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[Flashback - Evènement d'Halloween] Attaque des Têtards

Mer des blues – Radeau de fortune

Au crépuscule de la journée, sur un radeau constitué de tronc d’arbre rattaché par un ensemble de corde, un jeune homme de petite taille aux cheveux bleu était en train de pêcher. Il s’agissait de Yajiru Sorakara. Canne à pêche en main, il avait passé la journée en mer à essayer de chopper un maximum de poisson en prévision des festivités de ce soir.

Car ce soir, c’est halloween que l’on fête. Et comme tous les ans, les habitants de l’île d’Endaur se rassemble pour fêter l’évènement. En dehors de la chasse au bonbon, à laquelle son ami Dairiseki avait tenté de l’invité, il y avait aussi un repas et un concours de déguisement. Lui, il n’y participait pas.

- Dou.. douuuu…

Ce cri, c’était Maurice. Il s’agissait du dodo de compagnie de notre Yajiru qui était aussi présent à bord. Mais si d’habitude il arborait un plumage constitué de nuances de bleus et de blanc, aujourd’hui c’était différent. L’oiseau participant au concours de déguisement, l’ami Dairiseki l’avait relooké. Ses plumes avaient été teinte en marron et le plumage de son cou et de sa tête avait été rasé, laissant paraitre une peau rose. Le voilà devenu… un vautour.

[Flashback - Evènement d'Halloween] Attaque des Têtards Dodo_v10

Bon, il ne sait toujours pas voler ni faire de cri intimidant, mais il a tout de même ses chances.

- Dou.. douuuu…

- Calme toi, le poulet… Dans quelques jours tes plumes auront repoussé. Et pourquoi tu as suivi Dairiseki aussi ? Je t’avais prévenu que cela finirait ainsi…

Le poulet ne faisait que se plaindre auprès de son maitre depuis le début de l’après-midi. Pourtant ce n’était pas sa première fois en mer. Pour Yajiru, le problème vient du déguisement. Il en était convaincu.

Soudain, la ligne du jeune homme de petite taille mordit. Yajiru va alors tirer aussitôt, faisant preuve de bons réflexes. Il va retirer de l’eau ce qui était attaché à sa canne à pêche. Mais à sa grande surprise, ce n’était pas un poisson qu’il avait pêché mais un coffre.

Il va alors poser l’objet sur sa barque, ayant les yeux rivés dessus. Même le dodo cessa de se plaindre, se rapprochant pour admirer la trouvaille. Le coffre, ou plutôt un coffret vu qu’il était possible de le tenir entre ses mains, était fait d’un bois humidifié par l’eau. Il a dû rester en mer durant un bon moment.

- Dou… Dou ?

- J’ai déjà entendu parler d’un certaine légende. On dit que sur la mer, on peut parfois trouver dans des petits coffres ce qu’on appelle un fruit du démon. Il donnerait à la personne le consommant un grand pouvoir, mais enlèverait en échange la capacité de nager. Mais ce ne sont que des histoires de vieux marins. Vérifions tout de même.

Yajiru va alors ouvrir le coffre. Mais son contenu n’était pas un fruit, mais un bonbon. Ce dernier reposait dans une boite en verre transparente, protégé de l’eau dans laquelle elle a mariné durant longtemps.

Il va alors ouvrir la boîte, prenant l’étrange bonbon en main. Celui-ci était fait de petits filaments de bandes blanches qui semblait comestible et sucré. Il y avait aussi une note papier dans la boite.

Yajiru lit alors :

- Miira Miira No Candy… Bonbon du démon à usage unique…

- Dou… Dou ?

- Curieux objet, oui… Je vais le conserver. On verra ce qu’on en fera une fois sur la terre ferme.

- Dou.. douuuu…

Maurice recommande avec ses plaintes, ce qui ne manqua pas d’agacer Yajiru.

- Bon ! Tu vas me dire ce qu’il ne va pas à la fin !

Le dodo regarda alors à l’horizon. Son maitre fit alors de même. Il va alors voir le problème que Maurice essayer de lui faire comprendre depuis des heures. Ils n’arrivaient plus du tout à voir l’île d’Endaur. Ils avaient en fait dérivé de plus en plus loin des côtes. Concentré sur la pêche, Yajiru n’avait pas remarqué cela.

Et tandis que la nuit approche, Yajiru et Maurice sont loin de chez eux. Ils étaient loin de se douter que la soirée allait être mouvementée…
    « Mais barrez-vous, putains de piafs ! »

    « GOA ! »

    « Vous allez crever, oui ?! »

    « GOA ! »

    « AIDEZ-MOOOOIIIII !!! »

    « SKRAAAAAAAAAAAWK !!! »

    Grondant une litanie d’injures dans toutes les langues qu’elle connaissait, Zhihao termina d’escalader le grand mât, courut le long de la vergue, puis redescendit par la voie express – c’est à dire qu’elle se jeta dans le vide, l’épée au clair, droit vers le Rokh dont les serres retenaient Vladescu prisonnière. L’énorme volatile faisait partie d’un trio occupé à semer le chaos sur le pont du Lampyris, sauf qu’à la différence de ses congénères, les Marines ne pouvaient se permettre de lui tirer dessus de crainte de toucher leur camarade, d’où la nécessité d’avoir recours à un plan aussi risqué.

    Heureusement, l’oiseau géant avait du mal à reprendre son envol, la proximité du gréement le gênant pour déployer ses ailes, et les gesticulations de sa passagère ne faisant rien pour arranger la situation. L’attaque de la femme-poisson fut donc couronnée de succès : sa lame électrifiée entailla profondément le flanc de la bestiole qui, sous le coup de la douleur, relâcha sa proie et redoubla d’effort pour s’enfuir. Les deux autres par contre, loin de suivre l’exemple de leur semblable, se désintéressèrent des soldats pour plutôt se diriger vers celle qui venait de blesser l’un des leurs. À peine remise sur ses pieds, la kanokunienne se retrouva dos à dos avec sa subordonnée, qui venait elle aussi de dégainer ses armes et invectivait leurs adversaires :

    « Venez par là, espèces de poulets aux hormones ! Je vais vous transformer en brochettes ! »

    Une promesse qui ne fut hélas pas tenue, mais ce ne fut pas faute d’avoir essayé. Après une minute supplémentaire d’affrontement, la paire de sales bestioles se replia, bien amochée et laissant derrière elle un pont couvert de plumes et de sang d’oiseau. Bon débarras.

    « La vache, c’était quoi ces trucs ? » haleta un soldat, qui inspectait son fusil comme pour vérifier qu’il fonctionnait bien. Il y avait en effet de quoi s’interroger sur le bon état de marche de leur équipement, vu ce à quoi ces volailles surdimensionnées venaient de survivre, mais c’était sans doute précisément leur grande taille qui avait protégé leurs organes vitaux.

    « Masukeredomo Goayu. »

    « Gesundheit. »

    « À vos souhaits, mon Commandant. »

    « Non, c’est le nom de ces « trucs », comme vous dites. Des oiseaux géants originaires de Torino, qui adorent garnir leur nid d’objets brillants, comme des pies ou des corbeaux mais en plus gros. C’est à cause de cela que leur patrie est appelée « l’Île au Trésor », ils peuvent voler sur des centaines de kilomètres pour en trouver. » expliqua patiemment Zhihao. Un vrai fléau ces animaux, même le fait de garder leurs distances ne suffisait pas à garantir que les gens ne seraient pas agressés pour leurs objets de valeur. Et dire que ces spécimens-là étaient relativement petits...

    « Aaah, ils pensent que je suis un trésor ! Ils ont bon goût ! » se réjouit Vladescu, encore couverte du sang de ses ennemis mais dont l’humeur venait de faire un virage à 180 degrés.

    « Je pense surtout qu’ils ont été attirés par le reflet du soleil sur votre armure. » tempéra l’anguille électrique. Ce qui voulait dire qu’ils auraient tout aussi bien pu choisir de la prendre pour cible au lieu de sa subalterne, même si elle aurait eu plus de facilité à s’en délivrer.

    « Dites, l’un d’eux a abandonné ça en s’échappant. » intervint un militaire en désignant un coffre bardé de laiton, renversé sur le pont. L’objet attira immédiatement la curiosité des hommes, et il ne fallut pas longtemps pour que l’un d’eux pose la question fatidique : « Dites, vous pensez qu’il y a quoi à l’intérieur ? »

    La femme-poisson soupira. Elle entendait cette question toutes les dix minutes, et ce depuis qu’ils avaient quitté la Contre-Amirale Gentry. Le QG leur avait en effet donné pour instruction de rejoindre le Vice-Amiral Shoga et de lui livrer une caisse en provenance de Marie-Joie dont ils avaient interdiction formelle de regarder le contenu. Bien sûr, n’importe quel individu doté des connaissances les plus élémentaires en psychologie – ou ayant simplement passé cinq minutes en compagnie de l’enfant lambda – savait que c’était le meilleur moyen de leur donner envie de savoir ce que renfermait la caisse en question. Une envie qui avait taraudé l’équipage tout au long du trajet depuis West Blue, raison pour laquelle elle avait résolu de les mettre à l’abri de la tentation en planquant la caisse là où nul n’irait la chercher.

    Et voilà que maintenant, par un quelconque caprice du destin, un second mystérieux contenant avait fait son apparition et se retrouvait à son tour au cœur de tous les fantasmes. Mais au moins ce coup-ci, Zhihao n’avait pas de raison d’envoyer ses hommes balader… ou du moins elle n’en aurait plus une fois qu’ils se seraient remis en mouvement.

    « Nous verrons cela plus tard, je vous rappelle que nous avons un rendez-vous, et que nous avons perdu du temps. Assurez-vous que personne ne soit passé par-dessus bord, amenez les blessés à l’infirmerie, vérifiez s’il y a de la casse, réparez ou remplacez ce qui doit l’être, et nettoyez-moi ce bazar d’abord. »

    Ses subordonnés ne se firent pas prier pour exécuter ses ordres, et le Lampyris ne tarda pas à faire à nouveau voile vers sa destination, les dégâts subis ayant été assez mineurs. Il fallut tout de même deux bonnes heures pour que le pont soit à nouveau propre, après quoi la femme-poisson consentit à l’ouverture du coffre, sous le regard des membres de l’équipage qui n’avaient pas d’autres tâches à accomplir. Elle avait déjà inspecté l’objet à l’aide de son sixième sens et n’avait rien détecté qui ressemble à une bombe ou autre type de piège, néanmoins le soldat chargé de crocheter la serrure le fit en s’abritant derrière un pavois renforcé avec une couche d’acier, et était de plus protégé par une armure et un masque à gaz.

    « Vous ne trouvez pas que vous en faites un peu trop, mon Commandant ? » s’enquit l’un de ses officiers.

    « On ne sait jamais, nous n’avons aucune idée d’où ça vient. » répliqua-t-elle du tac au tac.

    Enfin la serrure fut déverrouillée dans un dernier clic, et le préposé souleva précautionneusement le couvercle, avant de faire signe que tout allait bien. L’assistance se rapprocha et vit qu’à l’intérieur du coffre se trouvait… un amoncellement de bric-à-brac, des objets sans aucune valeur ni rapports les uns avec les autres. Au milieu de tout cela trônait cependant un grand bocal en verre rempli de ce qui ressemblait à des bonbons colorés, et orné d’une notice qui ne manqua pas d’interloquer tous ceux qui la lurent.

    « Bonbons du démon : six goûts, six transformations. Tentez votre chance, et laissez-vous surprendre ! » annonçait le texte, ce qui provoqua un concert de murmures.

    « C’est quoi ça, c’est une blague ? »

    « Quelqu’un a fait des bonbons aux Fruits du Démon ? »

    « J’ai bien envie d’en manger un, pour voir... »

    « Non mais ça va pas ?! »

    « Personne n’en mange. » trancha Zhihao, qui sentait poindre une migraine. Des sucreries diaboliques, et puis quoi encore… elle ne savait pas si c’était le produit d’un farceur au sens de l’humour douteux, d’un charlatan ou si cela sortait tout droit du laboratoire d’un savant fou, mais la prudence était de mise. « Nous ne savons pas si l’étiquette dit la vérité ou non, cela pourrait tout aussi bien être du poison. Et à supposer que ce soit vrai, ce n’est pas le genre de chose qu’on mange sur un coup de tête. Nous remettrons cela au Vice-Amiral et nous verrons ce qu’il en pense. »

    Il y eut bien quelques grommellements déçus, mais ses hommes se plièrent à sa décision. Chacun s’en retourna à son travail tandis qu’elle allait mettre les friandises soi-disant magiques en sécurité, et la traversée continua sans autre incident notable. La kanokunienne fut soulagée lorsque la flotte du Juste apparut à l’horizon quelques heures plus tard : enfin elle allait pouvoir retrouver sa tranquillité d’esprit. Alors que le Lampyris entamait les manœuvres d’approche, une excitation renouvelée s’empara du navire : après tout, le Vice-Amiral Shoga était connu pour commander une flotte éclectique au possible, et ce serait la première fois de leur vie que la plupart de ses hommes auraient l’occasion de croiser un ange ou un Mink. Il fallait juste espérer que ses avertissements leur étaient bien rentrés dans le crâne et qu’aucun d’eux ne commettrait de faux-pas...


    Dernière édition par Meng Zhihao le Mar 22 Oct 2024 - 11:05, édité 1 fois
    • https://www.onepiece-requiem.net/t28416-meng-zhihao-fiche-techni
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    Shoga et sa flotte navigue sur la mer du sud, le renard doit recevoir un mystérieux coffre, une livraison. Il ignore qui l'envoie et pourquoi, mais un marine ne recule pas devant l'inconnu, jamais ! On ne sait jamais ce qui peut découler de ce coffre, un nouvel ennemi, un allié, voir même une demande en mariage, ça peut arriver. Shoga est sur son navire, le "Kitsune", il profite du bon temps de la région du sud. Il affectionne particulièrement le climat des blues, car celui-ci n'est pas capricieux, contrairement à Grand Line ou le Nouveau Monde. Puis, c'est sur East Blue qu'il a fait ses armes, qu'il a combattu de rudes gaillards, on peut dire qu'il a vécu plus d'aventures sur les Blues que dans le reste du monde. Cela lui fait plaisir de naviguer ici, Grand Line ou le Nouveau Monde c'est bien un moment, mais à petite dose. Au moins, ici, on peut naviguer sans voir un Kraken surgir de nulle part et abattre ses tentacules sur les voyageurs.


    Le Mink vêtu de son Kimono noir et blanc, accompagné par son meitou "Eijin", héritage du grand Roronoa Zoro, le Mink scrute les environs. Il ne voit rien de suspect, ne ressent rien de néfaste, tout est ok. Comme à son habitude, lorsque aucune menace n'est détectée, il se rend au pont arrière et se pose autour d'une table pour lire un de ses romans qu'il affectionne.


    - Aujourd'hui, ce sera « L'incroyable ascension d'un clown au nez rouge ! En grande pompe ! ». Je me demande s'il est bien, je ne l'ai jamais lu.


    Shoga lit une incroyable aventure, à moitié biographique et fiction, parlant de Baggy le clown. Le renard aurait aimé connaître cette génération, celle de Shanks le Roux, de Luffy au chapeau de paille, mais ce qu'il aurait aimé le plus, aurait été de croiser le fer avec Roronoa Zoro et serrer la pogne de son idole, Monkey D. Garp. Le renard dévore le livre, il tourne les pages avec impatience, « Ouaaah, je ne savais pas que Baggy le Clown été aussi puissant, son Haki royale était phénoménal », s'exclame-t-il avec passion, comme un enfant lisant un manga. Le commodore Shujin, le bras droit de Shoga, regarde son renard-choupinet, comme il aime le nommer, prendre du plaisir.


    - Ooooh... Si seulement je pouvais être à la place de ce livre, Shoga me feuillèterais !


    Dit-il en se faisant un câlin et en se dandinant sur place. À côté de lui, Roronoa Zokushin, un ancien pirate devenu commandant, regarde Shujin avec un dégout.


    - Ne... Ne t'approche pas de moi, hors de question !


    Shujin contracte ses muscles jusqu'à faire exploser son uniforme de prisonnier aux couleurs de la marine, prenant une pose de culturiste, les bras en l'air et les muscles saillants.


    - Nul ne peut échapper à mon amour !


    Zokushin dégaine la moitié de son meitou "Take", prenant une poste d'épéiste, qui lui faciliterait une découpe à l'horizontale.


    - Personne ne peut survivre à mon tranchant.


    Le regard des deux se croise brièvement, suivi d'un échange de coup, ce qui crée une onde de choc qui repousse les soldats aux alentours. La plante du pied droit de Shujin est opposé à la pointe de la lame de Zokushin, il a finalement opté pour un coup d'estoc. Les soldats tentent de calmer leur ardeur, mais calmez ces deux-là est plus compliqué que de convaincre un homme-poisson que l'eau de mer est sale. Les deux s'échangent des coups, Shujin bloque la lame en durcissant son corps avec le Tekkai et riposte avec une frappe contondante, pendant que Zoku pare le coup avec le dos de sa lame et riposte avec son tranchant. Les soldats acclament les combattants, ils en viennent à rire de la situation, car ce n'est qu'un échauffement pour les deux commandants. Soudainement, Shoga ressent un truc, il ferme son bouquin et se lève. Il regarde dans une direction, plisse les yeux, puis il siffle. Le combat s'arrête, la lame de Zokushin sous la gorge de Shujin, et le poing de l'Okama devant le visage du Roronoa. Shoga arrive sur le pont, les soldats sont au garde-à-vous, il leur explique qu'il ressent une aura dans la zone, alors qu'il n'y a rien dans la zone comme terre.


    - Il doit s'agir d'une pauvre âme, nous allons la secourir !


    Les soldats dirigent le cuirassé dans la direction de l'aura, ils finissent par arriver à destination, il y a bien une embarcation au milieu de la mer. Shoga propose à l'homme et son oiseau de monter à bord, qu'ils soient amis ou ennemis, cela ne change rien, c'est le devoir d'un marine d'aider les gens. Shoga demande que l'on apporte de quoi manger et boire à l'homme et son Dodo, le Mink lui fait la conversation, alors que le navire a repris sa destination de base.


    - Bonjour, je suis le vice-amiral Shoga, enchanté de vous rencontrer. Comment vous sentez-vous, et pouvez-vous me dire comment en êtes-vous arrivé là ?


    Quelques minutes plus tard, le cuirassé trouve un autre rescapé en mer. Ce dernier a fait un voyage sur un navire marchand, mais le navire a fini en morceaux à cause d'une tempête durant la traversée, Shoga l'a donc récupéré. L'homme se nomme Kalgoro, et il semble antipathique. Le Mink fait la même chose qu'avec Yajiru, lui posant les mêmes questions. Après quelques heures de voyage, le navire fini par arriver à destination. Les marines à bord du navire allié livrent le colis au renard, ce dernier les invites à son bord. Afin de faire connaissance et voir s'ils n'ont pas besoin d'aide médical ou s'ils veulent bien partager un repas.  Le Mink reçoit le coffre, il l'ouvre et constate qu'il y a pas mal de trucs qui n'ont pas de rapport avec lui, ou même entre eux. Cependant, il y a deux choses qui interpellent le renard. La première, c'est des romans de fictions dedans, ceux que Shoga attendait depuis longtemps, la livraison fut longue, mais elle valait le coup. La seconde est le bocal rempli de bonbons, il se demande ce que cela peut bien être. Le renard demande à son médecin, le docteur « Patoche » de lui donner son avis sur la question. Ce dernier est perplexe, il examine un bonbon et en vient à la conclusion qu'elle semble être normale, la seule chose à faire serait de le manger pour voir si le message est vrai. Shoga demande à la commandante Meng Zhihao de lui raconter tous les détails de l'histoire, comment ils ont eu le coffre, par qui, toutes informations sont susceptibles d'être prise en compte. Le souci est qu'un choc fait légèrement bouger le navire, sûrement une vague ou quelque chose d'autres. Mais, le souci n'est pas là, c'est qu'en tapant contre le navire, Shoga a lâché le bonbon en l'air et l'a ingurgité par mégarde. Le bocal à lui aussi valser avec le choc, éparpillant les bonbons un peu partout. Le renard trouve que le gout est immonde, cela lui rappelle l'ingurgitation de son fruit, ce qui le fait un peu paniquer, car il a toujours entendu dire que si l'on mange deux fruits du démon, on explose. Mais, là, ce n'était pas un fruit, mais un bonbon, et au lieu d'exploser, il se transforme en squelette. Shoga regarde ses mains osseuse avec stupeur, et il aimerait comprendre ce qui vient de lui arriver.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t22537-fiche-du-kitsune
    • https://www.onepiece-requiem.net/t22505-le-renard-justicier