Et malgré le grognement de Camillius, les lumières, les musiques, et les exclamations de joies du monde les entourant semblaient couvrir ses nouvelles complaintes.