Leif Lokssön, "Blondinet"
Sexe : Homme.
Race : Humain.Métier : Paysan.
Groupe : Civil.
But :
- Disposer de sa propre exploitation, et/ou de son commerce.
- Partir à la rencontre de ses ancêtres, les Géants d'Erbaff.
Équipement : Nécessaire d'agriculture, à savoir bêche, pelle, râteau ainsi qu'un petit sac, et quelques vivres.Parrain : /
Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Un reroll d'Oswald d'Helsing.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? @Hayase Yorha
Codes du règlement :
Description physique
" Allons l'Blondinet ! Combien d'fois j't'ai dis d'passer par la case douche après une journée d'travail ? Hein ? Imagine que tu croises une jolie donzelle sur l'chemin du retour, qu'est-ce qu'elle va penser d'un souillon comme toi ?! "
Je levais les mains, feignant la reddition et l'innocence, alors que le vioc venait m'attraper par le col, pour me traîner jusqu'au petit coin qui servait de douche aux employés de l'exploitation. Une installation tout à fait sommaire, s'il en était, car elle consistait simplement en une cabane faites de planches, dans laquelle se trouvait un seau, un savon et un système d'irrigation ne proposant que de l'eau fraîche.
" Allez ! Hop hop ! Tu m'remercieras plus tard !
- Si vous le dites, mh ! Ce n'est pas comme si je n'allais pas me laver une fois rentré chez moi.. ? "
Je soupirais quelque peu, le voilà déjà reparti. J'aurais très bien pu éviter la douche froide à cet instant, mais quelque chose me disait au fond de moi, que j'en aurais entendu parler pendant des jours encore, alors je soupirais quelque peu, haussant les épaules et soufflant un rire. La douche froide ne pouvait pas être si terrible que ça, si ?
Je venais à récupérer mes vêtements habituels, dans une cabine non loin, et me dirigeait de nouveau vers l'installation sommaire, déposant le tout à l'intérieur après y être entré. J'ôtais mes habits de travail, avant d'activer le levier qui faisait instantanément couler l'eau fraîche depuis un tuyau dans le grand seau se trouvant au sol. Une fois celui-ci rempli à ras bord, je venais à le soulever, cinq litres n'étant guère très lourd pour moi, et venait alors à tout verser d'un coup sur ma trogne et mon corps, un frisson me gagnant instantanément et faisant congestionner la majeure partie de mes muscles.
" Brrr.. ! La prochaine fois j'attendrais l'eau chaude de chez moi.. ! "
La grande perche que j'étais, du haut de son mètre quatre-vingt cinq commençait à trembler davantage, tant et si bien que je me pressais de récupérer le savon posé sur ce qui servait de petite étagère, exprès pour ce dernier. Je venais alors à le frotter entre mes mains caleuses, marquées par l'exercice et le maniement des outils, d'abord, pour l'humidifier quelque peu et pouvoir en tirer les bienfaits, et la mousse. Une fois ceci fait, je venais alors à frotter celles-ci dans mes boucles blondes, plaquées sur mon crâne par l'eau et ce jusqu'au dessous de ma nuque, dégageant bien mes oreilles. Mes mains descendaient ensuite rapidement sur mon visage, et caressaient délicatement ma bouille, fine, alors que je fermais les yeux où se trouvait mes prunelles brunes, celles-ci passaient sur mon front, mes joues, mon nez droit et touchaient irrémédiablement quelques cicatrices, notamment celle qui traversait mon arrête nasal ainsi que la plus longue, marquant verticalement tout le côté droit de mon faciès.
Quoique fines et peu marquées, elles étaient les stigmates d'un passé mouvementé pour l'île de Tanuki, et celle d'une lourde perte, pour ma part. Mais l'heure n'était pas à la réflexion, alors je continuais de me savonner, frottant chaque parcelle de mon corps entretenu par l'exercice quotidien, et mon métier. De mes bras et mes jambes habitués à l'effort, tressés par des heures de labeur, à mon dos solide, capable de porter de lourdes charges sur de longues distances, l'atout dont je restais néanmoins le plus fier était ma ceinture abdominale, pas encore complète, et peut-être un brin dissimulée quand je ne venais pas d'user de ces muscles, elle restait néanmoins mon point fort.
Je terminais donc cette douche, prenant bien soin de me décrasser complètement, et tâchait de me sécher rapidement avec un tissu de laine mis à disposition pour chacun, dans le sens où on avait tous le nôtre, pour l'hygiène, c'était mieux ! J'esquissais un bref sourire alors que j'enfilais mes vêtements, amples, ne permettant guère de dire la musculature qui se cachait en dessous. J'enfilais alors mes sous-vêtements, puis entrait par la suite dans une tunique verte, avant d'enfiler un pantalon brun ainsi que des bottes de cuir solide, dans les mêmes colories. Je nouais une ceinture à la couleur sombre autour de ma taille, et achevais de me rhabiller en glissant une lourde et chaude cape sur mes épaules, un brin plus clair que la tunique, mais dont la longueur arrivait entre mes genoux et chevilles. Je glissais finalement mes doigts dans mes gants bruns, la saison froide arrivant à grand pas, après tout. La douche froide avait effectivement ses bénéfices, et j'étais pleinement réveillé pour pouvoir profiter de la fin de ma journée.
Quittant l'exploitation de Guy Mauve, attrapant mon sac d'effets personnels au passage, je prenais le chemin de terre menant à mon petit chez moi, à une vingtaine de minutes de l'exploitation. Je n'étais pas pressé, il était à peine seize heures, et la nuit n'allait tomber que dans deux petites heures, j'avais donc largement le temps de flâner en chemin, ou ne serait-ce que de m'arrêter à la bibliothèque. Oui, c'était une bonne idée, ça ! D'un pas léger, donc, je me dirigeais calmement vers la bibliothèque, saluant d'un signe de tête les différentes personnes que j'aurais pu croiser sur la route, et que j'avais l'habitude de voir.
Description psychologique
Après une bonne quinzaine de minutes de marche, j'arrivais finalement à la petite bibliothèque de l'île, aussi connue comme ma deuxième maison, ou troisième ? J'ouvrais doucement la petite porte de bois qui servait d'entrée et saluais silencieusement la bibliothécaire, d'un signe de la tête. Cette dernière me rendait bien volontiers mon sourire, alors qu'elle me laissait rentrer avec mon barda, il faut dire qu'elle avait l'habitude désormais, je passais presque tout les jours après le travail aux champs.
Doucement, je venais réserver un des fauteuils les plus confortables de la petite bâtisse, déposant mon sac contre celui-ci alors que je m'engouffrais par la suite dans les rayonnages des nombreux livres qu'abritait la bibliothèque. Il y avait de nombreux ouvrages, des plus récents aux plus anciens, et elle était sans cesse agrémentée des recommandations des locaux, qui une fois leur livre dévoré, prenaient plaisir à les partager avec les autres en l'intégrant à la bibliothèque, tant et si bien qu'on se retrouvait avec des bouquins sur des thématiques diverses et variées, fort heureusement classés avec soin par la tenancière des lieux. Je n'aimais pas spécialement qu'il y ait du désordre, en tout cas que ça ne soit pas du désordre de mon fait, car quand il était de mon fait, je retrouvais tout de même ce que je désirais au cœur de celui-ci !
Ma mère m'avait apporté toute l'éducation nécessaire à avoir sur le monde, mais cela avait ses limites, et ne l'ayant que trop bien compris, elle m'avait toujours encouragée d'y aller autant que je le pouvais, une fois que celle-ci avait pu ouvrir ses portes. Je l'avais donc prit aux mots, et les jours où je n'y allais pas étaient bien plus rares que ceux où on pouvait m'y trouver. Toujours assis dans le même fauteuil, quand faire se peut, toujours à la même heure, j'avais mes petites habitudes et j'appréciais grandement cela, et ne pas trop les déranger.
Après quelques brèves minutes de recherches dans les couloirs de celle-ci, mon regard venait alors se poser sur un ouvrage à la couverture rouge, et au titre évocateur de : "Mythes et légendes de l'île des Géants d'Erbaff". Je venais alors à m'en saisir, et partait donc simplement reprendre ma place, ouvrant ce dernier avec curiosité. J'aimais à ne pas m'enfermer dans le même livre trop longuement, aussi, je changeais assez rapidement de thématique dans mes lectures, mais celle des Géants était particulière à mon cœur. Mon père m'avait toujours expliqué descendre de ces derniers, ce qui expliquait sa grande taille par rapport aux normes humaines, quoiqu'elle restait tout de même relativement "normale", mais faute est de constater que c'était les gênes de ma mère qui avaient prédominés sur les siens, aussi, je n'étais à ma connaissance qu'un humain lambda.
J'avais des connaissances plutôt relatives en science, et qui plus est en génétique, alors les mécanismes qui expliquaient le passage de caractéristiques des parents à un enfant avait davantage l'air de sorcellerie à mes yeux, à dire vrai. Je soufflais un léger rire à cette pensée, avant de finalement plonger dans ma lecture.
***
Une heure trente plus tard, je finissais par relever le nez de mon livre, pour voir que la nuit commençait finalement à tomber sur Tanuki. Me redressant rapidement, je filais ranger le livre à l'endroit où je l'avais trouvé et attrapait mon sac avant de me diriger vers la sortie.
Avant d'atteindre la porte, Salma venait m'attraper le poignet et je me retournais alors, surpris, plongeant mon regard dans le sien alors qu'elle venait déposer un journal dans ma main entrouverte.
" Tiens ! Ils ont sortis l'interview du dernier champion de Sheepball et.. J'ai pensé que ça te ferait plaisir de la lire ! "
J'esquissais un sourire quelque peu gêné, les joues rosies par l'attention qu'elle m'apportait tandis qu'elle ne me quittait pas de son regard azur. Je la considérais comme une amie, mais la frontière avait toujours été fine, et les choses ambigüe depuis quelques années maintenant. Pourtant, personne n'avait osé sauter le pas, et, pris au dépourvu une fois encore, je commençais alors à balbutier en rosissant :
" Oh.. Mh.. ! Merci, héhé.. ! Je vais lire ça une fois rentré, oui ! On se.. revoit demain, hein ? J'imagine, mh ! "
Puis, comme à mon habitude, je lui collais une si brève bise sur la joue qu'on aurait dit un coup de vent, avant de prendre la poudre d'escampette, direction la sécurité de chez moi, la laissant là sur le palier de la bibliothèque qu'elle ne tarderait guère à fermer, j'étais bien souvent le dernier lecteur de la journée, de toute façon.
Après quelques brèves minutes de marche, j'atteignais finalement la ville, et tâchait de monter dans mon logis. Je n'habitais plus avec ma mère depuis des années, bien que j'avais pris mon indépendance tardivement, après ma vingtaine, mais ça avait été pour le mieux. J'appréciais beaucoup ma mère, mais il y a un moment où il faut savoir prendre son envol, et ce moment était arrivé à la suite du décès de mon père. Je venais à me préparer de quoi me sustenter, à savoir une potée de légumes, ainsi qu'un peu de viande, et une fois l'assiette faites, j'allais calmement me poser devant ma fenêtre ouverte, observant la mer et l'horizon, au loin, le soleil couchant réveillant les reflets dorés de ma tignasse dont quelques mèches virevoltaient au vent.
Ma vie, mon métier, et ma routine me plaisaient grandement, mais avec l'âge qui arrivait, et malgré le fait que j'avais déjà eu l'occasion de voyager quelque peu, le goût de l'aventure devenait de plus en plus fort, et quelque part, au fond de moi, mon âme d'enfant criait à la découverte, une voix que j'avais réussi à faire taire des années durant, ou peut-être s'était elle tue d'elle-même avec les évènements.
Une fois mon repas terminé, et un brin de toilette sommaire effectué, je venais à regagner mon lit, attrapant l'album photo que m'avait confectionné ma mère, pour me plonger dans quelques souvenirs. Je n'étais pas quelqu'un de foncièrement nostalgique, mais j'avais mes périodes, comme ça, où je sentais qu'il était bon de se remémorer le passé.
Biographie
J'ouvrais délicatement l'ouvrage à l'épaisse couverture et tombait déjà sur les premières photographies. Mes parents et moi, il y a de cela vingt-sept ans maintenant, le sourire aux lèvres d'accueillir leur premier, et seul petit garçon, même enfant, à vrai dire. J'esquissais moi-même un sourire à cette idée, ils n'avaient jamais eu envie d'en avoir d'autres, à ce que j'en sache, et peut-être était ce dû à mon comportement dans mes plus jeunes années. Car, en effet, je n'avais pas été le plus tendre et le plus calme des enfants, comparé à maintenant. Plutôt tête brûlé, j'aimais beaucoup me bagarrer et me défouler, j'étais un enfant plutôt sociable également, qui avait le don pour se faire beaucoup d'amis, et qui dès son plus jeune âge, avait adoré mettre la main à la pâte pour travailler au champ et parmi les moutons.
Mon père m'avait appris tout son savoir-faire, et l'importance de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille, tandis que ma mère m'avait apporté toute les connaissances nécessaires, et une éducation correcte, si bien que j'avais eu la chance d'apprendre à lire, à compter, et à me cultiver par moi-même, quand bien même étant petit, je préférais encore gambader dans les prés.
Je tournais alors de nouveau la page, et tombait sur une photographie de moi, autour de ma dizaine d'années. Je soulevais la coupe de Champion de Sheepball Junior de Tanuki, perché sur les épaules de mes parents qui étaient au moins aussi heureux que moi, si ce n'est plus, d'accueillir un champion à la maison. C'est bien la seule activité que j'avais accepté de faire, et c'est le seul défouloir que mes pauvres parents avaient réussis à trouver pour me canaliser dès que j'eu l'âge de marcher. Il faut dire que le Sheepball était une discipline ô combien importante au sein de Tanuki, tant et si bien que des Championnats étaient organisés chaque années, et qu'ils permettaient d'attirer bon nombres de personnes de l'extérieur, sur la petite île relativement isolée qu'était cette dernière.
Le prix de cette année là s'était avéré être un voyage tout frais payé, et pour toute la famille, à destination de Suna Land, alors naturellement, de nombreuses photographies suivaient dans l'album, dépeignant notre famille heureuse de pouvoir effectuer un tel voyage, chose qui aurait été bien compliqué autrement. Mon père n'appréciait guère attractions à sensations fortes, il faut dire qu'il se sentait bien plus à l'aise sur le plancher des vaches alors le voir dégobiller à la sortie d'une attraction avait forcément provoqué notre fou rire, à moi et ma mère.
J'esquissais un léger sourire, les yeux humides alors que je continuais de feuilleter l'ouvrage réalisé avec soin. Ce n'était pas la première fois que j'en parcourais les pages, alors je savais pertinemment ce qui arrivait par la suite, et les évènements qui allaient se rappeler à ma mémoire.
***
" LEIF ! VA-T'EN ! "
Alors que mon père me repousse et que je tombe à la renverse, nombres d'hommes se pressent dans les rues, torches, fourches, armes diverses et variées en mains tandis que des cris rauques et des rires terrifiants se font entendre par dessuis le raffut qui s'ensuit.
Des bruits de tirs éparses, des cris de douleurs et des gerbes de sang viennent rapidement à remplacer le son des râles de fureur alors que toujours plus de personnes se ramènent, manquant de m'écraser à chacun de leur passage tandis que j'essaie désespérément de me redresser, cherchant mon père du regard dans ce capharnaüm.
" Papa ?! PAPA !? "
Les bousculades n'ont plus aucun sens, je suis balloté d'avant en arrière par les courses multiples des gens se pressant dans les rues. L'air vient même à manquer alors qu'à peine relevé, je retombe après m'être fait bousculer par un bougre qui finira par s'écraser lourdement sur le sol, juste devant mes yeux. Bon sang, c'est quoi ce bordel.. ?
Allongé à plat ventre, je serre les poings sur le sol alors que le spectacle ne semble pas prêt de se terminer, les femmes et les enfants s'éloignant des fenêtres tandis que des éclats de balles viennent à se loger dans les murs des bâtisses, autant que dans les corps qui s'écroulent tout autour de moi. L'atmosphère est plus que pesante, elle en devient presque irrespirable mais pourtant, dans un ultime espoir, je reprends une grande inspiration et vient finalement par me redresser.
" Jack a dit.. Enlevez vos pantalons ! "
Puis quelques secondes plus tard, l'horreur reprends. De nouveaux cris, de nouveaux corps qui s'écroulent dans des mares de sang pavant les rues de rouge. Alors que je me retourne vers la source de ce massacre, soudainement, mes jambes faillissent et ma vision s'assombri. Je perds peu à peu conscience avec la réalité et la dernière chose que je sens, c'est mon corps qui s'écroule lourdement sur le dallage, et cette douleur lancinante au visage.
***
Le poing serré sur l'album photos, quelques larmes ont prit le temps de s'échapper et de tremper les pages de ce dernier, alors que je fixe, le regard empli de colère, une photographie de la cérémonie funéraire qui aura suivi cette attaque de pirates.
Peu s'en sont sortis, et encore moins quasiment indemnes. Je me console en me disant que j'ai eu de la chance, contrairement à bon nombres d'entre eux, mais c'est un bien maigre artifice pour cacher la culpabilité qui m'étreint. Mon père s'est fait massacrer par ce fou furieux, ce jour-là, et je suis là, à pouvoir vivre et profiter de ma vie comme si de rien n'était, marqué à vie par les cicatrices de ce sinistre jour.
Je serre le poing d'autant plus, et finit par sangloter. Je n'ai jamais eu la chance de me remettre de cet évènement, quand bien même on puisse s'en remettre, en fait, mais le temps panse les blessures, au moins partiellement, et avec celui-ci, la plaie béante et la douleur provoquée par la perte d'un être cher s'estompe années après années, moins douloureuse certainement mais éternellement présente.
Je ne dormirais pas cette nuit, me retournant dans mon lit jusqu'aux aurores. C'est de plus en plus rare avec les années, mais hélas, ça m'arrive encore. Peut-être ne pourrais je jamais tirer un trait là-dessus, qui sait ?
Informations IRL
- Votre prénom / pseudo : Mathigoful
- Êtes-vous majeur ? Oui !
- Vous aimez / n'aimez pas : J'aime bien écrire, jouer aux jeux vidéos, voyager entre autres. Et pour ce que je n'aime pas, les brocolis.. ?
- Votre personnage préféré (de One Piece) : Mon personnage préféré du moment (car ça change) est Garp !
- Vous vous définiriez comme : Une créature errante ?
- Vous faites du RP depuis : Une dizaine d'années.
- Vos disponibilités (approximatives) : Approximativement un peu tout les soirs, je dirais.
- Comment avez-vous connu le forum ? Je le connais depuis très longtemps, mais je ne sais plus comment je l'avais découvert à l'époque !
One Piece Requiem Tous droits réservés