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[Flashback - Event d'Halloween] Alabasta, basta !

Alabasta, le royaume du sable, gouverné par la puissante et noble famille Nefertari, une île incontournable. Ce qui est fabuleux avec Alabasta, c'est sa richesse culturelle, on trouve de tout dans ce pays. Aussi bien des bandits que d'honnêtes citoyens, un peu comme partout, vous me direz, mais ici, c'est différent. Pour vous donner un exemple précis, si vous êtes un touriste naïf, et que vous fassiez un tour au marché, il n'est pas rare qu'un vendeur essayera de vous vendre une prétendue pomme en or. D'autres tenteront de vous arnaquer avec des techniques plus élaborées qu'une pomme recouverte de peinture jaune. Comme par exemple, vous refourguez le prétendu chapeau de paille de Monkey D. Luffy en inventant une histoire du pourquoi du comment il peut être ici. Dans d'autres pays, le mensonge et la tromperie est une épine dans le pied du tourisme, mais ici, c'est un art. Certains viennent jusqu'à Alabasta pour se rendre dans les marchés et assister à ce genre de vente, cela les amuse et finalement, il ne paye pas pour l'article qui est bidonné, mais pour la prestation. Certains disent que c'est comme être dans un spectacle vivant au théâtre, rien que pour cela, c'est suffisant.


Han, notre révolutionnaire, est venu sur Alabasta pour s'assurer de quelque chose. Il traîne dans le marché de Nanohana, se trouvant au sud-est d'Alabasta. Il se promène vêtu d'un poncho à capuche, il tient à garder son visage caché, car au-delà d'être primé, Han a une histoire malheureuse avec la famille royale d'Alabasta. Il a été accusé d'avoir assassiné un membre de la famille royale, alors qu'au contraire, il le protégeait. Le révolutionnaire fait mine de rien, il suit un vieil homme tout maigre, dégarnie, cheveux blanc, édenté. Ce type ne ressemble à rien, ses vêtements sont troués. Il est aussi recouvert de bandage un peu partout sur son corps, bandages ayant jauni depuis le temps qu'ils les portent et à cause du soleil. Han fait semblant de s'intéresser aux marchandises qui sont mises en vente, les marchands lui font le blabla habituellement. Han voit passer la fameuse pomme en or, le chapeau de paille de Luffy, et même la veste de Smoker, ici, il y a de tout, surtout de la contrefaçon.


Han garde du coin de l'œil le vieux qui semble s'intéresser à des cartes maritimes et d'îles, ce dernier examine avec attention les cartes. Lorsqu'il tombe sur une fausse, il ose la déchirer et si le vendeur proteste, le vieux dégaine la moitié de son sabre hors de son fourreau, ce qui calme les marchands. Avant de partir, il insulte de voleur les marchands, ces derniers haussent le ton en ventant leurs produits, afin de couvrir la voix du vieux. Ce petit jeu dur pendant une heure, le vieux passe de stand en stand, il ne peut s'empêcher de détruire une reproduction et insulter le vendeur de voleur. Les gardes, qui ne sont pas assidus et motivés par leur affectation, laissent passer ce genre de caprice. Après tout, c'est dans l'intérêt des marchands de se taire, car le vieux ne ment pas, les gardes le savent et c'est pourquoi, ils ne font rien. Ils connaissent aussi le vieux, c'est un excentrique, il n'est pas méchant, juste caractériel, selon la garde urbaine. Han fait profil bas, il continue de suivre le vieux bonhomme. Mais pourquoi ? Apparemment, il détiendrait certaines informations susceptibles d'intéresser le Seki.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t26019-fiche-du-balafre
  • https://www.onepiece-requiem.net/t25981-l-agent-devenu-revolutionnaire
Venant à peine d'arriver au port du magnifique royaume désertique d'Alabasta, le clown de jade et sa fidèle camarade pétocharde débutèrent d'abord leur voyage en déposant bagage dans le premier hôtel du coin, avant de partir en parfait touriste au milieu du bazar de la ville. On pouvait facilement voir certains vendeurs amadouer la foule, par le biais de bien exotique à vendre à bas prix. Un énorme attrape-nigaud lorsque la méfiance était mise sous le tapis. Habitué à ce genre de magouille à cause des rues les plus pauvres de son île natale, du coup, le joker touchait uniquement avec ses pupilles chaque article brandit avec fierté par les marchants. Restant sur ses gardes à cause de la foule, la coéquipière du farceur restait accroché sur son dos, tel un bébé koala en panique celtique.

Joey : «Nora... Tu ne devrais pas avoir peur... On ne risque rien ici.» Il tenta de la rassurer sur le moment, en vain...

Nora : «Je suis désolée, Monsieur Wilson... Mais, j'ai trop peur...» Elle s'agrippa avec encore plus de force à sa veste rouge vif.

Très clairement, le duo ne passait pas inaperçu parmi la foule. La gent féminine pensait avoir affaire à un couple des plus étranges, tandis que les autres rigolaient en voyant le clown en train de se faire étrangler par la prise inopinée de sa camarade. Au bout d'un moment, le pitre arriva à drastiquement la calmer, grâce à la découverte d'une adorable vieille dame vendant de délicates friandises à son stand. Une fois la froussarde en possession de la sucrerie en bouche, toutes ses craintes venaient de brusquement disparaître, comme si la douceur sucrée la fit planer sur un nuage loin de tout danger. Profitant de ce moment de tranquillité, le pitre continua sa marche en gardant un air protecteur sur la belle demoiselle correctement posée sur son dos. Très bientôt, un cauchemar digne d'un roman horrifique allait planer sournoisement en contrebas de la cité.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t27725-fiche-technique-du-clown
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Alabasta, basta !

[Flashback - Event d'Halloween] Alabasta, basta ! 90c07411







La chaleur d'Alabasta me pesait comme toujours. Depuis plusieurs jours, je n'avais reçu aucune mission de la marine, alors je profitais de mon temps libre pour flâner dans les rues animées et les marchés colorés. J’aimais observer les allées et venues des habitants, tout en gardant mes sens en éveil, guettant la moindre agitation qui pourrait briser cette routine.

Ce matin-là, je déambulais tranquillement dans un marché bondé, mes yeux balayant les étals remplis d'épices et de fruits exotiques. Je me laissais porter par le tumulte ambiant, quand un vendeur étrange, à l'écart des autres, attira mon attention. Vêtu d’une cape usée, il se tenait dans un coin ombragé, me fixant avec insistance.

"Toi là, approche," murmura-t-il d’une voix basse, presque hypnotique.

Intrigué malgré moi, je m’avançai vers lui. "Qu’est-ce que tu me veux ?" demandai-je en le dévisageant avec méfiance. Il ne répondit pas tout de suite, fouillant plutôt dans sa poche avant de me tendre un petit bonbon, enveloppé dans un papier froissé.

"Prends-le. C’est un cadeau," dit-il d’une voix énigmatique.

Je levai un sourcil, perplexe. "Et je suis censé en faire quoi ?" demandai-je en prenant le bonbon entre mes doigts, le détaillant sans grande conviction.

Le vendeur esquissa un sourire étrange avant de répondre : "Ne le mange que si tu te retrouves dans une mauvaise posture... Ça pourrait bien te sauver la vie."

Je le regardais un instant, incrédule. "N'importe quoi," pensais-je en glissant le bonbon dans ma poche sans trop y réfléchir. Ces histoires mystérieuses ne m’intéressaient guère, mais quelque chose dans la façon dont il avait parlé éveillait tout de même ma curiosité.

Je quittai rapidement le vendeur et repris ma route à travers les rues ensoleillées, la chaleur pesant de plus en plus lourd sur mes épaules.

J'avais besoin de me poser et de me rafraîchir. Un bar-café à l’ombre me semblait parfait pour me détendre un moment. Je m’installai tranquillement, savourant une boisson glacée, observant les gens passer, la ville semblant si calme et paisible.

Mais cette tranquillité fut de courte durée. Soudain, un vacarme assourdissant éclata au loin. Des cris perçants, des bruits de meubles renversés, de vitrines brisées. Des civils couraient dans tous les sens, paniqués. Je posai immédiatement ma boisson, le cœur battant. Quelque chose de grave se passait.

Sans perdre une seconde, je me levai et me dirigeai vers l’origine de cette agitation. Mon instinct de combattant me poussait à agir, à découvrir ce qui se tramait et à intervenir si nécessaire.

La journée, qui avait commencé paisiblement, prenait maintenant une toute autre tournure.
         
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Vous savez... Parfois, avec le temps, les personnes et les envies changent. Jusqu'a maintenant, j'étais assez persuadé que le monde était gris, un gris peu vertueux, mais un gris nécessaire. Pourtant, l'homme et faible, ne vois souvent que son propre bien avant celui des autres, un égoïsme naturel qui nous force souvent a prendre la décision la moins dure. Sauvez les personnes qui nous sont chères au mépris des règles, affronter le monde entier pour une seule personne, des choix peu cohérent, mais pourtant tellement humain.

Parfois je me demande, jusqu'ou est-on prêt a aller par amour ? Pour l'amour d'un frère ou encore d'une femme ? Si demain ma mère était menacée par le gouvernement que j'ai soutenu, ferais-je le sacrifice de ma propre mère ? Tant de décision tellement dur, dur simplement a cause d'une chose aussi triviale que nous sentiment. Pourtant, peut-on vraiment ce prendre pour une bonne personne lorsqu'on a trahi les siens ? Pourchasser son frère jumeau ou tuer son propre mentir, celui qui nous a aimé comme un fils...

Moi qui était d'humeur tellement jovial en règle général était sans réel envie, même ce grand spectacle que nous étions en train d'organiser a Alabasta ne me faisait que très peu envie, et au final il n'y a que peu de chance que les gens voient le seul est unique Joker, n'en déplaise a ceux qui usurpe mon titre, je suis le seul qui a obtenu ce titre au prix de bien des efforts et des sacrifices.

Nous nous étions rendu dans cette terre de sable a bord de deux navires pour l'occasion. L'aurore et le léviathan avait été nos instruments de route et je laissais a Zen et a Carlsen le soin de gérer les préparatifs et les hommes.

Dans ma cabine, je restais dans mon lit... Allongé, soucieux... J'avais du mal a croire que quelques baisers échanger avec une pirate avait pu remettre autant de chose en question pour moi, mais les fais était la. Une femme qui a perdu son uniforme mis en jeu sa liberté pour son fils a bien plus de valeur pour moi qu'un homme qui a tué des personnes juste, car il en avait reçu l'ordre.

A cet instant, je n'étais plus vraiment sûr de savoir ce que je voulais, je savais déjà ce qui me ferais le plus grand bien... Un bon café et bien souvent la réponse a bien des problèmes, c'est donc de cette façon que mal coiffé je sortais enfin du navire afin de me diriger vers un bar, peu soucieux du monde qui m'entoure pour le moment je n'avais qu'une envie, et je sentais que cette première porte de bar fermé n'était que le début d'une mauvaise blague.... Personne ne se met entre moi et mon café... Personne.
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