Mer des blues – Radeau de fortune
Au crépuscule de la journée, sur un radeau constitué de tronc d’arbre rattaché par un ensemble de corde, un jeune homme de petite taille aux cheveux bleu était en train de pêcher. Il s’agissait de Yajiru Sorakara. Canne à pêche en main, il avait passé la journée en mer à essayer de chopper un maximum de poisson en prévision des festivités de ce soir.
Car ce soir, c’est halloween que l’on fête. Et comme tous les ans, les habitants de l’île d’Endaur se rassemble pour fêter l’évènement. En dehors de la chasse au bonbon, à laquelle son ami Dairiseki avait tenté de l’invité, il y avait aussi un repas et un concours de déguisement. Lui, il n’y participait pas.
- Dou.. douuuu…
Ce cri, c’était Maurice. Il s’agissait du dodo de compagnie de notre Yajiru qui était aussi présent à bord. Mais si d’habitude il arborait un plumage constitué de nuances de bleus et de blanc, aujourd’hui c’était différent. L’oiseau participant au concours de déguisement, l’ami Dairiseki l’avait relooké. Ses plumes avaient été teinte en marron et le plumage de son cou et de sa tête avait été rasé, laissant paraitre une peau rose. Le voilà devenu… un vautour.
Bon, il ne sait toujours pas voler ni faire de cri intimidant, mais il a tout de même ses chances.
- Dou.. douuuu…
- Calme toi, le poulet… Dans quelques jours tes plumes auront repoussé. Et pourquoi tu as suivi Dairiseki aussi ? Je t’avais prévenu que cela finirait ainsi…
Le poulet ne faisait que se plaindre auprès de son maitre depuis le début de l’après-midi. Pourtant ce n’était pas sa première fois en mer. Pour Yajiru, le problème vient du déguisement. Il en était convaincu.
Soudain, la ligne du jeune homme de petite taille mordit. Yajiru va alors tirer aussitôt, faisant preuve de bons réflexes. Il va retirer de l’eau ce qui était attaché à sa canne à pêche. Mais à sa grande surprise, ce n’était pas un poisson qu’il avait pêché mais un coffre.
Il va alors poser l’objet sur sa barque, ayant les yeux rivés dessus. Même le dodo cessa de se plaindre, se rapprochant pour admirer la trouvaille. Le coffre, ou plutôt un coffret vu qu’il était possible de le tenir entre ses mains, était fait d’un bois humidifié par l’eau. Il a dû rester en mer durant un bon moment.
- Dou… Dou ?
- J’ai déjà entendu parler d’un certaine légende. On dit que sur la mer, on peut parfois trouver dans des petits coffres ce qu’on appelle un fruit du démon. Il donnerait à la personne le consommant un grand pouvoir, mais enlèverait en échange la capacité de nager. Mais ce ne sont que des histoires de vieux marins. Vérifions tout de même.
Yajiru va alors ouvrir le coffre. Mais son contenu n’était pas un fruit, mais un bonbon. Ce dernier reposait dans une boite en verre transparente, protégé de l’eau dans laquelle elle a mariné durant longtemps.
Il va alors ouvrir la boîte, prenant l’étrange bonbon en main. Celui-ci était fait de petits filaments de bandes blanches qui semblait comestible et sucré. Il y avait aussi une note papier dans la boite.
Yajiru lit alors :
- Miira Miira No Candy… Bonbon du démon à usage unique…
- Dou… Dou ?
- Curieux objet, oui… Je vais le conserver. On verra ce qu’on en fera une fois sur la terre ferme.
- Dou.. douuuu…
Maurice recommande avec ses plaintes, ce qui ne manqua pas d’agacer Yajiru.
- Bon ! Tu vas me dire ce qu’il ne va pas à la fin !
Le dodo regarda alors à l’horizon. Son maitre fit alors de même. Il va alors voir le problème que Maurice essayer de lui faire comprendre depuis des heures. Ils n’arrivaient plus du tout à voir l’île d’Endaur. Ils avaient en fait dérivé de plus en plus loin des côtes. Concentré sur la pêche, Yajiru n’avait pas remarqué cela.
Et tandis que la nuit approche, Yajiru et Maurice sont loin de chez eux. Ils étaient loin de se douter que la soirée allait être mouvementée…
Au crépuscule de la journée, sur un radeau constitué de tronc d’arbre rattaché par un ensemble de corde, un jeune homme de petite taille aux cheveux bleu était en train de pêcher. Il s’agissait de Yajiru Sorakara. Canne à pêche en main, il avait passé la journée en mer à essayer de chopper un maximum de poisson en prévision des festivités de ce soir.
Car ce soir, c’est halloween que l’on fête. Et comme tous les ans, les habitants de l’île d’Endaur se rassemble pour fêter l’évènement. En dehors de la chasse au bonbon, à laquelle son ami Dairiseki avait tenté de l’invité, il y avait aussi un repas et un concours de déguisement. Lui, il n’y participait pas.
- Dou.. douuuu…
Ce cri, c’était Maurice. Il s’agissait du dodo de compagnie de notre Yajiru qui était aussi présent à bord. Mais si d’habitude il arborait un plumage constitué de nuances de bleus et de blanc, aujourd’hui c’était différent. L’oiseau participant au concours de déguisement, l’ami Dairiseki l’avait relooké. Ses plumes avaient été teinte en marron et le plumage de son cou et de sa tête avait été rasé, laissant paraitre une peau rose. Le voilà devenu… un vautour.
Bon, il ne sait toujours pas voler ni faire de cri intimidant, mais il a tout de même ses chances.
- Dou.. douuuu…
- Calme toi, le poulet… Dans quelques jours tes plumes auront repoussé. Et pourquoi tu as suivi Dairiseki aussi ? Je t’avais prévenu que cela finirait ainsi…
Le poulet ne faisait que se plaindre auprès de son maitre depuis le début de l’après-midi. Pourtant ce n’était pas sa première fois en mer. Pour Yajiru, le problème vient du déguisement. Il en était convaincu.
Soudain, la ligne du jeune homme de petite taille mordit. Yajiru va alors tirer aussitôt, faisant preuve de bons réflexes. Il va retirer de l’eau ce qui était attaché à sa canne à pêche. Mais à sa grande surprise, ce n’était pas un poisson qu’il avait pêché mais un coffre.
Il va alors poser l’objet sur sa barque, ayant les yeux rivés dessus. Même le dodo cessa de se plaindre, se rapprochant pour admirer la trouvaille. Le coffre, ou plutôt un coffret vu qu’il était possible de le tenir entre ses mains, était fait d’un bois humidifié par l’eau. Il a dû rester en mer durant un bon moment.
- Dou… Dou ?
- J’ai déjà entendu parler d’un certaine légende. On dit que sur la mer, on peut parfois trouver dans des petits coffres ce qu’on appelle un fruit du démon. Il donnerait à la personne le consommant un grand pouvoir, mais enlèverait en échange la capacité de nager. Mais ce ne sont que des histoires de vieux marins. Vérifions tout de même.
Yajiru va alors ouvrir le coffre. Mais son contenu n’était pas un fruit, mais un bonbon. Ce dernier reposait dans une boite en verre transparente, protégé de l’eau dans laquelle elle a mariné durant longtemps.
Il va alors ouvrir la boîte, prenant l’étrange bonbon en main. Celui-ci était fait de petits filaments de bandes blanches qui semblait comestible et sucré. Il y avait aussi une note papier dans la boite.
Yajiru lit alors :
- Miira Miira No Candy… Bonbon du démon à usage unique…
- Dou… Dou ?
- Curieux objet, oui… Je vais le conserver. On verra ce qu’on en fera une fois sur la terre ferme.
- Dou.. douuuu…
Maurice recommande avec ses plaintes, ce qui ne manqua pas d’agacer Yajiru.
- Bon ! Tu vas me dire ce qu’il ne va pas à la fin !
Le dodo regarda alors à l’horizon. Son maitre fit alors de même. Il va alors voir le problème que Maurice essayer de lui faire comprendre depuis des heures. Ils n’arrivaient plus du tout à voir l’île d’Endaur. Ils avaient en fait dérivé de plus en plus loin des côtes. Concentré sur la pêche, Yajiru n’avait pas remarqué cela.
Et tandis que la nuit approche, Yajiru et Maurice sont loin de chez eux. Ils étaient loin de se douter que la soirée allait être mouvementée…