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Yukisame [terminé -test RP posté -en attente de validation]

[HS : Bonsoir ! je voudrais vous expliquer la cause de mon retour très tardif : c'est dû à un problème de contrôle parental, que j'ai finalement réussi à craquer. Je suis donc de retour pour vous jouer un mauvais tour ! Mouhaha !]

>> Yukisame Pandora



Yukisame [terminé -test RP posté -en attente de validation] 483660Zion4

Pseudonyme : Yukisame Pandora
Age: 18 ans, en paraît 15
Sexe : Homme
Race : Humain
Rang :

Métier : Cuisinier
Groupe : Pirates
Déjà un équipage : /
But : Retrouver son passé

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : J'aimerai me faire valider un fruit Paramecia de la Rose
Équipements : Un simple sabre

Codes du règlement (2) :

Parrain : The Sea Lion

[center]>> Physique

Vous serez sans doute très surpris quand vous apprendrez Que le jeune garçon que vous avez en face de vous a en réalité 18 ans : il vous en semblez tout juste 15 !
Culminant à 1m66 au dessus du sol, une silhouette très frêle sans une once de muscle ou de graisse expliquant son faible poids (50 kilogrammes), son apparence a déjà trompée plus d'une personne. Sa faible stature s'explique par une étrange maladie génétique, incurable. Cette maladie agit au niveau des hormones de croissance du malade : à partir de l'âge de 15 ans, la production ralentit de telle manière que le patient ne semble plus grandir et garde, jusqu'à sa mort, sa silhouette d'adolescent.
Pour s'intéresser de plus près à son visage, vous constaterez qu'il est de forme assez allongée, recouvert d'une peau pâle. Un nez se réduisant à une légère bosse, une bouche fine et deux grands yeux violets, on peut qualifier ses traits de fins (certaines jeunes filles y ont d'ailleurs été assez sensible. Bref...).
On devine de par sa carrure que Yuki n'est pas le roi des bourrins, loin s'en faut... Toutefois, ne le sous-estimé pas en combat : il sait combler sa lacune en force par une dexterité et une vitesse prodigieuse, il manie également le sabre d'excellente manière et sait tirer au pistolet.
Pour conclure sur le côté plus superficiel de l'habillement, le jeune homme s'habille toujours d'un ensemble digne d'un domestique de grande famille, ou bien tout blanc, ou bien tout noir. Il arbore également une broche en forme de rose rouge, sa fleur fétiche. A y regarder de plus près, vous constaterez que ses habits sont toujours d'une parfaite propreté. Pas que Yukisame soit coquet, mais son métier de cuisinier lui impose une grande rigueur au niveau de la propreté et une hygiène de vie irréprochable.


>> Psychologie

Une personne fort singulière... Yukisame est, par nature, une personne assez sérieuse est solitaire. Un peu misanthrope sur les bords, il est assez difficile à approcher. Mais une fois qu'il s'attache à une personne, on se rend assez vite compte qu'il est capable d'être gai et drôle. Le jeune homme possède en fait beaucoup de traits de caractère relevant de l'immaturité et de la candeur. L'explication est médicale : les médecins constate souvent que les personnes atteintes de la même maladie que Yukisame (voir plus haut) ont l'habitude de conserver un caractère propre à leur physique... Mais il lui arrive néanmoins de réussir à se détacher de cette facette pour adopter une attitude plus mature. Sa timidité, toutefois, ne le quitte que lorsqu'il est avec des personnes en lesquelles il a entièrement confiance, mais impossible pour lui de se débarasser de ce trait de caractère lorsqu'il est en présence de représentantes de la gente féminine.
Il est d'une grande sensibilité dans tout ce qui touche aux domaines des arts : peinture, littérature, musique,... Il s'adonne d'ailleurs souvent à la création artistiques, ayant une préférence pour la littérature. Il considère également la cuisine comme un art, un point de vue que beaucoup de personnes ne partagent pas. Mais ne goûtez ne serait-ce qu'une seule fois à sa cuisine et vous comprendrez très vite l'expression "art culinaire" !
Dans les situations extrêmes, Yukisame est capable de faire preuve d'une grande froideur, au point d'en être presque effrayant : il est capable d'abttre un homme désarmé de sang froid et sans éprouver le moindre remords. Mais n'oublions pas qu'il s'agit de situation extrême.
Son plat préféré est le tartare de thon rouge, il aime la couleur noire, son nombre fétiche est le 4 et sa fleur fétiche, la rose rouge.


>> Biographie



Prologue...

Il y avait quatre hommes dans la forêt... Armés de longue carabine, il marchait furtivement entre les arbres et les buissons épineux. A quelques vingt mètres de leur position actuelle se trouvait un troupeau de chevreuil, alors inconscient du danger qui les menaçaient alors.
D'un geste, l'homme qui était à la tête du groupe intima l'ordre à deux de ses comparses de partir sur le côté gauche. Avec son autre compagnon, ils se dirigèrent sur le côté droit, dans le but d'encercler leur proies.
Tout aurait pu se passer de bonnes manières s'il n'y avait pas eu ce craquement. Le simple craquement d'une branche sèche dans la quiétude des bois...
D'un même mouvement, les cervidés tournèrent la tête en direction des hommes de droite et, dans un même élan, s'enfuirent. Il y eut quelques tentatives, vaines, de plomber quelques uns des animaux dans leur course.
Celui qui semblait être le chef du groupe se retournait déjà vers le chasseur qui l'accompagnait dans la très ferme intention de l'engueuler de manière allègre pour avoir fait échouer la partie de chasse, mais devant la vision qui s'offrait à lui, il resta sans voix, tout comme son compagnon.
Emergeant d'entre les arbres, un jeune garçon se tenait devant eux. Il était appuyait contre un tronc, le bras gauche pendant minablement dans le vide, en sang. Ses cheveux était d'une blancheur de neige, comme ceux des albinos. Ses vêtements, blancs aussi, étaient déchirés en maints endroits. Une longue estafilade sanglante barrait son torse de son épaule droite au haut de son ventre. L'individu devait avoir tout juste une quinzaine d'années.
Il leva alors les yeux vers les deux hommes et leur lança un regard implorant. Les chasseurs ne purent réprimés un frisson devant la détresse que l'on pouvait distinguer dans le regard aux reflets d'améthyste du garçon.
Celui-ci dit alors, d'une voix faible et étranglé :

-Pitié... Aidez-moi...

L'adolescent esquissa un pas vers les quatre hommes qui l'observaient maintenant, mais s'effondra face contre terre, terrassé par ses multiples blessures...


Chapitre 1 : Le Réveil...

J'émergeais lentement de mon inconscience. Respirer me faisait mal, et une migraine atroce me vrillait le crâne. Mais pourquoi donc avais-je aussi mal ?
Je me redressais lentement, trèèès lentement... Bon Dieu ce que ça faisait mal ! Ma respiration n'en était pas la seule cause : j'étais étroitement serré dans des bandages.

*Et ben... Ils auraient put y aller mollo sur les pansements !

Je poussais un soupir exaspéré, puis me laisser retomber lourdement sur mon oreiller. Pour la première fois, j'examinais la pièce dans laquelle je me trouvais :
La salle, de modeste dimension, était d'une blancheur immaculée. La fenêtre fermée me fit apercevoir le ciel nuageux à l'extérieur, mais ma position allongée ne me permettait pas d'en voir plus. Je me redressais donc, et aperçut que le bâtiment était en bordure de forêt.
Je conclus assez rapidement, à la vue du mobilier, que je me trouvais dans une clinique médicale...

...

-Mais qu'est ce que je fous là ?!

Cette pensée fut soudain relégué au second plan lorsqu'une mèche de cheveux passa devant mon visage, suite à un brusque mouvement de tête. Des cheveux...

DES CHEVEUX BLANCS ?!

Mais que se passait-il donc ici ? Sur ma table de chevet se trouvait un petit miroir. Je m'en saisis et, voyant mon reflet, je ne put retenir un hoquet de stupeur : mes cheveux, autrefois brun, étaient maintenant blancs comme ceux des albinos.
Me rappeler... Me rappeler ce qui c'était passé... Il le fallait ! Je fermais les yeux et sondais mon cerveau en quête des derniers événements... Un grand mur noir. Quoi que je fasse, je me heurtais toujours à ce grand mur noir. Je cherchais maintenant une brèche, un faille dans cette surface lisse. Mon souffle s'accélérait, la panique montait en moi... Je me refusais de l'admettre mais, au fond de moi, je savais ce qui se produisait...

J'avais perdu la mémoire...

C'est ce moment que choisirent trois médecins en blouse blanche pour rentrer dans la chambre. L'un deux s'adressa alors à moi. Mon cerveau, sous l'effet de la panique, ne comprenait rien aux enchaînement de mots qui sortaient de la bouche de l'homme. Il dut comprendre que je ne comprenais pas car il posa sa main sur mon épaule et se remis à parler plus fort.

Sourd à ma souffrance, je me redressais soudain d'un bon, saisis l'homme par les épaules et le plaquais contre le mur. J'approchais mon visage du sien et, secouant le médecin, je hurlais :

-QU'EST CE QUE JE FAIS LA ?! POURQUOI JE SUIS BLESSE ?! POURQUOI JE NE ME RAPPELLE PLUS DE RIEN ?! HEIN ?! POURQUOI ?!

Les deux autres hommes me ceinturèrent, libérant ainsi leurs collègue de mon étreinte. Pour ma part, je continuais à me débattre comme en diable, en continuant à crier à pleins poumons.
Mon corps se rappelant soudain à sa condition de blessé, la souffrance m'envahit... Je retombais une nouvelle fois dans l'inconscience...


Chapitre 2 - Partie 1 : Quand la vie vous tient...

Voilà maintenant deux ans, jour pour jour, que je m'étais réveillé dans la petite clinique, et que j'avais perdu la mémoire. Une mise au point des évènements s'impose.

Malgré mon amnésie, j'étais parvenu, après quelques efforts, à me remémorer mon nom : Yukisame. Mais c'était la seule et unique chose qu'il restait de mes souvenirs, tout le reste n'était que réflexes : le fait que je cuisine de très bonne manière, mon aptitude à manier le sabre ou encore, tout simplement, le fait que je saches parler.
On décida de me garder au village, où je saurais éventuellement me rendre utile. Le maire, pour pouvoir m’inscrire dans les registres me demanda de choisir un nom de famille fictif. Je lui donné ma réponse deux jours plus tard : je m’appellerais dorénavant Yukisame Pandora. Pourquoi Pandora ? C’est vrai que c’est assez tordu, mais voilà la raison : j’avais décidé de me lancer à la recherche de mon passé. Or, vu l’état dans lequel j’avais était retrouvé, il était plus que probable que mon enfance fut sombre. Par « Pandora », je faisais allusion à la boîte de Pandore : si j’arrivais à l’ouvrir, peut-être n’y découvrirai-je que malheur.

Les habitants de village se montèrent tout d’abords méfiants à mon égard, certains me regardant même avec dégout. Mon attitude farouche n’était d’ailleurs pas pour arranger les relations entre eux et moi. Seul le maire se montrait agréable avec moi. D’ailleurs, j’habitais chez lui. Je payais l’hébergement en exerçant la fonction de cuisinier parmi ses domestiques. Mon talent me permit assez rapidement de devenir le chef cuisinier de la maison, ce qui ne fut pas sans me faire de nouveaux ennemis.
Ma relation avec les autres habitants s’améliorait alors que j’avais 16 ans. Il se produisit cette année deux évènements majeurs dans ma vie. L’un me paraît de faible importance, mais me permit d’améliorer ma vie au village grâce à l’estime que j’en retirais. Le second fut, quand à lui, a jamais gravé dans ma mémoire et très important pour mon épanouissement personnel.

Je vais vous les conter…

Chapitre 2 - Partie 2 : Jan le bûcheron

Il était dans ce village un homme qui se nommait Jan. Bûcheron de métier, c'était un homme très populaire au village : gai, drôle, bon vivant, il aimait bien se réunir autour d'un pot avec ses très nombreux amis. Tout le monde connaissait Jan.
Sa morphologie en disait long sur son train de vie : haut de près de 2 mètres 10, large comme une armoire à glace, des mains de la taille des poêles qui me servait à faire des crêpes… Autant vous dire qu’il en imposait. Il occupait l’admirable fonction de bûcheron, c’était donc à lui que revenait la tâche de nous ramener du bois.

Un jour, Jan partit pour la forêt. Il cherchait des arbres aux troncs très larges, que l’on ne trouvait qu’au cœur de la forêt. Armé de son traîneau et d’une hache à double tranchant, Il prit donc la route.
Un jour passèrent, puis deux, trois… C’est au sixième jour que la population commença à s’inquiéter de l’absence du bûcheron. Au huitième jour, une battue fut organisée dans l’espoir de le retrouver. Les hommes revinrent le lendemain, penauds : il n’avait pas trouvé trace du bûcheron.
Le village fit deuil, dix jours après la disparition de Jan. Tous pensaient qu’il était mort, et sa « veuve » avait déjà reçu une aide financière de la part de la mairie.
En mon for intérieur, j’avais la certitude que Jan n’était pas mort. Une nuit, je fuguais de la maison du maire, bien décidé à mener ma propre enquête.

J’errais pendant 3 heures, sachant exactement où se trouvait ma première étape : ma cabane. Il s’agissait en fait d’une cache indétectable si on ne la connaissait pas. Elle se trouvait au fond d’un ravin dans lequel poussaient des plantes comestibles, laissant à son utilisateur une autonomie maximale d’une vingtaine de jours. A l’aide de très grosse branche, j’avais confectionné un toit étanche et, avec des fougères sèches, j’avais aménagé une couche de fortune.
J’y parvins donc après une longue marche. Au moment d’entrer dans ma cachette, je me rendis compte que l’endroit était déjà occupé grâce au bruit de respiration qui en provenait. Inquiet, je tirais un couteau de ma sacoche et entrais en silence…

Un homme était allongé sur la couche. Il lui manquait une jambe. De la plaie, mal cautérisée, suintait du pus. Il semblait être fiévreux. Une barbe involontaire lui mangeait le menton.
Malgré la pénombre environnante, je reconnus avec stupeur l’homme qui se tenait devant moi.

Jan…

Mes jambes obéirent plus vite que ma pensée : avant de me rendre compte de ce que je faisais, j’étais déjà en train de remonter le ravin. Je m’élançais ensuite entre les arbres pour revenir au village. Je fus de retour au village en 2 heures seulement. Je tambourinais à la porte du maire en lui disant d’ouvrir vite. Ce qu’il fit, les yeux rougis par le réveil brutal, simplement vêtu d’une chemise de nuit.

Je lui expliquais brièvement la situation : Jan n’est pas mort, il se cache dans ma cabane secrète etc… A son expression, je compris qu’il crût que je me moquais de lui, mais, en voyant mon regard, il comprit que je ne disais que la vérité…

Une demi-heure plus tard, je guidais une dizaine d’homme à travers les bois. Nous récupérâmes Jan au fond du ravin et, à l’aide d’un traineau à roulettes, nous le ramenâmes au village.

Il était tombé malade au cours de son périple, il lui fallu cinq jours pour s’en remettre. Lorsqu’il sorti de la clinique, tout le monde se pressa autour de lui, avide d’entendre son histoire. Il calma la foule de la main et demanda à ce que l’on m’amène à lui. Une requête fort étrange pour la plupart des habitants, qui ne savaient rien de ma part de responsabilité dans l’histoire.
Jan nous mena tous à la taverne. Il commanda une bière, qu’il avala d’un trait et nous raconta son histoire :

Il était bien parvenu jusqu’au cœur de la forêt. Là, il s’était attaqué à un arbre tellement grand que 4 hommes se tenant la main n’aurait put en faire le tour.
Alors que le tronc était presque totalement coupé, une forte bourrasque se leva. Jan fut aveuglé par une mèche de cheveux qui s’était plaqué contre son œil. Il prit une seconde pour replacer ses cheveux derrière son oreille…
Une seconde qui lui fut fatale. Ce fut le chaos. L’arbre s’effondra en direction du bûcheron. Une grande partie du corps de Jan évita l’arbre, mais pas sa jambe gauche. Il se retrouva ainsi emprisonné sous le tronc.
Il tenta pendant deux heures de se dégager, mais comprit qu’il ne pouvait rien faire. Il prit donc la décision très dure de se couper la jambe à l’aide de sa hache.

Amputé d’une jambe, il rampa pendant longtemps, jusqu’à trouver ma cabane. Avec ses dernières forces, il avait allumé un feu et avait fait cicatriser grossièrement sa blessure. Puis il avait attendu que quelqu’un le trouve, se nourrissant de baies sauvages. Puis j’étais arrivé.


Jan dit qu’il me devait la vie et qu’il avait une dette éternel envers moi…

Depuis ce jour, les villageois me témoignèrent respect et sympathie. Je n’allais pas oublié pour autant la première année que j’avais passé ici, où l’on m’avait détesté. Je gardais mes distances avec la population, mais la vie fut soudain plus agréable…


Chapitre 2 - Partie 3 : Cassandre Rainsworth, l'herboriste...

Yukisame [terminé -test RP posté -en attente de validation] 733187Sanstitre3 Yukisame [terminé -test RP posté -en attente de validation] 289702Sanstitre2

Voilà surement la rencontre la plus importante qu'il m'ait été donné de faire...

Deux semaines après mon "réveil", un médecin m'apprit que j'étais atteint d'une maladie génétique. Il m'expliqua avec main termes compliqué de quoi il en résultait. Voyant que je ne comprenais strictement rien à ses explications, il m'expliqua de manière beaucoup plus vulgarisée :

-En gros, ton corps ne produira plus assez d'hormones pour que tu grandisses. Tu vas garder ton physique actuel toute ta vie.

Le médecin s'attendait visiblement à une réaction paniquée de ma part. Mais au final, cela ne me faisait ni chaud ni froid .L’homme ajouta qu’il y avait également une autre personne atteinte de cette maladie dans le village. J’écoutais alors, intéressé.
C’était une adolescente de mon âge, répondant au doux nom de Cassandre Rainsworth. C’était la fille des fleuristes.

En rentrant chez le maire, je lui demandais où se trouvait la maison des Rainsworth. Il me donna l’adresse et je courus aussitôt dans la direction indiquée.
Je frappais à la porte du domicile. Une femme d’une quarantaine d’années vêtue d’une robe noire m’ouvrit. Je lui demandais où je pourrais trouver Cassandre. Elle me répondit d’une voix froide qu’elle était partie jouer dans la forêt et, sans même me dire « au revoir », me claqua la porte au nez.

Je restais sur le seuil, interloqué. Visiblement, ma réputation m’avait précédée.
Arrivant à la conclusion qu’il ne restait à rien de rester planté ici tel un poireau, je parti en direction de la forêt.

Je marchais entre les arbres en appelant la jeune fille. Il me fallu une heure avant de lui tomber dessus.

Ou plutôt, avant qu’elle ne me tombe dessus.

Je sentis une masse s’abattre sur mes épaules. Une jeune fille était maintenant juchée sur mon dos. Elle me demanda ce que je faisais ici, ce à quoi je répondis que je la cherchais...

Il serait un peu trop long et surtout, sans intérêt, de raconter tout ce que nous nous sommes dis ce jour-là. Nous allons donc passer directement au terme de notre conversation.
Je me liais donc d’amitié avec Cassandre ce jour-là. C’était ma première amie.

Cassandre était une personne ayant une très grande force de caractère. Elle était également très expressive : lorsqu’elle était heureuse, elle sautait littéralement partout. Triste, elle versait toute les larmes de son corps. En colère, elle prenait un malin plaisir à me martyriser.

Orgueilleuse, supérieure, dominatrice, possessive,… La liste et longue pour parler de ses mauvais côté. J’étais devenu en quelques sortes son… esclave personnel. Je devais faire toute ses corvées sous la menace. Elle ne me ménageait pas mais malgré tout, je l’aimais bien. Peut-être parce que c’était la seule personne, hormis le maire, qui s’intéressait un tant sois peu à moi…

Cassandre me parla un jour de son rêve : elle voulait devenir une herboriste de renom et rejoindre un équipage de pirate. Je lui demandais qui était les pirates : depuis mon « réveil », je n’en avais jamais entendu parler.
Elle m’expliqua que les pirates étaient des hommes et des femmes épris de liberté, qui fuyaient les lois et le gouvernement et qui prenait la vie du bon côté. Il commettait beaucoup de méfaits et certains étaient devenus tellement connus que le gouvernement offrait une somme exorbitante à quiconque les arrêteraient !

Son récit était passionnant, ça me donnait vraiment envie de suivre la même voie qu’elle. Je lui posais de nombreuses questions sur les pirates, et elle passa ainsi une journée à m’instruire. A partir de ce moment, nous ne parlâmes plus que de piraterie, de pillages et de primes.

Un jour Cassandre vint me retrouver dans la forêt. Elle était en pleurs. Quand je lui demandais la raison de son chagrin, elle refusait obstinément de me répondre. J’attendis donc qu’elle se calme. Elle daigna finalement me répondre.
Elle m’expliqua que ses parents allaient déménager loin d’ici, et qu’elle était obligée de les accompagner. Elle éclata de nouveau en sanglot.
C’est comme si tout s’effondrait autour de moi. J’allais donc perdre ma meilleure amie ? Pour toujours ? Il me fallait tout de suite quelque chose à quoi me raccrocher.
Je la serrais dans mes bras et lui fit la promesse que, si un jour je devenais pirate, j’irais la chercher et je l’emmènerais avec moi.

Elle parti un jour de printemps. Monté sur une charrette avec ses parents, elle s’éloigna, sans un regard en arrière. Je pense qu’elle ne voulait pas que je la vois pleurer…


Chapitre 3 - A l'aventure, compagnons, je suis parti vers l'horizon...

Une matinée fraîche d’automne… J’étais sur une plage en bordure de mon village. La population était massée derrière moi, le maire en tête.
Je vérifiais une dernière fois l’état des provisions Posée à bord de l’embarcation qui me faisait face. J’avais maintenant 17 ans, et j’avais pris la décision de partir à l’aventure. Pur retrouver mon passé, rester dans ce petit village ne m’aiderait pas vraiment.

La cérémonie d’adieu fut assez émouvante. Je ne m’étais jamais rendu compte qu’au final, je m’étais attaché à ses hommes et femmes. Ils étaient la famille de substitution à celle dont je ne me souvenais plus.
Les derniers à me faire leurs adieux furent Jan et le maire. Le bûcheron me donna une accolade à assommer un ours. Il n’avait pas perdu de sa vigueur malgré sa jambe perdue.
Le maire fut un peu moins effusif : il me serra sobrement la main. Puis il se pencha vers moi et me souhaita bonne chance. Il me souhaita également de retrouver Cassandre et de devenir un pirate célèbre, pour que le village n’ait pas honte de moi.

Je monté à bord de la petite barque à voile. Le vent me portait vite sur les flots.
Sur le rivage, les villageois me firent de grands signes auxquels je répondis jusqu’à ce qu’ils ne soient plus visibles à l’horizon.

L’aventure commence !!!



J’ai passé un an à écumer les mers de South-Blue. J’ai commis, de ci de là, de petits méfaits qui ne me valurent aucune reconnaissance.
Je ne m’attendais pas à ce que trouver un équipage de pirates fut si dur. Aucun ne voulut de moi, à cause de ce qui paraissait être mon jeune âge.
Ma vie fut misérable, vagabonds des mers sans le sous, voilà comment je vécus cette année.

Un jour, en approchant de la ville de Suna-Land, mon bateau heurta un récit, trouant ainsi la coque. L’embarcation commença à prendre l’eau si bien que, quand j’arrivais sur le quai, je devais me percher en haut du mât pour que l’eau ne m’atteigne pas les mollets.


Je débarquais donc à Suna de manière assez incongrue et, en prime, je me retrouvais sans navire !
Comment allai-je trouver les sous pour me payer un nouveau bateau. Une seule solution m’apparut : j’allais devoir travailler… Honnêtement !

Je partis donc à la recherche d’une quelconque taverne où je pourrais exercer mes talents de cuisinier. Je fus donc embauché dans un de ces lieux de réunion pour pirates en tout genre, en tant que cuisinier-serveur…

L’aventure allait encore attendre un peu !



>> Test RP

Cela faisait maintenant… Allez, une bonne vingtaine de jours à tout casser que je travaillais dans une taverne de Suna-Land en tant que cuistot serveur. C’était une vie assez morne, il fallait bien l’avouer : se lever, bosser, aller dormir, restart,… Mais bon, j’étais logé, nourri…
Et il me fallait à tout prix un bateau…

La vie aurait put suivre son cours de cette manière si un jour, un équipage de pirates n’avait pas fait irruption à la taverne.
Ile étaient 10 : des hommes musclés, joviales, portés sur la bouteille… Un bon gros tas de stéréotypes en somme ! C’est moi qui fus chargé d’aller leur apporter les bouteilles de rhum.
Après avoir déposé la précieuse boisson à la table, je m’attardais un peu pour écouter les histoires qu’ils racontaient aux badauds. J’étais subjugué : la vie dans un équipage semblait tout simplement fabuleuse à les entendre !

Lorsque ma pause arriva, je filais en direction des pirates pour écouter d’autres de leurs histoires. Le capitaine, voyant que j’écoutais avec grand intérêt, me prit en quelque sorte sous son aile.
Je devins le serveur attiré des pirates, qui comptaient résider ici une dizaine de jours. Il réclamait que ce soit moi qui prépare leurs plats et moi qui les serve. Ils adoraient ma cuisine et j’en étais fier. Le soir, en allant me coucher, je rêvais que je rejoignais l’équipage des pirates et que je vivais milles aventures avec eux !

Puis vint le jour du départ. Alors qu’ils s’apprêtaient à quitter la taverne pour la dernière fois, je me jetais aux pieds du capitaine en le suppliant de m’engager comme cuisinier. L’homme me regarda, indécis. Il demanda l’autorisation de consulter son équipage. Il revint me voir quelques minutes plus tard, un grand sourire aux lèvres, et me dit :

-Bonne nouvelle ! Mes gars ont accepté de te prendre à bord avec nous ! Toutefois, il va falloir que tu passes une épreuve avant. Suis-moi...

Il tourna les talons, et ses hommes et moi le suivirent.
Il nous emmena jusqu’au port, et me montra un bateau du doigt :

-Tu vois ce navire ? Il appartient à un équipage rival au notre. Il nous ont volé il y a quelques jours un vase très précieux. Si tu arrives à t'infiltrer sur le navire et à nous ramener le vase, tu seras des notre !

J'acquiésais, et avec le sourire que je voulais le plus rassurant possible, je lui répondis :

-Ne vous en faites pas, j'y arriverai !

Sans plus attendre, je me jetais dans les eaux du port. Je nageais ainsi jusqu'à la chaîne qui retenait l'ancre et l'escaladais. Elle sortait d'un hublot qui menait probablement à la cale du vaisseau. Avant de m'y glisser, je fis un signe de la main à mon futur équipage. J'entrais dans le navire.

Je me trouvais bien dans la cale. Je décidais de commencer à fouiller parmi les provisions qui s'entassaient en ces lieux. Mais après une demie-heure de recherche, je conclus que le vase n'était pas là.
Mon regard se posa sur une porte sur laquelle était clouée une plaque de cuivre sur laquelle on pouvait lire ces mots : "Capitaine".

*Mais bien sûr ! C'est le capitaine qui doit conserver les objets précieux ! Suis-je bête !*

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, j'étais dans la cabine du capitaine, sommairement meublée : Un bureau sur lequel s'amoncelaient de nombreuses piles de papiers, un lit et une garde-robe. Je décidais de fouiller à l'intérieure de cette dernière.

J'ouvris la porte d'un geste sec et... Je restais pétrifié devant le spectacle qui s'offrait à moi.
Accroché à un cintre pendait un uniforme... Un uniforme de Marine...

*Non... Ce n'est pas possible...*

Une vague de colère m'envahit. Je claquais bruyamment la porte en hurlant intérieurement :

*Ces salopards m'ont roulé dans la farine !*

Je revins sur mes pas et en ouvrant la porte pour revenir dans la cale...

Je tombais nez à nez avec un Marine.

Il y eut un moment de flottement que je mis à profit : Je me jetais en direction de l'homme et lui envoyais mon genou dans la mâchoire. Assomé sur le coup.
Je devais maintenant fuir, et vite ! Pour sortir, je pris le même chemin que celui de l'aller : la chaîne. Je me laissais glisser le long et me retrouvais une fois de plus dans l'eau.
Juste à temps : j'entendais des cris de rage monter du bateau et des ordres fuser. Visiblement, l'équipage se mettait en branle pour me retrouver.

Je revins sur le quai : il n'y avait plus la moindre trace des pirates. J'avais honte de m'être fait berné de cette manière. Je pris la résolution que cela ne m'arriverait plus jamais !

En rentrant à la taverne, je me pris un savon par ma patronne parce que je m'étais absenté pendant mon service. Elle me demanda 500 berrys de dédommagements symbolique et revis mon salaire à la baisse.

L'aventure allait, une fois de plus, encore devoir attendre. Mais je jure que si un jour je retrouve ces enfoirés de pirates, je les étripe !


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Informations IRL

[list]Prénom : Raphaël

Age : 16 ans

Aime : Le Punk, le Hard rock, la guitare, les Mangas, le RP, Nightwish !

N'aime pas : Le rap, les haricots

Personnage préféré de One Piece : Sanji et Mihawk

Caractère : (définissez vous en quelques mots) Chiant, introverti, drôle

Fais du RP depuis : Quelques mois

Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) entre 3 et 5 jours en période scolaire

Comment avez vous connu le forum ?
Par l'intermédiaire d'un classement Root Top


Dernière édition par Yukisame le Dim 30 Oct 2011 - 17:45, édité 15 fois
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Bienvenue Yukisame.

Il manque une partie des Codes du Règlement. Désires-tu ton test RP ?
    Bonjour et bienvenue sur OPR, avant de poursuivre, je ne peux que te conseiller d'augmenter la taille de tes descriptions et de diminuer drastiquement la quantité de dialogues de ta bio ;)

    Bonne chance pour la suite et si tu as des questions n'hésite pas !
      Bonsoir !

      Je préfère attendre d'avoir fini mon histoire pour le test Rp.
      Je tâcherai d'augmenter la taille de mes descriptions, mais c'est mon gros point faible en Rp ^^

      Et merci pour votre accueil !
      • https://www.onepiece-requiem.net/t3125-yukisame-pandora
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      Up ! Fiche terminée (désolé, j'arrive vraiment pas à faire plus au niveau des descriptions ^^' )

      Aller, en avant pour le test RP !
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      Salut,

      Tu es cuisinier de puis peu, mais un équipage - des clients réguliers, semblent t'avoir à la bonne. Ils te promettent d'être des leurs si tu passe une sorte de test, piller un rafiot à quai dans le port de Suna. Le problème c'est que tu te rend bien vite compte que l'histoire est louche, et que tu va te faire arnaquer. (à toi d'inventer les raisons, les tenants et aboutissants de cette affaire, ainsi que le navire et tout les détails).

      Bonne chance.
        Cela faisait maintenant… Allez, une bonne vingtaine de jours à tout casser que je travaillais dans une taverne de Suna-Land en tant que cuistot serveur. C’était une vie assez morne, il fallait bien l’avouer : se lever, bosser, aller dormir, restart,… Mais bon, j’étais logé, nourri…
        Et il me fallait à tout prix un bateau…

        La vie aurait put suivre son cours de cette manière si un jour, un équipage de pirates n’avait pas fait irruption à la taverne.
        Ile étaient 10 : des hommes musclés, joviales, portés sur la bouteille… Un bon gros tas de stéréotypes en somme ! C’est moi qui fus chargé d’aller leur apporter les bouteilles de rhum.
        Après avoir déposé la précieuse boisson à la table, je m’attardais un peu pour écouter les histoires qu’ils racontaient aux badauds. J’étais subjugué : la vie dans un équipage semblait tout simplement fabuleuse à les entendre !

        Lorsque ma pause arriva, je filais en direction des pirates pour écouter d’autres de leurs histoires. Le capitaine, voyant que j’écoutais avec grand intérêt, me prit en quelque sorte sous son aile.
        Je devins le serveur attiré des pirates, qui comptaient résider ici une dizaine de jours. Il réclamait que ce soit moi qui prépare leurs plats et moi qui les serve. Ils adoraient ma cuisine et j’en étais fier. Le soir, en allant me coucher, je rêvais que je rejoignais l’équipage des pirates et que je vivais milles aventures avec eux !

        Puis vint le jour du départ. Alors qu’ils s’apprêtaient à quitter la taverne pour la dernière fois, je me jetais aux pieds du capitaine en le suppliant de m’engager comme cuisinier. L’homme me regarda, indécis. Il demanda l’autorisation de consulter son équipage. Il revint me voir quelques minutes plus tard, un grand sourire aux lèvres, et me dit :

        -Bonne nouvelle ! Mes gars ont accepté de te prendre à bord avec nous ! Toutefois, il va falloir que tu passes une épreuve avant. Suis-moi...

        Il tourna les talons, et ses hommes et moi le suivirent.
        Il nous emmena jusqu’au port, et me montra un bateau du doigt :

        -Tu vois ce navire ? Il appartient à un équipage rival au notre. Il nous ont volé il y a quelques jours un vase très précieux. Si tu arrives à t'infiltrer sur le navire et à nous ramener le vase, tu seras des notre !

        J'acquiésais, et avec le sourire que je voulais le plus rassurant possible, je lui répondis :

        -Ne vous en faites pas, j'y arriverai !

        Sans plus attendre, je me jetais dans les eaux du port. Je nageais ainsi jusqu'à la chaîne qui retenait l'ancre et l'escaladais. Elle sortait d'un hublot qui menait probablement à la cale du vaisseau. Avant de m'y glisser, je fis un signe de la main à mon futur équipage. J'entrais dans le navire.

        Je me trouvais bien dans la cale. Je décidais de commencer à fouiller parmi les provisions qui s'entassaient en ces lieux. Mais après une demie-heure de recherche, je conclus que le vase n'était pas là.
        Mon regard se posa sur une porte sur laquelle était clouée une plaque de cuivre sur laquelle on pouvait lire ces mots : "Capitaine".

        *Mais bien sûr ! C'est le capitaine qui doit conserver les objets précieux ! Suis-je bête !*

        En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, j'étais dans la cabine du capitaine, sommairement meublée : Un bureau sur lequel s'amoncelaient de nombreuses piles de papiers, un lit et une garde-robe. Je décidais de fouiller à l'intérieure de cette dernière.

        J'ouvris la porte d'un geste sec et... Je restais pétrifié devant le spectacle qui s'offrait à moi.
        Accroché à un cintre pendait un uniforme... Un uniforme de Marine...

        *Non... Ce n'est pas possible...*

        Une vague de colère m'envahit. Je claquais bruyamment la porte en hurlant intérieurement :

        *Ces salopards m'ont roulé dans la farine !*

        Je revins sur mes pas et en ouvrant la porte pour revenir dans la cale...

        Je tombais nez à nez avec un Marine.

        Il y eut un moment de flottement que je mis à profit : Je me jetais en direction de l'homme et lui envoyais mon genou dans la mâchoire. Assomé sur le coup.
        Je devais maintenant fuir, et vite ! Pour sortir, je pris le même chemin que celui de l'aller : la chaîne. Je me laissais glisser le long et me retrouvais une fois de plus dans l'eau.
        Juste à temps : j'entendais des cris de rage monter du bateau et des ordres fuser. Visiblement, l'équipage se mettait en branle pour me retrouver.

        Je revins sur le quai : il n'y avait plus la moindre trace des pirates. J'avais honte de m'être fait berné de cette manière. Je pris la résolution que cela ne m'arriverait plus jamais !

        En rentrant à la taverne, je me pris un savon par ma patronne parce que je m'étais absenté pendant mon service. Elle me demanda 500 berrys de dédommagements symbolique et revis mon salaire à la baisse.

        L'aventure allait, une fois de plus, encore devoir attendre. Mais je jure que si un jour je retrouve ces enfoirés de pirates, je les étripe !
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        Je me permet un petit up, si vous n'y voyez pas d'inconvénients Razz
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        Yap', m'occupe de toi ce soir.

        Scusy pour l'attente, les 9/10 du staff sont à l'IRL donc sauf si l'un des restants passent, tu seras pas validosh avant la fin des vac's j'pense, ou peut être.
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        Pas de problème, j'avais juste peur que ma présentation ce soit perdu au fin fond de la mémoire du staff ^^
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        On oublie jamais rien pas de soucis mais moi en vacances et les autres staffiens à l'irl c'est dur de tout gérer désolé désolé désolé :S
          Allé, c'parti.


          Year, c'facile à lire je trouve, de plus c'est pas très long donc rapide, j'aime bien ton style, malgré quelques imperfection au niveau de l'orthographe et de quelques tournures de phrases, je trouve que ça rend bien. C'bien, pour une fois c'est original de justifier la psy' par une maladie etc, c'est cool ^^ Y'a des trucs moins cool, c'est que tes textes - même si fastoch' à lire - manque de tact, faudrait plus de changement de rythme. Et puis le début de ton histoire, faudrait qu't'essaye de plus poser un cadre, un environnement, nous foutre direct dans le bain c'bien, mais un minimum de description en début c'est mieux. Donc. Chez toi, c'est bien, mais ce que je te conseille c'est de plus décrire tes actions, hésite pas à abuser d'adjectif et à éviter les répet'.

          Wala Wala, alors moi j'lance le truc à 400 Dorikis
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          Bonsoir !

          Alors voilà, j'avais une petite question. J'avais prévu de créer une capacité spéciale pour Yukisame, un "don de divination" qui évoluerai en fonction du nombre de dorikis.

          Je me demandais si il fallait que je fasse une demande de création dans la section adéquate et modifier l'histoire de ma fiche en conséquence ou attendre la validation, puis faire découvrir l'aptitude au personnage au cours du RP ?

          Merci d'avance pour la réponse !
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          Yop'
          Pour les capacités spéciales, c'est à voir dans la section adéquate après la validation.
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          Hello Yuki, un Yuki de plus tiens.

          D'abord, désolé pour le retard, mais les vacances, c'est les vacances. ( comme l'aventure mais en vacances quoi ).

          Sur ce, place au comm'.

          D'une manière générale, on te lit facilement. Le souci dans ton texte est que tu n'en dis pas assez; côté description, tu ne t'attaches pas à détailler la psychologie du personnage, reste finalement assez évasif. Tu cites des traits de caractère sans pousser l'examen plus loin. Résultat, ton perso est un peu lisse, un peu banal. Sans grande originalité. Là où l'absence de détail est peut-être plus flagrante, c'est côté physique, quand on prend garde au fait que tu omets certains détails très typiques de ton perso, comme sa couleur de cheveux.

          On retrouve cette impression que l'ensemble est un peu light également dans le test RP. L'action s'enchaine très vite, et tu ne partages finalement pas beaucoup l'action avec le lecteur par manque d'éléments sur le ressenti de Yukisame sur la situation. Toujours dans l'optique d'étoffer ton récit, n'hésite pas à donner plus de relief aux personnages secondaires, à prendre le temps de planter le décor. Tu écris plutôt bien, à quelques fautes ou maladresses près, et c'est dommage que l'on reste sur ce sentiment d'inachevé en te lisant car tu as les moyens de nous proposer du bon.

          Seul gros problème, au final, ton histoire. Qui sur toute sa première moitié - jusqu'à partie II. 3 non incluse - est une succession de mini RPs en fait. L'état d'amnésie n'excuse pas tout, et n'est surtout pas exploité à la hauteur des opportunités qu'il offre. Il y a du mieux au fil du récit, mais là encore, et comme l'a relevé Sato avant moi, il faut définir un cadre spatio-temporel pour ne pas perdre le lecteur.

          Voilà, au final, je suis sur du 300 plus que sur du 400, mais peut monter à 350 Dorikis, manière de faire un compromis; à voir en fonction du dernier avis donc. 300-350 Dorikis donc.
            Voilà ton dernier avis :

            J'trouve que tu écris plutôt bien. Trinita et Satoshi l'ont relevé, mais c'est facile à lire, simple et léger. Ton prologue est sympathique à lire, parce que tu crées une bonne attente par l'introduction des chasseurs avant celle de ton personnage. La réaction qu'il a face à son réveil et son amnésie est bien faite, malgré que ta soudaine "crise d'angoisse" soit un peu trop rapide, car il passe d'un état "atone" à l'exaltation en quelques secondes. Sinon c'est cool, ton personnage à l'air sympathique. C'était les bons points.

            Cependant, comme l'a soulevé mon homologue, il reste pas mal de fautes qui gâchent ton texte : Accords, conjugaison, orthographe... Une simple relecture aurait pu remédier à cela j'pense J'trouve aussi que ton récit est assez "haché", avec un rythme assez erratique. La faute à ce que t'as dis Trinita et le fait que "l'incohérence" entre tout tes chapitres se retrouve parfois entre tes phrases. Ouai, j'ai remarqué que parfois, tes structures de phrases sont assez bancales. Tout comme tu ne respecte pas la concordance des temps tout l'temps.
            Sur le fond sinon, c'est un peu léger, comme le disait Elvis. Tu aurais pu exploiter la vie antérieur de ton personnage, au moins un minimum (Comment et pourquoi est-il amnésique?) tout en l'cachant à Yukisame. J'ai l'impression que toute ta biographie tourne autours de trois anecdotes et puis basta. C'est dommage. Un gros mauvais point sur ta psychologie, qui est (pour moi), très peu cohérente. Le coté "candide qui peut tuer un homme avec sang froid" me dérange beaucoup. Tout comme un personnage aussi "doux" puisse être "misanthrope" (j'pense que là c'est un problème de lexique, qui se retrouve de temps en temps dans ta biographie).

            Pour le test rp, j'suis également déçu. Le coté infiltration n'est pas très creusé, simpliste et la réaction de ton personnage un peu légère. Il vient quand même de se faire abusé, ses rêves trompés... C'est tout ? Et puis tu aurais pu faire un jolie combat lorsque tu tombe sur le marine quand même hé hé. Et vouloir retrouver celui qui a essayé de te faire passer pour une buse.

            Bref, un texte léger et sympathique, néanmoins entachée par quelques fautes et un rythme haché. Le gros point négatif vient du fait que ta biographie donne une impression de "bâclée" à cause de ces fautes et d'un fond parfois très "light".

            J'rejoins Trinita pour 300 dorikis.
              Allright dudes, merci beaucoup pour vos avis.

              Si j'peux toutefois me permettre de souligner un truc, je n'exploite pas les antécédents de mon personnage car je ne les connais pas ! J'm'explique : j'ai demandé à un pote de bien vouloir jouer le grand frère de Yuki sur ce forum, à condition qu'il ne me révèle pas le passé du personnage. Mon but est donc de retrouver le mec en question pour découvrir, en même temps que le personnage, son passé.

              Par contre, c'est vrai que plus vous le dîtes, plus je me rends compte que j'aurai pût me fouler un peu plus ^^' (ça faisait longtemps que j'aais pas fais une fiche perso, mais bon, c'pas une bonne excuse)

              Au final, ça fait combien de dorikis ?
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              300 - 350 ?
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              Ben disons 325 pour tomber sur un compromis de compromis.
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