Non mais vraiment ? Le mégakraken qui sort de l'eau pour arrêter un navire, Red qui maltraite quelqu'un personnellement avant d'envoyer un message fort, ce ne sont pas le genre de chose qui passent inaperçues, surtout près de mon île. Dès que j'ai eu le rapport, j'ai changé de cap avec mon navire et je suis allé voir. Mais je suis arrivé trop tard, alors je suis rentré bredouille sur Rokade. Je traverse les rues tranquillement, un peu bougon. Quand j'arrive devant chez moi, je tourne la poignée et ... elle ne s'ouvre pas. Bizarre. Je force un peu, toujours pas. J'entends du bruit à l'intérieur. Je me prépare à la défoncer quand une voix m'interpelle.
" C'est chez nous maintenant, dégagez !
Pardon ?!Vous savez chez qui vous êtes ici ?
On s'en fou, c'est chez nous. Et tu peux rien nous faire, on a la loi avec nous. Personne ne peut nous faire sortir si on en a pas envie sinon on porte plainte. "
Oh putain. Ils ont vu trop de films eux. D'un coup de pied, j'explose la porte. Les débris volent partout à l'intérieur, blessant les trois occupants.
" Tu n'as pas le droit ! On est chez nous. On a la loi de notre côté. " Je pénètre dans l'entrée, la lumière derrière moi masque mon identité.
"La loi ici, c'est moi.
Tu n'as pas le droit, on vit ici.
C'est ma maison, c'est moi qui vit ici. Vous, vous dégagez.
Si tu nous touche, tu es mort ! On travaille pour Clotho !Touche nous et tu meurs.
Personne avec ne serait-ce qu'un demi cerveau et travaillant pour moi ne mettrait les pieds chez moi sans mon accord.
Tu ... Tu es ... " J'avance, sortant de l'ombre. La lumière éclaire désormais mon apparence. L'homme sort une affiche, la regarde, puis me la tend.
" Genre tu es Clotho. Toi ? Me fais pas rire. " L'affiche me dépeint avec les cheveux bleus et une prime de 397 000 000 de berries. Ils ont trouvés une très vieille affiche. " T'as pas la même tronche et ses cheveux sont bleus ! Quand on va lui dire ce que tu as fait, tu supplieras pour qu'il te laisse en vie ! " Las de parler, j'envoie un coup de haki royal, juste assez fort pour les faire tomber à genoux.
" De quel droit vous pénétrez chez moi sans autorisation ? De quel droit vous revendiquez ma maison comme la vôtre ? Et de quel droit des merdes telles que vous osez dire que vous travaillez, pour moi ?! "
Ma voix fait résonne les tunnels, les échos transmettent mes paroles bien plus loin que ma voix ne porte. Je m'approche d'eux et ils commencent à trembler de terreur. Ils se rendent enfin compte de leur erreur. Avant qu'ils ne puissent ouvrir la bouche, je leur adresse les derniers mots qu'ils n'entendront jamais.
" Je déteste les merdes dans votre genre. " Sans cérémonie, je les empale avec mon bonbon, avant de leur trancher les oreilles et de leur arracher la langue brutalement. Puis je les fait sortir de chez moi, les emprisonne dans du bonbon pour créer des statues, et les laisse exposer en trophée. Ils essaient de crier de douleur sans y parvenir. Mais comme ils émettent des sons, je leur colle la bouche avec ma douceur sucrée. Puis je rentre chez moi me détendre, après avoir appelé quelqu'un pour me refaire une porte. Comment des abrutis dans leur genre peuvent ne pas savoir que cette maison est la mienne, qui je suis ou me reconnaître, et surtout, comment ont-ils réussit à survivre jusqu'à présent avec leur quart de cerveau ?
" C'est chez nous maintenant, dégagez !
Pardon ?!Vous savez chez qui vous êtes ici ?
On s'en fou, c'est chez nous. Et tu peux rien nous faire, on a la loi avec nous. Personne ne peut nous faire sortir si on en a pas envie sinon on porte plainte. "
Oh putain. Ils ont vu trop de films eux. D'un coup de pied, j'explose la porte. Les débris volent partout à l'intérieur, blessant les trois occupants.
" Tu n'as pas le droit ! On est chez nous. On a la loi de notre côté. " Je pénètre dans l'entrée, la lumière derrière moi masque mon identité.
"La loi ici, c'est moi.
Tu n'as pas le droit, on vit ici.
C'est ma maison, c'est moi qui vit ici. Vous, vous dégagez.
Si tu nous touche, tu es mort ! On travaille pour Clotho !Touche nous et tu meurs.
Personne avec ne serait-ce qu'un demi cerveau et travaillant pour moi ne mettrait les pieds chez moi sans mon accord.
Tu ... Tu es ... " J'avance, sortant de l'ombre. La lumière éclaire désormais mon apparence. L'homme sort une affiche, la regarde, puis me la tend.
" Genre tu es Clotho. Toi ? Me fais pas rire. " L'affiche me dépeint avec les cheveux bleus et une prime de 397 000 000 de berries. Ils ont trouvés une très vieille affiche. " T'as pas la même tronche et ses cheveux sont bleus ! Quand on va lui dire ce que tu as fait, tu supplieras pour qu'il te laisse en vie ! " Las de parler, j'envoie un coup de haki royal, juste assez fort pour les faire tomber à genoux.
" De quel droit vous pénétrez chez moi sans autorisation ? De quel droit vous revendiquez ma maison comme la vôtre ? Et de quel droit des merdes telles que vous osez dire que vous travaillez, pour moi ?! "
Ma voix fait résonne les tunnels, les échos transmettent mes paroles bien plus loin que ma voix ne porte. Je m'approche d'eux et ils commencent à trembler de terreur. Ils se rendent enfin compte de leur erreur. Avant qu'ils ne puissent ouvrir la bouche, je leur adresse les derniers mots qu'ils n'entendront jamais.
" Je déteste les merdes dans votre genre. " Sans cérémonie, je les empale avec mon bonbon, avant de leur trancher les oreilles et de leur arracher la langue brutalement. Puis je les fait sortir de chez moi, les emprisonne dans du bonbon pour créer des statues, et les laisse exposer en trophée. Ils essaient de crier de douleur sans y parvenir. Mais comme ils émettent des sons, je leur colle la bouche avec ma douceur sucrée. Puis je rentre chez moi me détendre, après avoir appelé quelqu'un pour me refaire une porte. Comment des abrutis dans leur genre peuvent ne pas savoir que cette maison est la mienne, qui je suis ou me reconnaître, et surtout, comment ont-ils réussit à survivre jusqu'à présent avec leur quart de cerveau ?
Dernière édition par Clotho le Jeu 24 Oct 2024 - 12:56, édité 2 fois